
Note : A la suite de nombreuses correspondances avec Kéolis Besançon, j’ai eu l’honneur de recevoir un dossier complet sur le réseau. La plupart des informations présentes dans cette rubrique en sont issues.
PARTIE I : Présentation de la ville, transports extra-autobus
I. La ville
Besançon est la préfecture du département du Doubs (25). Ville fortifiée par Vauban, son centre historique est encerclée par la boucle du Doubs, terminée par une grande Citadelle.
A l’extérieur de la boucle, on retrouve beaucoup de quartiers récents avec de grandes barres d’immeubles, comme n’importe quelle autre ville. Mais aussi, des quartiers plus anciens, comme Bregille ou Vaîtes.
II. Le trafic ferroviaire
Besançon possède deux gares : la principale, gare de Besançon-Viotte, accueille des TGV en provenance de Paris-Gare de Lyon, et beaucoup de trains régionaux, en provenance de Dijon, Dôle, Morteau / Suisse (Le Locle et la Chaux de Fonds), Belfort...
Cette gare est très importante, et sers également de gare routière, avec les transports par autocars en direction de Vesoul (Livéo), Gray (Kéolis), etc.. pour la plupart affrêtés par la compagnie Monts-Juras Autocars et gérés par le conseil départemental.
La seconde gare, beaucoup moins importante, s’appelle Besançon-Mouillère et ne dessers qu’une ligne : Besançon > Valdahon > Morteau > La Chaux de Fonds. La gare de la Mouillère était, a l’époque, plus importante que la gare Viotte, mais suite à la multiplication des lignes passant par la ville, dirigées sur Viotte en raison de son emplacement plus propice à l’accueil de tous ces trains, elle fut démolie puis remplacée par une petite « cabane » en béton.
III. Le funiculaire de Bregille
A quelques mètres de la gare de la Mouillère, se trouve un ancien funiculaire, dénommé Funiculaire de Bregille. Il relie le quartier de « La Mouillère » au fort de Beauregard, où se trouvaient « Les Salins de Bregille ». Jadis très utilisé, son utilité s’est estompée au fil du temps après la fermeture des salins, et ce beau funiculaire à effectué son dernier voyage le 27 Mai 1987. Une association lutte pour l’inscription du funi en tant que site classé, et donc, protégé. Une telle inscription entraînerait des travaux importants de remise en état et, pourquoi pas, sa réouverture ?
Je ne sais pas où en es le projet, mais lors de mon dernier « voyage » à Besançon, le week-end du 1er Juillet, la gare basse du funiculaire était entièrement en travaux. Première étape de la remise en état du funiculaire ?
PARTIE II : Historique des transports en commun bisontins
En 1887, la Gare Viotte et le quartier de Tarragnoz furent reliés au Centre-Ville par les « Cars Rippert », des tramways hippomobiles.
Dix ans plus tard, le 21 Mars 1897, le réseau se modernise avec l’apparition des Tramways Electriques Bisontins (TEB), dont le dépôt était situé rue Isenbart (vallon de la Mouillère), qui parcoureront quatres lignes :
Ligne 1 : Gare Viotte > Tarragnoz
Ligne 2 : Chaprais > Préfecture
Ligne 3 : St Claude > Rivotte
Ligne 4 : St Ferjeux > Place du 4 Septembre
Un moyen de locomotion « confortable, commode et rapide en harmonie avec les besoins de la vie moderne ». En 1912, la Compagnie Franco-Belge, qui exploite déjà 27 autres réseaux de tram, prend en charge la gestion des TEB. Les 19 voitures du réseau sont remplacées, et en 1913, est créé le Funiculaire de Bregille (cf Partie I, III).
Mais la guerre 39-45 aura été difficile pour la vie des tramways bisontins. En juin 1940, les ponts sur le doubs sont détruits, et le réseau se voit amputé de toute la partie située dans la boucle. Aux heures d’affluence, la place du 4 Septembre et les quartiers de Montrapon, Rosement et des Cras étaient reliés par des autobus à essence. Ceux-ci furent réquisitionnés par les Allemands en 1942 pour transporter les Français de la région affectés au « Service du Travail Obligatoire », en Allemagne. Une nuit d’avril 1943, un incendie détruit le garage, les bus et l’outillage. Le 16 juillet de la même année, le dépôt est détruit par un bombardement aérien.
