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desserte spécifique des communes de Prades le Lez et Montferrier-sur-Lez par la création
de 2 lignes directes n°23 Prades le Lez – Occitanie (L1) et n°26 CIRAD de Baillarguet –
Montferrier-sur-Lez – Occitanie (L1), en substitution de la ligne n°23 actuelle Prades le Lez –
Montferrier-sur-Lez – Occitanie (L1) : dès la rentrée scolaire de 2013, une desserte distincte
des Communes de Prades le Lez et de Montferrier-sur-Lez sera assurée par de nouvelles
lignes de bus avec un transport à la demande en heures creuses. La fréquence sera renforcée
à 30 minutes du lundi au samedi avec 12 départs supplémentaires pour Prades le Lez et
Montferrier-sur-Lez, et 43 départs supplémentaires pour le CIRAD. Les dimanches et jours
fériés, la fréquence sera de 60 minutes.
§ Avec cette desserte directe, le temps de parcours des habitants de Prades le Lez sera amélioré
de 12 minutes en moyenne.
Montpellier : "Il reste un gros travail à faire sur la ligne 4 de tram"
Directeur général de Tam, Jean-Luc Frizot livre une première analyse des lignes 3 et 4, après une année d'exploitation. Alors que la liaison Juvignac - Pérols - Lattes s'est imposée au deuxième rang par sa fréquentation, il affiche un regard globalement positif.
Un an après l’inauguration des lignes 3 et 4, quel bilan tirez-vous de l’extension du réseau ?
Le réseau est passé de 56 à 83 rames, dont 78 roulent aux heures de pointe. A l'instar de Strasbourg, Nantes et Grenoble, nous avons un réseau aussi développé que ces grandes agglomérations. Elles le sont davantage sur le bus.
Il y avait beaucoup d’interrogations l’an dernier. Sont-elles levées ?
Depuis septembre, l’exploitation fonctionne bien, y compris devant la gare. Il reste quelques difficultés.
En terme de fréquentation, c’est un peu en deçà des prévisions...
L’urbanisation n’est pas au niveau où nous l’attendions, comme la zac des Constellations à Juvignac et le secteur de la place Pablo-Picasso à Port-Marianne... Quand ce sera fini, on sera dans les objectifs.
Quid des retards ?
Le réseau est compliqué. La circulation joue beaucoup. On travaille avec une société sur les bornes d’informations voyageurs. Il reste un gros travail à faire sur la ligne 4, de loin la moins régulière, à hauteur du Corum.
Il subsiste également des problèmes récurrents de sécurité...
On a constaté l’augmentation des vols de portables, de tablettes et de bijoux. La police a déployé un dispositif important pour obtenir des résultats. Il y a eu des arrestations. Nous avons mené des actions en commun. La difficulté reste celle-ci : les voleurs sont de plus en plus jeunes et ils savent qu’ils seront rapidement libérés. On maintient la pression mais nous aimerions plus de présence policière sur le réseau.
1M d'euros de recettes tiré de la lutte contre la fraude
La fraude est estimée à 25% dans le tram. Selon Jean-Luc Frizot, Tam travaille sur un "triptyque : lutte contre la fraude, contre les incivilités et pour la sécurité" de ses agents, "notre priorité".
Une société extérieure fournit vingt contrôleurs
Les effectifs sont passés d’une soixantaine à une centaine d’agents, dont 80 de Tam et une vingtaine d’une société extérieure, la Scat. Le nombre de verbalisations a augmenté, ce qui permet d’autofinancer cette charge : "En 2010, les verbalisations ont rapporté 200000 euros, contre plus de 1M d'euros prévus en 2013."
Avec un passager sur quatre qui ne s’acquitte pas de son titre de transport, Tam veut "renforcer la présence des agents les samedis et les dimanches".
245000 voyageurs par jour, chiffre en progression
Pour Robert Subra, le vice-président de l'Agglo et président de Tam, le transporteur "est dans les prévisions qui ont été établies au moment où la ligne 4 n’existait pas encore", soit 245000 voyageurs par jour.
La ligne 3 a transporté 50 à 55000 voyageurs, chaque journée, l'an passé. Et la ligne 4, la moins fréquentée du réseau, autour de 20000. Pour mémoire, la ligne 1, c’est une moyenne de 125000 et la ligne 2, 40000. Selon le directeur de Tam, la progression serait de l'ordre de 4% en 2013 et 4% en 2014. "L’expérience des lignes 1 et 2 montre qu’il faut trois ans d’exploitation pour qu’une ligne fonctionne bien", justifie Jean-Luc Frizot.
Montpellier lance le ticket unique "parking transport public"
La ville de Montpellier vient de lancer un ticket unique utilisable à la fois dans les parkings relais et dans les bus et tramways du réseau. Une première nationale qui permet d'éviter que les parkings relais du réseau ne soient parasités par des véhicules dont les passagers n'utilisent pas les transports publics. Cette solution pourrait s'étendre aux parkings du centre-ville.
