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Midi libre Wrote:Deux associations de contribuables s’attaquent au financement du trambus
Le coût exact et définitif de la première ligne du trambus, de l’A54 aux arènes, reste à ce jour le plus grand centre d’intérêt (MIDI LIBRE NIMES)
Décidément, à Nîmes, une procédure chasse l’autre. À peine clos les volets judiciaires sur la légalité du trambus, les opposants remettent le turbo sur son financement.
Dans cette affaire où chacun dit la sienne, au risque d’additionner des carottes et des navets, le coût exact et définitif de la première ligne du trambus, de l’A54 aux arènes, reste à ce jour le plus grand centre d’intérêt. Entre l’Agglo qui souffre d’un déficit de confiance et qui annonce 65 M€ TTC sans fournir les éléments chiffrés en un récapitulatif détaillé et l’opposition municipale qui hurle à la gabegie financière, difficile pour le Nîmois lambda d’avoir une vision limpide des budgets de l’Agglo et de la ville de Nîmes.
L’association des contribuables nîmois (AC), représentée par Éric Firoud, ne voit qu’un seul moyen de tirer au clair les comptes de ces deux collectivités. Elle préconise une intervention de la chambre régionale des comptes. C’est pourquoi, cette semaine, l’AC a demandé à son conseil, maître Olivier Taoumi, d’en appeler au préfet du Gard pour obtenir la saisine de cette juridiction financière, laquelle peut désormais intervenir, rapidement, sur demande motivée du représentant de l’État.
L'association veut lier la question du financement avec celle des "emprunts toxiques"
Engagée par ailleurs dans une procédure, ouverte en juin dernier, contre les emprunts toxiques, cette association entend lier les deux problématiques. Mais comme la Ville, qui ne va pas donner le bâton pour se faire battre, refuse de lui communiquer les délibérations du conseil municipal inhérentes à ses décisions financières, l’AC vient également de saisir la Cada (la commission d’accès aux documents administratifs).
Dans un même temps, d’autres Nîmois ont porté, cette semaine, une nouvelle association de contribuables sur les fonts baptismaux. Enregistrée en préfecture, elle a pris le nom de Nîmes transparence et promet de demander des comptes aux élus, sur les emprunts toxiques, les travaux du plan Cadereau et... sur le financement du TCSP.
Et dire que nous n’en sommes qu’aux balbutiements de la campagne pour les municipales.
Midi Libre
Nîmes L’Aspic et l’agglo s'expriment sur la décision du tribunal sur le trambus
L’association de l’Aspic et la communauté d’agglomération de Nîmes métropole reviennent sur la décision du tribunal administratif de Nîmes. Ce dernier avait annulé jeudi dernier la délibération du conseil communautaire de la communauté d’agglomération de Nîmes métropole du 12 mai 2011. Il y était notamment déclaré d’intérêt général la réalisation d’un transport collectif en site propre sur la ligne 1 Nord Sud.
Pour l’Aspic, il n’est nullement question d’arrêter le trambus mais bien de reconnaître que l’intérêt général n’a pas été garanti, et que donc "la dépense publique n’était pas légitime".
L’association souligne que le tribunal s’est appuyé sur trois moyens d’annulation : la nature de l’étude d’impact, le défaut de transmission de l’étude et la mauvaise estimation.
De son côté, l’agglo n’a pas, selon son représentant Maître Maillot, encore décidé de faire appel (le délai pour le faire est de deux mois) : "Si l’agglo souhaite prolonger et faire une ligne 2, il faut reprendre à zéro les études d’impact, les autorisations de projet, etc."
Nîmes Ce jugement qui n’arrête pas la course du trambus
La justice administrative pointe insuffisances et irrégularités du dossier technique mais n’en tire pas cependant comme conséquence que l’existant doit disparaître.
