Sucry Wrote:L'Agglo est fâchée avec les enjoliveurs ?
Enjoliveurs ou pas, le principal, c'est qu'il roule.
@+
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Sucry Wrote:L'Agglo est fâchée avec les enjoliveurs ?
Subway2400 Wrote:Sucry Wrote:L'Agglo est fâchée avec les enjoliveurs ?
Oui, ils sont fâchés avec je crois
Subway2400 Wrote:Z'ont peur qu'on les leur vole
MidiLibre Wrote:Il n’est ni bleu ni jaune, comme les autres, mais enrobé dans un seyant vieil or métallisé. Il est aussi un peu plus haut, 3,40 m, sur sa partie arrière. Son nom ? Il est inscrit dessus : Hybrid.
On fait difficilement plus explicite. Ce bus fonctionne donc grâce non pas à une, mais deux sources d’énergie : l’une thermique, l’autre électrique. Un moteur diesel alimentant en permanence, quand il roule, seize batteries de 600 volts disposées sur son toit.
À la veille de dévoiler son PDU (Plan de déplacements urbains), mercredi prochain, Thau agglo a demandé à CFT (Corporation française du transport), la société délégataire de son réseau de bus, de tester ce véhicule hybride. De marque Irisbus, âgé de tout juste un an, il a été prêté par Iveco France.
En service depuis le 9 octobre et jusqu’au 19 novembre, il a été affecté sur la ligne 3, reliant la gare SNCF à l’Île de Thau (André-Malraux). Toutefois, durant deux semaines, il a disparu du circuit. Motif : une panne… électrique. Pour le reste, Hybrid ne présente presque que des avantages. Et en premier lieu, bien évidemment, sa consommation : il n’avale que 70 litres de gazole pour 200 km/jour, soit quinze de mois que les autres bus.
Il est aussi moins bruyant et même totalement silencieux à l’arrêt puisque le moteur ne tourne pas. Les chauffeurs apprécient aussi la souplesse de sa conduite, sans rapports. Son principal inconvénient, en fait, c’est son coût : environ 300 000 €, contre 240 000 € pour un bus “normal”. Rouler plus “durable”, ça se paye…
Subway2400 Wrote:La preuve ce soir avec une vidéo que j'ai tournée de Centre Malraux à la gare sur la ligne 2
Subway2400 Wrote:Salut !
En me baladant sur les quais du port vers le Maroc, j'ai trouvé ce R312 :
Il porte le nom d'une boîte de nuit de Lorient !
Subway2400 Wrote:En me baladant sur les quais du port vers le Maroc, j'ai trouvé ce R312 :
Subway2400 Wrote:D'ailleurs, selon un conducteur ils ne l'auraient utilisé qu'en thermique pendant la démo ! Ce qui expliquerait pourquoi le moteur thermique tournait toujours quand je l'ai pris. Ont-ils eu peur qu'il retombe en panne et qu'ils doivent payer la réparation ?
En attendant, on est pas prêts de voir des Irisbus hybrides à Sète
Subway2400 Wrote:Bien, ils peuvent maintenant passer aux Lion's City au lieu de prendre du 1ier prix ou ces hybrides inutiles
D'ailleurs, selon un conducteur ils ne l'auraient utilisé qu'en thermique pendant la démo ! Ce qui expliquerait pourquoi le moteur thermique tournait toujours quand je l'ai pris.
Subway2400 Wrote:La direction leur aurait dit de faire tourner tout en thermique par plaisir un hybride ? Donc soit il a été bidouillé par Irisbus à cause de la panne et ils ont étés obligés de le faire tourner en thermique ( vive la pub ), soit ils ont eu peur qu'il retombe en panneLe C-R avait lui-même conduit ce bus, et il m'a dit qu'il n'y a aucune différence notable au niveau de la conduite par rapport aux bus thermiques normaux. Bon après si il avait été en hybride peut-être y en aurait-il eu
Subway2400 Wrote:Comme apparemment il avait un problème de batteries, peut-être les moteurs électriques étaient-ils alimentés directement par le thermique par le biais de la génératrice ( comme les locos diesel-électrique )
Midi Libre Wrote:
2013 démarre par un sérieux coup de semonce entre Thau agglo et Sète. L’agglo a décidé de se désengager du projet de navettes fluviales chères à la municipalité sétoise. Le bureau communautaire a tranché la question dès le 28 novembre. Depuis, rien n’a été annoncé officiellement. C’est la Ville elle-même, fait inhabituel, qui a confirmé ce retrait dans un communiqué.