Après la guerre, les transports en communs bisontins font pâle figure. En 1947, la Compagnie, qui connaît déjà une crise financière catastrophique, est en plus obligée d’appliquer la baisse générale des tarifs décrétée par le gouvernement. Dès 1948, la réorganisation complète du réseau s’impose. C’est alors qu’en 1952, on voit apparaître des bus dans Besançon.
Le 9 juillet 1952, la ligne de Saint Claude accueille un bus en remplacement du tramway, en tant que test. La ville décide alors, avec la Compagnie, de moderniser la totalité du réseau. La ville assure à la compagnie une garantie de recettes révisée en fonction des fluctuations économiques et du kilométrage parcouru. Le 36 décembre 1952, 11 autobus Renault (soit 645 places assises) sont mis en service. Jugé « Imposant et Elegant », l’autobus offre aux voyageurs des commodités nouvelles, très appréciées : facilité d’accès, clarté intérieure, absence d’émanations, souplesse et stabilité de la suspension...
Entre 1950 et 1970, Besançon connait une croissance démographique parmi les plus fortes de France. Sa population double en moins de 30 ans. Une zone moderne se constitue. Les grands ensembles de Grette, Palente, Orchamps et Montrapon s’élèvent, tandis que le Campus universitaire, ainsi que les lycées Montjoux et Pergaud sont créés. Le réseau se dévellope donc très rapidement, dès 1953 : Le trafic est multiplié par deux en 4 ans, par trois en 10 ans, quadruplé de 1950 à 1970.
C’est ainsi qu’en 1961, la compagnie des TEB, nom devenu obsolète étant donné que le réseau n’accueillait désormais plus de tramways, décide de changer de nom et deviens la CTB, Compagnie des Transports de Besançon. La CTB S’installe en 1964 rue de Trey, site encore d’actualité aujourd’hui.
En 1968, la ville signe une convention avec la CTB, qui marque le renouveau des transports urbains bisontins.
Mais encore une fois, le réseau connait des déboires : le flot anarchique de voitures paralyse la ville, mutile la vie de la cité. Les bus sont boudés, et n’assurent que 15% des déplacements. La pollution atteint des record d’amatiques.
Besançon se réveille en 1971, lorsque le Ministère des Transports retiens Besançon en tant que ville-pilote.
La ville bâtit alors un plan d’ensemble cohérent « circulation – transports »
En 1974, Besançon joue le rôle de précurseur en lançant son nouveau plan de circulation, novateur, basé sur la complémentarité des modes de transports.
- Création d’espaces piétonniers
- Suppression de la circulation de transit au centre
- Priorité au transport collectif
- Amélioration globale de la qualité
L’expérience succite une curiosité sans précédent, à l’étranger.
Ce plan se concrétise par un nouveau réseau de transport public et une offre équivalente au double de la moyenne nationale : deux fois plus de bus, de nouvelles lignes, deux lignes de minibus, des voies réservées, un « axe rouge » réservé au Centre-Ville. Certaines correspondances sont gratuites, et le réseau accueille une centaine de nouveaux conducteurs
90% des bisontins sont desservis à moins de 300m de leur domicile.
Quelques dates :
- 1975 : première mondiale avec un système d’aide à l’exploitation.
- 1976 : première nationale avec un réseau de soirée/dimanche dans une ville de cette taille.
- 1979 : besançon, ville française avec le plus fort taux de fréquentation de ses bus.
Exemples d’innovations :
- véhicules : articulés, planchers plats
- desserte : lignes directes rapides
- accueil des voyageurs : centre régional de formation des conducteurs
- ponctualité : système de localisation des bus par satellite
- services : borne d’annonce du temps d’attente des prochains bus dans les grandes stations
- centrale d’inforamtion multimodale
- site internet
Enfin, à partir de 2002 : les transports urbains et péri-urbains fusionnent, pour donner le réseau Ginko.
PARTIE III : Ginko aujourd’hui
I. Le nom du réseau
Le réseau Ginko est symbolisé par un arbre, le Ginkgo, dont le « g » a été enlevé afin de faciliter la prononciation. Ce nom a été choisi parce que (extrait de la documentation Ginko) :
- C’est un arbre vieux comme le monde, moderne et zen, fort et serein.
- Sa feuille formée de deux lobes jumeaux parle d’harmonie
- Ses vertues connues de l’Orient sont tonifiantes et améliorent la circulation (!), sont relaxantes, donc bien appréciables dans notre vie quotidienne
- Son nom est franc, direct, musical et naturel.
