Le nombre de commune dans l'agglo sera de 32.
Coté transport on peut s'attendre au prolongement de la ligne 36, jusqu'à Saint George, à mon avis les modificatiosn seront moindres et ca sera juste une histoire de tarification :
La ligne 36 COTRA est actuellement une partie affretée des lignes 7 et 18B du réseau départemental Anjou Bus jusqu'à St Jean de Linière.
La limite de tarification COTRA sera simplement repoussée jusqu'à St George. Du moins c'est comme ca que j'imagine que ca se passera
L'article de www.angers.maville.com :
www.angers.maville.com Wrote:mardi 13 septembre 2005
Saint-Georges-sur-Loire rejoint l'agglo
Ce sera la 32e commune, et la dernière d'ici les prochaines élections
Les élus d'Angers Loire Métropole ont accepté hier soir le principe de l'adhésion de Saint-Georges-sur-Loire. Elle sera effective le 1er janvier 2006. L'agglo comptera alors 32 communes. Les candidatures de Saint-Augustin-des-Bois et de Soulaire-et-Bourg seront étudiées plus tard.
Sans surprise, les 3 000 habitants de Saint-Georges-sur-Loire vont quitter la Communauté de communes (CdC) Loire-Layon pour rejoindre Angers Loire Métropole (ALM). Hier soir, les conseillers de l'agglo ont donné leur feu vert. Après l'arrivée des Ponts-de-Cé et de Soulaines-sur-Aubance le 1er janvier dernier, l'intercommunalité passera à 32 communes en début d'année prochaine.
Au même titre que l'entrée des Ponts-de-Cé qui était « une évidence », il n'existait pas « d'autre alternative » pour Saint-Georges, selon Jean-Claude Antonini, le président d'ALM. « Son bassin de vie est réellement sur l'agglo. »
« Il n'y aura pas d'autres entrées d'ici la fin du mandat », a prévenu Jean-Claude Antonini. Il ferme ainsi la porte à deux candidatures : celle de Saint-Augustin-des-Bois et celle plus insistante de Soulaire-et-Bourg. Hier soir, Gérard Maingot, le maire de Briollay, a soutenu ses voisins de Soulaire : « Ils sont à 11 km d'Angers. Cela fait une dent creuse dans l'agglo. Je souhaite qu'on prenne l'engagement formel de ne pas rompre les ponts avec Soulaire. »
Limiter le périmètre
La démarche de Soulaire peut cependant surprendre. Son maire, qui préside la CdC de Loir-et-Sarthe, a récemment choisi de rejoindre le pays baugeois ! Et de tourner ainsi le dos au pays d'Angers, « conçu comme un bassin naturel de vie. On va donc attendre que les prochaines élections (ndlr : municipales) clarifient la situation... »Au sein du conseil, plusieurs voix se sont élevées pour s'inquiéter de l'élargissement de l'agglo. « Si le bassin de vie est un critère, alors le pays et l'agglo seront identiques », a remarqué Laurent Gérault, le porte-parole de l'opposition angevine. « Il faudra bien se limiter à un certain périmètre, sinon on ira jusqu'au bout du département », a renchéri le député-maire d'Avrillé, Marc Laffineur. « Il y aura toujours un petit trou quelque part. »
Dominique servant, le maire de Saint-Léger-des-Bois, a apporté un début de réponse : « Le périmètre se limitera de lui-même quand les territoires des intercommunalités seront assez forts et cohérents. » Ce n'est pas le cas de la CdC de Loir-et-Sarthe, avec Tiercé qui regarde vers Baugé. Ni de la CdC Loire-Layon, qui a rejoint le pays Lys-Loire-Aubance, car Chalonnes-sur-Loire estime avoir plus d'intérêts avec le Sud-Loire.
La création du pays d'Angers aurait dû favoriser les coopérations entre les intercommunalités. C'est aussi le rôle du Schéma de cohérence territoriale (Scot). Ce document, en cours d'élaboration, organise l'aménagement des grands équipements pour les 10 ans à venir. Comme l'explique le sénateur Daniel Raoul, vice-président d'ALM et président du pays d'Angers, « l'intérêt de tous consiste à développer des polarités avec les communes excentrées, en matière de transport, de maintien des personnes à domicile... » Saint-Georges en a tout à fait le profil.
En attendant, « Saint-Georges constituera la porte ouest du développement économique de l'agglo. » Dans la corbeille de mariés, la commune amène une vingtaine d'hectares de réserves foncières pour aménager des zones d'activités. Au moment où l'agglo commence à manquer de terrains.
Article de Guillaume BALLARD.
(c) Ouest-France Multimédia
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