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ROMI65 Wrote:Juste une précision: du côté de St. Jean de Védas, les trams de la ligne 2 de Montpellier circulent sur le RFN (et payent un péage à RFF), bien que la ligne ne voit pas d'autres trafics (à vérifier si le trafic fret à repris...) et que la signalisation soit spécifique au tramway.
chris2002 Wrote:La ligne était il me semble déjà équipée avec du BAL, donc le démonter pour installer une signalisation de type tramway n'aurait à mon avis pas été très très pertinent.
Par contre, dégager les X73500 et les remplacer par des BGC tricaisses allant en mode électrique jusqu'à Tassin (puis changement de mode) ne permettrait pas de retendre un peu les marches (notamment dans la partie du tronçon commun à voie unique) ?
Car bon, engager des X73500 sur des services suburbains, alors qu'ils n'ont jamais été conçu pour cela, est en soit une aberration je trouve...
First tram-train arrives in Lyon
22 February 2011
FRANCE: The first of 24 Citadis Dualis tram-trains for the TER network west of Lyon arrived at the L'Arbresle maintenance centre on February 18, having left Alstom’s assembly plant in Valenciennes two days earlier.
Two more vehicles will be delivered to SNCF in Lyon during the next few weeks. The three trains will then undergo trials to test current intake and measure electromagnetic emissions. The first vehicles are expected to enter service this year on the newly-electrified route from Lyon Saint-Paul to Sain-Bel.
In May 2007, SNCF ordered 31 Alstom Citadis Dualis tram-trains, seven for the Pays de la Loire region and 24 for Rhône-Alpes, under a €650m framework agreement for 200 vehicles. Pays de la Loire placed a conditional order for another eight trains in March 2009; options for the remaining 161 are still open.
Parts are being supplied by various Alstom sites; the bogies are being manufactured at Le Creusot, the motors at Ornans and the traction equipment at Tarbes, while Villeurbanne and Saint-Ouen are providing on-board computer systems.
Le tram-train reste à quai
Transport La nouvelle ligne de l'ouest ne sera pas prête en septembre
Toujours pas de date précise pour les premiers tram-trains dans l'ouest lyonnais. Alors que la région Rhône-Alpes, autorité organisatrice des transports ferroviaires, envisageait de faire circuler les premières rames entre Lyon et Sain-Bel dès la rentrée de septembre, la mise en service ne devrait pas avoir lieu avant décembre.
« On attend le feu vert de l'Etablissement public de sécurité ferroviaire, qui nous a demandé de rajouter du matériel de sécurité après un accident en région parisienne. Les tests ne sont pas achevés », indique Bernadette Laclais (PS), vice-présidente du conseil régional en charge des Transports.
Les syndicats envisagent de saisir la justice
Mais cette nouvelle ligne, qui doit permettre de doubler le trafic voyageur à l'ouest, pourrait prendre un retard plus important. Les élus du comité d'établissement de la SNCF, qui sera en charge d'exploiter la ligne avec ce matériel hybride, ont voté mercredi une motion pour demander « l'arrêt de la mise en œuvre » du tram train. « La direction de la SNCF n'a pas répondu à nos interrogations sur la sécurité des cheminots et des voyageurs. Nous dénonçons la formation au rabais des conducteurs, l'absence de contrôleurs systématique dans chaque train et un matériel inadapté », explique Sébastien Gillet, délégué SUD-Rail.
Les syndicats de la SNCF envisagent également de saisir la justice pour faire suspendre la mise en route du tram-train.
Syndicats et associations dénoncent le projet de la SNCFCERTAINS TER POURRONT CIRCULER SANS CONTRÔLEURS
Nouvelles tensions autour du trafic TER. Les associations d’usagers et le syndicat SUD-Rail ont distribué des tracts dans les gares rhônalpines, hier, pour dénoncer la suppression partielle des contrôleurs dans les trains, envisagée par la SNCF. La direction régionale a prévu de faire circuler le futur tram train de l’Ouest lyonnais, qui doit entrer en service à la rentrée, avec le conducteur comme seul agent à bord. « Il s’agit d’un TER urbain. La logique est identique à celle des tramways où il y a seulement des équipes volantes de contrôleurs », explique Pascal Delaitre, directeur adjoint TER Rhône-Alpes, soucieux de calmer les inquiétudes.
Des craintes liées à l’insécurité
La SNCF prévoit également de faire circuler d’autres trains de la région sans contrôleurs, mais la direction assure que cela restera « exceptionnel ». « Le contrôleur est là pour assurer la sécurité des voyageurs lors de leur montée et leur descente du train, s’inquiète Stéphane Boulade représentant régional de SUD-Rail. Dans le RER, à Paris, où il n’y a pas de contrôleurs, il y a déjà eu des accidents, parfois mortels, avec des voyageurs coincés dans les portes. »
Les associations de voyageurs craignent l’instauration d’un climat d’insécurité.
