pierre6110 Wrote:Sinon, un ancien car de chez Transavoie est venu s'échouer chez nous, en alsace.... Nous êtions en manque de véhicule, du coup, celui ci est en location le temps que le nouveau matériel arrive.
Donc un MB Integro immat 7403TG73.
pierre6110 Wrote:Sinon, un ancien car de chez Transavoie est venu s'échouer chez nous, en alsace.... Nous êtions en manque de véhicule, du coup, celui ci est en location le temps que le nouveau matériel arrive.
Donc un MB Integro immat 7403TG73.
Evian-Genève : payez le train, prenez le car, ce sera plus rapide et moins cher
Les cars effectuent la liaison entre Thonon et Genève en 45minutes ou une heure.
En raison des travaux sur la ligne, la SNCF a passé un accord avec les sociétés de cars.
Depuis le 1er avril dernier, plus aucun train ne circule entre Annemasse et Genève.
En raison des travaux pour installer le Ceva - le RER franco-genevois - la ligne est fermée pour une durée de cinq ans environ.
Impossible donc de prendre un train direct entre Evian, Thonon et Genève Eaux Vives. Les liaisons ferroviaires habituelles entre Evian et Annemasse sont cependant maintenues durant cette période, et des bus sont mis en place tous les quarts d'heure entre Annemasse et le centre-ville genevois.
Pour éviter aux pendulaires des ruptures de charge, la région Rhône-Alpes a monté un partenariat entre la SNCF et le conseil général qui gère les lignes régulières de cars (Lihsa).
Depuis la fermeture partielle de la ligne TER, les abonnés du train peuvent emprunter sans surcoût les cars qui circulent entre Evian et Genève, via Thonon, Sciez et Douvaine.
Sur cette ligne routière, l'offre a même été renforcée pour les années à venir avec au minimum trois allers-retours supplémentaires. Au total, sept allers et autant de retours (sur une quinzaine) sont ouverts gratuitement aux abonnés des TER, et cela sans aucune démarche supplémentaire.
Préférez l'abonnement de train
Les usagers habituels de ces bus ont intérêt, durant cette période de travaux, à prendre un abonnement de TER tout en continuant à prendre le car : « Il faut prendre un abonnement de train auprès de la SNCF, il est bien moins cher que celui des cars. Et comme vous pouvez prendre le car avec, vous aurez économisé pas mal », invite un frontalier qui n'hésite pas à partager sa combine. Celle-ci, en revanche, ne sera valable que le temps que dureront les travaux sur la ligne entre Annemasse et Genève, soit au moins jusqu'en 2017 ou 2018.
Le calcul est en effet assez simple. Les abonnements mensuels vendus par la SNCF pour la liaison Thonon-Genève sont au prix de 81 euros, pour un nombre illimité de trajets. Les cars (Frossard, SAT) proposent, eux, des cartes prépayées d'une certaine valeur qui sera débitée à chaque voyage.
Avec la carte la plus chère (160 euros), le trajet Thonon-Genève revient à 4,8 euros. Sur la base moyenne de 22 allers et retours mensuels, le coût de l'abonnement pour un mois est d'environ 211 euros. En préférant l'abonnement TER pour prendre le car, l'économie réalisée sera de 130 euros environ chaque mois. Soit plus de 1500 euros par an.
Cars Evian-Genève : des usagers restent sur le trottoir
Le Département pourrait rajouter des cars.
Les liaisons par car entre Evian et Genève sont saturées à certaines heures. Aucun véhicule supplémentaire n'est prévu, ce qui provoque la colère des usagers.
En raison des travaux d'aménagement du Ceva, la circulation des trains est arrêtée pour au moins cinq ans, entre Annemasse et Genève. Les pendulaires chablaisiens, abonnés des TER, ont donc la possibilité, durant cette période, d'emprunter, sans débourser plus, des cars Lihsa du conseil général.
Quelques horaires ont été ajoutés pour tenter de répondre à la fréquentation en hausse attendue sur les lignes routières. Mais l'ampleur du phénomène ne semble pas avoir été appréhendée comme il faut.
« Certains car sont pleins à partir de Margencel/Bonnatrait le matin, constate Sylvie, une abonnée des cars Lihsa, qui a abandonné le train il y a deux ans. Les usagers des cars voient passer des bus complets et l'attente est souvent entre 20 et 35 minutes.
