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motrice125 Wrote:Duel au Sommet entre Rhone Alpes et RFF Encore une ligne du réseau secondaire qui ne trouve pas d'argent pour mettre à niveau ses voies... à force d'attendre pour refaire les voies,celà coute de plus en plus cher quand il faut tout refaire..Le comble c'est que le matériel roulant est presque neuf,(comme le Blanc Argent ,matériel moderne qui roule sur des voies de chemin de fer de carrière ).Il y a quelques années le chemin de fer Martigny Chatellard MC avait proposé d'exploiter la ligne jusqu'au Fayet résultat le tolé coté syndicat....
Thor Navigator Wrote: La ligne souffre avant tout d'être positionnée dans un département riche qui a mis tous ses oeufs dans le même panier (la route) depuis des décennies, n'ayant que faire des dessertes ferroviaires, à l'inverse des cantons voisins de la Confédération helvétique.
Didier 74 Wrote:Thor Navigator Wrote: La ligne souffre avant tout d'être positionnée dans un département riche qui a mis tous ses oeufs dans le même panier (la route) depuis des décennies, n'ayant que faire des dessertes ferroviaires, à l'inverse des cantons voisins de la Confédération helvétique.
En une phrase tu as parfaitement présenté la situation présente et future de la ligne. Prioritairement la modernisation va concerner le tunnel des Montets plutôt que de moderniser l'infra.
Il y a un comité de ligne cette semaine à Chamonix.
Thor Navigator Wrote:Pousser autant au développer du trafic routier dans un territoire sensible de montagne comme la Haute-Savoie et en particulier dans le massif du Mont-Blanc est un contresens historique majeur, de mon point de vue. On a massacré la vallée en la transformant en un corridor à camions...
Thor Navigator Wrote:Les financements des investissements en matière ferroviaire par les départements existent depuis longtemps, même si ce n'était pas la règle bien évidemment. On peut rappeler le cas de l'électrification/modenisation (a minima) de la ligne de la Tarentaise, à laquelle le Conseil général de Savoie a contribué, dans une modeste mesure (par rapport au niveau des investissements routiers réalisés en parallèle).
François Wrote:Thor Navigator Wrote:Pousser autant au développer du trafic routier dans un territoire sensible de montagne comme la Haute-Savoie et en particulier dans le massif du Mont-Blanc est un contresens historique majeur, de mon point de vue. On a massacré la vallée en la transformant en un corridor à camions...
Totalement d'accord !Thor Navigator Wrote:Les financements des investissements en matière ferroviaire par les départements existent depuis longtemps, même si ce n'était pas la règle bien évidemment. On peut rappeler le cas de l'électrification/modenisation (a minima) de la ligne de la Tarentaise, à laquelle le Conseil général de Savoie a contribué, dans une modeste mesure (par rapport au niveau des investissements routiers réalisés en parallèle).
Oui car certains départements ont eu cette intelligence d'appliquer ce que l'on appelle la règle de non exclusivité, ce que l'état souhaite remettre en cause si les orientations des groupes de travaux parlementaires et sa volonté de réorganiser les collectivités se met en place...
Cela a conduit (à mon sens) à des abus : l'état (et les citoyens) ont trop longtemps pris l'habitude de taper à la porte des collectivités locales (et donc sur les contribuables locaux). Or, en matière de grands investissements, la solidarité nationale doit s'appliquer et faire peser ces lourdes charges localement péjorent les capacités financières des CG / CR / CA et autres.
Or, les budgets sont aujourd'hui contraints par l'état qui réduit également ses dépenses régaliennes en les faisant peser sur les collectivités locales. Cela ne pourra pas continuer bien longtemps et il est évident que cela se traduira, à l'avenir, vers moins de financement hors champ de compétence. Si on y rajoute la crise et la rigueur annoncée, l'avenir est plus qu'incertain pour ces petites lignes.
