Modérateurs: kyah117, Terroir, jerome, Tchouks
38420 Wrote:
Sur certains matériels, lorsqu’il y a "surcharge de voyageurs", des restrictions de circulation sont imposées.
J’ai en tête le cas du TGV : réductions de vitesse si il y a trop de monde : plus de 40 voyageurs debout par remorque !
L’AGC vers la Bourgogne, qui ne part de la gare de Paris Bercy car trop chargé (les essieux ont été dimensionnés pour du TER et non pour un train de banlieue …)
Mais le TER 2N est aussi concerné comme montre le reportage de France 3 à la Part Dieu :
http://info.francetelevisions.fr/video- ... HONE_ALPES
(Reportage région/Rhône-Alpes/incident SNCF du 12-01)
Dans lequel on voit un TER pour St Etienne (composition réduite à la suite de la grève de St Etienne) qui ne part pas car en surcharge (la plateforme ne semble pourtant pas être particulièrement chargée … ce n’est pas la ligne A de l’IDF !!)
Un forumeur connaît-il la règle des surcharges voyageurs sur le TER 2N (PG ou NG) ?
D’avance merci
François
manucdv Wrote:remplaçons les trains par des cars en journée, cela dégagera du matériel pour les pointes du matin et du soir
François Wrote:manucdv Wrote:remplaçons les trains par des cars en journée, cela dégagera du matériel pour les pointes du matin et du soir
Au moins, les autocaristes ne font pas grèves
François Wrote:Au moins, les autocaristes ne font pas grèves
manucdv Wrote:Mme Beaud va nous sauver :-(
remplaçons les trains par des cars en journée, cela dégagera du matériel pour les pointes du matin et du soir![]()
Rémi Wrote:Salut
L'écrémage des heures creuses n'a aucun impact sur le dimensionnement des heures de pointe et ne génère qu'une économie limitée puisque le matériel et le personnel sont définis pour les heures de pointe. Supprimer les trains en heures creuses ne permet donc pas d'économiser en nombre de lignes de roulement ni en journées de service.
Ce n'est donc pas en supprimant des TER en creux de journée qu'on dégagera des rames supplémentaires pour les pointes !
A+
Rémi
Rémi Wrote:Salut
L'écrémage des heures creuses n'a aucun impact sur le dimensionnement des heures de pointe et ne génère qu'une économie limitée puisque le matériel et le personnel sont définis pour les heures de pointe. Supprimer les trains en heures creuses ne permet donc pas d'économiser en nombre de lignes de roulement ni en journées de service.
Ce n'est donc pas en supprimant des TER en creux de journée qu'on dégagera des rames supplémentaires pour les pointes !
A+
Rémi
manucdv Wrote:modification à venir le car Rives 7h20 - La Tour du Pin 8h circulant du lundi au vendredi va partir à 7h05 de Rives à partir du lundi 23 janvier :
Il était quasi systématiquement en retard à l'arrivée à La Tour du Pin empêchant la correspondance avec le ter à La tour du Pin de 8h12 pour Lyon Part Dieu
Un syndicat mixte de transports en Rhône-Alpes
Les agglomérations de Lyon, Saint-Etienne, Bourgoin-Jallieu et Vienne ont signé le 19 janvier 2012 un protocole d'orientation pour la création d'un Syndicat métropolitain des transports (SMT). Objectif, rendre plus attractifs les déplacements entre les quatre agglomérations, en dépassant la complexité institutionnelle actuelle.
Ce n'est pas un hasard si la première action du pôle métropolitain unissant les agglomérations de Lyon, Saint-Etienne, Bourgoin-Jallieu et Vienne et qui sera officiellement créé en avril 2012, porte sur l'amélioration des transports. Unies, ces quatre agglomérations "pésent" près de 2 millions d'habitants, 140 communes et 1 million d'emplois. Quotidiennement 45 000 déplacements domicile travail sont effectués entre les quatre agglomérations
Tarification zonale
Sans attendre la création d'un schéma métropolitain des services de déplacements, qui sera la feuille de route de la métropole en matière de mobilité pour les années à venir, ce nouveau syndicat mixte des transports (SMT) portera son effort sur deux actions prioritaires :
•Mise en place d'une tarification multimodale zonale.
L'objectif est d'aller au-delà des accords tarifaires existants, en développant un titre de transport, supporté par la carte OùRA!, qui permette de circuler sur l'ensemble des réseaux, quelles que soient les autorités organisatrices, avec une tarification par zones ("Carte Orange" métropolitaine).
