izgood Wrote:Bonjour
L'Office fédéral des transports aimerait remplacer les lignes de trains les moins rentables par des bus, voir la RTS :
http://www.rts.ch/video/info/journal-19 ... s-bus.html
Le lien ci-dessus a déjà été cité plus haut.
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izgood Wrote:Bonjour
L'Office fédéral des transports aimerait remplacer les lignes de trains les moins rentables par des bus, voir la RTS :
http://www.rts.ch/video/info/journal-19 ... s-bus.html
viadi Wrote:Ce n est pas Viege Zermatt qui est menacee, ou pas encore, c'est l'autre cote, de Viege a Disentis
l'avenir de la ligne des Diablerets n'est pas tres positif!
Soixante tronçons visés, les Romands ripostent
Après l’annonce choc du remplacement éventuel d’une ligne régionale sur deux par un bus, le détail des liaisons menacées. Genève-La Plaine et Genève-Coppet concernées.
L’image est frappante. La semaine dernière, les conseillères d’Etat Michèle Künzler et Nuria Gorrite avaient pris leur bâton de pèlerin pour prêcher la bonne parole aux pendulaires entre Lausanne et Genève. Davantage de trains et de places assises, promettaient-elles en vantant le projet Léman 2030. Mais la rengaine a visiblement changé dimanche: la presse alémanique révélait qu’un train régional sur deux pourrait être remplacé par un bus. Plus précisément, 177 liaisons sur un peu plus de 300 sur toute la Suisse. Une soixantaine en Suisse romande.
Contacté lundi, l’Office fédéral des transports communique tous les tronçons qui ne couvrent pas un taux de couverture des coûts d’au moins 50%. Et la liste fait froid dans le dos. Des lignes mythiques, comme Montreux – les Rochers-de-Naye, sont concernées. Pire, certains trains dont il est question desservent des régions entières, comme le Nyon – Saint-Cergue, Morges – Apples – Bière, Le Pont – Le Brassus, ou Genève – La Plaine. Mais plus étonnant encore, même les lignes autour des grands centres urbains n’échappent pas au couperet, comme Genève – Coppet, Lausanne – Allaman ou encore… Neuchâtel – La Chaux-de-Fonds!
Grandes ou petites lignes
«Il faut bien séparer les deux sujets, tient à mettre les points sur les i Nuria Gorrite. D’un côté, il y a les grandes lignes. Et là, le signal est positif puisque le Conseil des Etats a accepté une enveloppe de 6,4 milliards. Et de l’autre, il y a la problématique des trains régionaux, que l’on découvre. Dans ce cas, les Cantons auront une position ferme. Remplacer des lignes par des bus est contraire à tout ce que nous essayons de développer depuis des années en matière de vivre ensemble et de qualité de vie.»
Jean-Claude Hennet, secrétaire général d’OUESTRAIL, relativise également. «La disposition mise en consultation ne prévoit qu’une seule obligation, celle d’étudier ces cas. Rien de grave au fond, mais le message est catastrophique. Faire peser des menaces sur les lignes de chemin de fer, tout en essayant d’encourager le transfert de la route au rail, est complètement contre-productif. C’est exactement le contraire: promouvoir le rail!»
Reste qu’à y regarder d’un peu plus près, autant de lignes non-rentables suscitent forcément des interrogations sur leur existence. «Mais aucun train régional n’est rentable, coupe Jean-Claude Hennet. Le taux de couverture des coûts varie entre 10% et 80% à travers la Suisse.» Les usagers ne suffisent effectivement pas à financer les trains régionaux et il faut faire donc appel à l’argent du contribuable. «Soit, ajoute le secrétaire général d’OUESTRAIL, mais quitte à faire des calculs, autant bien les faire. La mobilité apporte des avantages non-négligeables à l’économie. Les pendulaires sont avant tout des employés. Sans parler de la survie de certains villages où les élèves et les personnes âgées n’ont pas d’autres moyens de transport. Et on pourra dire ce qu’on veut, le bus n’aura jamais la ponctualité et la fiabilité d’un train. Ce n’est pas un changement anodin pour les usagers.»
Le bus, l’exception !
N’y aurait-il pas malgré tout des cas où le bus pourrait surpasser le rail? «On ne peut pas l’exclure: le bus est moins rigide que le train, répond Jean-Claude Hennet. Je n’ai pas d’exemple précis mais un bus pourrait, par exemple, remplacer avantageusement une gare éloignée et s’arrêter à l’entrée, à la sortie et au centre d’un village. Mais soyons clair, le bus doit rester une exception et représenter un plus pour l’usager.» Pas sûr que ce critère sera le premier pour l’Office fédéral des transports. L’office cite avant tout l’état du réseau existant ainsi que son utilité pour le transport des marchandises.
Lignes régionales: «Il n'y a pas que la rentabilité»
Montré du doigt, le «fossoyeur» des petites lignes ferroviaires régionales Peter Füglistaler sort enfin du bois pour s’expliquer.