Si elle a descendu en flammes le dossier technique qui a conduit à la mise en œuvre du trambus et l’inauguration le de sa ligne 1 le 29 septembre dernier, la justice administrative n’a cependant pas donné un coup d’arrêt au TCSP et encore moins réclamé un retour à un état antérieur aux travaux déjà réalisés.
Le tribunal administratif a certes annulé la délibération du conseil communautaire de la communauté d’agglomération de Nîmes Métropole du 12 mai 2011 - laquelle déclare d’intérêt général la réalisation d’un transport collectif en site propre sur la ligne 1 Nord Sud -, mais la juridiction prévient, dans ses attendus, que "l’exécution du présent jugement n’implique pas nécessairement que le tribunal enjoigne la communauté d’agglomération d’arrêter les travaux".
Contrairement donc à ce qu’attendait de la justice l’Aspic, en formant son recours enregistré le 11 juillet 2011 (alors que les travaux étaient toujours en cours), et pour obtenir, in fine, que la collectivité "remette en état les lieux". Déjà, lors de l’audience, deux semaines avant le prononcé de ce jugement, le rapporteur public, qui dans la grande majorité des dossiers donne le la à la décision à venir, avait joué cette tonalité dans ses conclusions adressées au tribunal : "Vous direz que l’exécution du jugement n’implique aucune des mesures d’injonction demandées (arrêt des travaux, remise en état, NDLR). Il s’agira seulement pour la collectivité locale de reprendre les études afin d’améliorer le projet."
En clair, la justice administrative pointe insuffisances et irrégularités du dossier technique mais n’en tire pas cependant comme conséquence que l’existant doit disparaître. La collectivité est appelée à revoir sa copie pour envisager la réalisation d’une deuxième ligne.
"En aucun cas nous ne voulions arrêter le trambus, dit à présent André Bruston, président de l’Aspic, les attendus du jugement en main. Nous demandons qu’il y ait un ensemble d’analyses d’impacts honnêtes et transmis à un organisme avec une possibilité de contre-expertise. Si la dépense publique a été illégitime, eh bien il faut refaire sa légitimité !"
L’avocat de l’Agglo de Nîmes, Me Maillot, lui, a beau jeu de se placer sur la même ligne : "Même l’Aspic reconnaît qu’elle ne veut pas stopper le trambus ! L’ensemble des décisions de justice démontre d’ailleurs que rien ne peut l’arrêter. En revanche, si l’Agglo souhaite prolonger et faire une ligne 2, il faut reprendre à zéro les études d’impact, les autorisations de projet, etc."
En résumé, l’Aspic semble se satisfaire que ses arguments aient été reconnus par la justice - insuffisances de l’étude d’impact et de l’évaluation économique et sociale, non-transmission aux autorités administratives. Tandis que la collectivité, soulagée, est tout juste sommée de s’inscrire (enfin) dans un cercle vertueux en étant renvoyée à ses chères études... Aux contribuables d’apprécier à leur tour.
G.E. Wrote:En fait, le jugement n'a servi à rien. Le bus circule comme si rien ne s'était passé...
Quant au coût réel, on peut attendre. Comme il est partagé entre la ville et l'agglo, il sera bien difficile de savoir.
QUEL EST LE CALENDRIER PRÉVISIONNEL
CONCERNANT LES LIGNES 2 ET 3 ?
VM : La ligne 2 est programmée à l’horizon 2020. Le chantier de cette ligne comporte quelques passages délicats : nous
avons déjà aménagé le passage sous le pont de l'Observance.
Du côté de Carémeau, nous allons travailler avec les techniciens du CHU pour éviter au maximum les nuisances liées aux
vibrations. Nous prévoyons d'installer un funiculaire entre le
CHU et le terminus du tramway car la pente de la voie d’accès
actuelle est de plus de 10 %, impossible à aborder pour un
tram. Cette ligne de 12 km traversera Nîmes d'ouest en est,
elle reliera St-Césaire à la SMAC Paloma.