Didier 74 Wrote:Fin janvier 2011 aux Houches, une convention entre les collectivités locales et RFF avait été signé pour la modernisation de la ligne et du tunnel des Montets. Les travaux ont été estimés à 52,5M€. Le 6 octobre 2011 lors du comité de pilotage des travaux, RFF a informé les collectivités que les travaux auraient un coût très supérieur (22 M€ en plus) au montant initialement envisagé. RFF avait alors suggéré de renoncer à l'augmentation du débit de la ligne. Cette proposition a soulevé un tollé général de la partie des collectivités. Le maire de Chamonix, Éric Fournier, a pris la tête de la fronde. Une rencontre entre les élus locaux et le président de RFF, Hubert Du Mesnil, a eu lieu fin novembre à Paris.
Philippe Soleil a reconnu que le montant des travaux avait été sous estimé par RFF. Éric Fournier a avoué qu'on trouverait pas les 22M€ demandés par RFF. Il considère que les collectivités locales ne doivent payer l'entretien du réseau ferré national. Mais pour avancer les dossiers, les Régions participent de plus à l'entretien du réseau face aux efforts insuffisants de l'État en la matière. Le maire de Chamonix a notamment mentionné les efforts financiers de la Région Rhône-Alpes pour moderniser le sillon alpin sud (Valence - Chambéry). Il relie tout cela à la problématique du sous financement du réseau ferroviaire en France. Néanmoins, Eric Fournier pense que quelques millions supplémentaires pourront être mis par les collectivités pour compléter le financement.
RFF va présenter plusieurs scénarios de modernisation de la ligne lors du prochain comité de pilotage.
Selon les informations délivrées par Philippe Soleil et Éric Fournier lors du comité de ligne, la ligne sera coupée entre Chamonix et la frontière du 2 avril au 7 décembre 2012 et du 1er avril au 6 décembre 2013. Le financement de la modernisation du tunnel des Montets est acquis. Le Conseil général de la Haute-Savoie a décidé de rallonger son enveloppe budgétaire pour ce projet. En même temps que les travaux au tunnel, RFF menèra une opération conséquente de modernisation de la ligne ferroviaire entre Chamonix et la frontière. La voie ferrée et le ballast devraient être rénouvelés sur une grande partie de l'itinéraire. Mais les travaux comprendront aussi des améliorations de la ligne. La signalisation sera changée dans l'objectif de permettre la circulation d'un train toutes les 30 minutes entre Chamonix et Vallorcine. Cela semble répondre aux besoins de mobilité de la vallée de Chamonix, puisque 80% des déplacements dans ce secteur sont des déplacements internes au périmètre de transports urbains de la communauté de communes de Chamonix selon Éric Fournier.
Pour Éric Fournier, le choix des collectivités locales de moderniser la ligne Saint-Gervais - Vallorcine constitue "un projet de société". Il relie ce projet à la mise en place dès janvier 2012 d'un plan de protection de l'athmosphère dans la vallée de l'Arve et à l'élaboration d'un plan climat volontariste par la communauté de communes de Chamonix.
La section Saint-Gervais - Chamonix sera pas totalement oubliée dans la modernisation du Mont-Blanc Express. Un renouvellement de la voie et du ballast est programmé en 2013 sur une section de 2 kilomètres à Servoz.
Concernant le tunnel des Montets, la modernisation permettra d'automatiser la circulation automobile lors des fermetures du col des Montets. Actuellement, des convois sont organisés sous la surveillance de la gendarmerie et des sampeurs pompiers.
ROMI65 Wrote:Je n'ai pas suivi ce sujet de près et je suis peut-être à côté de la plaque, mais j'ai comme une impression qu'ils arriveront à trouver les sous pour la question routière du tunnel, malgré le renchérissement, mais que la partie modernisation de la ligne ferroviaire sera une autre paire de manches
Aig Wrote:ROMI65 Wrote:Je n'ai pas suivi ce sujet de près et je suis peut-être à côté de la plaque, mais j'ai comme une impression qu'ils arriveront à trouver les sous pour la question routière du tunnel, malgré le renchérissement, mais que la partie modernisation de la ligne ferroviaire sera une autre paire de manches
Bizarre, je me faisais la même réflexion !
