Revue de Presse

Le Forum des passionnés de rail et de caténaires...

Modérateurs: Terroir, jerome, kyah117, Urbino, Tchouks

Règles du forum
Avant de poster un message, merci de lire la charte d'utilisation des forums. Vous pouvez aussi consulter les mentions légales de Lineoz.net.

En cas de problème sur un sujet, merci d'alerter l'équipe de modération en cliquant sur le point d'exclamation du message souhaité.

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 27 Mai 2013 23:10

rts.ch, 27 mai
La Deutsche Bahn va tester des mini-drones pour lutter contre les tags

La compagnie ferroviaire allemande Deutsche Bahn a annoncé lundi qu'elle allait tester des drones miniatures pour lutter contre le vandalisme dont ses trains sont régulièrement la cible. Deutsche Bahn veut tester des hélicoptères miniaturisés pouvant être équipés de caméras pour renforcer la surveillance de ses entrepôts, où ses trains sont victimes des assauts de tagueurs. Ces drones, d'une envergure d'un mètre pour un poids de 1,2 kg, peuvent atteindre la vitesse de 54 km/h. L'année dernière, les tagueurs ont causé à la Deutsche Bahn un préjudice estimé à 7,6 millions d'euros, selon la compagnie.

Source http://www.rts.ch/info/monde/4936457-la ... -tags.html
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 28 Mai 2013 21:02

La Dépêche du Midi, 28 mai
Laval-de-Cère. Sidénergie ferme, 25 emplois supprimés

En juillet prochain, l'activité de Sidénergie fondée par Patrick Rueyres cessera définitivement. Installée depuis 1997 à Laval-de-Cère, l'entreprise qui recyclait les rebuts de traverses de chemin de fer employait 25 personnes. Un nouveau coup dur pour le site.

«C'est dramatique». Le patron de Sidénergie Patrick Rueyres ne cache pas sa peine d'être contraint de cesser l'activité de son entreprise qu'il avait créée en 1990 à Lyon avant de l'installer sept ans plus tard à Laval-de-Cère. «Il va y avoir un plan social. Ce n'est pas une liquidation judiciaire mais des licenciements pour raisons économiques pour les quatres dirigeants et les salariés» précise le fondateur de l'entreprise.

En tout 25 personnes sont en effet concernées par cette fermeture qui devrait avoir lieu en juillet. «La production va s'arrêter quand on aura consommé tout notre stock de bois» annonce Patrick Rueyres qui avait mis au point un procédé tout à fait novateur pour recycler les traverses de chemin de fer créosotées en charbon de bois. Mais aujourd'hui l'entreprise n'a plus de perspective d'avenir. «La SNCF, après nous avoir considérés comme son recycleur exclusif, choisit une filière de biomasse énergie autorisée dans les pays du Nord de l'Europe.Je ne peux pas m'aligner avec leurs prix. Et de toute façon d'ici deux ans, la SNCF aura une unité de traitement pour tous ses déchets bois» déplore Patrick Rueyres qui a tenté de trouver d'autres débouchés avec des réseaux chaleur bois. Contactée par nos soins, la SNCF répond qu'«en l'état actuel du dossier, il n'est pas possible de déterminer l'avenir des relations contractuelles entre ce sous-traitant et l'entreprise SNCF». En 20 ans, l'entreprise avait pourtant connu un développement prometteur. Ainsi après avoir obtenu une autorisation d'exploiter en 2003, Sidénergie décroche deux ans plus tard la certification ISO 14001 et s'agrandit. En 2008, elle est en mesure de traiter jusqu'à 18000 tonnes par an de déchets de traverses de bois. Une belle aventure pour Patrick Rueyres, originaire de Saint-Denis-Catus, qui avait tenu à revenir dans le Lot implanter sa société. Il avait même décidé de passer la main aux deux fils de son épouse. «C'est une triste fin pour cette entreprise familiale» commente le maire de Laval-de-Cère, Jean-Marc Cantarel qui espère que les salariés pourront rapidement retrouver un emploi, pourquoi pas dans une entreprise de la zone de Laval-de-Cère ou à quelques kilomètres, à Biars.

«tout faire pour que le village vive»
Pour le maire de Laval-de-Cère, Jean-Marc Cantarel, la fermeture de Sidénergie est un coup dur.

«C'est une mauvaise nouvelle d'autant que c'est moi qui ai réussi à faire venir cette entreprise en 1997» raconte-t-il. Il s'inquiète aujourd'hui de l'avenir du village même si la zone compte encore deux entreprises : Brown Europe avec 65 personnes et la société de charpente Duplouy avec une vingtaine de salariés.

«On avait déjà connu en 1985 la fermeture de Péchiney sur ce site qui comptait 125 emplois». Aujourd'hui, Laval-de-Cère compte 350 âmes et vient de perdre son médecin.

Le chiffre : 103
emplois > Laval-de-Cère. Sur l'ancien site de l'usine Péchiney fermée en 85, trois entreprises dont Sidénergie emploient une centaine de salariés.

Source http://www.ladepeche.fr/article/2013/05 ... rimes.html
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 29 Mai 2013 18:27

mobilicites.com, 29 mai
Bombardier France est en panne de commandes

Si le constructeur d'origine canadienne ne décroche pas les levées d'options pour ses commandes de trains Francilien et Régio2N, le plan de charge de son usine de Crespin (Nord) déclinera à partir de fin 2015. L'accès des régions à de nouvelles sources de financement pourrait débloquer la situation. Et le tout récent marché de rénovation des tramways de Grenoble apporte une bouffée d'air.

A Genève comme à Berlin, Jean Bergé tient le même discours alarmiste. Lors d'une rencontre avec la presse à l'occasion du salon de l'UITP fin mai, le président de Bombardier Transport France a insisté sur "la situation qui pourrait devenir inquiétante si nous ne parvenons pas à obtenir de levées d’options pour l’ensemble des matériels que nous produisons actuellement à Crespin (l'usine située près de Valenciennes où travaillent 2000 personnes, ndlr)".
A savoir le Francilien qui circule depuis 2010 sur certaines lignes du réseau Ile-de-France de la SNCF, le RER à deux niveaux MI09 progressivement introduit sur le RER A, le TER à deux niveaux Régio2N et le métro articulé MF 2000 en circulation sur le réseau RATP. "Les derniers MF 2000 seront fabriqués en décembre 2015", indique Jean Bergé.

Reste donc trois programmes pour regarnir le carnet de commandes de Bombardier France. A commencer par le Francilien : pour l’heure, la commande porte sur 172 rames en tranche ferme, plus 200 en option. "J’espère qu’il y aura des premières levées d’options en 2013 pour éviter d’interrompre la chaîne. Un schéma avec une levée d’options portant sur 100 rames dont 500 dès 2013 me conviendrait bien. Les livraisons pourront intervenir ensuite au rythme de 30 ou 40 rames par an", espère l'industriel.

Éclaircies financières pour les régions
Pour le nouveau TER à deux niveaux, le Régio2N, dont le carnet de commandes reste bloqué à 129 unités depuis février 2010, les perspectives sont un peu plus lointaines. Les régions potentiellement intéressées - Bourgogne, Ile-de-France, Pays-de-Loire et Picardie - pourraient se prononcer courant 2014 en faveur de ce matériel très capacitaire (jusqu'à 1300 voyageurs assis et débout), pouvant rouler à 160/200 km/h. D’autant qu’elles ont vu leur horizon s’éclaircir en matière de financements.