Nous envisageons de créer un dépôt de tramway près de la
SMAC. La ligne 2 passera près des Arènes. Pour éviter qu'il
y ait des câbles à cet endroit, nous étudions la possibilité
d'alimenter le tramway par le sol ou d'utiliser une batterie qui
se recharge au freinage, comme à Saragosse.
J-PF : Concernant la ligne 3, elle fera le lien entre la gare
LGV de Manduel-Redessan et l’étoile ferroviaire de Nîmes.
C’est un train-tram qui circulera sur la voie aujourd’hui saturée. Sa mise en route sera possible dès 2020, après la mise
en service du contournement ferroviaire de Nîmes-Montpellier.
Js84 Wrote: Toujours pas de réforme prévue sur les R312 nîmois ?
greg59 Wrote:Salut,
2 questions :
- Votre T1 (BHNS Nord Sud) fonctionne ? Il est fréquenté ? Ou suspendu ?
- T2 et T3 toujours d'actu pour l'horizon 2020 ?
mansyter Wrote:Bonsoir, d'après les premiers chiffres pour le moment ils parlent de 7000 pers/jour. Nous sommes encore en période de gratuité.
greg59 Wrote:Lorsqu'il deviendra payant, il y a risque que la fréquentation va baisser ?
Js84 Wrote:J'y suis passée, un soir de semaine vers les coups de 20h et quelques, le bus été pratiquement vide
Midi Libre Wrote:Nîmes : pour le Tram’bus il faut désormais payer 1 €
La période de gratuité du nouveau mode de transport de la ville a pris fin mardi (NASSIRA BELMEKKI)
Pas de problème majeur sur la ligne du Tram’bus hier. Pour le premier jour test depuis ce mardi 1er janvier, fin de la période de gratuité, seuls quelques petits problèmes sur certaines bornes de distribution des tickets sont à déplorer. Des réglages que le gestionnaire du réseau Tango s’emploie à régler.
Lien de cause à effets : côté usagers, le passage de la gratuité au payant a eu lieu en douceur. D’une part, Tango avait anticipé l’échéance et multiplié les panneaux d’informations dans les bus et dans les stations ces dernières semaines ; en plus, depuis mardi , les chauffeurs du Tram’bus sont plus que jamais à l’écoute des usagers. Par ailleurs, pour une durée indéterminée, ils sont autorisés à vendre des tickets : "Pas de souci aujourd’hui, il y a moins de monde puisque ce sont encore les vacances scolaires, on verra la semaine prochaine comment ça va se passer", confie l’un d’eux.
Caissargues et l’Écusson en attente
La vente des tickets par le chauffeur du Tram’bus a d’ailleurs rassuré la plupart des usagers qui, hier, évitaient les distributeurs automatiques disposés à chaque station. Pas Cécile et Jérôme, deux jeunes Caissarguais qui, après avoir hésité un court instant sur l’endroit précis où mettre la pièce de 1 € réclamée, ont rapidement apprivoisé la machine. "C’est très pratique, toute la ligne est bien desservie, c’est toutefois dommage que le Tram’bus n’aille pas jusqu’à Caissargues car le matin, pour aller en cours, on perd un peu de temps. Et ça aurait été parfait s’il avait fait le tour de l’Écusson."
Le Tram'bus payant : "peut-être y aura-t-il moins de monde !" espère une passagère
Pour Bernard, en revanche, l’usage du distributeur a les reliefs du casse-tête. Le principe de l’écran tactile est tout sauf évident pour cet habitant de l’Écusson qui a adopté le Tram’bus tout en estimant qu’il ne s’imposait pas encore à Nîmes. Lucette est loin d’être du même avis. Habitante du quartier Dhuoda, elle est autant à l’aise avec la machine à tickets qu’avec le Tram’bus dont elle apprécie les services : "Je ne trouve rien de compliqué pour l’instant et cette nouvelle ligne me convient bien, le bus est très agréable." Marithé, une habitante du secteur Hemingway, est sur la même longueur d’onde quant à la qualité de services du Tram’bus qu’elle trouve "agréable et plus confortable qu’un bus". En ce qui concerne l’achat de tickets, elle préfère, pour l’instant, s’adresser au chauffeur et n’utilise pas les bornes automatiques. Quant à la fin de la gratuité, elle en espère un effet positif inattendu : "Depuis trois mois, le Tram’bus est bondé, peut-être y aura-t-il moins de monde !"