A+
Duel au sommet entre Rhône-Alpes et RFF
A quelques mois du lancement de sa modernisation, la ligne du Mont-Blanc Express vit une crise majeure qui pourrait tuer ce projet très attendu et entraîner le déclin de ce chemin de fer alpin.
Le projet avait été lancé fin 2006 par la signature d’un protocole d’intention réunissant la communauté de communes de la Vallée de Chamonix, le conseil général 74, la région Rhône-Alpes, RFF, la SNCF et le canton du Valais. Portant sur un total de 52 millions d’euros, il a été validé le 29 janvier 2011 aux Houches par la signature d’une convention de financement dans le cadre du plan de transport pour les Jeux olympiques d’Annecy, en 2018. Mais ce projet, antérieur à la candidature de la ville, restait indépendant des grands travaux ferroviaires voulus pour ces JO. Rebondissement le 11 octobre dernier : une radio locale annonce que RFF se retire du projet Mont-Blanc Express. Information immédiatement démentie par RFF Rhône-Alpes-Auvergne, qui parle plutôt d’un rejet par plusieurs partenaires des deux scénarios de travaux proposés le 6 octobre lors d’un comité de pilotage à Annecy. En cause : un surcoût d’environ 10 millions, découlant des appels d’offres et consultations d’entreprises candidates. Le gestionnaire invite dès lors les partenaires à se retrouver le 18 octobre pour étudier un scénario moins coûteux. Eric Fournier, maire de Chamonix (Nouveau Centre), conseiller régional à la commission transports depuis près de dix ans, fustige une remise en cause du financement. Il ouvre sur Facebook un groupe nommé « Sauvons notre train » qui fédère en moins de 12 heures près de 2 400 membres. Les soutiens arrivent de partout en France mais aussi de l’étranger. Bernard Accoyer, maire d’Annecy-le-Vieux et président de l’Assemblée nationale y adhère. Eric Fournier assume le nom « dramatisé » choisi pour ce groupe : « Sauvons notre train », donc. Il explique que remettre les travaux en question pour des raisons financières c’est condamner à terme cette ligne, car si elle n’était plus performante, les partenaires risqueraient de s’en désintéresser. Le 12 octobre, Eric Fournier est reçu en urgence au Conseil de la présidence de la République, à Paris, puis par le préfet de région et par le cabinet de Nathalie Kosciusko-Morizet et Thierry Mariani. A son retour, il donne des nouvelles encourageantes : « Il me semble clair que les parties rencontrées s’attacheront au respect des engagements pris au titre de la convention. […] RFF a donc jusqu’à mardi pour revoir sa copie. » Mais, en fin de journée, Bernadette Laclais, la vice-présidente de Rhône-Alpes, chargée des transports, s’exprimait au nom des partenaires, jugeant « inacceptables » les propositions faites par RFF. Elle ajoutait que les collectivités n’ont pas vocation à financer la régénération d’infrastructures avec les 35 millions qu’elles ont consentis pour le volet « développement des services et cadencement ».
Si, pour Eric Fournier, les mauvais calculs sont dans les choix techniques de réalisation du chantier, RFF refuse catégoriquement tout surcoût et estime in fine que, « dans ces conditions, la probabilité que des travaux puissent débuter en 2012 est faible ». Chacun se renvoie donc la balle. Le 17 octobre, Eric Fournier a fait éditer un communiqué expliquant au public la situation et son point de vue. Il y dénonce entre autres que, en « voulant intégrer dans les opérations des travaux de régénération de la ligne qui relèvent de sa compétence exclusive, RFF fait encourir le risque le plus dramatique qui soit à ce projet » : un abandon pur et simple. Le document évoque des surcoûts réels de 70 % pour la réalisation des travaux de la ligne (soit 23 millions) et de 54 % pour la rénovation du tunnel des Montets, passant de 17 à 26 millions.