Le réseau est « mercure d’or de l’image » en 2003, par le groupe Keolis. Ce challenge récompense la meilleure action visant à améliorer l’image du Transport Public.
II. Ginko : acteur du dévellopement durable
Dès 1990, le choix de l’énergie propre, le GNV, à contribué à réduire les nuisances du trafic automobile : bruit, émissions de particules, d’oxyde d’azote... 1/3 de la flotte urbaine roule au gaz naturel (données 2004).
Par ailleurs, la « conduite préventive » enseignée aux conducteurs permets de maitriser la consommation d’énergie. Ce style de conduite, basé sur l’anticipation, minimise l’usage du frein et de l’accélérateur et améliore ainsi la longévité mécanique des véhicules, réalise des économies d’énergies, et accrôit le confot des voyageurs.
Le réseau Ginko est ancré dans la vie bisontine et est impliqué activement dans de multiples domaines. La fusion des réseaux bisontins en le nom de Ginko s’est accompagnée de la création d’une centaine de postes au sein des structures impliquées dans la vie du réseau.
III. Ginko : signe culturel
Le réseau est un point de contact entre le grand public et de multiples formes d’expression artistique. Sur les lignes : des bus aux livrées thématiques, créations d’artistes (Tracer aux couleurs du musée des maisons comtoises de nancray, VanHool aux couleurs de la nature ou de la sécurité routière...)
A l’intérieur des bus : musiciens, clowns, chanteurs, comédiens...
Dans les Stations : histoire de besançon, animations...
A la boutique : tableaux d’artistes, animations, collection de coupons d’abonnement...
IV. Maitrise du sentiment de sécurité
La CTB a fait le choix en 1995 de préserver le sentiment de sécurité à bord des bus. Cette démarche s’appuie sur cinq axes : la recherche d’appuis par les acteurs locaux (services municipaux, police, education nationale), l’association du personnel autour de cet enjeu, le dialogue (ouverture et transparence), la traite du problème, la mise en place d’un « arsenal répressif efficace ».
Avec un taux de fraudes de 4,6%, un vandalisme contenu et 6 agressions physiques par an en moyenne (lignes urbaines), le réseau reste relativement épargné.
Le réseau Ginko se situe dans les plus performants au sujet de la répression des fraudes.
V. L’effectif
- Service Tranports
• 1 directeur de service
• 1 directeur adjoint responsable « exploitation périurbaine »
• 1 responsable exploitation urbaine
• 1 chargés d’études
• 1 responsable de suivi de marché
• 5 contrôleurs
• 1 secrétaire
- Exploitation
• 400 conducteurs receveurs dont 15% de femmes
• 22 responables du mouvement des véhicules, de la régulation du trafic et de la lutte contre la fraude et le sentiment d’insécurité
• 8 employés aux technologies nouvelles
• 22 responsables marketing-communication
• 43 mécaniciens aux ateliers
- Autocaristes
• 148 conducteurs
• 16 membres du personnel d’encadrement
- Administration générale & Ressources humaines
• 10 employés (gestion du personnel, paie, formation, secrétariat, budget, contrôle de gestion, trésorerie)
VI. Les chiffres clés
• 59 communes desservies
• 6h > 20h, puis horaires soirées 20h > 24h du lundi au dimanche en ville
• 6h > 19h30 du lundi au samedi en campagne
• 48 lignes différentes environ (17 en ville + 31 en campagne)
• 2 200 départs sur l’ensemble des terminus (1 950 en ville)
• + de 250 bus
• 900 stations
• 80 relais Ginko, une boutique
• 546 kilomètres de réseau (longueur cumulée des itinéraires)
• 6 kilomètres de voies réservées (longueur cumulée)
• 17km/h de moyenne en ville
• 29km/h de moyenne en périphérie
• Un bus toutes les 5 minutes aux heures de pointe (direction ville)
• 7 allers-retours/jour en moyenne par ligne périurbaine
• 23,8 milions de voyageurs par an
• 1,20€ : tarif une heure
• 3,30€ : tarif une journée
• 9€ : tarif dix voyages
• 0,33€ : tarif moyen par voyage
• 0,92€ : tarif moyen par kilomètre
• 1,33€ : dépense d’exploitation par voyage
• 3,67€ : dépense d’exploitation par kilomètre
VI. Le parc
La flotte urbaine appartient à la CAGB (Communauté d’Agglomération du Grand Besançon), et est entretenue par Ginko/Kéolis Besançon dans le cadre d’un contrat de délégation de service public.