Le projet d’ordonnance de l’Office fédéral des transports (OFT) qui menace les lignes de chemins de fer régionales peu rentables a suscité un tollé en Suisse romande. Peter Füglistaler, directeur de l’OFT, nuance toutefois ses conséquences.
Vous avez causé un véritable traumatisme en Suisse romande. Était-ce le but ?
Cela montre une nouvelle fois l’attachement des Suisses pour leur système ferroviaire. Nous avons la chance de bénéficier d’une excellente offre dans tout le pays. Ceci a un prix. Le débat qui s’ouvre aujourd’hui est peut-être aussi l’occasion de le rappeler. Mais notre volonté n’est pas de démanteler le trafic régional.
Est-ce que la fréquentation de certaines lignes est à ce point insuffisante qu’il faut songer à s’en débarrasser ?
Il s’agit de fournir des prestations qui font sens et qui répondent à un besoin. Une très faible fréquentation peut être un indice que l’offre ne correspond pas aux attentes. Il peut alors être justifié de se poser la question de savoir si cette offre est la bonne. Mais cette analyse devra tenir compte de plusieurs facteurs car la rentabilité économique ne peut pas être le seul critère. Procéder à une telle analyse ne signifie donc pas que la solution actuelle doit être abandonnée.
Ces trains ont souvent une plus-value touristique. Ne craignez-vous pas de nuire à cette image ?
Nous proposons une révision d’ordonnance qui fixe une limite de rentabilité à partir de laquelle il conviendrait de se poser la question de l’opportunité de maintenir une ligne ferroviaire ou de chercher une autre solution. Rien de plus. Examiner l’opportunité, dans des cas définis, d’une solution de remplacement ne signifie pas qu’on va forcément supprimer la solution existante. D’autres critères que la rentabilité doivent être pris en compte.
On vous reproche de vouloir enlever des moyens aux régions périphériques.
La liste qui recense les lignes ferroviaires régionales peu rentables montre qu’on trouve ces lignes partout: en périphérie des villes, à la campagne, en montagne. Il y a aussi bien des lignes CFF que des lignes de petites compagnies de chemin de fer. Une fois encore, nous n’avons ni volonté de démantèlement ni volonté d’économiser sur le dos de certaines régions.
Combien de lignes sont effectivement menacées de disparaître à moyen terme ?
On ne peut pas exclure que des lignes disparaîtront à l’avenir, pour une raison ou une autre. Le cas échéant, elles devraient être peu nombreuses vu les différents éléments à prendre en compte. Aucune suppression de ligne n’a été exigée ces dernières années de la part de l’OFT et il n’a aucun projet de ce genre.
L'EDITO
Contre une Suisse à deux vitesses
Le monde politique est aujourd’hui tout absorbé au chevet des grandes lignes engorgées par le flux des pendulaires. Investir dans des lignes régionales déficitaires apparaît comme une moindre priorité. L’Office fédéral des transports peut être tenté de les remettre en cause.
Cette volonté correspond à une tendance plus large au plan fédéral, qu’on retrouve par exemple dans la philosophie de l’aménagement du territoire. Pour ces vingt ou trente prochaines années, les investissements et les constructions doivent être concentrés dans les grands centres urbains interconnectés. En gros, l’axe Genève-Saint-Gall.
Le lâchage des trains régionaux suivrait cette logique d’une Suisse à deux vitesses. Les régions comme l’arc jurassien, la Gruyère, le Pays-d’Enhaut, le Chablais ou le Valais doivent ainsi lutter plus que jamais pour défendre des investissements chez elles. La divulgation de la liste des 175 trains menacés par l’Office fédéral des transports a le mérite de réveiller les représentants de ces régions qui se laissaient endormir par les milliards prévus pour les grandes lignes.
Le passager qui fait Aigle-Les Diablerets coûtera toujours plus que celui qui fait Olten-Aarau. Mais il est tout aussi important pour la cohésion de la Suisse. A l’instar des cours d’eau, le réseau ferroviaire helvétique a besoin de ses petites rivières qui font son charme. Comme pour les paysans jardiniers de montagne, elles font partie d’un paysage commun qui ne se mesure pas qu’en termes de rentabilité.
Trains régionaux menacés ? Notre ministre des transports parle d’un non-sens
Jacques Melly dénonce la proposition de l’OFT de remplacer les trains non rentables par des bus.
Pour Jacques Melly, la proposition de l’Office fédéral des transports de remplacer par des bus les trains régionaux dont la rentabilité est inférieure à 50% (Le Nouvelliste de mardi) est non seulement une provocation, mais aussi un non-sens. Pourtant, le chef du Département valaisan des transports n’est pas très étonné de voir partir de Berne cette nouvelle bordée lancée contre le trafic régional.
Dans un entretien à paraître jeudi dans le "Nouvelliste", le ministre valaisan des transports déclare notamment : «C’est un non-sens. Lorsqu’en 2010 les fonctionnaires fédéraux avaient attaqué les bus régionaux avec, là aussi, des quotas minimaux, nous nous y étions opposés avec vigueur avec d’autres cantons. A l’époque, après avoir senti le vent du boulet passer très près, mais évité un démantèlement de notre réseau de bus, j’avais rendu visite aux entrepreneurs de cars postaux en leur disant : attention, à Berne ils sont déjà en train de recharger le canon !»
