Modérateurs: kyah117, Urbino, Terroir, jerome
Matériel :
Le choix du matériel n'est pas fixé mais il pourrait s'agir d'une variante de trolley-bus.
brochet Wrote:Lu ce jour dans le Midi Libre : (je résume en 3 lignes)
L' agglo de Nîmes se tâte entre trolleybus et tramway pour la ligne 2 du TCSP. En effet, devant l'explosion de la démographie, il veulent savoir si la solution trolley sera toujours pertinente à l'horizon 2015, date de mise en service prévue.
mm Wrote:Salut,
Il vaut mieux mettre des bus proche de la réforme, comme ca pas besoin de nettoyer le vomis sur les sièges........
A +
Source : MidilibreTransportL'Aspiq : « Le trambus pourrait asphyxier le trafic »
L'Aspiq menaçait de faire dérailler le Transport collectif en site propre (TCSP), au motif que l'itinéraire retenu évite la gare centrale (lire Midi Libre du 24 janvier). Aujourd'hui, après consultation des documents soumis à enquête publique, l'Association pour la sécurité des périphériques et l'intercommunicabilité des quartiers (Aspiq) trouve d'autres arguments pour atteindre cet objectif. « Ce TCSP n'aura aucune incidence positive sur la saturation du réseau routier. Au contraire, le trambus, tel que pensé, va aggraver les embarras sur le boulevard Allende », affirme le président Maurice Delmas. Et d'argumenter, documents d'enquête à l'appui.
Dans le scénario de synthèse du plan de déplacements urbains, document de référence à partir duquel l'Agglo a bâti son projet de transport collectif, il est écrit qu'en 2015 les flux automobiles auront enregistré une augmentation de 16 %, pour atteindre 76 878 déplacements par jour sur les boulevards périphériques . Par ailleurs, dans les objectifs du projet (pages 22/25), on lit qu'avec une fréquentation quotidienne estimée à 10 000 usagers, le TCSP a une faible incidence sur la circulation automobile qu'il déleste de 2 450 déplacements. « Le trambus, c'est donc 67 M€ d'investissement pour un bénéfice dérisoire en terme d'effet sur le trafic. Mais le pire, c'est qu'il va l'asphyxier au lieu de le fluidifier » , poursuit le président. Il développe : « Le TSCP doit passer au milieu du carrefour des Nations-Unies, devant le Colisée. Il sera prioritaire. Par conséquent, chacun de ses passages allongera les files d'attente aux feux rouges. Or, la gestion de ce rond-point est importante, car elle a des incidences sur les autres carrefours de l'avenue de la Liberté. » En clair, l'Aspiq prédit que les véhicules stockés dans les anneaux des giratoires pour laisser passer le trambus bloqueront l'écoulement des autres flux. « Ce n'est pas pour rien que la DDE (1) préconisait de supprimer la traversée du giratoire du Colisée » (dossier 3, page 6) poursuit l'Aspiq, qui propose, comme solution alternative, la construction d'un pont qui permettrait au TCSP d'enjamber le carrefour problématique : « De cette manière, il n'y aurait pas de conflit avec le trafic et la fréquence des trambus pourrait être augmentée en période de pointe. » Pour financer cette infrastructure, sans alourdir une facture déjà conséquente, l'association a une solution : « Renoncer au tronçon A54-Costières ramène le tracé à 6 km (au lieu de 9) et représente une économie d'environ 10 M€. Plus que le coût de l'ouvrage. » En conclusion, l'Aspiq, qui a rédigé un volumineux rapport à l'attention du commissaire enquêteur, lui demande de rendre un avis défavorable.
Dorfmeister Wrote:Un AO paru au TED concernant le projet de Nîmes porte sur les travaux de terrassements pour la 1ère ligne.
Source : MDLTrambusFournier annonce le début des travaux en janvier
« J'ai un avis favorable du commissaire enquêteur et les financements. On démarre ! Les éventuels recours on s'en fout, on passera outre. » C'est un sénateur-maire de Nîmes particulièrement incisif qui a commenté hier, lors d'une rencontre avec la presse, l'avis favorable, sous une condition (1), que vient de rendre le commissaire-enquêteur sur le projet de transport collectif en site propre (TCSP) de Nîmes Métropole.
Jean-Paul Fournier a annoncé le lancement des travaux pour janvier et l'inauguration mi-2012 . Convaincu que, désormais, plus rien ne pouvait arrêter un des projets majeurs de sa présidence de Nîmes Métropole, l'élu a relativisé la condition qui accompagne le feu vert du commissaire enquêteur. Ce dernier exige « une étude approfondie de faisabilité de desserte
de la gare à titre expérimental, provisoire et transitoire, dans l'attente de la mise en service de la ligne 2 » . Sur cette exigence, le sénateur-maire a souri : « L'étude est faite et nous mettrons en place une navette qui partira d'un arrêt du TCSP, probablement à l'angle de la rue Cité-Foulc ».
Et sur les protestations (lire ci-contre) concernant le tracé de cette ligne qui évite la gare et les quartiers les plus peuplés de la ville, Jean-Paul Fournier a répété : « C'est politique, certains ne sont là que pour critiquer. Si on avait écouté ces gens, on aurait rouvert l'enceinte romaine devant les arènes. » En revanche, pour les lignes 2 et 3, très certainement des trams, l'élu a confirmé qu'elles desserviraient la gare. Il a d'ailleurs annoncé avoir validé les 12 km de la ligne 2. Elle partira de Saint-Césaire, passera par Carémeau, Valdegour, la gare, le Mas de Mingue pour arriver à la future salle de musiques actuelles (Smac) et sera présentée en conseil communautaire le 4 octobre. Jean-Paul Fournier a même avancé que le chantier se déroulerait de 2013 à 2017. Bras de fer Jean-Paul Fournier a révélé que le conseil régional a décidé de ne plus attribuer à la réalisation de la ligne de TCSP, la subvention de 685 000 € sur laquelle il s'était engagé en juillet 2009. « C'est grave, j'ai reçu une lettre le 28 juillet m'informant que le tracé ne respectait pas les clauses prévues et l'articulation nécessaire par rapport à la gare » , a-t-il expliqué. Pas dupe, l'élu a ajouté : « Dans la délibération que le conseil régional a votée, il y avait le plan du tracé. J'ai toujours refusé que cette première ligne longe le boulevard Sergent-Triaire où il n'y a personne . Des élus nîmois ont dû faire pression sur Frêche. » Déplorant ces « manoeuvres politiques » , il a indiqué avoir demandé un rendez-vous au président de Région avec qui il a « d'autres dossiers à évoquer ».
Sinon la STDG possède au moins un PR100.2 en service, le 9729 si je me trompe pas, je l'ai croisé à Bernis en allant bosser au Stade.
Sinon, quelqu'un aurait il des photos des Citaro II ex-Sodetrav qui circulent maintenant sur les affrétées à Kéolis Langeudoc?
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