» Pour les usagers douvainois, la situation serait encore pire. Lorsque ceux de Margencel ont réussi à prendre quelques places dans un véhicule, il n'en reste plus quand celui-ci arrive sur Douvaine. « Ils sont confrontés à voir passer deux cars complets avec une attente de 35 à 40 minutes, se plaint l'abonnée. Cela met leur emploi en péril. »
Pas de voies bus en France
Les usagers demandent le rétablissement d'un car déplacé depuis avril de 6h15 à 6h25 (à Thonon). Comme il a été retardé, il arrive encore plus tard à Genève : « Si l'on veut arriver plus tôt, il faut prendre celui de 6 heures ! Toutes ces minutes supplémentaires ce n'est que fatigue, d'autant que le soir nous sommes parfois à 1h45 de trajet entre Genève et Thonon. » Nombreux sont les usagers qui dénoncent l'absence de voie réservée aux cars le long de la RD 1005, « alors que les Suisses l'ont fait ».
Enfin, pour éviter les inégalités de tarifs, certains préconisent un « tarif unique durant ces cinq ans de travaux ».
Des solutions à la surfréquentation
Le conseil général est conscient de la surfréquentation, mais ne l'attribue « pas uniquement à la fermeture de la ligne ferroviaire ». « La ligne T71 est avant tout victime de son succès, répondant à de réels besoins au quotidien », soulève le Département qui rappelle que, depuis 2007, de nombreux allers et retours ont été ajoutés.
Les services du conseil général suivent de près l'évolution de la situation : « S'agissant de la fréquentation, sur les 28090 voyages au mois d'avril 2013, la part des usagers TER représente 4233 voyages. La ligne a connu une très forte progression puisqu'entre avril 2012 et avril 2013, le nombre de voyages est passé de 17176 à 23857, en retirant la part des usagers TER. » Les différents acteurs - Département, Groupement transport transfrontalier et canton de Genève - « étudient actuellement le détail de la fréquentation de chaque course afin de trouver des solutions optimales et durables au problème de surfréquentation de la ligne ».
Changements d'horaires ou ajouts de cars sont envisagés.
Des solutions pour améliorer la qualité des transports collectifs
Depuis le 29 mai dernier, une étude est en cours visant à améliorer la qualité des services de bus circulant le long de la RD1005.
Le point sur les pistes évoquées.
Alors que le trafic routier sur la RD 1005 ne cesse d'augmenter, les élus se grattent la tête pour donner un nouvel élan à l'usage des transports en commun. « Il y a urgence à améliorer le transport collectif. D'autant plus si l'on considère l'arrêt des trains entre Annemasse et Genève dans le cadre des travaux du CEVA », insiste Jean Neury, président de la communauté de communes du Bas-Chablais (CCBC) et maire de Veigy-Foncenex.
Conséquence, la CCBC a lancé le 29 mai dernier une étude (pour environ 160 000 euros) qui doit proposer des pistes concrètes d'amélioration. « Le but est d'étudier le trafic entre Thonon et Genève à partir du rond-point de Létroz et de trouver par quels moyens on peut faciliter la circulation des transports en commun et des bus en particulier », résume Pierre Fillon, maire d'Excenevex. Le rendu de l'étude est annoncé pour septembre prochain mais quelques idées d'amélioration sont d'ores et déjà évoquées.
Des points noirs
D'abord, parce que les secteurs problématiques sont identifiés depuis longtemps. « Il y a en fait trois points noirs : Sciez, Massongy et Douvaine. Là où il y a des feux en fait », note Pierre Fillon.
Sur ces secteurs, les pistes envisagées ont en commun de rechercher une solution pour prioriser la circulation des bus par rapport aux autres véhicules. Pas évident, a priori. « Il y a des solutions, assure Jean Neury. Prenons l'exemple de Douvaine : on peut imaginer la création d'une sorte d'onde verte. Un bus arrivant sur le feu déclencherait automatiquement le feu vert ce qui réduirait le temps de trajet des usagers des transports collectifs. Sur le secteur de Bonnatrait on peut, par exemple, envisager une voie dédiée aux bus. » Plus largement, les pistes pour « dégager la RD 1005 » d'une partie du trafic en voitures particulières seront étudiées : « En la matière, le CEVA, la réalisation de la 2x2 voies et l'amélioration des transports collectifs sont complémentaires. Mais on doit aussi réfléchir à la mise en place de relais », avance Jean Neury qui dispose sur le territoire de sa commune de deux parking-relais (P+R) frontaliers quotidiennement bondés. « On me dit qu'il faudrait agrandir ces P+R mais je ne suis pas persuadé que ce soit la bonne approche.