« C’est la porte ouverte à une certaine forme de délinquance, redoute Jean-Pierre Frencel, président de l’ADULA, l’association d’usagers de la ligne Lyon-Ambérieu. On risque de voir se multiplier les actes d’incivilité et de malveillance. »
ÉQUIPEMENT
Le tram train de l’Ouest lyonnais sera équipé de caméras. D’après la direction régionale de la SNCF, cela devrait permettre aux conducteurs de s’assurer qu’aucun passager ne s’apprête à monter au moment de la fermeture des portes.
A la SNCF, la suppression des contrôleurs faits des mécontents
Ouest lyonnais. Plus de 2000 tracts distribués hier à la gare de Saint-Paul et à Gorge-de-Loup à Lyon : des cheminots tirent la sonnette d’alarme avant l’arrivée des rames cet automne.
En deux temps trois mouvements, ils ont redécoré la gare de Saint-Paul de Lyon. Ne manquent plus que les fumigènes : mais ça viendra peut-être, dans quelques semaines. « Si la direction refuse de nous écouter, une grève est possible à la rentrée », préviennent des syndicalistes. En guise d’avertissement, une immense banderole est déployée sur la façade pour interpeller le regard des passants : « Abandonner le train ? D’avance une mauvaise idée ». C’est parti pour deux heures de distribution de tracts, hier matin, contre les conditions de déploiement du tram-train.
A quelques mois de l’arrivée prévue des nouvelles rames sur la ligne Lyon/Sain-Bel, des syndicats de la SNCF (CGT, CFDT, Sud-Rail, FO notamment) et les associations d’usagers (FUT et Adula) tentent de rallier les usagers à leur cause. Pas de présence systématique de contrôleurs dans ces tram-trains, mais des brigades de contrôleurs intervenant à la manière de celles des TCL : un « risque pour la sécurité » à bord selon les protestataires, car il n’y aurait personne pour intervenir en cas d’agression ou de malaise. Sans parler d’une « déqualification » des conducteurs, qui seraient « payés juste au-dessus du smic », et de leur formation raccourcie : « 67 jours contre dix mois pour les « mécanos » traditionnels ». Au risque, là aussi, de mettre en péril la sécurité des usagers, selon les syndicats. « Surtout sans contrôleur pour nous aider », disent des conducteurs : « Les caméras ne permettent pas forcément de voir tout le monde sur les quais, ça peut être dangereux au démarrage ».
Entre 7 et 9 heures, hier, en gare de Saint-Paul, les voyageurs déboulent des quais d’un pas pressé. Il y a beaucoup de collégiens ou lycéens, suivis de salariés qui rejoignent leur lieu de travail. Coups d’oeil aux planches de BD « éducatives » réalisées par un militant de Sud-Rail pour l’occasion. Tous ou presque prennent les tracts qui leur sont tendus : 2 000 distribués entre Saint-Paul et Gorge-de-Loup. Mais ceux des voyageurs que nous avons pu interroger - le panel n’étant pas nécessairement représentatif - semblent plutôt emballés par le tram-train. Les objections soulevées par les syndicats ? « Je ne comprends pas : on n’est jamais contrôlés le matin, ils pioncent », accuse Didier, qui prend « chaque jour » le train à L’Arbresle pour venir travailler à Lyon où il est orthopédiste. En six ans, « jamais » il n’a été témoin d’une agression sur cette ligne : « Mais s’il n’y a plus de contrôleurs, peut-être que ce sera différent ? » « Je rentre souvent tard, seule, et je n’ai jamais eu de problèmes », insiste Danièle, enseignante, tout en disant « comprendre » que les cheminots veuillent « défendre leurs métiers ».
Un tram-train, avec des pointes possibles à 100 kilomètres heure, sur la ligne Lyon (Saint-Paul)/Sain-Bel : ce sera pour « cet automne », indique Pascal Delaitre, le directeur des TER Rhône-Alpes à la SNCF. Ce qui entraînera des travaux sur l’axe concerné, cet été. La montée en puissance des nouvelles rames sera « progressive ». Et l’équipement des lignes « Lozanne/Tassin/Lyon » et « Brignais/Lyon » est prévu, lui, pour « après 2012 ». L’investissement global - les rames sont construites par Alstom - est d’environ 300 millions d’euros, financés en grande partie par le conseil régional. « Sur l’Ouest lyonnais, nous avons une clientèle qui est plus proche de celle d’un tram comme le T3, que du train : cela nous amène à revoir notre présence à bord et en gare », justifie Pascal Delaitre. D’où, selon lui, la nécessité d’un modèle spécifique pour les conducteurs et les contrôleurs, d’autant, souligne-t-il, que « trois quarts » des usagers sont des abonnés. Qu’a-t-il à répondre à la « déqualification » des conducteurs redoutée par les syndicats ? « Un conducteur de tram-train n’est pas un conducteur de TER ou de TGV et il aura de toute façon un déroulement de carrière qui lui permettra de devenir conducteur de TER et de TGV s’il le souhaite ». Interrogé sur les perspectives de recrutement, Pascal Delaitre annonce que « plusieurs dizaines de conducteurs » de tram-train seront embauchées par la SNCF.