« Les bus aussi visés »
Et Jacques Melly d’ajouter : «qu’on ne s’y trompe pas : aujourd’hui, on veut toucher au rail, mais le bus ne perd rien pour attendre. Dans cette ordonnance, on trouve des éléments qui frappent aussi les lignes de bus. Des critères de rentabilité vont aussi être introduits pour ce type de transport. Or, en Valais, nous avons plus de 130 lignes subventionnés. Cela pourrait remettre en cause l’ensemble des dessertes dans nos fonds de vallée. Cela irait à l’encontre de toute une politique d’occupation du territoire, voulue par notre canton depuis des années. Cette politique soutient activement notre effort touristique, notre engagement dans la moyenne montagne, etc.»
«Cette ordonnance, que je comprends comme une provocation, est en consultation et nous devons faire des remarques et des propositions. C’est à ne plus rien comprendre à la politique suisse des transports. D’un côté, on voudrait soutenir et favoriser les transports publics, car on se rend compte que la route arrive à saturation avec le trafic privé, mais avec une telle ordonnance, voilà que l’on propose exactement le contraire.»
La Confédération n'exige aucune suppression de ligne ferroviaire
Après l'annonce ce week-end que la moitié des 300 lignes ferroviaires régionales seraient menacées car pas assez rentables, le directeur de l'Office fédéral des transports nuance l'éventuelle disparition de lignes.
Les lignes ferroviaires régionales peu rentables ne seront pas systématiquement supprimées, garantit Peter Füglistaler, directeur de l'Office fédéral des transports (OFT). Interrogé par Le Matin dans son édition de mercredi, il assure que l'OFT veut simplement donner des clés aux régions.
"On ne peut pas exclure que des lignes disparaîtront à l'avenir, pour une raison ou une autre. Le cas échéant, elles devraient être peu nombreuses vu les différents éléments à prendre en compte", affirme le directeur de l'OFT.
"Notre volonté n'est pas de démanteler le trafic régional", certifie Peter Füglistaler. Il nuance fortement les conséquences du projet d'ordonnance de l'OFT, qui propose d'examiner les alternatives économiques des lignes n'atteignant pas une couverture des coûts d'au moins 50%. Quelque 175 des 300 lignes ferroviaires régionales sont concernées.
La rentabilité économique : un critère parmi d'autres
Pour le directeur de l'OFT, la très faible fréquentation d'une ligne justifie "de se poser la question de savoir si une offre est la bonne. Cette analyse devra toutefois tenir compte de plusieurs facteurs car la rentabilité économique ne peut pas être le seul critère", nuance-t-il. Un examen n'entraîne donc pas forcément une suppression.
"Nous proposons une révision d'ordonnance qui fixe une limite de rentabilité à partir de laquelle il conviendrait de se poser la question de l'opportunité de maintenir une ligne ferroviaire ou de chercher une autre solution", poursuit Peter Füglistaler.
A l'adresse des régions périphériques, romandes surtout, l'Argovien assure également que tous les types de lignes sont concernés: en périphérie des villes, à la campagne, ou en montagne, lignes CFF ou lignes de petites compagnies. "Nous n'avons ni volonté de démantèlement ni volonté d'économiser sur le dos de certaines régions", prévient-il.
Projet d'ordonnance en consultation
Le projet d'ordonnance de l'OFT, qui se base sur une décision du Conseil fédéral de poursuivre l'option "transfert du rail au bus" datant de 2010, s'inscrit dans le cadre de la réforme des chemins de fer 2, mise en consultation début octobre.
Les cantons et autres destinataires ont jusqu'au 22 novembre pour prendre position.
L'ATE monte au front pour défendre les lignes ferroviaires régionales
L'Association Transports et Environnement (ATE) a commencé à lutter jeudi contre la proposition du Conseil fédéral de remplacer par des lignes d'autobus les tronçons ferroviaires les moins rentables. Une pétition est lancée.
L'Association Transports et Environnement (ATE) a lancé jeudi une pétition pour défendre les lignes de train régionales. Elle entend ainsi combattre la proposition du Conseil fédéral de remplacer par des lignes d'autobus les tronçons ferroviaires les moins rentables.
Pas moins de 157 lignes régionales, sur un total de 300, pourraient être touchées par ces mesures, même des lignes dont les capacités sont largement utilisées, dénonce l'association dans un communiqué. Lire aussi: Quelque 60 lignes ferroviaires en danger en Suisse romande
Incitation à prendre la voiture
Les "modestes économies escomptées se traduiraient par des conséquences dramatiques sur la qualité des transports publics", argumente l'ATE, pour qui cette qualité dépend précisément de la multiplicité des liaisons secondaires.
Une telle démarche aurait pour conséquence d'inciter les gens à privilégier la voiture. Or, "en ces temps de réchauffement climatique, il est impératif de promouvoir résolument le rail, le moyen de transport le plus écologique sur les longues distances", insiste Roger Nordmann, vice-président de l'ATE et conseiller national (PS/VD), cité dans le communiqué.
