Alex Wrote:Périgueux sera raccordé par Limoges :
http://www.sudouest.fr/2012/07/11/le-sc ... 79-651.php
Ce qui suppose la réalisation de Poitiers-Limoges ! Quelle est la probabilité de réalisation ?
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Alex Wrote:Périgueux sera raccordé par Limoges :
http://www.sudouest.fr/2012/07/11/le-sc ... 79-651.php
Aig Wrote:Alex Wrote:Périgueux sera raccordé par Limoges :
http://www.sudouest.fr/2012/07/11/le-sc ... 79-651.php
Ce qui suppose la réalisation de Poitiers-Limoges !
Aig Wrote:Quelle est la probabilité de réalisation ?
lgv2030 - eomer Wrote:
Avec ou sans Poitiers-Limoges, la desserte de Paris-Périgueux pourra se faire sans changement.
TGV Périgueux-Paris : Michel Moyrand persiste
Le projet de liaison Périgueux-Paris via Limoges pourrait être compromis par mesure d'économie.
Tout le travail du comité de pilotage présidé par le préfet de la Dordogne et par RFF n'aura-t-il servi à rien ? À peine le choix fixé sur la liaison Périgueux-Paris via Limoges en TGV retenu, le ministre délégué au Budget, Jérôme Cahuzac, a refroidi les ardeurs.
Hier matin sur France 2, il a déclaré que le gouvernement pourrait renoncer aux gros projets d'infrastructures de transports et notamment les lignes TGV, promis sous le précédent quinquennat, afin de restaurer l'équilibre des finances publiques. Il s'appuie en cela sur le rapport de la Cour des comptes qui préconise un réexamen de ces dossiers, surtout ceux qui « ne sont pas budgétairement soutenables et dont ni la rentabilité financière, ni la rentabilité socio-économique, ni l'intérêt environnemental ne sont établis ».
« Réalité financière »
Si le maire de Périgueux, Michel Moyrand, soutient l'attaque en règle ainsi faite contre Nicolas Sarkozy, il réalise aussi que cela peut compromettre durablement le projet de liaison en TGV Périgueux-Paris, surtout si la création de la ligne entre Limoges et Poitiers est remise en cause. « Le ministre délégué aux Transports, Frédéric Cuvillier, a bien dit qu'une commission hiérarchiserait les projets et que ceux qui étaient engagés seraient menés à leur terme. Est-ce que la ligne Limoges-Poitiers dont le coût est évalué à 1,6 milliard d'euros et dont l'enquête publique est programmée en fin d'année est considérée comme un projet engagé ? On verra. »
Tout en reconnaissant que « la réalité financière fera son œuvre », il affirme ne pas vouloir baisser les bras et continuer à défendre le dossier dans son ensemble. Quitte peut-être à moins parler de l'arrivée du TGV à Périgueux pour défendre davantage l'électrification de la ligne jusqu'à Limoges. Cela pourrait au final être plus raccord avec les déclarations de Jérôme Cahuzac demandant « si prolonger telle ou telle ligne TGV pour un gain de temps marginal est préférable à l'entretien du réseau secondaire de transport ferroviaire, indispensable car utilisé par beaucoup »…
TGV à Périgueux : l'idée qui fait débat
Le maire de Périgueux milite pour une ligne directe (et rapide) vers Paris, en passant par Limoges. Tous les internautes ne sont pas d'accord. Et vous ?
Le TGV à Périgueux : lubie du maire ou vraie vision pour l'avenir ? Ce week-end, après les nouveaux doutes sur le financement d'un train direct raccroché au tronçon Limoges-Paris, vous vous êtes exprimés sur ce projet à 177 millions d'euros. Et pas forcément pour applaudir : "Le tout TGV vampirise les liaisons connexes", a réagit Lunarbase. "Impossible, par exemple, de passer un dimanche à Périgueux en partant de Bordeaux."
Alambic, lui, s'agace des "dépenses inutiles de créer une [ligne] TGV passant à Périgueux : les voyageurs peuvent accéder au TGV en allant à Libourne [Gironde], ce n'est pas si loin." Robespierre le prend à Angoulême "à 2h15 de Montparnasse" et estime que "plutôt que de faire arriver un TGV , renforçons nos structures routières départementales car notre réseau est proche de lui de la Roumanie". Il ajoute : "L'arrivée du TGV ne profitera qu'aux spéculateurs immobilier sur la région."