L’absence de contrôleurs dans les TER fait débat
Pas de « RERisation » (automatisation) des trains express régionaux en Rhône-Alpes. C’est en quelque sorte le mot d’ordre des associations des utilisateurs de TER (Adula, Adut, Autervr, Codutrebc, Fut-SP, le t’rain, Fnaut 01/74) et des syndicats de cheminots (Sud Rail, CGT) qui profitent du traditionnel comité des usagers (réunion qui a lieu tous les trois mois entre la direction de la SNCF et les représentants des passagers)organisé aujourd’hui au siège régional de la SNCF à Lyon pour dénoncer, de concert, « la suppression du contrôleur systématique sur les TER Rhône-Alpes ».
Dans un document interne à la SNCF que « Le Progrès » s’est procuré, il est question des conditions de mise en œuvre de circulation en Équipement à agent seul (EAS), autrement dit, la possibilité pour un train de démarrer avec comme seul personnel à bord le conducteur.
Sur la cartographie qui détermine les lignes autorisées en EAS, toutes celles du département de l’Ain, à l’exception de la portion Les Échets, Villars-les-Dombes sont concernées. « La règle, c’est un train, un conducteur et au moins un contrôleur. Mais on se donne la possibilité de façon exceptionnelle pour sauver un train de le faire partir sans un contrôleur sur du matériel récent (fermeture automatique des portes, caméras de surveillance). Cela en réglementation avec la législation ferroviaire et non pas au détriment de la sécurité des voyageurs », argumente Pascal Delaitre, le directeur des TER Rhône-Alpes à la SNCF.
« Cela concerne un à deux trains par jour. De toute façon, c’est une pratique que nous opérons déjà », poursuit-il. Loin de partager cette idée pour réduire « les aléas de production », soit les retards, pour Stéphane Boulade de Sud Rail, il n’est pas question de laisser faire : « Si les retards sont de plus en plus nombreux, c’est bien à cause de la réduction des effectifs. Le contrôleur est central dans les procédures de départ, la sécurité à bord. Sa mission n’est pas seulement de contrôler les passagers. » Jean-Pierre Frencel, le très actif président de l’Adula (les usagers de la ligne « malade » Lyon-Ambérieu), craint pour sa part que l’absence ponctuelle des contrôleurs dans les trains ne soit qu’un début au développement du système : « Si vous enlevez les contrôleurs sur les lignes, les gens vont être livrés à eux-mêmes en cas de retard ou de problème. Sans compter que c’est une incitation à la fraude ».
Ce dernier, qui rappelle au passage que « la galère sur la ligne Lyon-Ambérieu, après s’être calmée depuis février, a repris depuis deux semaines » fustige le silence radio du conseil régional, responsable des transports collectifs sur son territoire. La Région n’a pas souhaité faire de commentaire arguant qu’ « aucune décision de la SNCF n’a été prise. »
Les tram-train qui devraient être mis en circulation à la rentrée dans l’Ouest lyonnais n’auront plus de contrôleurs des brigades de contrôleurs intervenant à la manière de celles des TCL.
TER: Syndicats et voyageurs alertent sur la suppression des contrôleurs en Rhône-Alpes
La mesure concernera d'abord le futur tram train de l'Ouest lyonnais.
TRANSPORTS - La SNCF explique que la mesure restera exceptionnelle...
Usagers et cheminots unis pour une même cause, la situation est inédite. Ce vendredi, les syndicats Sud-Rail et CFDT ainsi que plusieurs associations de voyageurs de TER ont dénoncé le projet de suppression des contrôleurs sur les trains de l’ouest lyonnais à partir de septembre. Et s'inquiètent d'une du système sur les TER de Rhône-Alpes à terme.
«Des brigades volantes interviendront ponctuellement dans un but uniquement répressif, explique Stéphane Boulade, délégué régional Sud-Rail. Si on accepte cela maintenant, nous arriverons rapidement à la situation des RER en Ile-de-France.» Avec la crainte que les incivilités et les agressions n'explosent sur les lignes saturées.
«Deux à trois cas par jour», selon la SNCF
Depuis fin mai, une nouvelle réglementation ferroviaire permet en effet à la SNCF de laisser circuler des trains modernes sans contrôleur, lorsque celui-ci est en retard ou ne peut être remplacé. «On nous parle de renforcer l’information voyageurs, mais comment cela va se passer si le conducteur doit tout gérer en cas d’incident ?», s’interroge Jean-Pierre Frencel, président de l’Adula, qui fédère les usagers de la ligne malade Lyon-Ambérieu.
En fin de journée, la SNCF a démenti vouloir supprimer les contrôleurs sur l'ensemble du réseau régional. «Nous souhaitons maintenir ce métier et le renforcer, souligne la direction. Faire circuler un train sans contrôleur reste très exceptionnel. Sur les 1.300 TER qui circulent en Rhône-Alpes chaque jour, seuls deux à trois cas se présentent certains jours.» Elle met en avant «la qualité de service» pour laisser le «moins possible les voyageurs à quai».
Syndicats et voyageurs en appellent donc au président de la région Rhône-Alpes, Jean-Jack Queyranne (PS), qui s'était engagé durant la campagne des régionales, sur le maitien des contrôleurs. Mais pour l'instant, la région semble rester muette.
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