Le ticket lancé à Montpellier dispose de deux espaces d'encodage, un pour la tarification du parking et l'autre pour la tarification du transport collectif. Quand l'automobiliste pénètre dans le parking relais, le ticket délivré est horodaté par le système de péage du parking qui permet de contrôler la durée de stationnement et d'appliquer une grille tarifaire horaire.
Le client dispose alors de 30 minutes pour valider son ticket dans le tram. Au-delà de ce délai de carence, le support reste un ticket de parking ordinaire. A la sortie du parking relais, le système de péage vérifie la validation du titre de transport dans les transports en commun et la durée du stationnement à l'intérieur du parking. En cas de non validation du titre de transport, le client perd le bénéfice du "forfait de stationnement 24h" inclus dans le prix du titre de transport en commun, et la tarification horaire du parking s'applique.
Éviter les voitures ventouses
Montpellier a lancé ce nouveau titre pour éviter que dans des parkings relais situés près de zones commerciales, des voitures ventouses de clients de ces commerces ne viennent stationner, au risque de les saturer. Autre avantage de ce ticket interopérable, le temps passé à attendre aux guichets du parking ou aux distributeurs automatiques de titres de transport est réduit.
A ce jour, le système est opérationnel dans trois Parkings Tramway de Montpellier Agglomération (Circé, Gracia Lorca, Mosson) et sera progressivement étendu à l'ensemble des P+Tram au cours de l'année 2013. A terme, il pourrait s'étendre aux parkings du centre-ville.
Cette innovation s'inscrit dans le cadre du plan local de déplacement de l'agglomération de Montpellier (PLD) qui prévoit notamment une refonte en profondeur de la politique de stationnement mais aussi un nouveau plan de circulation et un développement du réseau de transport public.
Montpellier : cinq designers en lice pour la ligne 5 du tramway
Qui succèdera à Christian Lacroix pour habiller la ligne 5 du tramway ?
Le ligne 5 reliera Lavérune à Clapiers dans un premier temps, avant de rallier Prades-le-Lez. Elle devrait être mise en service en 2017.
Le président de Montpellier Agglomération Jean-Pierre Moure a dévoilé mardi, en fin de matinée, la liste des cinq designers retenus (sur 19 prétendants) pour habiller la future ligne 5 du tramway. Qui devrait relier, à l'horizon 2017, Lavérune à Clapiers avant d'être ultérieurement prolongée jusqu'à Prades-le-Lez.
Hervé Di Rosa dans la course
On ainsi été sélectionnés, pour succéder à Garouste et Bonetti (lignes 1 et 2) puis à Christian Lacroix (lignes 3 et 4), par un jury composé de représentants de l'Agglo, de TaM et des communes traversées par cette ligne, les cinq candidats suivants : l'agence lyonnaise Avant-première / Agatha Ruiz de la Prada (tramway de Nottingham), l'agence Yellow Window Design / Miss tic d'Issy-les-Moulineaux, l'agence parisienne MBD Design (designer du tram de Marseille), le studio Othoniel (Paris) et les locaux de l'agence Anagraphis travaillant avec Hervé Di Rosa basée à Saint-Georges-d'Orques.
Ce marché devrait être attribué au tout début de l'automne 2013.
Montpellier: des gendarmes dans le tram pour dissuader d'éventuels agresseurs
Sur la ligne 2, les gendarmes interviennent notamment à Jacou.
Les gendarmes renforcent leur présence dans le tram. Objectifs : procéder à des contrôles, détecter les stupéfiants et dissuader les agressions. Parmi les points sensibles : la fin de ligne à Jacou, l’arrêt De-Gaulle à Castelnau-le-Lez et le départ de Juvignac.
En milieu de semaine dernière, les gendarmes se déployaient à la station de tramway de Juvignac. Pour finalement relever, après les contrôles d’usage, une dizaine d’infractions diverses et quatre autres liées à l’usage et la détention de stupéfiants, de la résine de cannabis uniquement.
"Multiplication des agressions"
Des opérations de ce type, en zone de gendarmerie, les militaires en mènent de plus en plus fréquemment, ainsi que le détaillait ce week-end le lieutenant-colonel Thierry Aldebert, commandant de la compagnie de Castelnau : "Devant la multiplication des agressions dans le tramway, mais aussi par anticipation sur la saison estivale, nous avons effectivement, ces dernières semaines, redoublé les opérations dans le tramway. Via un dispositif permettant aussi de détecter les stupéfiants, avec la présence de chiens notamment. Et puis une présence régulière et soutenue peut aussi avoir des effets dissuasifs."