Réponse lundi, avec la fin des vacances scolaires.
Midi Libre Wrote:Pas de problème majeur sur la ligne du Tram’bus hier. Pour le premier jour test depuis ce mardi 1er janvier, fin de la période de gratuité, seuls quelques petits problèmes sur certaines bornes de distribution des tickets sont à déplorer. Des réglages que le gestionnaire du réseau Tango s’emploie à régler.
Midi Libre Wrote:"Pas de souci aujourd’hui, il y a moins de monde puisque ce sont encore les vacances scolaires, on verra la semaine prochaine comment ça va se passer", confie l’un d’eux.
Midi Libre Wrote:La vente des tickets par le chauffeur du Tram’bus a d’ailleurs rassuré la plupart des usagers qui, hier, évitaient les distributeurs automatiques disposés à chaque station.
Midi Libre Wrote:Pas Cécile et Jérôme, deux jeunes Caissarguais qui, après avoir hésité un court instant sur l’endroit précis où mettre la pièce de 1 € réclamée, ont rapidement apprivoisé la machine. "C’est très pratique, toute la ligne est bien desservie, c’est toutefois dommage que le Tram’bus n’aille pas jusqu’à Caissargues car le matin, pour aller en cours, on perd un peu de temps. Et ça aurait été parfait s’il avait fait le tour de l’Écusson."
Midi Libre Wrote:Le Tram'bus payant : "peut-être y aura-t-il moins de monde !" espère une passagère
Midi Libre Wrote:Pour Bernard, en revanche, l’usage du distributeur a les reliefs du casse-tête. Le principe de l’écran tactile est tout sauf évident pour cet habitant de l’Écusson qui a adopté le Tram’bus tout en estimant qu’il ne s’imposait pas encore à Nîmes. Lucette est loin d’être du même avis. Habitante du quartier Dhuoda, elle est autant à l’aise avec la machine à tickets qu’avec le Tram’bus dont elle apprécie les services : "Je ne trouve rien de compliqué pour l’instant et cette nouvelle ligne me convient bien, le bus est très agréable."
Midi Libre Wrote:Marithé, une habitante du secteur Hemingway, est sur la même longueur d’onde quant à la qualité de services du Tram’bus qu’elle trouve "agréable et plus confortable qu’un bus".
Midi Libre Wrote:En ce qui concerne l’achat de tickets, elle préfère, pour l’instant, s’adresser au chauffeur et n’utilise pas les bornes automatiques. Quant à la fin de la gratuité, elle en espère un effet positif inattendu : "Depuis trois mois, le Tram’bus est bondé, peut-être y aura-t-il moins de monde !"
Midi Libre Wrote:Réponse lundi, avec la fin des vacances scolaires.
Objectif Gard Wrote:Le projet d’extension du Tram’bus soumis à l’avis du plus grand nombre
Nîmes Métropole a lancé ce vendredi une concertation longue de plusieurs mois concertation au sujet du prolongement de la ligne de tram'bus de Nîmes. Photo DR/S.Ma
Il est des projets qui méritent réflexion. Jean-Paul Fournier l’a appris à ses dépens. Encore meurtri de tout le remue-ménage qu’avait causé la réalisation de la première étape du Tram’bus, le sénateur-maire de Nîmes et président de Nîmes Métropole a décidé, soutenu par Vivian Mayor, membre du bureau de la communauté d’agglomération, délégué au TCSP, de soumettre à l’avis du plus grand nombre son projet d’extension de cette ligne. Une concertation qui sera menée jusqu’au 30 avril, avant le lancement de l’enquête publique. “Administrés, élus communautaires, élus de la Ville, personnels de Tango, conseils de quartier etc, tous auront leur mot à dire. On nous a trop reproché notre manque de concertation lors de la réalisation de la première phase de la ligne” a précisé Jean-Paul Fournier lors d’une conférence de presse donnée ce vendredi à la Maison des Grands Trav’02, boulevard Gambetta à Nîmes.