La Dordogne "manque cruellement de moyens de transports publics", critique aussi Grenouille, tandis que Tartarin accuse les élus de "démagogie" et les invite plutôt à "supprimer les 130 000 euros gaspillés vers l'avion de Twin Jet", la compagnie qui assure la liaison aérienne Périgueux-Paris (500000 euros de budget, en fait). Bref, "Angoulême et Libourne font très bien l'affaire pour aller à Paris depuis la Dordogne en train".
Le TGV a aussi ses fans, comme Pericopique, qui s'agace des critiques : "Aujourd'hui, dans le meilleur des cas, on fait Paris-Périgueux en 4h30. Et encore il faut avoir de la chance, puisqu'il y a presque toujours du retard ! On ne se rend aujourd'hui toujours pas compte de ce qu'un trajet Périgueux-Paris en 3 heures (voire moins) apporterait de positif pour le bassin de vie de Périgueux et la Dordogne", dit-il, en évoquant "les étudiants, les cadres d'entreprises, les couples séparés par le travail, les grand-parents qui veulent venir voir leurs enfants et petits-enfants, les responsables agroalimentaires de ce département"...
Les dossiers sur le feu
L'opposition municipale revient sur l'eau, les crèches, le TGV et les finances de la Ville.
Pas de doute, Philippe Cornet est déjà en campagne pour les prochaines élections municipales. Le leader UMP de l'opposition à Périgueux a fait le point hier sur les dossiers sur lesquels il peut apporter la contradiction au maire Michel Moyrand.
[...]
Philippe Cornet ne croit toujours pas à l'arrivée du TGV à Périgueux, encore moins depuis l'abandon possible du barreau Poitiers-Limoges. « Il faudrait surtout se battre pour demander une amélioration de la ligne TER entre Périgueux et Limoges. Ça coûtera moins cher. »
EtiennePo Wrote:Des nouvelles du TGV à Périgueux...
http://www.sudouest.fr/2012/11/27/tgv-a ... 8-1980.php
Alex Wrote:Et je comprend pas pourquoi on tient absolument à rattacher Périgueux à la LGV Limoges Poitiers, alors qu'un raccordement au POLT sera déjà pas mal.
Alex Wrote:Et je comprend pas pourquoi on tient absolument à rattacher Périgueux à la LGV Limoges Poitiers, alors qu'un raccordement au POLT sera déjà pas mal.
TGV : le ministre « favorable » pour 2020
Le maire était au ministère des transports, hier.
Le TGV à Périgueux : un projet « légitime » d'ici à « la décennie 2020 ». Ce sont les propos que le maire de Périgueux prête aux ministre Frédéric Cuvillier, avec qui il s'est entretenu hier matin à Paris. Michel Moyrand venait discuter (durant une quarantaine de minutes), avec le ministre délégué des transports, de son projet de raccrocher Périgueux à la ligne LGV de Limoges à Paris, en allongeant le trajet du TGV jusqu'en Dordogne. Ainsi, le trajet Périgueux-Paris se ferait en trois heures sans escale, contre quatre heures et demie actuellement, via Limoges.
Convaincre la commission
Pour le maire - qui n'a pas souhaité s'exprimer autrement que par communiqué, hier - cette entretien est une « importante étape ». Le ministre aurait donné son aval pour la modernisation et l'électrification du tronçon Périgueux-Limoges. Mais l'arrivée du TGV reste suspendue à l'aménagement de la ligne Poitiers-Limoges en LGV, elle-même conditionnée par l'enquête d'utilité publique, prévue pour le premier semestre 2013… Et d'après le maire, le ministre attend la conclusion d'autres études pour se prononcer.
Michel Moyrand devra aussi convaincre la « commission Cuvillier », mise en place par le ministre pour évaluer la priorité des projets ferroviaires soumis à l'État.
Le sénateur rencontre les élus de l'agglomération
Lundi, le sénateur Claude Bérit-Debat organisait une réunion intercantonale destinée aux élus grands électeurs de l'agglomération. Il s'agissait essentiellement des maires et des adjoints aux maires des cantons de Périgueux Ouest, Périgueux Centre, Périgueux Est et Saint-Pierre-de-Chignac.