Finalement, la réunion du 18 octobre a été annulée, et les partenaires devaient être invités à se rencontrer, début novembre, à Paris, au secrétariat général de RFF, en présence du préfet de région pour trouver une solution. Mais, en vallée de Chamonix, on prépare, au cas où, un plan B (voir ci-dessous). « On peut accepter un délai d’un an maximum mais pas plus, on peut même être plus rapide mais il faut aller vite, vite, vite », commente Eric Fournier. Et l’ensemble des partenaires semble déterminé à attendre quelques mois, mais surtout pas des années.
Eric Fournier, maire de Chamonix : « Un plan B est possible s’il y a une réelle volonté de l’étudier »
Ville, Rail & Transports. Un plan B parle de laisser la partie travaux de voie du projet aux agents de l’établissement pour faire baisser les coûts, est-ce réaliste ?
Eric Fournier. Lorsque je vois des coûts sensiblement inférieurs sur la partie valaisanne de la ligne TMR(1) et des propositions ne s’appuyant pas sur la ressource et les cheminots locaux qui ont pourtant un savoir-faire en matière de maintenance, je m’interroge. J’ai fait passer quelques lignes au préfet de région sur ce sujet, en expliquant qu’il y a une technicité existante, avec près de 17 km de RVB déjà faits au fil des ans. Pour moi, ce plan B est possible s’il y a une réelle volonté de l’étudier. Confier les travaux de voie à l’unité opérationnelle voie de l’EMB(2) est sans doute la piste la plus sérieuse et la plus solide. Je relayerai cette proposition.
1. Transports Martigny et région, exploitant Châtelard-Frontière - Martigny.
2. Etablissement Mont-Blanc SNCF, exploitant multifonctionnel de la ligne Saint-Gervais - Vallorcine.
Le projet : une restauration de la ligne de fond en comble
- Pour la ligne
Un renouvellement voie et ballast de 17 km ; la (re)création d’une voie d’évitement au Buet ; la réfection de trois ponts-rail ; l’installation d’aiguillages motorisés dans certaines gares ; l’automatisation de la signalisation ; la création de deux nouvelles sous-stations électriques. Le cadencement à un train toutes les 30 minutes ; l’amélioration des gares et des services en ligne.
- Pour le tunnel des Montets
Le confortement de la structure du tunnel ; le ripage et l’enrobage de la voie pour créer une plateforme routière plus large ; l’aménagement et la sécurisation de la traversée routière avec automatisation de l’alternat pour supprimer les escortes par la gendarmerie et les services de secours et d’incendie. C’est le conseil général qui finance cette partie précise.
motrice125 Wrote:Bonjour Avant de renouveler le matériel roulant la SNCF aurait bien fait de refaire la voie...comme le Blanc Argent Des rames neuves sur des voies du début du 20 éme siècle " chercher l'erreur "
Mont-Blanc Express : Guillaume Pépy se dit "attaché à cette ligne"
Ce mercredi 4 janvier, Guillaume Pépy, le président de la SCNF était à Chamonix pour une réunion de travail. Outre la signature d'un protocole d'intention de coopération avec son homologue suisse des TMR, il a insisté "Nous accompagnerons toujours ceux qui veulent faire plus" pour le Mont-Blanc Express.