La mise en oeuvre sera progressive ; il s'agit à court terme d'engager la dynamique, avant d'envisager un déploiement sur l'ensemble du territoire de l'aire métropolitaine lyonnaise et sur tous les réseaux.
•Amélioration de l'accès au réseau métropolitain de transports en commun.
L'idée est de faciliter l'accès des usagers à ce réseau, notamment en développant les parcs relais de stationnement et les autres modes de rabattement vers le réseau structurant (lignes complémentaires ou navettes de rabattement, itinéraires modes doux...).
Les quatre agglomérations et le Sytral membres du SMT veulent établir "des relations privilégiés" avec la région Rhone-Alpes, autorité organisatrice des transports ferroviaires et les départements qui souhaiteraient s'inscrire dans cette démarche.
C'est quoi un pôle métropolitain ?
La constitution d'un pôle métropolitain s'inscrit dans le cadre de la loi du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales.
Assimilé à un syndicat mixte fermé, le pôle métropolitain est un établissement public constitué par accord entre des établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre, en vue d'actions d'intérêt métropolitain en matière :
- de développement économique,
- de promotion de l'innovation, de la recherche, de l'enseignement supérieur et de la culture,
- d'aménagement de l'espace par la coordination des schémas de cohérence territoriale dont le périmètre est identique à celui des EPCI qui composent le pôle,
- de développement des infrastructures et des services de transport.
Des gros porteurs sur les voies
Les rames « gros porteurs » offriront entre 150 et 200 places de plus que les rames actuelles.
TER La SNCF a présenté hier des solutions pour désengorger les lignes régionales saturées
Des trains de plus grande capacité pour désengorger les lignes TER saturées. La SNCF a indiqué hier que 40 rames « gros-porteurs » seraient mises progressivement en circulation en 2014 sur les axes Lyon-Grenoble et Lyon-Saint-Etienne, les plus fréquentés en Rhône-Alpes avec plus de 18 000 voyageurs quotidiens.
Commandés par la région Rhône-Alpes pour un montant de 375 millions d'euros, ces trains à deux niveaux, dont la mise en service s'échelonnera jusqu'en 2015, offriront entre 150 et 200 places de plus qu'aujourd'hui. « Ils permettront de transporter un tiers de passagers supplémentaires », a précisé hier la directrice régionale de la SNCF Josiane Beaud.
Plus de liaisons en car ?
Mais ces nouveaux matériels ne suffiront pas à désengorger ces deux lignes, saturées en heure de pointe, tout comme le nœud lyonnais, emprunté aujourd'hui par 815 trains contre 650 l'an passé. « Nous n'avons plus de réserves de matériels, plus de nouveaux sillons, explique Josiane Beaud. La seule solution est d'augmenter les capacités de transport ». La directrice plaide ainsi pour « la complémentarité » et notamment le développement des voyages en cars « pas plus polluants qu'un train ». Sur des trajets très ciblés, comme les liaisons déjà proposées le week-end pour relier les fonds de vallée aux campus rhônalpins, ou en remplacement de trains peu fréquentés. Ou encore en complément de rames surchargées.
Un AUDIT DÉVOILÉ VENDREDI
Le directeur général de la SNCF Guillaume Pépy présentera, vendredi à Lyon, au comité des partenaires le résultat des audits réalisés en 2011 sur les trois lignes « malades » de la région, touchées par de multiples retards et annulations : Lyon-Grenoble, Lyon-Ambérieu et Lyon-Dijon.
2012, année reconquête pour la SNCF Rhône-Alpes
Après une année 2011 marquée par les retards et les grèves, la SNCF souhaite redorer son blason et attend beaucoup de 2012, à commencer par l’arrivée des tram-trains.
La grève des cheminots de Saint-Étienne et son impact sur sa liaison avec Lyon est encore dans tous les esprits. Et pourtant, les chiffres pour l’année 2011 sont bien meilleurs que 2010, année déjà marquée par les problèmes sur les lignes de chemins de fer de la région. "Nous avons 90% de régularité pour les TER et 89% pour les TGV. C’est deux points de plus que l’année précédente", affirme Josiane Beaud, la directrice régionale de la SNCF Rhône-Alpes, qui est aussi satisfaite de ses résultats sur les lignes dites "sensibles" ou "malades" : "La régularité a augmenté de trois points sur les lignes Lyon-Saint-Étienne, Lyon-Grenoble et Lyon-Ambérieu." La fin de semaine sera d’ailleurs à enjeu pour ces lignes puisque vendredi, Guillaume Pépy, le président de la SNCF, fait le déplacement à Lyon pour présenter un audit. Des propositions à court et à long terme pour améliorer la ponctualité et le service sont attendues par les associations d’usagers. Des usagers en colère (notamment ceux qui sont descendus sur les voies à Givors mardi dernier) qui seront reçus samedi par les responsables régionaux pour clarifier la situation. Josiane Beaud doit leur confirmer le déploiement dès 2014 de nouveaux trains, dits "gros porteurs" : actuellement en construction, ces rames peuvent transporter plus de 1000 passagers, contre 800 actuellement pour les plus gros trains. Ils circuleront aux heures de pointe entre Lyon-Grenoble et Saint-Étienne.