Cartourisme Suisse prône le recours au bus
De son côté, Cartourisme Suisse, le groupe professionnel Car de l'Association suisse des transports routiers (ASTAG), a salué jeudi dans un communiqué l'initiative du Conseil fédéral.
Il relève les coûts d'exploitation moins élevés ainsi que la plus grande flexibilité des bus par rapport au train.
"Une liaison par autobus ou par autocar vous conduit pratiquement jusque devant votre porte", souligne Christophe Darbellay, président de Cartourisme Suisse et conseiller national (PDC/VS), cité dans le texte.
La consommation de carburant et les émissions polluantes de ces véhicules ont constamment diminué au cours des dernières années grâce aux progrès techniques, relève aussi le communiqué.
Office fédéral des transports: autopsie d'un projet mort-né concernant les lignes ferroviaires régionales
On l’apprenait en début de semaine : l’Office fédéral des transports a mis en consultation un projet d’ordonnance explosive. Selon ce texte, les lignes de train qui ne couvrent pas assez leurs coûts pourraient être remplacées par des lignes de bus. En tout, 177 lignes régionales ne couvrant pas 50 % de leurs coûts sont potentiellement touchées. Une cinquantaine de ces liaisons seraient encore plus menacées avec 30 % de couverture. Depuis la publication de la liste, on assiste à une véritable levée de boucliers.
viadi Wrote:Ce n est pas Viege Zermatt qui est menacee, ou pas encore, c'est l'autre cote, de Viege a Disentis et l'antenne de Göschenen.
CFF/Energie : changement de fournisseur d'électricité sur 33 sites
Les CFF changent de fournisseur de courant pour 33 de leurs sites. Cette électricité sera livrée dès janvier 2013 par Swisspower, une coopération de 20 usines appartenant à des communes. L'ex-régie va réaliser une économie de 2,3 millions de francs d'ici fin 2015.
Les CFF possèdent 2500 sites en Suisse pour lesquels ils utilisent le courant électrique normal (à 50 Hertz). Pour 300 de ces sites, la consommation électrique dépasse les 100'000 kWh, dès lors les CFF peuvent choisir leur fournisseur, indique un communiqué de la principale compagnie ferroviaire helvétique.
Un appel d'offres permet de réaliser des économies de coût. Une procédure similaire a permis l'an dernier d'économiser 3 millions de francs. Les sites alimentés par Swisspower seront notamment des gares et des installations telles que des signaux ou des postes d'enclenchement.
Les CFF réclament désormais une taxe à ceux qui veulent récolter des signatures dans les gares
Depuis un verdict du Tribunal fédéral émis en juillet, les CFF doivent autoriser les actions politiques ou religieuses dans leurs gares. Mais ceux qui voudront récolter des signatures devront mettre la main à la poche. Selon un règlement mis à jour, les CFF demandent 1053 francs pour délivrer une autorisation dans les gares Railcity. Dans les gares de taille moyenne, la taxe est de 486 francs par jour et de 108 dans les petites. Ces taxes sont justifiées par les charges assumées par les CFF pour assurer la sécurité ou le nettoyage de tels événements, selon le porte-parole.
Des trains gratuits pour la Saint-Martin à Porrentruy
Six jours de liesse populaire vont envahir les rues de Porrentruy pour fêter la Saint-Martin 2012 et la très célèbre et traditionnelle fête du cochon.
Cette année, la communauté de communes du Sud Territoire est invitée d’honneur. Et pour les habitants du secteur qui souhaitent s’y rendre, la compagnie de chemin de fer suisse (SBB CFF FFS) a mis des trains gratuits durant les six jours du marché entre Delle et Porrentruy, histoire d’éviter les bouchons, les problèmes de parking et les contrôles d’alcoolémie. Car à Porrentruy durant ces six jours, on déguste la Damassine, alcool local de petites prunes. Un train partira à chaque heure en départ et en retour de Delle les 9 novembre entre 14h et minuit, les 10 et 17 entre 8h et minuit et les 11,12 et 18 novembre entre 9h et minuit.
Apple a payé 20 millions aux CFF pour utiliser leur horloge
Les CFF ont obtenu 20 millions de francs de la part d'Apple après l'accord conclu en octobre pour régler l'utilisation de l'horloge de gare sur les iPad et les iPhone, a révélé samedi le Tages-Anzeiger.
Apple a payé 20 millions de francs aux CFF pour avoir le droit de continuer à utiliser la célébre horloge présentes sur les quais helvétiques sur ses appareils comme l'iPad et l'iPhone, selon les informations de la presse alémanique. Les deux parties avaient conclu un accord au mois d'octobre.
Le montant du contrat de licence conclu entre Apple et les Chemins de fer fédéraux n'avait pas été divulgué. Citant plusieurs sources, le Tages-Anzeiger a finalement révélé le montant que la firme à la pomme a accepté de payer pour conserver la mythique horloge introduite dans le nouveau système d'exploitation mobile iOS6. Les deux entreprises n'ont pas commenté l'information.