"Aujourd’hui, l’obstacle est partiellement levé. La Caisse des Dépôts a mis à disposition des régions des lignes de crédits de 20 milliards d’euros permettant, entre autres, de financer les transports. Elles peuvent être couplés avec des prêts de la BEI (Banque européenne d’investissements", observe Jean Bergé avec optimisme. Rhône-Alpes a par exemple reçu 200 millions de la BEI dans ce cadre-là.

Commande cruciale
Aux commandes des régions pourraient s’ajouter celle des Trains d’équilibre du territoire (TET) promise par l’État pour 400 à 450 millions d'euros, dont 50 millions en rénovation de matériel existant. Le dirigeant de Bombardier Transport France estime les besoins à une centaine de rames pour desservir les lignes du grand bassin parisien, en Haute et Basse-Normandie, Picardie et Centre.

Enfin, s’agissant des rames de RER à deux niveaux MI09, l’extension du carnet de commandes pourrait porter sur 40 à 50 rames, mais à une date indéterminée...

Les enjeux de ces levées d’options sont cruciaux pour le constructeur. "Le plan de charge du site de Crespin qui emploie 2 000 personnes dont 500 à 600 ingénieurs pourrait passer de 100% à zéro entre décembre 2015 et septembre 2016", prévient Jean Bergé.

Le RER NG se profile
Du côté des nouveaux programmes, Bombardier vient de recevoir un appel à candidatures pour le RER NG (Nouvelle Génération). Ce matériel à deux niveaux répond aux besoins de l’extension à l’Ouest de la ligne E du RER et au remplacement des Z2N sur la ligne D. En jeu, une commande de 71 exemplaires en tranche ferme. Suivi de 300 rames supplémentaires. Le contrat global devrait donc s’élever à plusieurs milliards d’euros, les livraisons intervenant à partir de 2018-2019.

Soucieux de placer sa NAT (Nouvelle Automotrice Transilien) en Tunisie face aux constructeurs Stadler et ROTEM (malgré un climat politique peu propoice), Bombardier s’est montré moins disert sur les conséquences des retards d’homologation de son Régio2N. De l'ordre de neuf mois avec une homologation attendue au mieux en mars-avril 2014.
Ulcérée par ces retards, la Région Aquitaine a décidé d’en suspendre les paiements, faute de recevoir les deux premières des 24 rames commandées au second semestre 2013. Ni Bombardier ni Alstom (également concerné avec son nouveau Régiolis) n'ont souhaité faire de commentaires, mettant en avant la confidentialité des contrats.

38 rames de tram à rénover à Grenoble
Lors du salon de l'UITP à Genève, Jean Bergé a préféré insister sur le tout récent contrat de rénovation des 38 rames de tramways TFS (tramway français standard) de Grenoble. Signé fin mai 2013, ce marché de 26 millions d’euros a été remporté en groupement avec la société clermontoise ACC, face à Alstom, CAF et Safra.

L'objectif, c'est de décrocher un contrat de rénovation lourde par an. Bombardier répond actuellement à un appel d’offres pour la modernisation de 24 tramways circulant sur la côte belge entre Ostende et La Panne. Réponse début 2014. Bombardier est ici aussi en concurrence contre Alstom et CAF.

Source www.sudouest.fr/2013/05/21/le-tram-entr ... 86-729.php
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 30 Mai 2013 18:51

AFP, 30 mai
La première salle de shoot verra le jour à Paris derrière la gare du Nord

Après plusieurs mois d'incertitude, la salle de shoot qui doit voir le jour à Paris, la première en France, a enfin un lieu d'implantation près de la gare du Nord, dans une zone relativement dépourvue d'habitations, mais qui ne fait pas l'unanimité des riverains.
La SNCF a mis à la disposition de la ville de Paris pour trois ans un terrain situé au 39 boulevard de la Chapelle, dans le nord-est de Paris, a annoncé jeudi le maire PS du Xe arrondissement, Rémi Féraud.

Le site, en contrebas du boulevard, non loin des voies ferrées et du métro aérien, est actuellement occupé par un parking d'une quinzaine de places et un petit bâtiment préfabriqué.
Un autre bâtiment préfabriqué d'environ 200m2 y sera construit à la place pour accueillir en même temps une vingtaine de toxicomanes et entre 100 à 150 par jour. La salle sera gérée par l'association Gaia-Paris et devrait ouvrir sept jours sur sept.
Le gouvernement avait donné en février son feu vert à l'expérimentation de cette "salle de consommation à moindre risque". Rémi Féraud espère l'ouvrir à l'automne.
Le maire voulait qu'elle se situe "dans le quartier gare du Nord-hôpital Lariboisière", où se concentrent de nombreux toxicomanes de rue précarisés, à qui elle est destinée. Elle doit leur permettre de consommer leurs drogues sous supervision de personnels de santé et de réduire les troubles à l'ordre public.
Ce lieu "était considéré par l'ensemble des partenaires comme le plus adapté", a assuré M. Féraud, car il est "suffisamment éloigné des lieux d'habitation, des écoles, des commerces, pour ne pas créer de nuisance sur la voie publique".
Situé à 800 mètres de l'entrée de la gare du Nord, le terrain est actuellement interdit à toute personne étrangère à la SNCF. L'accès sera séparé en deux entrées distinctes, l'une pour la salle de consommation, l'autre pour les employés des structures SNCF voisines.

"Le quartier va perdre beaucoup"
Pour Myriam El Khomri, adjointe au maire de Paris chargée de la sécurité, "l'objectif c'est d'éviter la stagnation de toxicomanes sur la voie publique. Ce sera le cas, puisque c'est en contrebas".
Pour "éviter la présence de toxicomanes dans des halls d'immeuble, des équipements publics comme les squares ou des parkings", la salle sera accompagnée "d'un dispositif de police spécifique et fidélisé au quartier pour qu'il n'y ait pas de trafic à proximité de la salle", a-t-elle ajouté.
"Cette salle sera implantée dans un quartier déjà frappé par de multiples trafics et délinquances", a dénoncé Serge Federbush, conseiller UMP du Xe, qui avait organisé une votation contre le projet.
Mais M. Féraud dit avoir la certitude qu'une "partie importante des habitants du quartier est favorable au projet". "Si c'était un échec, s'il y avait des problèmes supplémentaires, nous arrêterons l'expérience", affirme l'édile, qui organisera une réunion publique le 11 juin.
Marpessa Randolph, 37 ans, qui habite au 39 du boulevard, se dit "pour la salle de shoot" car "c'est un quartier où il y a beaucoup de personnes visiblement dépendantes et dans la détresse". Mais "il faudra des assurances en termes d'encadrement et de sécurité du lieu", affirme cette mère de famille.
"C'est mieux d'avoir une salle que de se shooter dans la rue", ajoute Ahsen, qui habite depuis 11 ans au numéro 37. "Mais cela va inquiéter les gens qui vont au théâtre des Bouffes du Nord, juste à côté, et les touristes qui passent par là pour aller à Montmartre", dit-il.
"Le quartier va perdre beaucoup", affirme aussi Hany Shéhata, directeur d'un hôtel trois étoiles situé dans une rue mitoyenne. "On s'attend à une perte énorme, peut-être à une fermeture, alors que le quartier commençait à se développer", dit-il.
Quand à Maryvonne, riveraine venue repérer les lieux, elle se dit satisfaite de voir que la salle de shoot sera "moins près" de chez elle qu'elle ne le pensait.
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 30 Mai 2013 19:04

Le Parisien, 22 mai
La SNCF dévoile un des QG du Transilien

Face aux problèmes en série, la SNCF a ouvert le centre névralgique du réseau Saint-Lazare à une association et des élus d’Asnières.