Claude Bérit-Debat a dressé le bilan de son action depuis sa précédente intervention en septembre 2011. Il a fait aussi le point sur la situation industrielle du pays, ses travaux sur la Politique agricole commune (droits de plantation, tuberculose bovine), l'environnement, la réforme territoriale, l'intercommunalité et la proximité, mais aussi le mariage pour tous et le vote des étrangers. Il a également été question de la pénalisation des petites entreprises, du gaz de schiste et son exploration, etc.
Claude Bérit-Debat s'est également plié au jeu des questions -réponses avec la salle ; Jean-Pierre Roussarie, maire de Coulounieix-Chamiers, a ouvert le bal en questionnant le sénateur sur la date à laquelle l'agence de financement des communes verra le jour.
Dans la foulée, Francis Cortez, le leader des Verts, a demandé pourquoi la TVA sur le bois-énergie a été augmentée et quelle était la position de Claude Bérit-Debat sur l'électrification des lignes SNCF Périgueux-Limoges et Périgueux-Coutras, tout en prônant la mise en deux fois deux voies de la RN 21.
Didier 74 Wrote:Le sénateur de Périgueux veut à la fois électrifier Périgueux - Coutras et Périgueux - Limoges et doubler la N21 !
Didier 74 Wrote:Le sénateur de Périgueux veut à la fois électrifier Périgueux - Coutras et Périgueux - Limoges et doubler la N21 !
Ligne TGV Périgueux Paris via Limoges : le scénario se précise
La fréquentation s'annonce également meilleure avec une tendance révélant une hausse proportionnelle au nombre d'allers- retours. Le choix hier s'est porté sur quatre allers-retours afin d'assurer une base initiale suffisante estimée à 20 000 passagers par an.
Périgueux : les débats rituels du Conseil municipal
Ce jeudi soir, pour l'ultime réunion de l'année, les élus ont encore balayé tous les sujets habituels de discussions
Vidéosurveillance, gestion de l'eau, aéroport, TGV et nouvelle mairie : le programme était complet. Ce jeudi soir, pour le dernier Conseil municipal de l'année, le maire et son opposition ont ferraillé - courtoisement - sur tous les sujets clivant du mandat. Sans vraiment renouveler le contenu.
Sur l'aéroport, Michel Moyrand a répété son analyse, « lucide et honnête », que la ligne vers Paris « n'aura plus de sens » si le TGV se connecte à Périgueux, alors que l'opposant Philippe Cornet plaidait pour maintenir au site une vocation « économique ». Sur la nouvelle mairie, Cornet a cherché le maire sur le montant des factures déjà réglées, flairant des « dépassements » à venir. Moyrand a laissé dire…
La seule vraie tension s'est ressentie sur le dossier de l'étude de la coopération métropolitaine avec Limoges, Brive, Tulles, Guéret et Cahors. Une aire que Jean-Paul Mingasson (Modem) trouve « surréaliste » et qui n'aurait qu'un objectif commun : capter le TGV. Michel Moyrand a défendu l'intérêt « de se rapprocher » de Limoges et Brive, évoquant avec la première des « mouvements de population importants », en terme d'études ou de santé. « La ligne ferroviaire avec Périgueux représente 25% de l'activité de la gare de Limoges, c'est énorme ! » Quant à Brive, c'est l'enjeu du nœud autoroutier et la proximité de l'aéroport de plus en plus international.
Une double négociation
Hier, le maire devait plaider le dossier du TGV et défendre le retour du Tour en Dordogne.
Le Tour de France et le TGV ? L'un ou l'autre, les deux ? Hier, le maire de Périgueux Michel Moyrand était sur deux fronts à Paris : sur son agenda, deux rendez-vous étaient prévus, avec Christian Prudhomme, le directeur du Tour de France, dans l'après-midi, après Philippe Duron, le président de la commission Mobilité 21, dans la matinée. Le maire n'ayant pas souhaité commenter ces deux entretiens hier, on peut sans grand danger parier qu'il défend la candidature de Périgueux pour une prochaine boucle cycliste - à l'instar de Bergerac, depuis plusieurs mois. Obtenir et financer (le coût pour être « ville départ » est estimée à 50000 euros et à 60000 euros pour accueillir l'arrivée) l'événement sportif pour l'été 2014 permettrait de fêter les vingt ans de la dernière étape du Tour en Dordogne - il était arrivé le 10 juillet 1994 à Trélissac, la veille d'un contre-la-montre de Périgueux à Bergerac. Depuis, on l'a vu passer, mais il ne s'est pas arrêté.
