Pour moi, l'avenir des transports de Toulouse réside dans les lignes de Tramway en complément des 2 lignes de métro, avec pour quoi pas un doublage dans le centre ville pour soulager un peu le métro

Modérateurs: Terroir, jerome, kyah117, Urbino
Christobal Wrote:mm Wrote:Rejoindre l'hypercentre n'a aucun sens puisque il est déjà desservit par les deux lignes de métro.....
Dans ce cas, pourquoi avoir desservi l'hypercentre par la ligne B alors qu'il y avait déjà la ligne A ?
Ça n'avait aucun sens non plus, si on suit ce raisonnement...
Moins de rames de métro mais plus de monde
Nous y sommes. La période du 14 juillet au 15 août est une période sombre pour les usagers des transports en commun. Aux heures de pointe il faut jouer des coudes pour se frayer un passage dans les wagons du métro. Au plus froid de l'hiver, ce sont 38 rames qui circulent sur le circuit toulousain. Dans la période creuse, actuellement, seulement 26 rames sont en fonction.
« En hiver, les usagers doivent patienter entre 1,05 et 1,15 minute, tandis qu'en été, on est plus dans une fourchette entre 1,50 et 2 minutes » explique Laurent Lieutaud, directeur commercial chez Tisséo. Pourquoi ? « Le but du jeu, c'est de remplir les rames. Car faire rouler un wagon, cela coûte de l'argent. Nous évaluons le nombre de rames à mettre en service par rapport à la fréquentation de l'année précédente ».
Résultat ? Un métro bondé, dans lequel la plupart des gens restent debout. « Mais en moyenne, les usagers restent huit minutes dans le métro » explique-il. Huit minutes désagréables quand même.
duff Wrote:Moi je dis ca sent le journaliste qui exagère...
J'ai pratiqué le T1 de Montpellier pendant tout le mois de juillet 2010 sur la branche Comédie-Mosson,à plusieurs reprises je me suis dis que l'exploitant est vache avec les fréquences car c'était ultra chargé en pointe mais en fait il y avait rarement du monde laissé à quai donc l'exploitant s'en sort bien et n'a pas d'obligation à rajouter des rames
PR118 Wrote:Je vois aucun rapport entre un tram et un métro.
audois toulousain Wrote:Enfin j'ai constaté avec les travaux de la ligne Garonne que ça circulait vraiment mal, même à cette période de l'année, au niveau des Arènes et sur le Boulevard Déodat de Séverac.
Prolongement du tram de Toulouse : le conseil d'Etat pourrait donner raison au maire
Les conclusions favorables du conseil d'Etat redonne confiance à la mairie socialiste de Toulouse dans ses chances de pouvoir réaliser les 3.8 km d'extension de son tramway, apprend-t-on dans un communiqué de Tisséo, le réseau des transports urbains toulousains.
Le tram de Toulouse avait été inauguré en décembre 2010... par deux semaines de grève.
Le tribunal administratif de Toulouse avait infligé un camouflet à la mairie le 1er juin en ordonnant la suspension des futurs travaux de prolongation du tramway, à la demande de riverains et de commerçants.
Le maire PS, Pierre Cohen avait alors décidé de contester cette ordonnance devant le Conseil d'Etat.
Grand bien lui a pris puisque le rapporteur public a en effet demandé le 26 septembre 2011 l'annulation de l'ordonnance toulousaine. Si le rapporteur public ne fait que donner un avis réputé impartial, celui-ci est souvent suivi par le Conseil d'Etat.
La décision finale devrait être rendue dans quelques semaines. Joël Carreiras, vice-président chargé des transports à la communauté urbaine de Toulouse, se dit "serein" et "confiant".
120 millions d'euros d'investissement
Contrairement au juge de première instance, le rapporteur a estimé que le prolongement de 3,8 km de la ligne existante servait bien l'intérêt général et que les études d'impact qui ont précédé suffisaient, ont rapporté le conseil d'Etat et J. Carreiras.
En juin, le tribunal administratif avait trouvé que ce nouveau tronçon doublonnait avec le métro, ne garantissait pas une réduction significative du nombre de voitures et donc ne valait pas un investissement estimé à près de 120 millions d'euros.
Le chantier controversé prolonge vers le centre de Toulouse la ligne de tramway de 11 km en service depuis décembre 2010. La mise en service de cet équipement censé faire la fierté de Toulouse et enrayer l'engorgement routier grandissant dans et autour de la quatrième ville de France avait été retardée de deux semaines par une grève.