Conformément à ses engagements au niveau européen pour limiter les émissions de gaz à effet de serre et réduire l’utilisation de la voiture, Sète a décidé de miser sur "le formidable potentiel de circulation par voie d’eau". Sans attendre que Thau agglo se positionne, bien que les transports relèvent de sa compétence, la Ville a ainsi expérimenté, à l’été 2011, des bateaux-navettes pour conduire et ramener les festivaliers du théâtre de la mer.
Devant "le succès remporté", l’opération a été renouvelée en 2012. Et le sera en 2013. La municipalité souhaite également mettre en place cet été des bateaux-navettes les mercredis matin, jours de marché. A cet effet, elle a transmis en octobre dernier à l’agglo une proposition de la société Sète-croisières.
Parallèlement, Thau agglo avait commandé une étude comparative entre l’usage de la voiture, des bus et des navettes maritimes sur l’ensemble du Bassin de Thau. Les résultats (lire ci-dessous) semblaient pourtant encourageants.
Alors, pourquoi ce renoncement soudain ? Thau agglo le justifie par "les incertitudes et les coûts nécessaires à la mise en œuvre d’une expérimentation", qui "sont apparus disproportionnés, et ce, conjugués à la nécessité d’améliorer encore notre réseau de bus". Le coût d’une expérimentation de 6 mois à 1 an oscillerait entre 500 000 et 800 000 € (pontons, location bâteaux, exploitation, assistance à maîtrise d’ouvrage), alors que le prix d’un bus s’élève à 250 000 €.
L’agglo se dit toutefois prête à signer une convention de délégation de compétences pour que la Ville puisse organiser elle-même des navettes durant la saison les jours de marché et les soirs de concert. Tout en précisant qu’il faudra "travailler ensemble à l’élaboration d’une grille horaires permettant une complémentarité et non une concurrence avec notre réseau TAT" (Thau agglo transport). L’agglo préfère donc laisser seule la ville “mener sa barque”. Mais veillera à ce que les futurs bateaux-bus ne fassent pas de l’ombre à ses propres bus “terrestres”...
Le désistement de l’agglo n’est donc pas total, puisqu’elle laisse la porte ouverte à une éventuelle délégation de compétences pour les navettes intra-muros. Façon aussi de se prémunir de toute accusation de sabordage. Il n’empêche qu’en choisissant de débarquer du processus global de transport collectif maritime, l’agglo, et son président, donnent surtout le sentiment de ne pas vouloir monter à bord d’un projet avant tout voulu par Sète, et par son maire. Mais on s’en voudrait de n’y voir encore qu’un nouvel avatar de la petite guéguerre politique locale...
Selon l’étude effectuée à la demande de Thau agglo, et dont nous nous sommes procurés une copie, les navettes maritimes, en terme de durée, seraient avantageuses par rapport à la voiture pour les liaisons entre :
- Balaruc-les-Bains et Sète-gare (15 mn au lieu de 27, soit + 44 % de temps gagné)
- Mèze et Sète-gare (22 mn au lieu de 45, + 52 %)
- Loupian et Sète-gare (35 mn au lieu de 43, + 20 %)
- Marseillan-ville et Sète-gare (32 mn au lieu de 45, + 28 %)
- Bouzigues et Sète-gare (17 mn au lieu de 36, + 52 %)
- Sète-centre et Marseillan-plage par le Lido (38 mn au lieu de 42, + 10 %)
- Balaruc-les-Bains et Marseillan-ville (25 mn au lieu de 46, + 45 %)
- Mèze et Bouzigues (14 mn au lieu de 17, + 19 %)
En revanche, le bateau-bus serait plus chronophage que la voiture entre :
- Frontignan et Sète-gare (73 mn au lieu de 24, - 203 %)
- Frontignan et Sète-centre (113 mn au lieu de 25, - 352 %).
Subway2400 Wrote:Salut !
Quelqu'un sait-il ce que sont devenus les Citaro qu'on a eu ? Je ne les vois plus et je n'ai pas l'occasion de passer au dépôt ...
Merci
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