Hier matin, six rames de la ligne L du Transilien, basées à Marly, n’ont pu démarrer ; la faute à l’humidité. En milieu de matinée, deux arrêts en gare de Bécon et d’Asnières ont été supprimés… Ces problèmes ont touché le réseau Saint-Lazare le jour même où la SNCF invitait l’association Plus de trains pour La Défense et Sébastien Pietrasanta, le député-maire (PS) d’Asnières, dans le saint des saints, le centre opérationnel Transilien (COT) de la gare Saint-Lazare.

C’est la tour de contrôle des lignes L et J du Transilien et du RER A, le réseau L-A-J.

Depuis l’automne, Plus de trains pour La Défense bataille pour améliorer la régularité des lignes et augmenter le nombre d’arrêts sur Asnières et Courbevoie. « Aux heures de pointe, nous avons un train, au départ ou à l’arrivée, toutes les 28 secondes. Le moindre pépin a de lourdes conséquences. Ne pas supprimer un train, c’est parfois accroître les problèmes en amont et être amené à en supprimer davantage plus tard », résume Jacques-Guy Langé, le chef du COT.

Dans cette ruche règne une ambiance d’urgence feutrée. C’est de cette salle aux écrans d’ordinateurs remplis de schémas et de signes cabalistiques que l’on gère l’un des plus importants et plus ancien réseau ferroviaire d’Europe. Patiemment Jacques-Guy Langé et Béatrice André, la directrice adjointe du réseau L-A-J, répondent aux questions d’Arnaud Bertrand, le militant associatif, et de Sébastien Pietrasanta, l’élu. « Ajouter un arrêt à un train va entraîner des retards pour cinq ou six autres. Tout se joue à quelques secondes près », insiste Béatrice André, la directrice adjointe du réseau L-A-J. Et d’évoquer les raisons des dysfonctionnements à répétition sur ce réseau saturé.

Il y a les signaux d’alarme tirés par des plaisantins ou en tout cas à mauvais escient. « Chaque jour, nous en avons six ou sept. Un signal d’alarme a des conséquences pour 10000 personnes. Il faut aussi améliorer l’information aux voyageurs », poursuit Béatrice André. Autre raison des problèmes : le matériel. En dix ans, le trafic a augmenté de 30% sans matériel supplémentaire. A cela s’ajoute la pesanteur des règlements. « Il faut attendre un an et demi pour envisager un arrêt en plus à Asnières », soupire Sébastien Pietrasanta. En attendant des trains supplémentaires, la SNCF doit embaucher deux personnes en contrat d’avenir afin de venir en aide à des usagers de plus en plus excédés. « Ils nous ont ouvert leurs portes. Nous avons découvert toutes leurs contraintes. On marche sur la tête, commente Arnaud Bertrand. Ils souffrent aussi d’une lourdeur administrative terrible. »

Source http://www.leparisien.fr/hauts-de-seine ... 823745.php
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 30 Mai 2013 19:14

Le Parisien, 22 mai
Sur le RER A, c’est vous le DJ

La musique adoucit les mœurs. L’adage, bien connu, est aussi une vérité scientifique. La SNCF en a parfaitement conscience et prévoit, à partir de la fin juin, de diffuser de la musique classique dans 7 gares (Poissy, Achères-Ville, Sartrouville, Les Mureaux, Aubergenville-Elisabethville, Saint-Cloud et le Val-d’Argenteuil) desservies par les lignes J, L et sur le RER A.
Mais pas n’importe quelle musique. Celle que les usagers auront choisie. Pour ce faire, il suffit de voter avant le 7 juin sur les blogs des lignes concernées pour votre compositeur préféré, parmi une liste de sept musiciens, tels que Mozart, Vivaldi, Chopin, Beethoven ou Lully.

Pour voter, allez sur malignea.transilien.com, malignej.transilien.com ou malignej.transilien.com

Source http://www.leparisien.fr/espace-premium ... 823409.php
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 30 Mai 2013 23:02

Guillaume Pépy nomme Laurence Eymieu à la place de Josiane Beaud, nouvelle retraitée. Laurence Eymieu était directrice régionale SNCF Centre.

lyonrail.com, 30 mai
Josiane Beaud quitte la direction des TER Rhône-Alpes

Arrivée à la tête des TER de la région Rhône-Alpes en 2009, Josiane Beaud, 64 ans, va donc passer la main après 4 années passées à gérer la direction régionale de la SNCF. Elle a en effet annoncé qu'elle allait faire valoir ses droits à la retraite. Elle sera remplacée par Laurence Eymieu, qui occupe actuellement les mêmes fonctions dans la région Centre. Cette dernière connaît bien la région, puisqu'elle a été directrice de l'information et de la communication du Grand Lyon et de la Ville de Lyon sur la fin du mandat de Raymond Barre au début des années 2000.

Du mandat de Josiane Beaud, on retiendra surtout son caractère et ses convictions, qui s'étaient notamment exprimés lors du long conflit des cheminots de la Loire début 2011 ou lors de la grève sur l'Ouest Lyonnais à l'automne de la même année. Les cheminots rhônalpins vont donc devoir apprendre à connaître et à dialoguer avec un nouvel interlocuteur.

Source http://lyonrail.free.fr/lignes/josiane- ... hone-alpes
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 30 Mai 2013 23:23

Le Dauphiné Libéré, 30 mai
Opération “coup de poing” dans les trains et les gares hier

Dans les souterrains, sur les quais, dans les trains… Hier, en fin d’après-midi, les uniformes avaient pris possession de la gare de La Roche-sur-Foron. Ils étaient partout. Impossible de les manquer. C’est un contrôle spécifique SNCF qui a eu lieu sur la ligne La Roche/Saint-Gervais, considérée comme “à risques” par les employés et souvent le théâtre de plusieurs incivilités récurrentes. Une opération “coup de poing” menée conjointement par les services de gendarmerie, la préfecture et la SNCF.

Pour l’occasion, aux côtés des militaires, des agents de la Suge (Surveillance générale SNCF) étaient aussi de la partie, l’idée étant de marquer les esprits. Sur le quai, juste avant l’arrivée du train, devant quelques usagers médusés, le dispositif semblait déjà porter ses fruits.

Maintenir la pression
« La question de la sécurité dans les transports est une préoccupation constante à laquelle tous les services de l’État travaillent activement » souligne Anne Coste de Champeron, la directrice de cabinet du préfet, présente sur place avec les gendarmes. Et en particulier dans la vallée de l’Arve, où « c’est une problématique très concrète avec le projet d’une Zone de sécurité prioritaire (ZSP) ». Un projet cher au député de la circonscription bonnevilloise, Martial Saddier, et qui serait, selon nos informations, regardé de plus en plus favorablement par le ministère de l’Intérieur. « Nous travaillons sur plusieurs actions, avec de la prévention et des contrôles réalisés quotidiennement, mais aussi des opérations de ce type pour montrer les effectifs et les forces de l’ordre. Les gens doivent retrouver un sentiment de sécurité. Les trains sont un espace de partage, pas de délinquance » poursuit Anne Coste de Champeron. Contrôles d’identité, des titres de transports mais aussi recherche de stupéfiants grâce à deux équipes cynophiles dépêchées… Les moyens étaient là, sous la houlette du commandant de la compagnie de Bonneville, le chef d’escadron Allamand. Le peloton d’intervention a d’ailleurs pris le train de La Roche, jusqu’à Sallanches. Plusieurs unités ont aussi été engagées au même moment en gare de La Roche, mais aussi de Bonneville, Cluses et Sallanches.

