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motrice125 Wrote:Bonsoir Comme Thor Navigator critique systèmatiquement la presse ferroviaire,pourquoi ne met t' il pas ses compétences aux service de ces revues comme Vie du Rail et Transports,Rail Passion, Connaissance du Rail. C'est trop facile de remettre en question les idées des autres défenseurs du chemin de fer.
Je n'ai pas eu de réponse concernant la ligne Vallorbe Dijon,ou il y a un risque de suppression du TGV Lausanne Paris ? Que va devenir cette ligne,Trafic TER inexsistant pas plus que le FRET
motrice125 Wrote:J'habite Genève ,les relations avec la France ne font que se dégrader.Depuis des années des trains sont remplacés par des bus sur Genève Lyon,pour Grenoble avant difficile d'y arriver avant 12 heure,et maintenant moitié train moitié car . pour Valence idem....J'ai eu l'occasion de prendre le TGV Genève Paris par la ligne du Haut Bugey,Arret presque obligatoire à Nurieux pour croiser,sans déservir cette Gare (ou les clients aimeraient plus de dessertes
* j'ai constate que plusieurs voyageurs utilisent le TGV Paris Genève entre Bourg en Bresse et Bellegarde,est ce normal de n'avoir pas le choix,de payer une réservation ?
Didier 74 Wrote:Sur Bourg - Bellegarde, le TGV est le seul transport public performant en temps de parcours. La Région Rhône-Alpes, qui ne veut pas financer une desserte TER Bourg - Bellegarde, pourrait au moins négocier avec Lyria et SNCF Voyages un libre accès des voyageurs régionaux sur ce parcours.
Thor Navigator Wrote:Que RFF commence par relever la VL à 160 sur Pontcharra-Gières (ce qu'il n'a pas retenu avec l'électrification !)... et que le CR Rh-Alpes envisage des relations accélérées Chambéry-Grenoble avec un seul arrêt intermédiaire à Gières. On pourrait sur cette base viser des temps de parcours de 38' entre les deux villes (ou 35' sans arrêt), assez compétitif face à la route, surtout aux heures de pointe. Les deux autres leviers en matière de gain de temps sont les entrées/sorties de Chambéry et Grenoble (avec leur anachronique 30 sauf à Chambéry sur voie 2 en venant de Montmélian) et la zone de Montmélian limitée à 60 (je crains qu'un réaménagement de la bif coûte cher mais on pourrait au moins regarder dans quelle mesure un relèvement à 80/90 serait réalisable, idéalement avec un sauf de mouton [mais sur ce dernier point, je n'y crois pas trop]). Avec l'ensemble de ces mesures, on devrait pouvoir viser les 32' sans arrêt.
Dans les années 80, les meilleurs trains reliaient Grenoble à Chambéry en 36' (sans arrêt intermédiaire). C'était avant la mise en place du KVB et à une époque où rouler au trait était réellement pratiqué (mais cela n'explique qu'à la marge [une à deux minutes en comtant large] l'écart avec aujourd'hui. La généralisation des arrêts intermédiaires (dont celui de Gières plutôt généreux en durée avec des AGC) a fait logiquement augmenter le temps de parcours.
Transports : Rhône-Alpes sur le point de rejoindre le pôle métropolitain
Rhône-Alpes pourrait mutualiser le transport ferroviaire régional, qu’elle gère, dans l’offre multimodale du futur pôle métropolitain. Son concours permettrait d’outrepasser la discontinuité territoriale du pôle en apportant le concours du rail.
Est-ce la fin du jeu de dupes sur la question des transports entre les différentes collectivités locales ? En conférence de presse mardi matin, le président de Région Jean-Jack Queyranne a fait part de son souhait de "rassembler tout le monde pour une meilleure coordination des transports en communs." Bus, tramway, métro, et désormais trains réunis sous une tarification commune? "Ce projet donnerait une véritable force à Rhône-Alpes", confesse Queyranne.
Le pôle métropolitain, ce nouveau syndicat mixte fermé, superstructure des établissements publics de collaboration intercommunale (EPCI), n’aura certes pas de fiscalité propre, mais portera des actions dans le domaine de l’économie, de la culture, des transports et de l’aménagement. Sans automaticité de transfert de compétences. Une super auberge espagnole en quelque sorte. Le protocole d’orientation a été signé à la mi-janvier entre les représentants du Grand Lyon, des communautés d’agglomérations de Saint-Etienne métropole, des Portes de l’Isère (CAPI) et du Pays Viennois. La question des transports représente son enjeu central car ces quatre institutions sont discontinues géographiquement. Seul le concours du ferré permettrait de lier ces territoires, donnant une légitimité à l’initiative du pôle métropolitain.