Le parc est constitué de 165 autobus :
Autobus standards : 110 véhicules
Heuliez ( GX317, GX317 GNV, GX327 GNV ), Van Hool (A300), RVI ( PR100.2 )
Autobus articulés : 25 véhicules
Heuliez ( GX417 ), Irisbus ( Agora L ), Mercedes-Benz ( Citaro ),
Autobus moyenne capacité : 24 véhicules
Heuliez ( GX117 ), Van Hool (A508), Mercedes-Benz ( Cito )
Minibus : 6 véhicules
Peugeot ( J9 )
Et de 128 autocars affrêtés par des compagnies privées :
Monts Juras Autocars (MJA)
Régie Départementale des Transports du Doubs (RDTD)
Transports Siron
Grosperrin Tourisme Voyages (GTV)
77 véhicules sont à plancher plat, 33 ont une rampe pour handicapés, 51 roulent au gaz naturel.
Au terme d’un certain nombre de kilomètres parcourus, chaque bus est inspecté. Les standards et articulés sont inspectés tous les 10 000km et les moyenne capacité ainsi que les minibus sont inspectés tous les 8 000km.
VII : Le plan du réseau
Aujourd'hui, le réseau urbain est composé de 19 lignes :
1 Chateaufarine <> Orchamps par Centre Ville (pl. du 8 septembre)
2 Planoise <> Orchamps par Campus
3 Vallières <> Orchamps par Battant
4 Founottes ou Temis <> St Claude par Centre Ville (pl. du 8 septembre)
5 Planoise <> Orchamps par Centre Ville (marché beaux arts)
6 Tilleroyes <> Palente Z.I par Centre Ville (pl. du 8 septembre)
7 Campus <> Bregille par Centre Ville (pl. du 8 septembre)
8 Campus <> Centre Ville
9 Campus <> Centre Ville (st amour)
10 Pôle Santé J. Minjoz <> Gare SNCF Viotte par Centre Ville (pl. du 8 septembre)
20 Place Risler <> Gare SNCF Viotte
22 Planoise <> Orchamps par rocade
24 Chaffanjon <> Velotte ou Port Douvot par Centre Ville (pl. du 8 septembre)
27 Avanne ou Planoise <> Près de Vaux par Centre Ville (pl. du 8 septembre)
31 St Claude <> Tarragnoz par Montarmots et Battant
32 Orchamps <> Rivotte par Combe Saragosse et Battant
34 Centre Ville (st amour) <> Valentin Chevreuse ou Temis
35 Bregille (Gravirot) <> Orchamps par Chalezeule
76 La Malate <> Centre Ville (st amour)
et le réseau périphérique de 28 lignes :
51 Micropolis <> Beure par Vorges-les-pins, Busy et Larnod
52 Micropolis <> Avanne Aveney par Rancenay
53 Micropolis <> Montferrand-le-chateau
54 Micropolis <> Montferrand-le-chateau par Boussières et Thoraise
55 Micropolis <> Grandfontaine par Boussières et Torpes
56 Micropolis <> Grandfontaine par Oselle et Routelle
57 Micropolis <> Dannemarie-sur-crête
58 Micropolis <> Franois par Mazerolles-le-salin, Vaux-les-près et Chemaudin
61 Temis <> Franois par Serre-les-sapins (dépôt GTV)
62 Temis <> Pouilley-les-vignes par Noironte, Audeux, Champagney, Champvans-les-moulins
63 Temis <> Pouilley-les-vignes par Chaucenne et Pelousey
64 Temis <> Pirey
65 Temis <> Ecole Valentin par Chatillon-le-duc
66 Temis <> Miserey-salines par Auxon-dessus/dessous
67 Temis <> Ecole Valentin par Chatillon-le-duc et Tallenay
71 Orchamps <> Braillans par Chaudefontaine, Champoux et Marchaux
72 Thise <> St Amour par Orchamps
73 Orchamps <> Roche-lez-beaupré par Novillars
74 Orchamps <> Roche-lez-beaupré par Deluz, Vaire-le-petit et Novillars
75 Orchamps <> Chalèze par Vaire-arcier
81 St Jacques <> Montfaucon par Nancray et Gennes
82 St Jacques <> Morre par Montfaucon
83 St Jacques <> Saône
84 St Jacques <> La Vèze par Fontain
85 St Jacques <> Beure par Argel
86 St Jacques <> Larnod par Pugey
87 Mamirolle (gare) <> la Chevillotte
88 Mamirolle (gare) <> Le Gratteris
ainsi que 3 lignes urbaines le soir :
A Planoise <> Orchamps par Gare SNCF Viotte et Centre Ville (marché beaux arts)
B Campus <> Orchamps par Palente Z.I et Centre Ville (pl. du 8 septembre)
C St Claude <> Bregille par Centre Ville (pl. du 8 septembre)
et 4 le dimanche :
A Planoise <> Orchamps par Gare SNCF Viotte et Centre Ville (marché beaux arts)
B Campus <> Orchamps par Centre Ville (pl. du 8 septembre)
C St Claude <> Bregille par Centre Ville (pl. du 8 septembre)
D Pôle Santé J. Minjoz <> Gare SNCF Viotte par Centre Ville (pl. du 8 septembre)
Plans de lignes : http://www.ginkobus.com/g_plan.asp
PARTIE IV : Scéance Photos
Note : Je suis l’auteur des photographies n’ayant pas d’indication d’auteur à la suite de ce type :
« ******* (photo : xxx) ».