Cause commune
Mais ce qui ferait encore plus d'effet, à quelques mois des municipales, serait la promesse de voir un jour le TGV entrer en gare de Périgueux. D'où l'autre rendez-vous du maire, hier. La commission Mobilité 21 hiérarchise les projets inscrits au Schéma national des infrastructures de transport (Snit) par le gouvernement précédent, pour un total de 245 milliards d'euros sur 25 ans, dont 90 milliards d'euros de participation de l'État. « Hors de proportion », selon le ministère des Transports, qui réduit la facture en triant les projets. Les conclusions de la commission sont attendues pour la fin du trimestre. Et ce n'est pas nouveau, Michel Moyrand tente d'éviter une coupe sombre dans l'aménagement du tronçon Poitiers-Limoges pour la LGV, dont l'enquête d'utilité publique est toujours prévue pour ce printemps…
Or, il faudra que cet aménagement existe si Périgueux veut obtenir de s'y raccrocher. Et pour se connecter au réseau TGV, il faudra moderniser et électrifier l'axe Périgueux-Limoges. Bref, si Limoges attend, Périgueux aussi. Fin novembre, le maire avait déjà plaidé cette cause commune auprès du ministre délégué aux transports, Frédéric Cuvillier. Il avait parlé d'un projet « légitime » d'ici à « la décennie 2020 ». On verra peut-être les vélos avant.
Le TGV à Périgueux face à la RN 21 à quatre voies
Deux idées d'aménagements de transport font rêver les décideurs en Dordogne : lequel a le plus de chance de voir le jour ?
Le TGV à Périgueux ou la RN 21 doublée entre Bergerac et la capitale de la Dordogne ? Le maire de celle-ci, Michel Moyrand, a bien envie des deux. Logique : si la sous-préfecture viticole est rendue au pied de la cathédrale Saint-Front en 25 minutes, « cela augmentera le potentiel de clientèle pour le TGV », expliquait-il cette semaine, de retour de Paris où il a plaidé la double cause routière et ferroviaire auprès de Philippe Duron, le président de la commission Mobilité 21, chargée de hiérarchiser les projets inscrits au Snit. C'est elle qui dira - au printemps - si le tronçon Limoges-Poitiers pourra bénéficier de la LGV, première condition, et si l'appendice Périgueux-Limoges, peut être aménagé et électrifiée (176 millions d'euros, selon une étude de 2009) afin que le TGV pousse jusqu'en Périgord. Tout cela ne représenterait même pas 1% du budget du schéma, selon Michel Moyrand. Pour les pessimistes, la messe est dite : le projet, trop peu important vu de Paris, sera sacrifié sur l'autel du redressement des finances de l'État. Les optimistes s'arment de patience : le ministre des Transports aurait confié au maire que le projet pourrait aboutir d'ici à « la décennie 2020 ».
La RN 21 à quatre voies sur 385 kilomètres pour avoir enfin une liaison nord-sud rapide. À l'association Euro 21, présidée par le Périgourdin Jean-Claude Pouxviel, qui réunit des décideurs économiques de Limoges à Tarbes, on bataille depuis des années sur ce dossier. « Si on attend que l'État la construise sur ses crédits, on en a pour 75 ans », soupire le président d'Euro 21. Une autoroute concédée sur tracé neuf serait aussi longue, chère et difficile à réaliser. Voilà pourquoi c'est un élargissement couplé à des déviations de bourg en version voie express à 110 km/h qui est désormais espéré. Ce projet ne coûterait « que » 2,5 milliards d'euros. Des sociétés seraient intéressées par une concession pour par un partenariat public privé, ce qui impliquera de mettre cet itinéraire à péage. Si le principe de cette route était accepté par l'État dès cette année, il faudrait douze ans d'études et de travaux pour la réaliser. D'ici cet été, la commission qui réduit la liste des projets inscrits au Schéma national des transports (Snit) doit réétudier ce projet pour donner son avis. En cas d'accord, il restera notamment à trouver les financeurs et à convaincre les riverains. Facile ?
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