Modérateurs: Terroir, jerome, kyah117, Urbino
Thibaut Wrote:Peux-tu détailler stp ?
Olivier Wrote:J'ai vu un S315NF blanc au dépôt Veolia depuis le train.
Il roule sur du scolaire Vitalis ?
MP55 Wrote:Bonjour,
Quelqu'un pourrait il me dire si les PR 100.2 de Poitiers existent toujours? Même à l'état d'épave.
Merci beaucoup!
MP55 Wrote:7020 plutôt non? Et 4197 ça m'étonne pas mal...
MP55 Wrote:La 4197 a été réformée il y a 3 ans maxi par la RATP, je ne doute que ça soit elle, d'autant que c'était un €1 et celui là est €0....
Dans les mois qui viennent, la municipalité entend élargir l'offre et créer une meilleure desserte du centre-ville.
La mairie annonce la mise en place d’une ligne de desserte locale, “ La Citadine ”. Elle permettra une liaison entre Saint-Hilaire et le secteur Notre-Dame.
En juin prochain, la Ville complétera son offre en matière de transport en commun avec une nouvelle ligne de desserte locale, baptisée « La citadine ». Elle permettra une liaison entre le secteur Blossac-Saint-Hilaire et le secteur Notre-Dame. Douze arrêts, distants en moyenne de 300 mètres, seront ainsi desservis, à raison de quatre trajets le matin (9 h, 10 h, 11 h, 12 h) et quatre l'après-midi (14 h, 15 h, 16 h, 17 h) Cette ligne sera exploitée avec des véhicules de petit gabarit, disposant de 20 places.
Validité du ticket allongée
Pour la municipalité actuelle, il s'agit de promouvoir « encore plus » l'utilisation des transports en commun, « sans avoir une attitude de sanction par rapport à la voiture », expliquait hier le maire Alain Claeys.
Ainsi, Grand Poitiers vient de décider de prolonger la durée de validité du ticket de bus vendu en carnet. Il passe de 1 h à 2 h 30. « Cela met l'aller et le retour pour 1, 04 €, remarque le maire, et répondra aux besoins des Poitevins pour réaliser leurs achats. On a constaté que la durée moyenne de stationnement de quelqu'un qui vient en centre-ville en voiture est entre 2 h et 2 h 30. »
Conclusion du maire : les transports en commun coûteront à l'avenir moins cher que la voiture…
Autre innovation, annoncée hier soir aux commerçants lors de l'assemblée générale de la FAE (Fédération des agents économiques) : la création d'un dispositif qui permettra à un détenteur de « Ma carte en ville » d'utiliser celle-ci au péage des parkings en paiement automatique.
A plus long terme, la municipalité envisage une réflexion sur les parcobus. Il est prévu d'augmenter leurs capacités car certains, comme à Champlain ou à la Demi-Lune, seraient saturés. Des propositions devraient être faites à ce sujet en septembre.
Le prix du ticket vendu à bord des bus ne change pas (1, 30 €) ni sa durée de validité (1 h).
Jean-Michel Gouin
Elle meurt après une chute dans un bus
Les chauffeurs de bus de Poitiers ont reçu une nouvelle consigne de leur direction : attendre que les personnes âgées et fragiles soient bien installées avant de démarrer. Vitalis veut éviter un nouvel accident.
Une grand-mère est décédée après avoir fait une chute dans un bus du réseau Vitalis, il y a quelques semaines.
Depuis, la direction de Vitalis veut éviter un nouveau drame et donne des nouvelles consignes à ses chauffeurs. Ils doivent attendre que les personnes âgées ou fragiles soient bien assises ou bien installées avant de démarrer.
Des formations sont mises en place.
La direction affirme que cette mesure n'a aucune incidence sur les temps de parcours, et qu'elle est indispensable pour la sécurité.
Le BHNS n'ira pas jusqu'au Futuroscope
A Grand-Pont, il aurait été quasi-impossible de faire passer les bus et les voitures sur des voies séparées.
Trop compliqué ! Le bus à haut niveau de service n’empruntera pas l’ex- RN 10 entre Poitiers et Chasseneuil. Grand Poitiers opte pour la voie ferrée.