"Cela ne signifie pas pour autant un démembrement de la région", recadre Queyranne. Evidemment, toutes les compétences régionales ne se retrouverait pas englouties dans la seule entité du pôle métropolitain. La Région déciderait sciemment de garnir l’offre transport avec le ferré qu’elle gère. Un incontournable pour créer une offre de transports multimodale à tarification zonale, sur le même modèle que Paris et sa couronne. C’est là l’objectif. Le Département, qui souhaitait se retirer du Sytral pour créer son propre syndicat de transport, se retrouverait ainsi bien dépourvu si Rhône-Alpes cède aux sirènes métropolitaines. Il semble que le président du Conseil général Michel Mercier se soit déjà fait à l’idée d’un rétropédalage départemental sur la question. Reste à convaincre François Hollande, qui a promis de faire sauter la réforme territoriale s’il est élu président de la République en mai 2012. Mais Queyranne se dit "confiant" pour l’avenir de ces superstructures. "Aujourd'hui les pôles métropolitains existent, on ne peut plus rien y faire, concède-t-il. En plus, en France on ne supprime pas les structures, on en crée toujours plus."
Thor Navigator Wrote:Salut,
cette marche performante était je pense rendue possible par un stationnement limité à 1' à Gières et un tracé en voie directe à Chambéry (arrivée vA possible à 60 contre 30 pour les autres voies). On peut sur cette base avoir un temps de parcours plus court d'une bonne minute dans ce sens (vers Grenoble, la sortie de Chambéry est à VL30 sur toutes les voies). Dans le message précédent, les temps de parcours s'entendent dans le sens le moins favorable ou avec une entrée/sortie à 30 de Chambéry.
La directrice de la SNCF en Rhône-Alpes décorée
Josiane Beaud va recevoir la Légion d'honneur ce vendredi. Une décoration qui fait grincer des dents après le long conflit des cheminots de la Loire.
Josiane Beaud, la directrice régionale de la SNCF, va être décorée ce vendredi de la Légion d’honneur à la préfecture du Rhône.
Mauvais timing, alors que le long conflit au dépôt de Saint-Etienne est encore dans toute les têtes et que les usagers de certaines lignes, comme la ligne Lyon-Ambérieu ou Givors-Lyon ont montré plus d’une fois leur exaspération.
Le syndicat Sud Rail s’est d’ailleurs fendu d’un communiqué pour “s’insurger” de cette décoration.
Le Pôle Métropolitain de Lyon n'emballe pas la Région
Le Conseil Régional a étudié le projet de création d'un syndicat mixte pour le transports, à l'initiative du Pôle Métropolitain créé par le Grand Lyon avec Saint-Etienne Métropole, La CAPI et le Pays Viennois. Mais la discussion autour du syndicat de transports, a évolué en débat plutôt critique sur un Pôle Métropolitain qui remet en cause l'action régionale.
" Il faut tirer les conclusions de l'échec des deux Initiatives d'Excellence. Nous devons aller ers un modèle californien, avec une seule université Rhône-Alpes". Jean-Jack Queyranne, président de la Région Rhône-Alpes a rappelé ce vendredi lors du Conseil Régional l'importance du fait régional.
Le président de la Région concluait les échanges autour du projet de délibération sur la création d'un syndicat mixte des transports, l'initiative du Pôle Métropolitain lyonnais, lancé par le Grand Lyon, sous l'impulsion de Gérard Collomb, président de la Communauté Urbaine de Lyon. Le débat a montré les très grandes réserves autour du projet de pôle métropolitain. Pour de nombreux intervenants, le Pôle métropolitain est une couche supplémentaire dans le mille feuilles administratif actuel déjà peu lisible ( et parfois peu efficace)
Le pôle métropolitain lancé par Lyon n'est pas une métropole, mais un syndicat mixte fermé, auquel la la Région ne peut adhérer. Pour le moment le Pôle ne compte comme intercommunalités que le Grand Lyon, Saint-Etienne Métropôle, le Pays Viennois et la Communauté d'Agglomération du Pays Viennois.