Source http://www.ledauphine.com/faits-divers/ ... gares-hier
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 02 Juin 2013 12:48

busetcar.com, 30 mai
La "loi transport" veille à la transparence des comptes ferroviaires

La loi portant diverses dispositions en matière d’infrastructures et de services est parue au Journal Officiel du 29 mai dernier. Si les mesures liées à l’écotaxe poids-lourds ont focalisé l’attention, celles liées à la transparence des comptes des lignes ferroviaires régionales sont passées quasi inaperçues.

Publiée au Journal Officiel le 29 mai dernier, la loi n° 2013-431 portant diverses dispositions en matière d’infrastructures et de services a permis la mise en place de l’écotaxe poids-lourds mais pas seulement… Il y avait aussi un volet fluvial, maritime… et ferroviaire. En effet, à travers neuf articles, l’objectif est notamment de garantir la transparence des comptes des lignes ferroviaires régionales.

Séparation des comptes
Parmi les dispositions prévues par ce texte : une séparation comptable entre la gestion de l'infrastructure ferroviaire de l'exploitation des services de transport. "Aucune aide publique versée à une de ces activités ne peut être affectée à l'autre", rappelle la loi. Ainsi, lorsqu'une société exerce des activités d'exploitation de services de transport et de gestion de l'infrastructure, elle est tenue, lors du dépôt des comptes annuels, de déposer également les comptes de profits et pertes séparés ainsi que des bilans séparés, en distinguant dans chacun de ces documents les éléments relatifs, d'une part, aux activités d'exploitation de services de transport et, d'autre part, à la gestion de l'infrastructure.

Le "cas" francilien
Susceptible d’assurer la maîtrise d’ouvrage ou de désigner le (ou les) maître (s) d’ouvrage de projet d’infrastructures nouvelles, le Syndicat des transports d’Ile-de-France (Stif) vérifie en amont la faisabilité des opérations, en détermine la localisation, le programme, l'enveloppe financière prévisionnelle et en assure le financement. Dans ce cadre, les contrats établis doivent notamment stipuler son objet, sa durée, les conditions dans lesquelles il peut éventuellement être prorogé ou révisé, les conditions de résiliation, de déchéance, les obligations de chacune des parties, le montant de leurs participations financières, les pénalités ou les sanctions applicables en cas de défaillance, etc.

Source http://www.busetcar.com/actualites/actu ... rroviaires
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 02 Juin 2013 12:57

busetcar.com, 30 mai
Avec deux lignes à grande vitesse, l’Alsace peut mieux faire

"Le TGV n’est qu’un outil", insiste le Conseil économique, social et environnemental régional (Ceser) d’Alsace dans un avis, présenté le 28 mai, sur la nécessité de renforcer l’impact des TGV au service des territoires alsaciens.

En d’autres termes, il ne faut point en attendre qu’il améliore, par sa simple présence, l’attractivité économique et touristique régionale, même si l’Alsace est desservie par deux lignes à grande vitesse, est-européenne et Rhin-Rhône. Un rappel de bon sens face au "boum" réel sur le tourisme, mais peu concluant sur l’immobilier d’affaires. Aux acteurs de se mobiliser.

Dans son avis, le Ceser d’Alsace a déterminé des actions à mettre en œuvre pour amplifier l’effet levier des TGV. En dépit des difficultés à mesurer précisément un "effet TGV", son impact est tout de même indéniable. "Les résultats de trafic sont encourageants pour les deux lignes avec un net report des trafics routier et aérien et des nouveaux voyageurs. En outre, les taux de remplissage des rames sont supérieurs à la moyenne", souligne l’avis du Ceser Alsace. L’arrivée des TGV a provoqué une modernisation d’envergure de l’ensemble du réseau ferroviaire régional et a amélioré la mobilité à longue distance, même si elle est encore perfectible.

Le Ceser souligne la nécessité de défendre bec et ongle le caractère prioritaire de la seconde phase de la branche Est de la LGV Rhin-Rhône, et il regrette l’opacité entretenue par la SNCF sur ses tarifs. "Avec 75% de taux de remplissage moyen, faudrait-il moins de voyageurs pour faire baisser les prix ?", s’est interrogé Patrice Diochet, président de la commission Transports, Réseaux et Mobilité.

Concernant l’impact touristique, le Ceser juge que les professionnels alsaciens ont fait preuve d’"amateurisme" et qu’ils "peuvent mieux faire". Quant à un éventuel effet sur l’immobilier d’entreprise, peut-être faudra-t-il attendre l’achèvement de la seconde tranche de la LGV Est qui mettra Paris à 1h50 de Strasbourg en 2016 pour en mesurer d’éventuelles retombées.

Source http://www.busetcar.com/actualites/actu ... ieux+faire
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 02 Juin 2013 13:05

busetcar.com, 29 mai
Contrat africain pour Thales

Thales s’est vu octroyer un contrat portant sur la fourniture d’une solution de signalisation ferroviaire couvrant 250 km du réseau ferré de transport de voyageurs dans la province ouest d’Afrique du Sud. Le contrat a été signé entre le consortium Thales-Maziya et la PRASA (Passenger Rail Agency of South Africa).

Ce nouveau programme d’infrastructures ferroviaires est l’un des plus importants du continent africain, il porte sur 136 millions d’euros. Destiné à moderniser la signalisation, les communications et les systèmes de gestion des trains, il concerne 46 gares réparties sur la zone fortement peuplée de la province ouest d’Afrique du Sud. Ce système de signalisation de pointe permettra un fonctionnement fiable des trains et se traduira, pour les voyageurs, par une amélioration de la qualité de service et un plus grand confort.

"Participer à l’un des plus grands programmes sud-africains de transports terrestres est extrêmement stimulant, explique Justice Tootla, directeur général adjoint de Thales en Afrique du Sud. Notre ambition est de fournir des solutions ayant un impact positif sur le développement du pays. Le déploiement d’un système intégré de signalisation ferroviaire dans la province ouest est un gage d’efficacité et de fiabilité des investissements et une façon de contribuer au développement rapide du continent".

Les différents volets du programme
Le contrat remporté par Thales comprend un certain nombre de volets :
- la construction d’un centre de contrôle qui permettra le suivi et la gestion efficace de tous les mouvements de train dans l’ensemble de la région ;
- la conception, la fourniture, l’installation, l’essai et la mise en service de nouveaux systèmes d’enclenchement électronique et des équipements de voie associés, afin de garantir les plus hauts niveaux de sécurité en termes de contrôle des trains ;
- la conception, la fourniture, l’installation, l’essai et la mise en service de nouveaux systèmes de télécommunications et de sécurité ;
- la modernisation et la construction de nouveaux locaux techniques ;
- l’amélioration des voies dans certaines zones importantes et critiques pour améliorer le confort des voyageurs et la performance.