Un symbole fort
Pour l'ex-régie fédérale, elle seule est propriétaire de la marque et les CFF sont seuls promoteurs de la fameuse horloge de gare. Les CFF avaient évoqué fin septembre les lois du marché pour réclamer un dédommagement financier.
L'horloge de gare des CFF a été développée en 1944 pour les CFF. Elle est aujourd'hui considérée comme une icône du design, et ce même sur des supports numériques. Sa particularité réside dans le fait que l'aiguille rouge des secondes a la forme d'une ancienne palette de départ des trains. Elle est un symbole fort de l'innovation et de la fiabilité des CFF et de la Suisse, selon les CFF.
Les CFF s'inquiètent de la hausse de la délinquance dans les trains
Les violences et les vols dans les trains et les gares helvétiques sont en nette augmentation au premier semestre 2012. Ce constat est tiré par les CFF eux-mêmes dans un document confidentiel révélé par le SonntagsBlick.
Le SonntagsBlick s'est procuré un rapport interne aux CFF qui déplore la hausse massive des violences et des vols dans les trains et les gares du pays. Ce document confidentiel, publié dimanche, est sobrement intitulé "Conditions de sécurité mises à jour, août 2012" ("Lageupdate Security August 2012"). Il porte sur le premier semestre 2012 par rapport à la même période de 2011.
Fêtards et criminels étrangers
L'analyse, qui porte sur les six premiers mois de l'année, se concentre sur trois types de violences : les menaces et agressions contre le personnel, les agressions contre les passagers et les vols. Selon les chiffres des CFF, ces événements délictueux sont en forte progression dans les trois catégories.
Selon l'ex-régie fédérale, l'augmentation de la délinquance est imputable principalement à "des adolescents, des jeunes adultes en groupe, des personnes issues de l'immigration, des gangs du crime organisé venus d'Europe orientale" ainsi qu'à la "consommation de stupéfiants". "En clair, les fêtards et les criminels étrangers", relève le SonntagsBlick.
Voyageurs sans ticket
En ce qui concerne le personnel, 539 employés des CFF ont été menacés ou pris à partie durant le premier semestre 2012. Il s'agit d'une hausse de 32% par rapport à la même période de 2011 (409 cas). Les cas d'agression ont crû de 22% pour un total de 110.
Les zones urbaines de Lausanne, Genève et Zurich sont particulièrement touchées par le phénomène, notent les CFF. En Suisse romande, la hausse des violences contre les employés est surtout attribuée aux voyageurs circulant sans titre de transport.
Vols très fréquents
Le constat est encore plus alarmant lorsqu'on regarde les agressions contre les passagers. Sur six mois, 106 attaques ont été enregistrées, soit une hausse de 125%. Un an plus tôt, seules 47 attaques avaient ainsi été constatées.
Enfin, les incidents les plus nombreux sont les vols. Les pickpockets et autres voleurs ont ainsi fait 816 victimes au premier semestre 2012 (+80%), selon les chiffres des CFF. Ces derniers précisent par ailleurs que de nombreux cas, dénoncés directement à la police, n'entrent pas dans ces statistiques.
Sécurité : bien, mais peut mieux faire
Les CFF dépensent chaque année 37 millions de francs pour assurer la sécurité des usagers et du personnel, indique une porte-parole dans le SonntagsBlick.
L'ex-régie fédérale reconnaît la nécessité de développer la sécurité en coopération avec les cantons et les villes. Toutefois, des enquêtes régulières confirment "le sentiment de sécurité élevé" des clients, notent les CFF.
A titre d'exemple, 37 incidents ont été dénombrés le mois dernier, selon la porte-parole. "Sur environ un million de passagers par jour, c'est très peu", relève-t-elle.
Delle Le train gratuit jusqu’à Porrentruy attire les foules
Un accord avait été passé entre la communauté de communes du Sud Territoire et le Canton du Jura pour que le train de Delle à Porrentruy soit gratuit tout au long du week-end. L’opération a fonctionné au-delà de toutes espérances. Voyage en Ajoie, au pays des cochonnailles.
L’événement aurait pu passer inaperçu. Le train entre Delle et Porrentruy était gratuit tout au long du week-end, à l’aller comme au retour. La communauté de communes du Sud Territoire avait négocié avec le Canton du Jura suisse, suggérant cette gratuité ponctuelle à l’occasion du marché de la Saint-Martin à Porrentruy. La CCST était invitée d’honneur à cette manifestation annuelle qui attire les foules depuis nombre d’années. Mais elle avait aussi pensé à ses administrés et souhaitait les convier à fêter la Saint-Martin, sans doute guidée par le souhait de rapprocher les deux populations tout au moins pour cette occasion.
Il n’en fallait pas moins pour que nos amis suisses approuvent l’idée. La ligne ferroviaire reliant les deux pays n’est pas sujet à discorde, loin s’en faut. Mais personne n’avait imaginé le succès de l’opération !
Dimanche, toutes les heures, le quai de la gare de Delle était bondé.