Eric Fournier a le sourire aux lèvres. Il faut dire que la venue ce jour de Guillaume Pépy à Chamonix pour la signature d'un protocole d'intention de coopération approfondie et opérationnelle entre la SNCF et les Transports de Marigny et région (TMR) arrive la veille d'une réunion de comité de pilotage des travaux de modernisation de la ligne Saint-Gervais Vallorcine (jeudi 5, à 14 h, à Chambéry). Le président de la SNCF a envoyé un signe fort de soutien à cette ligne. "L'engagement de la SNCF dans la vallée est durable. Je suis attaché à cette ligne. Il y a un intérêt général et touristique. On est là à jamais et nous accompagnerons toujours ceux qui veulent faire plus sur cette ligne." Un soutien de poids avant la négociation de demain entre les élus et RFF qui doit permettre de se mettre d'accord sur le calendrier et la portée de la modernisation du Mont-Blanc Express. Le président du conseil général de la Haute-Savoie Christian Monteil qui était également présent en a profité pour demander "d'aller plus loin en trouvant des destinations TGV pour le Chablais et la vallée de l'Arve". Il demandait à Guillaume Pépy "un rendez-vous que je veux prendre avec vous dans les prochaines semaines."
Guillaume Pepy s’unit avec les Suisses
« Nous passons d’une coopération opérationnelle à une coopération plus étendue, pour faire “comme si on n’était qu’un seul”. Il y aura toujours la France et la Suisse, mais il faut qu’on sache faire l’addition du meilleur de Martigny et de Chamonix, comme si cette ligne ferroviaire était unique ! »
Hier midi, le président de la SNCF, Guillaume Pepy, résumait l’opération du jour. À l’Hôtel de ville de Chamonix, les maires de la communauté de communes de la Vallée de Chamonix-Mont-Blanc, le président du Conseil général (Christian Monteil), le sous-préfet de Bonneville (Gérard Derouin) et les président (Raymond Carrupt) et directeur de la ligne suisse TMR (Transport Martigny et région), étaient là pour signer avec Guillaume Pepy ce “protocole d’intention”. Selon Raymond Carrupt, « nous renforçons aujourd’hui, une coopération transfrontalière centenaire. C’est important pour nous car sans cette aide de la SNCF, nous n’avons pas assez d’habitants dans la vallée de Trient pour faire vivre ce train. »
Une première et un exemple
Éric Fournier, le maire de Chamonix et président de la Com’com, rappelait qu’en 1911, cette même ligne transportait 100 000 personnes vers Chamonix, devenant ainsi un vecteur important du tourisme. « Il faut que le ferroviaire soit à nouveau un acteur fort de notre tourisme de demain, dans une vallée aussi symbolique que celle de Chamonix ! »
Et puisqu’il était question de symbole, Guillaume Pepy rappelait ce qui se passait à Chamonix ce jour-là. « La SNCF doit être au service de toutes les mobilités. On veut être aussi bon en construisant des lignes TGV au Maroc, que des TER en Aquitaine ou cette ligne spéciale dans la vallée de Chamonix. Ce qui se passe ici aujourd’hui, est à la fois une première et un exemple ! »
Avant de trinquer à la signature, Christian Monteil revenait à la charge, rappelant au président Pepy que, si la route et le fer sont complémentaires, « il faut aller plus loin, avec des destinations TGV vers le Chablais et la vallée de l’Arve. On a ouvert un pôle d’échange à Bellegarde et le département est prêt à s’engager fortement pour ouvrir ces secteurs au TGV. » Guillaume Pepy a pris note de la demande, se gardant bien de s’étaler sur le sujet.
http://telechargement.ter-sncf.com/Images/Rhone_Alpes/Tridion/vallée_de_Chamonix_2_au_9_avr_tcm-31-74757.pdf
http://telechargement.ter-sncf.com/Images/Rhone_Alpes/Tridion/vallée_de_Chamonix_10_au_27_avr_tcm-31-74758.pdf
http://telechargement.ter-sncf.com/Images/Rhone_Alpes/Tridion/vallée_de_Chamonix_28avrau_3_juin_tcm-31-74759.pdf
http://telechargement.ter-sncf.com/Images/Rhone_Alpes/Tridion/vallée_de_Chamonix_navettes_bus_tcm-31-74764.pdf
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