Le tram-train dans l’ouest lyonnais, enfin !
En attendant, il risque toujours d’y avoir quelques "aléas", comme aime le répéter la directrice des trains de Rhône-Alpes, car leur nombre a encore augmenté en Gare de Lyon-Part-Dieu : "Nous sommes passés de 670 à 816 trains par jour." Et pas possible selon la responsable de reporter des trains en Gare de Perrache, "qui est aussi surchargée que celle de la Part-Dieu en heure de pointe." A l’ouest, rien de nouveau donc, ou presque… La SNCF espère lancer en septembre prochain (avec un an de retard) son train-train sur les lignes de l’ouest lyonnais, vers Lozanne, Saint-Bel et L’Arbresle. L’homologation par Alstom, le constructeur de ces rames, doit être acquise au cours du printemps. Les derniers essais seraient en cours près de Nice et de Chambéry.
motrice125 Wrote:Bonjour Dans La revue Vie du Rail et Transports "5 ( janvier 2012),il y a un article concernant la ligne du Haut Bugey et les désavantages du TGV. Les clients des TERs sont " heureux " du service rendu depuis que le TGV passe par Bellegarde Nurieux,Bourg en Bresse.Pour les défenseurs du Tout TGV,encore une fois celui çi casse les services locaux TER.(faire circuler des autorails çà coute trop cher)
motrice125 Wrote:Bravo aux contestaires de la Région PACA qui s'opposent au tracé de la LGV ainsi qu'à son utilité. Comme chaque fois ces LGV se construisent aux détriments des lignes classiques
Bonjour Dans La revue Vie du Rail et Transports "5 ( janvier 2012),il y a un article concernant la ligne du Haut Bugey et les désavantages du TGV. Les clients des TERs sont " heureux " du service rendu depuis que le TGV passe par Bellegarde Nurieux,Bourg en Bresse.Pour les défenseurs du Tout TGV,encore une fois celui çi casse les services locaux TER.(faire circuler des autorails çà coute trop cher)
Bravo aux contestaires de la Région PACA qui s'opposent au tracé de la LGV ainsi qu'à son utilité. Comme chaque fois ces LGV se construisent aux détriments des lignes classiques
Sur la ligne Lausanne Dijon il est question de supprimer les TGV Lausanne Paris ... à quoi cette ligne ( Vallorbe Dole, Dijon) va t elle servir ? Les défenseurs du chemin de fer,il faut vous réveiller,sinon la "casse " va continuer
TROIS QUESTIONS A Jean Vaylet Président de la CCI de Grenoble"Pour une liaison ferroviaire rapide avec Chambéry"
Grenoble maintient toujours les mêmes atouts économiques ?
"Le triptyque recherche/industrie/enseignement supérieur marche toujours aussi bien sur Grenoble et les différentes labellisations liées aux investissement d'avenir le prouvent." [...]
Mais aussi des points noirs ?
"Nous avons besoin d'améliorer notre image dans différents domaines. [...] Et régler ce problème récurrent de desserte routière et de circulation en région grenobloise. Cela n'aide pas à l'implantation de personnes et d'entreprises dans notre région."
Avec un impact économique ?
"Nous avons la volonté de faire. Mais sans les infrastructures pour faire. Car c'est bien de porter de grands projets [...]. Mais si l'on ne peut accéder à Grenoble d'une manière simple et naturelle, si l'on ne règle pas le problème de l'A51, seule autoroute de France qui n'est pas reliée par les deux bouts, ou si l'on ne possède pas de TGV vraiment rapide entre Grenoble et Lyon, et gagner une demi-heure pour accéder à la capitale ... Cela devient un véritable frein au développement. Je suis aussi demandeur d’une liaison ferroviaire rapide et à forte fréquence avec Chambéry. Car notre développement se fera aussi avec la Savoie. Cela industrialiserait toute la vallée entre les deux villes“.
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