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viadi Wrote:
Si Paris est à part, l'arrivée Orléans n'est tout de même pas la plus saturée.
15063 Wrote:En contrepartie, les rames ne sont plus réversibles car il semble que la SNCF ne veut pas de rever à 200 à l'époque.
Arnaud68800 Wrote:Pourtant, à la même époque, les TER200 alsaciens sont devenus réversibles.
Est ce que ce ne serait pas plutôt l'électrification en 1,5 kV continu qui ne permettrait pas la réversibilité à 200 km/h ?
viadi Wrote:Ce n'est deja pas simple de sortir les gens de leur voiture.
Mais si on n'est pas en mesure de leur proposer une offre simple et lisible, tant sur les horaires que les tarifs, et fiable sur les operations, hors aleas ponctuels, c'est vraiment pas gagné...
En interne il faut aussi noter que le personnel peut être tenté de privilégier ses intérêts que le service à la clientèle. Ce n'est pas toujours illégitime, mais parfois c'est pousser le bouchon un peu trop loin.
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Mathieu Wrote:Il n'y a pas à s'en vouloir, ce ne sont pas nos impôts qui financent Voyages SNCF
Mathieu Wrote:Il n'y a pas à s'en vouloir, ce ne sont pas nos impôts qui financent Voyages SNCF
ewen Wrote:Bah si un peu : conventions TET, conventions TER...
ewen Wrote:Indirectement, la carte avantage rémunère les régions qui ont choisit de faire bénéficier de réductions à leur clientèle.
Arnaud68800 Wrote:15063 Wrote:En contrepartie, les rames ne sont plus réversibles car il semble que la SNCF ne veut pas de rever à 200 à l'époque.
Pourtant, à la même époque, les TER200 alsaciens sont devenus réversibles.
Est ce que ce ne serait pas plutôt l'électrification en 1,5 kV continu qui ne permettrait pas la réversibilité à 200 km/h ?
Jean Castex : une passion immodérée pour les jets de la République
Le chef du gouvernement, qui ne manque jamais une occasion de vanter les mérites des voyages en train, effectue en réalité ses propres déplacements à bord de Falcon, aux frais du contribuable. Même pour les trajets les plus courts, comme le révèle une enquête de Mediapart sur un an de visites ministérielles. Une aberration écologique et économique, contraire à une circulaire signée par le premier ministre lui-même.
[...]
Le 26 février 2021, l’avion loué par le premier ministre décolle à 7 h 46, pour atterrir 37 minutes plus tard sur le tarmac de l’aéroport de Nantes. Le déplacement officiel est motivé par la signature d’un « contrat de relance et de transition écologique » avec la présidente socialiste de la métropole de Nantes, Johanna Rolland.
Un acte fort, selon Jean Castex, qui vante ce jour-là cette « écologie des résultats, cette écologie concrète, loin des dogmes et des postures », portée par le gouvernement et les collectivités territoriales.
« La relance économique et sociale, la transition écologique, voilà bien deux grandes causes. Deux causes mobilisatrices. Deux causes qui nous réunissent et que nous n’allons pas cesser de porter dans les mois à venir. Deux causes qui nous permettent de donner aux difficultés du temps présent le sens de l’avenir et de l’exigence », conclut le premier ministre, avant de reprendre son jet pour rentrer à Paris (36 minutes de vol).
Près d’un an plus tard, le 21 janvier 2022, Jean Castex se rend une nouvelle fois dans la préfecture des Pays de la Loire, mais il ne semble toujours pas décidé à prendre le train. Son avion décolle à 7 h 50, pour un retour à 14 heures.
Au programme : la visite du centre de vaccination de la Beaujoire, puis le dépôt de la première pierre du futur CHU, un projet présenté comme « éco-responsable ». D’après nos estimations, pour cet aller-retour, le bilan carbone du jet mobilisé par le premier ministre est de 2 300 kg de CO2. S’il avait pris le TGV, ce bilan aurait été de 1,336 kg de CO2 par personne, selon les données de la SNCF.
[...]
Autre cas de figure éloquent avec ce trajet de Jean Castex à Caen, le 16 avril 2021, pour aller à la rencontre de soignant·es du centre hospitalier universitaire (CHU). Plutôt que d’utiliser un train Intercités ou de prendre une voiture – Caen n’est qu’à 230 kilomètres de Paris (une distance rapidement parcourue en convoi officiel) –, Jean Castex a sauté dans un jet à 8 h 05, pour atterrir 28 minutes plus tard.
Rebelote quatre mois plus tard : le premier ministre retourne, le 27 août, dans la préfecture du Calvados. Il y prononce un discours vantant la relocalisation de l’économie, une nécessité pour « produire français, former et assurer la transition écologique ». Avant de rentrer, encore et toujours, à bord de son avion.
lozere Wrote:Bonjour,
il semble que Rémilly soit disparu des radars, même pour un Rémilly Metz: Aucun itinéraire trouvé pour le trajet et la date sélectionnés.
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