Le ton est donné. Ainsi, c’est avec beaucoup de prudence que les deux hommes ont présenté ce qui devrait constituer un axe fort allant du Nord au Sud, des Arènes au futur éco-quartier Hoche-Sernam. Le tout en desservant l’Écusson — la section 1 des travaux du prolongement dont la mise en service est prévue pour 2016 — qui comptera cinq arrêts entre les boulevards Victor Hugo, Gambetta, Amiral Courbet et les Arènes. Et inutile de sortir les armes, “aucun arbre ne sera arraché” anticipe Jean-Paul Fournier, repris par Antoine Grumbach, le maître d’œuvre parisien : “Nous allons installer les stations entre les arbres. En réduisant les toitures, ça passera !” Non, la difficulté du tracé de l’Écusson long de 2,2 kilomètres orienté en sens inverse de la circulation automobile actuelle, ce sont les trémies d’entrée et de sortie du parking de la Coupole qui provoqueraient une discontinuité dans le profil du boulevard Gambetta. C’est pour cette raison qu’une variante a été pensée par les concepteurs du projet, avec un passage par la rue Général Perrier.
Principe d'aménagements pour la section 1, le tour de l'Ecusson.
Quant à la section 2, c’est-à dire la liaison avec l’éco-quartier Hoche (début des travaux en 2016), qui desservira la nouvelle université, le tracé empruntera la rue Vincent Faïta, condamnant l’intégralité de ses places de stationnement, pour atteindre son terminus à la route d’Uzès, au niveau de la voie ferrée Alès-Nîmes. Des places vont être supprimées “mais un parking relais de 150 places va être créé. Il faut bien comprendre que cette ligne de Tram’bus a été pensée et réalisée, en partie pour l’heure, pour limiter le nombre de voitures en ville et ainsi améliorer la qualité de l’air et diminuer les nuisances sonores” intervient le maire encore une fois épaulé par Antoine Grumbach : “Ce n’est pas qu’un projet de mobilité mais aussi et surtout d’embellissement de la ville.” L’argumentaire est bien préparé, avis à ceux qui souhaiteraient participer à la concertation !
Concertations publiques le 13 mars à 19 heures à l’Hôtel Communautaire (3 rue du Colisée) à Nîmes et le 3 avril à 19 heures au Théâtre de Nîmes (place de la Calade). Le public est aussi invité à réagir sur le site de Nîmes Métropole ou par email: concertationtrambus@nimes-metropole.fr. À vos avis…
En chiffres
31, c’est en millions d’euros le coût du projet pour la réalisation de la section 1 (16 M€) et 2 (15 M€).
2016, c’est l’année lors de laquelle les travaux de la section 1 devraient être achevés et devraient démarrer ceux de la section 2.
4, en kilomètres la longueur du prolongement de la ligne du Tram’bus.
150, le nombre de places de parking qui vont être créés sur le terminus de la route d’Uzès.
7 041, c’est en moyenne le nombre de voyageurs par jour qui prennent le Tram’bus. Avec le prolongement de la ligne, il pourrait atteindre entre 10 000 et 15 000 voyageurs par jour.
2019, c’est l’année lors de laquelle les travaux pour la deuxième ligne du TCSP longue de 12 kilomètres, le Tramway, devraient être lancés.
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