Ah bon ça je savais pas ?
Bon en gros, le concert de la ruda se finissant sur le campus vers 23h30 (il y avait plus de 4000 personnes), une bonne partie des étudiants présents à commencer à se diriger vers les arrêts de tram bibliothéques U et Gabriel Fauré pour chopper le dernier B (sachant que ceux qui prenaient habituellement le C comme moi, prenaient ici le B pour se rapprocher du centre).
J'arrive à gabriel fauré, noir de monde en attente du tram, il arrive, ça cris, les portes s'ouvres, il était déjà pas mal remplis et un gros mouvement de foule me propulse à l'intérieur du tram jusqu'à saturation ultra compléte ; j'ai eu de la chance de me retrouver projeter à l'intérieur car pendant ce temps là un bon paquet restait dehors !
J'ai jamais été autant sérré dans un tram, même le matin à 8 heures. Pourtant là c'était le soir à 23h30 et pour en rajouter au bordel fallait prendre en compte le fait que tout les étudiants avait bien bu (moi y compris

) et que la bougeotte du concert nous animaient tous bien fort ! Je vous laisse imaginer l'ambiance !
On a donc bien mis 10 minutes pour partir de Gabriel Faurré, les portes s'ouvraient, se fermaient, ça tappait dans tout les sens !
Finalement 2 rames sont arrivés rapidement en direction de Gières elles apparements elles auraient assurer une autre rotation pour les étudiants restés sur le quais !
On a donc quand même réussis à partir avec un tram qui contenait bien plus que de les 280 personnes max, on était presque les uns sur les autres.
Ca chantait à tout va, ça pogottait, tout le monde riait, fesait des blagues, quand on avancait c'était des cris de joies, à chaque arrêt c'était la pagaille ! Même un étudiant s'est mis à se tapper un slam dans le tram : du jamais vu !
Un jolie truc de fou, on a bien du mettre plus de 35 minutes pour arriver à dubedout mais bon le voyage en valait franchement la peine : me suis jamais autant amusé dans le tram !
Le conducteur à quand même bien du paniquer de voir toutes cette foule, y a même une fille qui s'est prise un malaise !
Enfin voilà

!
A dubedout, en sortant du tram, des sextagénaires viennent me voir complétement ahuris : qu'est ce que vous fêter là ? dis don y en a du monde ? Ah la la c'est jeunes

!