Source http://www.busetcar.com/actualites/actu ... our+Thales
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 02 Juin 2013 13:15

busetcar.com, 2 juin
Légère progression du transport ferroviaire en 2012

Dans son rapport d’activité publié le 27 mai dernier, l’autorité de régulation des activités ferroviaires (ARAF) révèle une légère progression du transport ferroviaire en 2012.

Présenté à Frédéric Cuvillier, ministre des Transports, le 21 mai dernier et publié le 27 mai, le rapport d’activité de l’Autorité de régulation des activités ferroviaires (ARAF) tire un premier bilan de l’exercice 2012.

Les transports de proximité plébiscités
Dans un contexte de ralentissement de la croissance du transport intérieur de voyageurs (route, train, avion), le transport ferroviaire de voyageurs (trains, métro, RER) a connu une très légère progression l'an dernier avec 0,1%. "Avec plus de 10% de part modale, le rail bénéficie d’une forte dynamique depuis une quinzaine d’années. Cette croissance s’inscrit à la fois dans le développement important des transports longue distance à grande vitesse et de la croissance des trafics des transports collectifs", analyse le rapport. Ayant pris une place grandissante dans les déplacements quotidiens domicile-travail et domicile-études, les transports de proximité (TER et Transilien) ont progressé de 0,3% en 2012 après 0,8% en moyenne pour 2010 et 2011. Notons qu’en 2012, la croissance des TER a atteint 5,5% et celle des Transilien a pris 1,9%.

Source http://www.busetcar.com/actualites/actu ... re+en+2012
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 04 Juin 2013 17:41

ledauphine.com, 4 juin
Laurence Eymieu nouvelle directrice régionale SNCF Rhône-Alpes

Laurence Eymieu vient d’être nommée directrice régionale SNCF Rhône-Alpes en remplacement de Josiane Beaud. Diplômée de L’IEP Paris et titulaire d’une maîtrise du droit des affaires, Laurence Eymieu était jusqu’à présent directrice de la région Centre. Originaire de Marseille elle a été notamment chef de cabinet du ministre de l’Aménagement du territoire et de la ville et de l’intégration de 1995 à 1997.

Source http://www.ledauphine.com/savoie/2013/0 ... hone-alpes
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 07 Juin 2013 23:01

rtl.fr, 7 juin
SNCF : le nombre de réclamations a bondi de 25% en un an

Quand la SNCF vend des billets pour des trains fantôme, ça finit souvent sur le bureau du Médiateur

INFO RTL - La SNCF a vu passer en un an quelque 5.400 réclamations de voyageurs. Une hausse de 25% qui s'explique en partie par le fait que l'on peut désormais saisir le Médiateur directement sur internet.

Le Médiateur de la SNCF présente, ce vendredi 7 juin 2013, son rapport annuel aux associations d'usagers et à la direction de l'entreprise ferroviaire. RTL vous révèle que le nombre de réclamations contre la société s'est élevé à 5.403 sur un an, soit une une augmentation de près d'un quart. Ce bond, Bernard Cieutat l'explique notamment par le fait que, depuis fin 2011, les mécontents peuvent le saisir directement via internet (voir le site du Médiateur).

Prudence si vous achetez un billet revendu par un particulier
Quand la SNCF vend des billets pour des trains fantôme, ça finit souvent sur le bureau du Médiateur qui, dans son rapport, formule une recommandation de bon sens. "Il ne faut pas vendre des billets pour des trains qui sont supprimés, par exemple dans le cadre de travaux prévisibles. L'entreprise doit penser à prévenir les voyageurs".

Il vous faut également être prudent si vous achetez, via le web, un billet revendu par un particulier. Bernard Cieutat constate une augmentation des litiges autour de ces transactions qui se font sur la toile à l'insu de la SNCF. "Les personnes achètent de bonne foi des billets qui, soit-disant, n'ont pu être utilisés. Elles s'aperçoivent ensuite qu'ils ont été vendus plusieurs fois ou qu'ils n'existent pas. Ils se font escroquer".

N'oubliez pas d'imprimer votre billet
En tout cas, une preuve d'achat sur internet - même provenant du site de la SNCF - ne suffit pas pour monter à bord d'un train. Le billet imprimé est source de conflits. "Il arrive que les voyageurs prennent simplement la commande du billet et le présente au contrôleur. Ça ne suffit pas, il faut présenter le billet lui-même, et donc l'avoir imprimé", explique Bernard Cieutat.

Le rapport révèle que dans 53% des cas, le Médiateur a donné, totalement ou partiellement, raison aux usagers de la SNCF.

Petit rappel : vous ne pouvez saisir le Médiateur qu'après avoir été débouté par le service clientèle de la SNCF. Les préjudices subis à cause d'une grève ne sont pas recevables.

Source http://www.rtl.fr/actualites/info/artic ... 7762074644
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 08 Juin 2013 15:51

franceinfo.fr, 8 juin
Transports en commun : les angoisses des usagers

Près d'un Francilien sur deux déclare avoir parfois peur d'être agressé ou volé dans les transports en commun, alors que seuls 3,5% d'entre eux sont effectivement victimes de ce genre de délit.

Insécurité réelle et insécurité ressentie. Comment évaluer réellement cette question? Une personne sur deux a peur en avion, alors qu'elle reste sereine sur la route qui l'amène à l'aéroport. Pourtant, tout le monde sait qu'il est beaucoup plus dangereux de rouler que de voler. Le sentiment d'insécurité des usagers des transports en commun relève du même type de paradoxe.

Comme le souligne Sylvie Scherer, directrice de la Mission Étude Sécurité (MES) à l'Institut d'Aménagement et d'Urbanisme (IAU) d'Île de France, "on constate un très grand écart entre les faits subis par les Franciliens dans les transports en commun, qui oscillent entre 3 et 5%, et un très fort sentiment d'insécurité qui lui est plutôt proche des 50%".

Les femmes montrent deux fois plus d'inquiétude que les hommes et le RER est considéré comme cinq fois plus anxiogène que le tramway.

On ne peut ignorer l'existence d'un sentiment d'insécurité ni la nécessité de mettre en place des solutions. La vidéo surveillance (ou video protection) en est une. Elle a récemment permis de retrouver des agresseurs en région parisienne. Mais comme le souligne Sylvie Scherer, les caméras ne suffisent pas à prévenir les incivilités.

"La vidéo surveillance peut être un outil participant à l'élucidation d'un crime. Mais on constate à travers les études anglo-saxonnes que le taux moyen d'élucidation grâce à la vidéo tourne autour de 5%".

On parle aujourd'hui de caméras intelligentes, à reconnaissance faciale et traçabilité, capables de repérer des "comportements inhabituels ou anormaux" ... le débat entre protection et liberté individuelle promet d'être animé.

D'autres solutions existent comme la modernisation des gares et des rames, pour créer une atmosphère éclairée et apaisée. Ou encore des animations ou des conseils de comportement. Mais le renforcement de la présence humaine sur le terrain reste un facteur essentiel.

Jean Lafont, président de la commission Police de la ville et sécurité de la région Île de France, estime le coût global des effectifs à 50 millions d'euros. Un investissement nécessaire si l'on veut diminuer le sentiment d'insécurité.

Paradoxalement, ce ressenti négatif est en augmentation, alors que le nombre de délits diminue dans les transports en commun depuis quelques années.

Le temps passé dans les transports en commun est en augmentation. Les usagers ont besoin que ce temps soit utile et apaisé. Si le sentiment d'insécurité est souvent une fabrication de l'esprit, les incivilités dans les transports elles, sont bien réelles et sont le reflet de la société.