Un bilan tous les quinze jours
Ont ainsi été plus précisément ciblés quelques sites particulièrement sensibles, tels que la fin de la ligne à Jacou, l’arrêt Charles-de-Gaulle à Castelnau-le-Lez ou encore le départ de Juvignac. "Nous travaillons en concertation avec les brigades locales, comme celle de Saint-Georges-d’Orques quand nous intervenons sur Juvignac, par exemple. Mais aussi en collaboration avec la police municipale et la police nationale. Nous dressons d’ailleurs un bilan ensemble tous les quinze jours, avec les services de Tam et d’Hérault transports" précisait encore Thierry Aldebert.
Montpellier : la chasse aux fraudeurs s'intensifie dans le tram
Ce nouveau type de contrôle a fait multiplier par trois le nombre de contraventions. Suivant le mode opératoire, entre 50 et 400 PV peuvent être dressés chaque jour, soit une moyenne de 9 000 par mois.
Pour contrer la fraude, depuis mars 2012, les effectifs sont passés de soixante à une centaine de contrôleurs, dont 80 de Tam et une vingtaine d'une société extérieure, la Scat.
Chaque jour, sur le réseau Tam de l'Agglomération de Montpellier, 1/3 de la population prend les transports en commun, soit 300 000 voyages quotidiens. Un passager sur quatre ou cinq (15 à 20 %) ne valide pas son titre de transport ou n'a carrément pas de billet. La fraude dans le tramway et le bus représente une perte de recette annuelle qui dépasse les 4 Millions d'euros.
Le prix du billet à l'unité, 1,40 €, couvre 30 % du prix de revient du service offert. Les 70 % restants sont payés par l'argent public. Or ce plein tarif n'est utilisé que par 15 % des usagés. Soit 85 % qui bénéficient d'une tarification inférieure pouvant descendre jusqu'à 0,80 centimes.
Une centaine des contrôleurs
Pour contrer la fraude, depuis mars 2012, les effectifs sont passés de soixante à une centaine de contrôleurs, dont 80 de Tam et une vingtaine d'une société extérieure, la Scat.
Les contrôles sont effectués tout au long de la journée, du premier service au dernier, sur toutes les lignes, en fonction des statistiques recueillies. Aucun quartier de l'Agglomération de Montpellier n'est épargné. Pour une petite économie, ça peut vous coûter cher.
Ce nouveau type de contrôle a fait multiplier par trois le nombre de contraventions. Suivant le mode opératoire, entre 50 et 400 PV peuvent être dressés chaque jour, soit une moyenne de 9 000 par mois.
En 2010, les verbalisations rapportaient 200 000 € qui permettent d'autofinancer le nouveau dispositif de contrôle. D'après Robert Subra, président de Tam, les prévisions pour 2013 seraient proche du million d'euros récupéré sur les PV. Pour les mauvais payeurs verbalisés qui font traîner l'acquittement de leur amende, Tam va renforcer également son système de recouvrement par huissiers.
L'année dernière 2,3 millions de contrôles, directs ou à vues, ont été effectués par les agents de la Tam.
passion-mtp Wrote:Bonjour
J'ai trouvé le rapport des investissements 2013 de Montpellier Agglomération, alors cette année il y aura d'intéressant :
- achat de 2 bus
- fin de rénovation des agoras
- équipement en écrans TFT dans les bus. (et aussi sur T1)
Sinon, il parai que la ligne 8 et 12 vont peut être avoir une fréquence de 30 minutes à la rentrée...
PR118 Wrote:Oui je l'ai appris, et ça serait le successeur du Citelis (c'est au conditionnel). Ils parlent aussi de remplacer les Agora de la Ronde !
ça a commencé, mais je suppose que tu es au courant.
passion-mtp Wrote:Si c'est le successeur ça serait sympa un peu de changement. Mais c'est étrange, car je croyais à la base que l'agglo ne voulait plus acheter de bus et que ça suffisait ce qu'on avait.
Peut être qu'ils vont les remplacer l'an prochain mais ça serait dommage, je crois que certains agoras de la Ronde ont été rénovés.
greg59 Wrote:J'ai du mal à croire que la ligne 1 perdra 20 000voy/j au profit de la ligne 5, ça me parait bizarre surtout que seulement 4 stations seront communs à ces 2 lignes...
Par contre, je pense que cette nouvelle ligne renforcera la fréquentation des 4 lignes existantes (+ de voy/j)
83Sandro Wrote:Salut,
J'ai vu à Aix-en-Provence un des Solaris de Montpellier avec l'avant complètement explosé ! Je ne sais pas s'ils vont le réparer ou pas ...
PR118 Wrote:83Sandro Wrote:Salut,
J'ai vu à Aix-en-Provence un des Solaris de Montpellier avec l'avant complètement explosé ! Je ne sais pas s'ils vont le réparer ou pas ...
J'espère qu'ils ne vont pas le réparer, ça fera un Solaris en moins. Tu as pas vu son n° de parc par hasard ?
@+
Subway2400 Wrote:Et ils sont même bien mieux que ces Citébrols
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