En couple, en famille, entre amis, nombre d’habitants du secteur étaient en partance pour Porrentruy.
Un semblant de nostalgie était palpable : « La dernière fois que j’ai pris le train ici, c’était pour aller à Paris » affirme un nonagénaire, aux côtés de son épouse et d’une ribambelle d’enfants surexcités à l’idée de prendre le train.
Un peu plus tard, confortablement installée sur la banquette, une famille regarde défiler le paysage.
Nicolas et Séverine Troesch de Courtelevant sont accompagnés de Valentin et Lola, leurs enfants. Pour eux, l’idée du train pour se rendre au marché est « formidable. La gratuité est un plus. »
Certes, ils vont au marché mais seraient-ils allés à Porrentruy en voiture ce dimanche ? Pas sûr…
Yolande Bellon a elle aussi pris le train en direction de Porrentruy. « Que de souvenirs qui ressurgissent », affirme-t-elle. Et de poursuivre : « Lorsqu’on était jeunes, on allait à la piscine en train, on rencontrait du monde, on bavardait. J’ai revu des gens aujourd’hui que je n’avais pas côtoyés depuis des années. C’est vraiment super. »
Le train arrive en gare de Porrentruy. Une vingtaine de minutes s’est écoulée. Le marché attend les familles mais est-ce bien pour ces stands qu’elles sont venues ?
Un train a heurté mercredi matin une pelleteuse de chantier qui s'est renversée à Muensingen (BE)
Un train Intercity a heurté mercredi matin une pelleteuse de chantier qui s'est renversée la hauteur de Muensingen (BE). Deux ouvriers ont été transportés à l'hôpital pour un contrôle. Personne n'a été blessé à bord du train. Celui ci après une brève halte a pu repartir. Le montant des dégâts n'est pas connu pour l'heure.
L'alcool restera autorisé dans les trains et gares la nuit
Le Conseil fédéral estime que la proposition d'un conseiller national d'interdire la consommation d'alcool entre 21h et 8h dans les transports publics, les gares et les arrêts de bus, serait une mesure disproportionnée.
Interdire la consommation d'alcool entre 21 heures et 8 heures dans les transports publics, les gares et les arrêts de bus serait une mesure disproportionnée, estime le Conseil fédéral. La proposition, qui n'épargnerait que les wagons restaurant, a été lancée par le conseiller national Karl Vogler (PDC/OW).
Selon l'élu, la qualité des transports publics en prend un coup le soir et la nuit à cause de gens qui consomment de l'alcool, souillent les lieux, font du bruit voire menacent les autres passagers. Pour remédier au problème, il cite en exemple les interdictions en vigueur dans différentes grandes villes allemandes.
La solution proposée va beaucoup trop loin et n'est pas forcément efficace, répond jeudi le gouvernement. Les passagers à problème sont déjà ivres lorsqu'ils embarquent. Le phénomène se produit surtout en fin de semaine, des jours pendant lesquels l'interdiction souhaitée ne pourrait empêcher personne de boire.
Pour des raisons de ressources en personnel et financières, ainsi que de droits fondamentaux, il ne serait pas possible de prohiber la consommation d'alcool sur tout le territoire national, poursuit le Conseil fédéral. Et de noter que des mesures sont déjà prises. Il est possible d'intervenir dans des cas particuliers contre des personnes ivres. Et les CFF interdisent depuis quelques années la vente d'alcool dans les gares après 22 heures.
La réouverture de la ligne du Gothard est attendue lundi
Des ouvriers travaillent sans relâche depuis mercredi soir pour enlever les 150 mètres cubes de gravats tombés sur la ligne du Gothard lors d'un éboulement entre Erstfeld et Göschenen, dans le canton d'Uri. La circulation devrait être rétablie d'ici lundi.
Interrompue depuis mercredi à cause d'un éboulement, la ligne ferroviaire du Gothard devrait être rétablie sur une voie dans la nuit de dimanche à lundi pour le trafic marchandises, et lundi matin pour les voyageurs.
D'ici là, la liaison entre Flüelen (UR) et Göschenen (UR) est assurée par des bus. Au moins 150 mètres cubes de rochers et gravats se sont abattus sur les voies à Gurtnellen, dans le canton d'Uri, sans faire de blessés, mais empêchant tout convoi de circuler.
Des géologues et des experts se sont rendus sur les lieux pour effectuer une première analyse de la situation jeudi matin et des ouvriers sont sur place pour enlever les morceaux de roches. L'ampleur des dégâts aux installations ferroviaires n'est pas encore connue.
Proche du premier éboulement en juin
L'éboulement a eu lieu entre Erstfeld et Göschenen, non loin de l'endroit où s'était produit un premier éboulement en juin dernier, quand la chute de roches avait causé la mort d'un ouvrier du rail. La ligne était alors restée fermée durant quatre semaines.
Le système d'alarme nouvellement installé dans cette zone critique a parfaitement fonctionné et donné l'alerte. Les trains ont pu s'arrêter à temps et le pire a été évité.