Si les gens doivent prendre leur voiture pour aller jusqu'au P+R de Veigy, on ne retira pas de voiture de la RD 1005. » Le président de la CCBC défend une approche plus globale : « Je pense que nous devons raisonner en terme de zones d'influences. Avec par exemple, un P+R à Sciez puis un autre à Douvaine. »
BHNS
A noter d'ailleurs que la CCBC planche aussi sur la situation sur la presqu'île. « Je pense en particulier à la situation à Tougues. Le parking utilisé par les frontaliers est bondé mais on ne compte que 26 véhicules appartenant à des habitants de Chens-sur-Léman. Avec un système de navettes bien ciblé, on réduirait les problèmes de stationnement et le trafic routier sur le secteur de la presqu'île. » L'étude qui vient d'être lancée envisagera également les possibilités d'améliorer les capacités de chargement des véhicules. « La question est comment faire gagner du temps aux voyageurs ? Est-ce qu'il vaut mieux utiliser des bus à haut niveau de service, de plus grandes capacités, ou alors disposer de bus classiques mais avec un cadencement rapproché ? », résume Pierre Fillon.
Des réductions en tous genres
Si l'étude proposée par la CCBC entend améliorer le trafic des bus sur la RD 1005, un autre frein au développement collectif est aujourd'hui examiné par l'agglomération du Grand Genève : « Une réflexion est en cours pour tenter d'avoir une billetterie unique. Aujourd'hui, il faut présenter plusieurs cartes de réductions différentes en fonction du réseau que vous utilisez », note Pierre Fillon.
Jean Neury confirme : « Nous sommes en train de faire le recensement de tous les tarifs sur le territoire du Grand Genève et je dois dire que c'est très compliqué. L'idéal serait que les habitants du territoire du Bas-Chablais qui vont travailler à Genève bénéficient d'un tarif unique . » Pour l'heure, force est de constater que pour réaliser un trajet Thonon-Genève par bus, il faut en passer par plusieurs opérateurs entre lesquels les offres de réduction sont rarement reportables. Ainsi, sur le trajet Thonon-Genève, vous prendrez soit un bus LIHSA, soit un bus des lignes régulières Frossard et une fois à Veigy, il vous faudra monter dans un bus TPG.
Les TPG ont leurs propres grilles tarifaires qui ne tiennent pas compte des cartes de réduction françaises.
De ce côté-ci de la frontière, la carte déclic offre 50 % de réduction sur le ticket unique pour les jeunes de moins de 26 ans. En revanche, la carte Alpy propose des rabais allant de 25 à 40% par trajet mais uniquement sur les trajets des lignes régulières Frossard et SAT. « Il existe tout de même le système Unireso », nuance Jean Neury. Unireso propose en effet des trajets transfrontalier mais le système dispose de sa propre carte de réduction "Ticket city Genève", soit un titre de transport qui permet de voyager d'Evian à Genève en utilisant les véhicules TPG.
Notons qui si vous possédez la carte Alpy ouvrant à 40% de réduction (celle-ci et pas une autre) vous avez droit à 50% de réduction sur le ticket journalier Unireso.
R312 224 Wrote:Bonjour,
A qui appartenait le Renault Iliade TE 9454 WM 74 ?
Merci d'avance!
Nouveau ! Le débarcardère de Tougues (Chens-sur-Léman) desservi par la ligne lihsa 152
Depuis le 3 septembre, une nouvelle navette permet de desservir le débarcadère de Tougues à Chens-sur-Léman, et d'assurer les correspondances avec les Navibus de la ligne N4 de la Compagnie Générale de Navigation (CGN) à destination de Nyon.
Le Conseil général et la Communauté de Communes du Bas Chablais ont souhaité renforcer l'offre commerciale de la ligne d'autocar 152 avec 3 cars supplémentaires, plus particulièrement entre Sciez et Douvaine, en passant par Excenevex, Yvoire, Nernier, Messery et Chens-sur-Léman.
Les horaires du matin correspondent au départ des bateaux de 06h10, 07h00 et 07h50, et ceux du soir, à l'arrivée des bateaux de 17h00, 18h05, 18h55 et 19h43. Par ailleurs, ils permettent aux passagers à destination de Genève de prendre une correspondance avec la ligne T71 à Douvaine. Ce nouveau service commercial, dont le coût est estimé à 170 000€ HT par an, est financé à parts égales entre le Conseil général et la Communauté de communes.
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