I. Besançon
La ville en général (photo : Chemie.Unibas.ch)
Les quais vus du pont Vauban
La place de la révolution
La gare de la Mouillère avant sa destruction (photo : Besançon.fr)
La gare de la Mouillère aujourd’hui (photo : TrainsDoubs)
La gare de la Viotte avant (photo : Besançon.fr)
La gare de la Viotte aujourd’hui (photo : Besançon.fr)
L’interieur de la Viotte
Vue de la Viotte
II. Le réseau
Place du huit septembre, point clé du centre ville
Boutique Ginko, place du huit septembre
Station Marché Beaux Arts
Pôle Micropolis (photo : Besançon.fr)
III. Le parc (flotte urbaine)
a. Heuliez
Heuliez GX107 ligne 34 direction Valentin/Chevreuse, au terminus St Amour
Heuliez GX107 ligne 34 direction Valentin/Chevreuse, au terminus St Amour
Heuliez GX317 ligne 10 direction Gare SNCF Viotte, rue des Granges
Heuliez GX317 ligne 1 direction Chateaufarine, rue de la république (station poste)
Heuliez GX317 GNV ligne 5, rue des boucheries
Heuliez GX317 GNV ligne 5 direction Planoise, rue de la République
Heuliez GX317 GNV ligne 7 direction Bregille, rue des Granges
Heuliez GX317 GNV ligne 10 direction Pôle Santé J. Minjoz, au terminus Gare SNCF Viotte
Heuliez GX317 GNV ligne 10 direction Pôle Santé J. Minjoz, au terminus Gare SNCF Viotte
Heuliez GX317 GNV non rénové, Intérieur
Heuliez GX327 GNV ligne 4 direction Founottes, place du huit septembre
Heuliez GX327 GNV ligne 4 direction Founottes, place du huit septembre
b. RVI
RVI PR100.2 ligne 27 direction Près de Vaux, rue de la république
c. Van Hool
Van Hool A508 ligne 24 direction Velotte, place du huit septembre
Van Hool A508 ligne 24 direction Velotte, place du huit septembre
d. Mercedes-Benz
Mercedes-Benz Cito ligne 24 direction Velotte, rue de la république (station poste)
IV. Les autocars (à la Gare SNCF Viotte)
Note : Les autocars présentés ici n’appartiennent pas au réseau Ginko.
a. Irisbus / RVI
Irisbus Arès livrée Kéolis, direction Gray
Irisbus Arès livrée Kéolis, direction Gray
Irisbus Iliade livrée Livéo, direction Vesoul
Irisbus Iliade livrée Livéo, direction Vesoul
Irisbus Iliade livrée Conseil Général, direction Pontarlier
Irisbus Iliade livrée Conseil Général, direction Pontarlier
b. Setra
Setra S315 livrée Livéo
Setra S315 livrée Livéo
V. Les modèles « oubliés »
Durant mon séjour, je suis monté dans ces modèles, mais n’ait pas pu les photographier :
a. Heuliez
Heuliez GX417GNV (très dégradé) (photo : réseau STAN, LeGenevois.ch)
c. Van Hool
Van Hool A500 (photo : réseau Ginko, Blog PHOTU)
d. Mercedes-Benz
Mercedes-Benz Citaro (articulés). Flambant neufs !(photo : réseau TRM, Transbus)
e. Irisbus
Irisbus Agora L. Un beau bus, en bien meilleur état que son cousin Heuliez. (photo : réseau de Metz, Transbus)