Les voyageurs venant de Bâle, Olten, Aarau ou Berne doivent passer par l'axe du Loetschberg pour se rendre au Sud des Alpes. Un service de bus a été mis en place entre Flüelen et Erstfeld: il faut compter avec une durée de parcours rallongée d'une heure.
Argovie : ouvrier happé mortellement par un train sur un chantier
Un ouvrier de chantier a perdu la vie mercredi à Koblenz (AG), happé par un train régional, alors qu'il travaillait le long de la voie ferrée. Âgé de 52 ans, il a succombé à ses graves blessures peu après avoir été héliporté à l'hôpital, indique vendredi la police argovienne.
De nationalité allemande, le malheureux était occupé avec des collègues à couler du béton afin d'y ancrer des poteaux de caténaires soutenant la ligne de contact près de la gare de Koblenz. Pour une raison inconnue, il se trouvait sur la voie lorsque le train a quitté la gare vers 15h45.
La locomotive du convoi a percuté l'ouvrier, occupé dans une entreprise privée mandatée par les CFF, et l'a projeté à côté des voies. Les collègues de la victime n'ont pas été blessés. Le Ministère public argovien a ouvert une enquête.
La ligne ferroviaire du Gothard rouvrira partiellement dimanche soir
Le rocher qui bloque la ligne ferroviaire du Gothard depuis mercredi a été dynamité samedi matin. Le trafic pourra ainsi reprendre dès dimanche sur une voie, ont annoncé les CFF.
Bonne nouvelle pour les usagers de la ligne ferroviaire du Gothard. L'imposant rocher qui bloque la ligne ferroviaire du Gothard depuis l'éboulement de mercredi a été dynamité samedi matin. Le trafic pourra ainsi reprendre sur une voie dès dimanche en début de soirée, alors qu'une réouverture n'était jusqu'à présent prévue que lundi matin.
Avant que les convois ne puissent à nouveau circuler sur l'axe du Gothard, dès 19h00 dimanche vraisemblablement, il s'agira d'abord de dégager les quelque 150 m3 de roches que l'explosion a mis en morceaux.
"Nous sommes dans les temps", a dit samedi Stephan Wehrle, porte-parole des CFF, confirmant une information de la radio publique alémanique DRS.
Dès lundi matin, les trains voyageurs pourront également recommencer à circuler selon l'horaire, indique Stephan Wehrle.
Capacité réduite
Selon les CFF, les usagers sont invités à se rabattre d'ici là sur l'axe du Lötschberg-Simplon ou à emprunter les bus de remplacement entre Erstfeld (UR) et Göschenen (UR).
La seconde voie ne sera pas disponible, car accaparée pour des travaux de réparations du mur de soutènement. La durée des travaux n'est pour l'heure pas connue.
Environ 150 mètres cubes de roche s'étaient détachés et étaient tombés mercredi après-midi à cause des grosses quantités de pluie ayant sévi les jours précédents. Les plus gros morceaux, entre 70 et 80 mètres cubes, avaient chuté directement sur les rails de la ligne du Gothard.
Reprise du trafic ferroviaire sur la ligne Payerne-Lausanne
Après avoir été perturbé durant deux semaines suite à deux glissements de terrain successifs, le trafic ferroviaire entre Payerne (VD) et Lausanne a repris normalement samedi matin, ont indiqué les CFF.
Le trafic ferroviaire entre Payerne (VD) et Lausanne a repris normalement tôt samedi matin. Il a été perturbé durant près de deux semaines après deux glissements de terrain successifs. Les trains circulent à nouveau selon l'horaire, ont annoncé dans un communiqué les CFF.
Les travaux de déblaiement et de sécurisation de la voie sont terminés entre Ecublens-Rue (FR) et Bressonaz (VD), selon les CFF. Ces derniers ont tiré profit de ces incidents pour anticiper la pose prévue d'éléments préfabriqués d'un nouveau passage inférieur à Bressonaz.
Glissements de terrain suite à de fortes pluies
De fortes pluies avaient provoqué deux glissements de terrain sur ce tronçon, à quelques jours d'intervalle.
Le trafic ferroviaire a été totalement interrompu depuis le dimanche 4 novembre en soirée. Des bus de substitution ont circulé entre Ecublens-Rue et Moudon (VD).
Cornavin Incidents après le match Servette-Sion
Un important dispositif policier a été déployé lors du derby romand Servette – Sion afin de prévenir tout débordement entre les supporters des deux équipes. Avant le début du match, dix interdits de stade servettiens et deux autres du côté sédunois ont été interceptés et n’ont par conséquent pas pu assister à la rencontre. Après le match, remporté 2-0 par le FC Sion, des supporters des deux camps en sont venus aux mains à l’extérieur du stade. Plus tard, des échauffourées ont eu lieu à la gare Cornavin ainsi que dans les rues environnantes. La police a procédé à douze interpellations, onze Genevois – qui seront entendus sur les faits, et un Sédunois qui a détérioré une caméra de surveillance. Ce dernier fait désormais l’objet d’une interdiction de stade de trois ans et d’une autre de périmètre de six mois.