A écouter sur http://www.franceinfo.fr/transports/cir ... 2013-06-08
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 09 Juin 2013 12:44

mobilicites.com, 9 juin
Transilien : les cheminots demandent des renforts face à l'insécurité

Suite à la violente agression du contrôleur du Paris-Caen le 3 juin 2013 qui avait entraîné une grève des conducteurs et la panique à la gare de Paris-Saint-Lazare le lendemain, les cheminots du réseau Transilien (SNCF Ile-de-France) réclament d'être plus nombreux dans les trains.

Alors que les atteintes aux voyageurs sont restées stables en 2012 par rapport à 2011, celles envers les agents ont grimpé de 25% sur la même période, a indiqué à l'AFP SNCF Transilien, sans donner de chiffres exacts.
Transilien regroupe 14 lignes SNCF en Ile-de-France dont 5 lignes RER (dont deux sont coexploités avec la RATP), 16 lignes de bus et une ligne de tramway.

Entre janvier et fin mars 2013, 6164 actes donnant lieu à un procès-verbal (outrages, insultes, menaces...) ont été recensés. "Aujourd'hui, on assiste à une stabilité des chiffres par rapport à 2012 mais une catégorie d'agents reste particulièrement visée : les agents de la Suge (Sûreté générale). Certains usagers veulent se "payer du bleu" (couleur de l'uniforme des agents de la Suge, NDLR) et agressent ceux qui représentent la force et la sécurité", commente une source proche du dossier, ajoutant que "les chiffres des agressions de contrôleurs ne sont pas bons" non plus.

Du côté de la RATP, il y a eu 1024 agressions contre le personnel en 2012, une de plus qu'en 2011 mais bien plus qu'en 2010, où 867 actes avaient été comptés, selon une source syndicale citée par l'AFP.
"Ce qu'on constate c'est que plus l'agent est isolé, plus il a de chances de se faire agresser", explique Daniel Le Cunff, délégué syndical CGT à la RATP.

En Ile-de-France, la SNCF consacre un budget de 100 millions d'euros chaque année à la sûreté. Sur les réseaux se déplacent 1200 agents de la Suge, un millier de contrôleurs et 126 médiateurs.
A la RATP, un millier d'agents de sécurité veillent au grain. Les deux entreprises ont également développé la vidéosurveillance, "ce qui facilite la recherche des agresseurs et peut apporter la preuve des agressions", explique un porte-parole de la RATP.

Source http://www.mobilicites.com/fr_reseaux_t ... _2609.html
Didier 74
 

Re: <font color=#339900/> Revue de Presse

Messagepar capelanbrest » 11 Juin 2013 5:37

Le Télégramme de Brest. 11/06/2013
Paimpol
Ligne TER. 30 millions d'euros de travaux entre Paimpol et Guingamp

10 juin 2013 à 09h49


La ligne de chemin de fer qui relie Paimpol à Guingamp est vétuste et a besoin d’être entièrement réhabilitée. Un projet qui se monte à 30 millions d'euros. Des études vont être lancées d’ici à la fin de l’année. En attendant, la vitesse des trains va être réduite et de nouveaux horaires seront affichés après l’été. Par contre, la ligne gardera le même nombre d’allers et de retours.



Source : http://www.letelegramme.fr/local/cotes- ... 132026.php
Avatar de l’utilisateur
capelanbrest
Rang : Passéoz Mensuel
Rang : Passéoz Mensuel
 
Messages: 2298
Inscription: 03 Juil 2011 13:29
Localisation: Brest

Re: <font color=#339900/> Revue de Presse

Messagepar Thor Navigator » 18 Juin 2013 22:53

Salut,
concernant l'article de la Tribune, certaines affirmations me laissent perplexe. La pension annuelle moyenne des cadres qui plafonnerait à 22500 euros ... soit 1500 euros/mois... contre 40000 à la SNCF (c'est un niveau de retraite qui concerne plutôt le cadre sup moyen, pas le cadre lambda). J'ai comme l'impression que l'auteur à pris d'un côté le niveau des pensions de la retraite de base, qu'il/elle a comparé avec le global (unique) de la retraite SNCF, en considérant le plafond potentiel (nb d'années maxi sans décote) du niveau cadre. Pas très honnête comme comparaison (même s'il y a matière à débat sur d'autres points)...
Avatar de l’utilisateur
Thor Navigator
Rang : Passéoz Annuel
Rang : Passéoz Annuel
 
Messages: 3798
Inscription: 09 Oct 2004 22:52
Localisation: Hauts de Seine

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 19 Juin 2013 19:12

leparisien.fr, 6 juin
Nissan installe une borne de recharge rapide à la gare de Paris-Bercy

Effectuer le trajet Paris-Marseille ou Paris-Bordeaux d'une seule traite en voiture électrique c'est enfin possible. L'autonomie des batteries aurait-elle subitement fait un bond si impressionnant qu'elles permettent de faire 1000 km ? Pas vraiment. Pour rallier ces deux destinations et dix autres, il suffit d'utiliser le service Auto/Train de la SNCF. Nissan a en effet noué un partenariat en faveur de la mobilité électrique avec l'opérateur ferroviaire français en janvier dernier qui s'est traduit concrètement mercredi 29 mai par l'inauguration d'une borne de recharge rapide à la gare de Paris-Bercy.

Ce partenariat s'articule autour de deux axes. Tout d'abord, le japonais a installé une borne de recharge rapide DBT délivrant du courant alternatif (AC) et continu (DC). En 30 minutes, elle permet de recharger 80% de la batterie d’une Nissan Leaf qui vient de fêter son 10000è exemplaire vendu en Europe (1000 en France) ainsi que les modèles de constructeurs concurrents. Cette installation s'inscrit dans la volonté de Nissan de développer un réseau de 400 bornes rapides sur le Vieux Continent, condition sine qua non pour que le véhicule électrique prenne son essor.

D'autre part, tout possesseur de la nippone 100% électrique bénéficie de conditions tarifaires avantageuses. Le premier trajet en Auto/Train est gratuit tandis que les suivants sont soumis à une réduction de 30%. A l'arrivée d'une des douze destinations possibles au départ de Paris (Avignon, Biarritz, Bordeaux, Briançon, Brive, Fréjus, Lyon, Marseille, Narbonne, Nice, Toulon, Toulouse), le véhicule disposera de son autonomie maximale. De quoi faire encore environ 200 km avec la dernière génération de la Leaf et rallier sa destination finale. Car si on pointe du doigt la difficulté de partir en vacances au volant d'un véhicule zéro émission, cette initiative permet de se rendre sur son lieu de villégiature, de rayonner autour et de profiter à plein du silence de fonctionnement. En voiture cette fois-ci.

Source http://en-voiture.blog.leparisien.fr/ar ... -de-p.html
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 22 Juin 2013 9:25

mobilicites.com, 20 juin
"Les tensions de la société française passent aussi par les transports"

S'exprimant devant des décideurs économiques et des élus le 19 juin lors d'une conférence organisée par Les Échos sur "la mobilité de demain", le député PS de Seine-et-Marne a fait un parallèle entre les émeutes au Brésil déclenchées après la hausse du prix du ticket de bus à São Paulo et la forte dégradation des transports quotidiens en Ile-de-France.