Un omnibus à haute fréquence sur l'actuelle voie ferrée Poitiers-Futuroscope-Châtellerault, plutôt qu'un bus à haut niveau de service. Alain Claeys s'en est fait l'écho lors du face à la rédaction accordé à notre journal, vendredi dernier.
« En direction de l'ouest, le BHNS (NDLR : bus à haut niveau de service) se dirigera vers l'avenue de Nantes après avoir franchi le viaduc Léon-Blum. » Il devrait se rendre jusqu'à la Demi-Lune voire, jusqu'au stade de Migné-Auxances.
Cela veut dire qu'il n'empruntera pas la rocade et l'ex-RN 10 en direction de Chasseneuil, comme cela avait été imaginé à l'origine pour desservir le Futuroscope. Depuis trois ans, les techniciens et ingénieurs de Grand Poitiers et du conseil général (la rocade et le CD 910 sont propriétés du Département) se grattaient la tête pour aménager un « site propre » pour le futur BHNS.
Ramener les voitures sur deux voies ? Impossible !
L'actuelle quatre voies qui prend la direction de Chasseneuil est déjà très encombrée. Autour de 30.000 véhicules par jour à hauteur de « Grand-Pont » où l'actuel goulot d'étranglement aurait nécessité des travaux conséquents (arasement de maisons, taille dans le coteau).
Réduire la route à deux voies pour faire passer le bus au milieu ? Le projet a été imaginé lors de plusieurs réunions en mairie de Chasseneuil. « Impossible ! On va créer des bouchons interminables pour l'entrée et la sortie de ville. » Des alternatives ont été recherchées. Aucune n'a été jugée satisfaisante.
Plutôt la voie ferrée
Grand Poitiers fait donc le choix d'abandonner la desserte du Futuroscope par le BHNS. Une autre solution en effet se profile. A priori moins onéreuse, mais surtout beaucoup plus intéressante en terme de dessertes. Pourquoi ne pas utiliser l'actuelle voie ferrée Poitiers-Châtellerault pour y faire passer des « omnibus à haute fréquence » qui desserviraient toutes les gares entre les deux villes, met en avant Alain Claeys.
En effet, l'ouverture de la LGV va laisser libres des créneaux horaires sur l'actuelle voie ferrée qui relie les deux villes majeures de la Vienne. L'idée avait été formulée au début des années 2000 par les écologistes du conseil municipal de Poitiers. A l'époque, Jacques Santrot l'avait trouvée intéressante.
Aujourd'hui, Alain Claeys parle même d'un « VAL », véhicule automatique léger. Le tout premier a été mis en circulation dans l'agglomération lilloise au début des années 1980. L'engin roule sur pneus. Depuis trente ans, d'autres versions ont vu le jour. La version poitevine reste à préciser. Mais pourrait voir le jour dès 2017, quand la LGV sera mise en service (en principe dans le courant de l'été).
à suivre
> Reste une difficulté : la desserte de la technopôle du Futuroscope par les salariés qui emprunteront le futur omnibus pour se rendre à leur travail depuis la gare SNCF du Futuroscope ? Conseil général et conseil d'agglomération de Grand Poitiers planchent sur la question.
> Les axes structurants du BHNS ont été définis. Une ligne emprunterait le trajet actuel de la Pictavienne (2A, 2B) par les Couronneries, Beaulieu, le Grand-Large, les Trois-Cités. Une autre circulera entre Buxerolles et Poitiers-Sud en passant par la gare de Poitiers. La troisième reliera Mignaloux-Beauvoir au centre-ville de Poitiers jusqu'à l'avenue de Nantes (et Migné ?) en empruntant la Pénétrante.
Ramener les voitures sur deux voies ? Impossible !
JiBOM Wrote:En outre, utiliser le rail et Poitiers et Châtellerault me parait une bonne idée, y compris d'éventuelles extensions sur l'étoile ferroviaire de Poitiers.
Maastricht Wrote:JiBOM Wrote:En outre, utiliser le rail et Poitiers et Châtellerault me parait une bonne idée, y compris d'éventuelles extensions sur l'étoile ferroviaire de Poitiers.
Certes, m'enfin c'est refiler la patate chaude à RFF et la SNCF, qui sont dans d'autres temporalités/intérêts que la circulation de tram-trains sur une ligne qui même après l'inauguration de la LGV SEA conservera un trafic honorable.
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