Toulouse : le conseil d'Etat autorise l'extension du tramway
Comme prévu, les sages du Palais Royal ont donné leur feu vert le 3 octobre 2011 aux 3,8 kilomètres de prolongement du tramway de Toulouse en jugeant que le projet, bien que coûteux, présentait de nombreux avantages pour la Ville Rose. Début des travaux, fin décembre 2011.
Le conseil d'Etat a annulé une ordonnance rendue le 1er juin 2011 par le juge des référés du tribunal administratif de Toulouse, qui avait infligé un camouflet au mairie socialiste de la ville Rose, Pierre Cohen, en exigeant la suspension des travaux prévus pour la prolongation du tramway, à la demande de riverains et de commerçants.
Cette décision permettra la reprise des travaux, fin décembre, pour réaliser les 3,8 km controversés vers le centre de Toulouse. Contrairement au juge de première instance, le conseil d'Etat a estimé que le prolongement de la ligne existante en service depuis 2010 et exploitée par la régie Tisséo (après deux semaines de grève) servait bien l'intérêt général et que les études d'impact menées en vue du projet étaient suffisantes.
Pas de doublon avec le métro
Le coût estimé des travaux de prolongation (120 millions d'euros) pourrait être "regardé comme élevé" mais le projet permet de compléter le maillage du réseau de transports en centre-ville en accueillant un trafic excédant les simples besoins des secteurs traversés, note le conseil d'Etat. Il n'est pas non plus possible d'estimer que le nombre prévisionnel de voyageurs sur la ligne aurait été surévalué par les défenseurs du projet ou que l'hypothèse d'un changement de comportement des automobilistes en centre-ville serait dénuée de fondement", ajoutent les juges.
En juin, le tribunal administratif avait trouvé que ce nouveau tronçon doublonnait avec le métro automatique VAL, ne garantissait pas une réduction significative du nombre de voitures et donc ne valait pas l'investissement prévu.
Tramfan Wrote: la surcharge de ce minimétro sous capacitaire certains tronçons de ligne
20 minutes Wrote:Revoilà le métro à Labège...
Publié le 7 octobre 2011. Journal 20minutes
Le Sicoval espère trouver une solution pour avoir le métro à Labège en 2018. Le Sicoval prêt à financer un tiers du prolongement du VAL
Le prolongement de la ligne B pourrait refaire surface d'ici à la fin de l'année. Ce projet a été renvoyé aux calendes grecques par le Plan de déplacements urbains. Ce document, qui fixe la programmation des grandes infrastructures de transport, prévoit en effet de faire dans un premier temps un bus à haut niveau de service (BHNS) entre le terminus de Ramonville et Labège, remplacé à terme par le VAL. Mais le Sicoval veut sauter l'étape BHNS pour passer directement à celle du métro. La communauté d'agglomération du sud-est toulousain a proposé hier de prendre à sa charge 110 à 115 millions d'euros, soit le tiers de son coût qu'elle estime à « 350 millions d'euros, hors frais de maîtrise d'œuvre ». Une proposition qui pourrait régler la question du financement, principale source d'opposition avec Pierre Cohen, le président de Tisséo-SMTC. Ce dernier devrait prendre à sa charge, aux côtés du conseil général, les 200 millions d'euros restant, déduction faite d'une aide de l'État évaluée à 40 millions d'euros.
Faire participer les promoteurs
« Si nous trouvons un accord d'ici à décembre, le métro circulera dans six ans et demi jusqu'à Labège Innopole », explique Christian Lavigne, vice-président délégué aux transports du Sicoval. Pour parvenir à rassembler 110 millions d'euros, la collectivité réfléchit à plusieurs pistes. Notamment celles des promoteurs pour réunir entre 50 et 60 millions d'euros. « Jusqu'à présent nous étions nos propres aménageurs, là nous passerions des partenariats public-privé, en vendant de la surface constructible que nous possédons aux investisseurs. Et cela se vend cher », explique François-Régis Valette, son président. Ce dernier s'est déjà assuré que des grands groupes comme Bouygues, Eiffage ou Vinci pourraient être intéressés par des projets sur Labège, Escalquens, Castanet ou Auzeville. Mais avant ça, il doit convaincre ses deux partenaires, Tisséo et le Conseil général. Et c'est loin d'être gagné.
table ronde
Avant de donner leur accord au PLB, le Conseil général et Tisséo veulent en savoir plus, lors d'une table ronde, sur la part et le mode de financement de chacun. « Nous sommes prêts à mettre l'équivalent de 80 à 90 millions d'euros prévus pour le BHNS, mais pas aux dépens des autres projets », insiste Joël Carreiras, élu du Grand Toulouse à Tisséo.
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