La ligne ferroviaire du Gothard a rouvert
La ligne du Gothard, en dérangement depuis plusieurs jours à la suite d'un éboulement survenu le 14 novembre, permet de nouveau le trafic des voyageurs et des marchandises, ont indiqué les CFF.
La ligne ferroviaire du Gothard est à nouveau ouverte au trafic des voyageurs et des marchandises depuis dimanche. Le dérangement entre Erstfeld (UR) et Göschenen (UR) a pu être résolu, et les trains circulent à nouveau selon l'horaire, ont indiqué les CFF.
"Les travaux de déblaiement ont vite avancé", a indiqué à l'ats un porte-parole des CFF, Stephan Wehrle. Seule une voie est dégagée. La seconde n'est pour le moment pas disponible, car accaparée pour des travaux de réparations du mur de soutènement. "Ces éléments n'auront pas de conséquence pour le trafic", a assuré le porte-parole.
Environ 150 mètres cubes de roche s'étaient détachés de la paroi et étaient tombés mercredi après-midi en raison des grosses quantités de pluie des jours précédents. Les plus gros morceaux, entre 70 et 80 mètres cubes, avaient chuté directement sur les rails de la ligne du Gothard. Le bloc rocheux avait été dynamité samedi.
CFF/Sécurité : le système ETCS équipe déjà près d'un tiers des trains
Les CFF poursuivent l'installation du système d'arrêt automatique ETCS sur leur matériel roulant. Actuellement, quelque 480 des 1700 véhicules CFF sont déjà équipés. Un contrat pour doter 230 trains affectés au trafic régional a été attribué à Siemens.
Le système "European Train Control System" (ETCS) permet aux convois de circuler à des intervalles très rapprochés dans des conditions de sécurité maximum. Les trains grandes lignes et une partie des véhicules Cargo disposent déjà de ce système, a indiqué mercredi la compagnie ferroviaire dans un communiqué.
Reste à installer le dispositif sur les convois qui assurent le trafic régional et qui sont encore dotés de l'ancien système "SIGNUM" et ZUB". Une deuxième étape est franchie pour 230 véhicules de CFF Cargo, Infrastructure, RegionAlps et FERROVIENORD qui sont appelés à rouler sur des tronçons avec signalisation en cabine à partir de mi-2015.
Le contrat a été attribué à Siemens pour un montant non divulgué portant sur une somme "en millions à deux chiffres", indique le communiqué. L'adjudication a été publiée sur la plate-forme simap.ch qui répertorie les appels d'offre des pouvoirs publics. Lors d'une phase ultérieure, à partir de 2018, les 1000 véhicules restants feront l'objet d'un autre appel d'offre.
A partir de 2014, tout nouveau véhicule intégrant le parc des CFF devra en principe être équipé de l'ETCS ou du moins être prêt à être doté de ce dispositif. Parallèlement, 11'000 balises sont également en cours d'installation sur le réseau ferré. L'ensemble du réseau doit être à jour d'ici 2025. L'ETCS est un standard européen.
Suppressions de trains à Genève
Ce week-end, des travaux entraîneront des perturbations du trafic ferroviaire dans le canton de Genève. Des bus de remplacement assureront le transport des usagers.
Des travaux sur le réseau ferroviaire de Genève occasionneront des suppressions de trains.
Ce week-end, des suppressions de trains sont prévues sur les lignes Genève – Genève aéroport, Genève – La Plaine et Genève – Lancy – Pont-Rouge. En cause, l’installation de deux nouveaux enclenchements à la Praille et à Meyrin visant à répondre à une augmentation de 100% de passagers d’ici 2030. «Le chantier de ce week-end s’inscrit dans un vaste programme de travaux visant à moderniser entièrement l’infrastructure ferroviaire dans le canton de Genève», informe le service communication des CFF. A cet effet, ce ne sont pas moins de 360 millions de francs qui seront investis d’ici 2015 en plus des coûts entraînés par la réfection de la gare Cornavin et la réalisation de la liaison CEVA.
Perturbations
Ligne Genève – Genève aéroport
Interruption du trafic le samedi 24 novembre de 22h35 jusqu’à la fin du service. La ligne de bus numéro 5 des TPG pourra être empruntée entre Genève aéroport et Cornavin (fréquence augmentée pour l’occasion). Le temps de parcours sera prolongé de 15 minutes environ.
Ligne Genève – Lancy – Pont-Rouge
Interruption du trafic vendredi 23 novembre de 22h00 jusqu’au lundi 26 novembre à midi. A la place, les clients pourront emprunter la ligne de bus numéro 15 des TPG (fréquence augmentée pour l’occasion). Le temps de parcours sera prolongé de 30 minutes environ.
Ligne Genève – La Plaine
Interruption du trafic entre Meyrin et Genève Cornavin le vendredi 23 novembre de 22h30 jusqu’à la fin du service. La première liaison du samedi 24 est également concernée (train de 5h12). Des bus de remplacement circuleront. Le temps de parcours sera prolongé de 15 minutes environ.
Des informations détaillées pourront être obtenues directement dans les gares concernées.
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