Le risque est de créer à côté du pôle, des espaces interstitiels, des zones rurales qui risqueraient fort d'être délaissées. Le projet de pôle a été soutenu par Kovacs ( élu de l'Isère) très critique vis à vis de l'action de la Région en matière de transport.
Il apparait évident pour beaucoup d'élus régionaux que la création d'un pôle, d'un nouveau syndicat mixte de transports, fragiliserait la construction régionale. Ce serait mettre en cause un réseau des villes, au delà des frontières des métropoles.
Plusieurs amendements ont mis en avant l'importance de l'action régionale, au niveau de l'efficacité, comme au niveau de la solidarité. Didier Jouve, Conseiller Régional ( PSEA) a même estimé que le vote de la Région pouvait être un jour considéré comme le jour où le Conseil régional a abandonné la Région.
http://telechargement.ter-sncf.com/Images/Rhone_Alpes/Tridion/valence_-_avignon_18_et_25_fév_tcm-31-73278.pdf
BUS TPG Wrote:Pas mal de trains sont indisponibles à cause des mauvaises conditions météorologiques et des dégats causés aux matériels ! Ce qui explique sans doute cette situation même si il est regrettable de ne prévoir aucune substitution...
manucdv Wrote:BUS TPG Wrote:Pas mal de trains sont indisponibles à cause des mauvaises conditions météorologiques et des dégats causés aux matériels ! Ce qui explique sans doute cette situation même si il est regrettable de ne prévoir aucune substitution...
manque de matériel le samedi, ben voyons
Didier 74 Wrote:Par ailleurs, SNCF pourrait recourir à des voitures Corail et des locomotives diesel pour assurer les dessertes Valence – Briançon lors des hyperpointes.
Or, SNCF préfère utiliser des rames BGC en unité multiple, qui ne sont pas utilisées habituellement pour la desserte Valence – Briançon (assurée avec des X 72500).
Gare SNCF de Roanne : le personnel est gelé, le guichet est fermé
Les voyageurs ont pris leur billet aux distributeurs automatiques. Pour ceux qui n’avaient pas de carte bancaire, ils ont été invités à s’adresser au contrôleur, directement dans le train.
Gare. Depuis mardi, le guichet de la gare de Roanne est fermé car le personnel a fait valoir son droit de retrait en raison de la chute des températures puisqu’il faisait entre 12 et 15° suite à une panne du système de chauffage.
Depuis mardi à 16 heures, les portes des guichets de la gare de Roanne sont closes. Le personnel a fait valoir son droit de retrait en raison de la chute des températures consécutive à une panne du système de chauffage.
Il y faisait entre 12 et 15° quand les guichetiers ont arrêté. Au lieu d’envoyer de l’air chaud, le système de climatisation réversible s’est mis à envoyer de l’air froid. « Quand on ne bouge pas de la journée, on a froid » indiquait hier l’un des guichetiers qui était mobilisé dans la salle des pas perdus pour orienter les voyageurs et les aider à retirer leur billet aux distributeurs automatiques.
« On a été alerté et on a donc répercuté l’alerte vers nos dirigeants » expliquait hier Cédric Boindron, membre du CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail) ; « C’est sûr que les conditions de travail ne sont pas adéquates avec leurs métiers, mais aussi pour les clients. Les salariés manipulent l’informatique et ils étaient quasiment obligés d’avoir des gants… »
Ce n’est pas la première fois que les guichets sont fermés à cause du froid. La même procédure avait été enclenchée en décembre 2009 et des travaux étaient justement en cours pour améliorer le chauffage de cette salle lorsque la panne de mardi a eu lieu. Car les partis pris d’aménagement de cette gare complètement refaite jusqu’en juillet 2009 font aujourd’hui débat : la salle du guichet est haute sous plafond ce qui la rend difficile à chauffer. Et les vitres qui séparent la salle du guichet de celle des pas perdus comportent des interstices entre les vitres qui ont été laissés au nom de l’esthétique mais laissent passer l’air froid. Ceux-ci vont donc être bouchés, des radians installés vers les guichetiers et un sas aménagé à l’entrée de la salle. Les salariés reprendront le travail aujourd’hui si les températures y sont favorables.
En attendant, certains clients qui arrivaient en gare de Roanne pestaient. « Vivement la mise en concurrence » lançait une cliente de 72 ans qui ne comprenait pas ; « Là, tout est fermé, les guichets, l’accueil… » Chez certains, la réaction est d’autant plus vive que la grève de décembre était encore fraîche dans les mémoires.
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