A São Paulo, 11 millions d'habitants, une hausse de 7% du prix du billet de bus ((20 centimes de real, soit environ 8 centimes d’euros) a suffi à faire descendre dans les rues tout d'abord des milliers de jeunes le 14 juin 2013, réclamant l'annulation de cette augmentation, puis 200 000 manifestants le 19 juin, dans une douzaine de villes brésiliennes.

Quelques centimes de trop qui cristallisent un malaise social plus profond autour du coût de la vie, de la corruption et des dépenses somptuaires pour la Coupe du Monde de football, en 2014. Beaucoup de Brésiliens estiment que les dépenses publiques devraient plutôt être fléchées vers la santé, l’éducation et les transports publics "trop chers, trop sales, trop mal fréquentés, trop mal faits", a résumé le député PS de Seine-et-Marne Olivier Faure, en clôture d'une conférence organisée le 19 juin par Les Échos en partenariat avec l'Association des sociétés françaises d'autoroutes (Asfa) dans le tout aussi somptuaire Pavillon d'Armenonville, au cœur du bois de Boulogne. Juste avant les petits fours de Potel & Chabot...

C'est arrivé près de chez vous
"Cela pourrait arriver chez nous aussi parce que la situation dans les transports en Ile-de-France sont de plus en plus difficiles. On a assisté à des mini-jacqueries, les passagers sont excédés par les conditions dans lesquelles on les transporte. Ils y passent parfois trois heures par jour pour aller travailler", a lancé le parlementaire chargé des transports collectifs et ferroviaires à la commission des finances de l'Assemblée nationale.

"Comme au Brésil, les tensions de la société française passent aussi par les transports", a comparé ce proche de Frédéric Cuvillier, président du Haut comité de la qualité de service dans les transports, mis en place par le gouvernement pour apaiser le vent de mécontentement des usagers des transports.
Dans un discours quasi messianique devant les décideurs économiques et les rares élus d'Ile-de-France encore dans la salle, il a clairement fait l'équation entre le vote extrémiste dans les zones périurbaines et la qualité dégradée des services publics : "Plus on s'éloigne de la métropole, et plus on vote Front National, constate l'IPSOS. Eh bien, plus on s'éloigne de la station RER et plus on vote FN !", a-t-il lancé devant un public un peu médusé.
Dommage, ni Pierre Serne, vice-président de la région capitale et du Syndicat des transports franciliens, ni Denis Baupin, député EELV et ex-adjoint de Bertrand Delanöe chargé des déplacements qui venaient de débattre autour des "nouvelles pistes de financement de la mobilité", n'étaient encore dans la salle pour réagir.

Évoquant la nouvelle gouvernance du rail français dans le projet de réforme porté par le ministre des Transports Frédéric Cuvillier, Olivier Faure a insisté pour que les usagers aient "toute leur place au conseil d'administration du futur Epic de tête qui chapeauterait la SNCF et le gestionnaire d’infrastructure. Ça ne doit pas être la maison de l'entre-soi, je souhaite qu'il y ait un équilibre entre les usagers des transports, les opérateurs et les régions", a conclu ce défenseur des transports du quotidien.

A part ça, les petits fours étaient très bons.

Source http://www.mobilicites.com/fr_actualite ... _2641.html
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 22 Juin 2013 13:04

La Nouvelle République, 30 mai
SNCF Yvon Borri nouveau directeur régional

Yvon Borri est le nouveau directeur régional de la SNF. Il succède à Laurence Eymieu, qui rejoint la région SNCF Rhône-Alpes.
Originaire de Moselle, Yvon Borri était directeur délégué TER Centre depuis 2005, et également directeur de l'établissement régional voyageurs Centre depuis 2010.
Il a débuté sa carrière à la SNCF en 1987 comme ingénieur informaticien, essentiellement dans les systèmes d'information voyageurs.

Source http://www.lanouvellerepublique.fr/Loir ... al-1484858
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 22 Juin 2013 16:03

La Dépêche du Midi, 7 juin
Albi-ville ou Albi-Madeleine ?

Les gares se ressemblent et Albi en a deux : Albi-Ville et Albi- Madeleine. Pas mal pour une petite ville. C’est l’histoire ferroviaire et économique qui l’explique.

Dans le Tarn, comme ailleurs en Europe, le train est né de la mine. La première ligne française : Saint-Etienne-Lyon, c’est pour transporter le charbon stéphanois. Ici, c’est Carmaux-Albi pour les mêmes raisons. On construit la ligne en 1854. Elle est ouverte en 1856. La plus ancienne gare est celle d’Albi- Madeleine et la ligne était exploitée par la compagnie du Midi. Une autre société privée, la Compagnie d’Orléans, construit la ligne vers Tessonnières, embranchement vers Toulouse et Paris. La gare Albi-Orléans est ouverte dès 1864. C’est notre gare Albi-Ville et l’hôtel d’Orléans face à la gare rappelle cette appellation.Pour relier les deux réseaux, on construit la même année le viaduc de chemin de fer.En 1869, la liaison Albi-Castres est activée par la Compagnie du Midi. C’est aujourd’hui une voie piétonne et cycliste.Sur la photo : la gare d’Albi-Ville est dénommée gare du Midi. Les deux compagnies d’Orléans et du Midi ayant connecté leurs lignes avant la nationalisation des chemins de fer de 1937 créant la SNCF. Les deux gares ont subsisté. Albi-Madeleine a gardé longtemps la suprématie du trafic de marchandises grâce au charbon et pour les voyageurs, Albi-Ville a la première place jusqu’à aujourd’hui (l’important flux Albi-Toulouse). Un bâtiment central et des bâtiments annexes, une disposition du début du XXe siècle inchangée. L’intermodalité des transports d’alors, ce sont les charretons à bras et les voitures à chevaux, les taxis de l’époque. C’est sous Napoléon III que le Tarn est entré dans la modernité : industries et chemins de fer. Le maillage ferroviaire s’achève avec les petits trains aujourd’hui disparus.

Source http://www.ladepeche.fr/article/2013/06 ... leine.html
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 22 Juin 2013 21:55

ville-rail-transports.com, 19 juin
Danube : un nouveau pont ferroviaire entre la Bulgarie et la Roumanie

Un nouveau pont qui enjambe le Danube et relie la Roumanie et la Bulgarie a été ouvert le 14 juin en présence des Premiers ministres de ces deux pays, ainsi que du Commissaire européen pour les politiques régionales. Des ferries assuraient jusqu’alors la traversée du Danube entre Vidin, en Bulgarie, et Calafat, en Roumanie, sans parvenir à répondre à l’importante demande de transport entre les deux rives. En juin 2000, la décision a donc été prise conjointement entre les deux pays pour construire à cet endroit un nouveau pont, le deuxième sur la portion du Danube que se partage la Bulgarie de la Roumanie. Long de 1,9 km, il comptera en plus d’une voie unique ferroviaire, quatre voies pour les voitures, une piste cyclable et deux trottoirs pour les piétons. L’axe doit devenir un maillage important du futur réseau de transports transeuropéen (RTE-T). Le corridor IV reliera Dresde, en Allemagne, à Istanbul, en Turquie, et Thessalonique, en Grèce. Le coût total de l’ouvrage s’élève à 275 millions d’euros, 225 millions apportés par la Bulgarie et 50 millions par la Roumanie, les deux pays ayant reçu un soutien financier des institutions communautaires.

Source http://www.ville-rail-transports.com/co ... a-roumanie
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 22 Juin 2013 22:41

Le Bien Public, 29 mai
Accessibilité Gare de Dijon : une mise aux normes compliquée

L’objectif d’une accessibilité universelle en 2015 fixée par la loi de 2005 sur le handicap semble difficile à atteindre. Exemple en gare de Dijon.

Au 1er janvier 2015, l’ensemble des bâtiments recevant du public devront être entièrement accessibles aux personnes handicapées. C’est en tout cas l’idéal imposé par la loi handicap, votée en février 2005, dont le texte précise que toute personne handicapée a le droit « à la solidarité de l’ensemble de la collectivité nationale ».

Mais, à moins de deux ans de l’échéance, ce contre-la-montre semble difficile à tenir. À Dijon, certains sites publics, comme la gare, ne seront clairement pas prêts à 100%. « La mise en accessibilité de la gare a commencé depuis plusieurs années », entame en chœur Réseau ferré de France (RFF) et Gares et Connexions. « Mais nous entrons aujourd’hui dans une autre phase d’études, plus délicate, concernant notamment l’accès aux quais », poursuit le gestionnaire des infrastructures ferroviaires.

À ce jour, en effet, seuls deux quais voyageurs sur cinq – hors accès du quai qui se trouve rue Mariotte – sont équipés d’ascenseurs permettant un accès facilité aux voies. « Sans cet équipement, les personnes en fauteuils roulant doivent donc emprunter les passages planchéiés situés en bout de voies pour les traverser une à une. Des traversées qui sont toujours faites avec l’accompagnement d’un agent SNCF, mais qui restent délicates, puisqu’il faut s’assurer qu’aucun train n’arrive au même moment », poursuit Catherine Boucharel, responsable du schéma directeur chez Gares et Connexions.

Un chantier « colossal »
Pour que la chaîne d’accessibilité soit complète, la gare de Dijon a donc besoin de « trois ascenseurs ou de trois pentes à 5% avec des paliers » pour que les personnes à mobilité réduite ou en fauteuil puissent progresser facilement entre les passages souterrains et les voies.

Des infrastructures manquantes qui seraient donc « compliquées » à mettre en œuvre, selon nos interlocuteurs, compte tenu des impératifs d’un tel chantier. « Il faudra réaliser les cages d’ascenseur en condamnant un escalier. Il faudra aussi casser les abris voyageurs et les refaire. Tout ça, sans trop perturber le trafic… », détaille la responsable, avant d’ajouter que ce chantier sera donc « colossal ». Le problème du « montage financier » des travaux ralentit encore plus la chose puisque RFF, le conseil régional et la SNCF doivent s’accorder sur la répartition des factures. Les travaux de la gare, située aux abords de l’église Saint-Bénigne, doivent également être soumis à l’avis des Bâtiments de France.

La mise aux normes de l’ensemble du site semble donc impossible à l’horizon 2015. De son côté, l’Association des paralysés de France (APF) se dit « désolée » de voir que l’accès aux quais, « pourtant indispensable » a pris du retard. « Toutefois, nous savons que de nombreux autres bâtiments dijonnais ne seront pas aux normes à cette date », précise Florence Lecomte, directrice de l’APF de Côte-d’Or. Elle comptait sur la construction d’une nouvelle gare TGV Rhin-Rhône (un temps évoqué à Dijon Porte Neuve) pour profiter d’une gare « au top » comme c’est le cas à Valence ou à Avignon.

Mise en accessibilité : ce qui a déjà été fait à la gare
Selon la SNCF, une réflexion est engagée depuis cinq à dix ans par les différents acteurs de la gare pour améliorer l’accès aux personnes handicapées moteur mais aussi pour celles souffrant de troubles cognitifs. Presque impossible à remarquer par les valides, un ensemble de dispositifs a déjà été mis en place dans l’enceinte et les alentours de l’infrastructure ferroviaire dijonnaise. Des bandes de guidage au sol permettent, par exemple, aux non-voyants de rallier différents points grâce à une sorte de petit rail encadrant leur canne blanche. Des inscriptions en braille sont également apposées sur les rampes d’escaliers menant aux voies. Pour les sourds, le dispositif du personnage visuel Jade aide à traduire en langage des sourds les annonces faites sur écran. Des bornes audios, situées dans toute la gare, leur donnent la possiblité, via une télécommande, de savoir où ils se trouvent. Le dispositif de logos Achemine permet enfin d’augmenter la lisibilité de la signalétique en gare.

Sources http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2 ... compliquee et http://www.bienpublic.com/actualite/201 ... -a-la-gare
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 23 Juin 2013 13:33

busetcar.com, 14 juin
Jean-Marc Janaillac devient président de l’UTP

Le 13 juin dernier, l’Union des transports publics et ferroviaires (UTP) a annoncé la composition de son conseil d’administration pour les deux prochaines années. Dans ce cadre, c’est Jean-Marc Janaillac, Pdg de Transdev, qui remplacera Michel Bleitrach à la présidence.

Comme tous les deux ans, l’Union des transports publics et ferroviaire (UTP) a recomposé son conseil d’administration. A la présidence, c’est donc Jean-Marc Janaillac, Pdg de Transdev, qui remplacera Michel Bleitrach. Il sera secondé par quatre vice-présidents : Sophie Boisssard, directrice générale déléguée stratégie et développement de la SNCF, Marc Delayer, directeur général, Transports Publics du Choletais d’Agir, Jean-Pierre Farandou, président du directoire de Keolis, François Saglier, membre du comité exécutif en charge du domaine services, relation clients et espaces multimodaux du groupe RATP. De nouveaux entrants font aussi leur entrée dans l’arène. Parmi eux : Laurence Broseta, directrice générale France de Transdev, Étienne Fougeray, directeur général adjoint de Keolis ou Jérôme Nanty, secrétaire général de Transdev.

Dans la continuité du précédent
A cette occasion, le nouveau président s'est félicité que le Conseil d’administration soit "à l’image de la profession" et réunisse l’ensemble des acteurs de la mobilité, avec l’arrivée en janvier 2013 des gestionnaires d’infrastructure. De ce fait, deux nouveaux administrateurs ont été nommés : Jacques Gounon, Pdg d’Eurotunnel et Jacques Rapoport, président de Réseau ferré de France (RFF). Sans dévoiler le contenu de son programme qui sera débattu cet été, Jean-Marc Janaillac a également indiqué qu’il inscrirait son mandat dans la "continuité du précédent", et qu’il souhaitait "consolider le mouvement vers une mobilité globale initié en 2006". De son côté, Bruno Gazeau, délégué général de l’organisation depuis 2004, conserve ses fonctions et sera assisté de Claude Faucher, qui deviendra directeur général adjoint à compter du 1er septembre 2013.

Source http://www.busetcar.com/actualites/actu ... 2%80%99UTP
Didier 74
 

PrécédenteSuivante

Retourner vers Forum Transport Ferroviaire

Qui est en ligne

Utilisateurs enregistrés: Bing [Bot], Google [Bot]

cron

Lineoz.net Tous Droits Réservés 2001-2008 :: Création & DeSiGn by ArNaUd OUDARD
Ce site est enregistré à la CNIL sous le numéro 1072137 conformément à l'article 16 de la Loi Informatique et Liberté du 6 janvier 1978

Sites partenaires : Grenoble Snotag | Nancy blogOstan | Angers SnoIrigo | Clermont Ferrand TransClermont | Valence SnoCtav | Marseille Marseille-Transports.com | Dijon SnoDivia