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motrice125 Wrote:Bonsoir Triste nouvelle,la 241P17 a eu un accident de chaudière,il y a des blessés-
Il faut espèrer que l'avenir de l'exploitation de véhicules ferroviaires historiques ne sera pas compremis.
http://www.creusot-infos.com/article.ph ... 33&thold=0
motrice125 Wrote:Bonjour Relater juste un accident de chemin de fer comme n'importe quel journaliste et énumèrer les pertubations engendrées par cet événement dramatique,ne suffit pas à renseigner les " VRAIS amateurs " de chemins de fer. C'est le personnel de l'association "La 241 P 17 du Creusot " qui a été gravement brulé. Des mécaniciens, des chauffeurs,difficile d'en trouver sur le marché de l'emploi. En plus cela pourrait étre la fin des circulations de Trains historiques remis en état par des passionnés (pas seulement des photographes qui sont rarement dans le trains ,mais au bord des voies... ) RFN,SNCF, RFF ne font pas de cadeaux aux association,c'est plutot des batons dans les roues....Un site qui défend les transport publics ne doit pas se contenter de faire du copier/coller des articles de presse ou la pluspart du temps ,c'est du bla bla. .....
motrice125 Wrote:Bonjour
Relater juste un accident de chemin de fer comme n'importe quel journaliste et énumèrer les pertubations engendrées par cet événement dramatique,ne suffit pas à renseigner les " VRAIS amateurs " de chemins de fer.
....Un site qui défend les transport publics ne doit pas se contenter de faire du copier/coller des articles de presse ou la pluspart du temps ,c'est du bla bla. .....
Rails & Drailles Wrote:Je pense effectivement que cet événement est dramatique à tous les points de vue. Au délà de la compassion que l'on peut éprouver pour les membres de l'asso, c'est une nouvelle catégorie de trains "pas comme les autres" qui risque de disparaître du RFN. En même temps que les trains de nuits, les trains de pélerins, les autos-trains, les trains de paille et tant d'autres...
eomer Wrote:Même si la 241P17 s'avéraient non réparable, cela ne veut pas dire que TOUTES les 241 P encore en état de circuler devraient être interdites de circulation: l'enquète devrait permettre d'expliquer ce qui s'est réellement passé.
izgood Wrote:Bonjour
De bonnes nouvelle des on mécano et la P 17 va retrouver Le Creusot, voir le Dauphiné Libéré :
http://www.ledauphine.com/savoie/2011/1 ... sont-leves
PATRIMOINE : La Ville du Creusot va solliciter une subvention pour réparer la 241P17
L'investissement nécessaire à la remise en état de la locomotive à vapeur, classée « Monument Historique », a été évaluée à 80.000 euros HT.
La Ville du Creusot est propriétaire depuis 1971 d’une locomotive 241P17 fabriquée par la société Schneider en 1950, classée « Monument Historique » par le Ministère de la Culture le 27 mars 1990.
Témoin de l’époque de l’utilisation de la vapeur, la 241P17 représente pour la Ville du Creusot le symbole de la technique et du savoir faire de l’industrie ferroviaire creusotine. Sa réhabilitation a été entièrement confiée par la Ville du Creusot à l’Association des Chemins de Fer du Creusot. Après des années de travail, plusieurs voyages en train tracté par cette locomotive ont pu être organisés à travers la France. Cette remise en service a constitué un atout formidable de développement touristique tout en permettant à des curieux toujours plus nombreux de découvrir gratuitement ce patrimoine ferroviaire né au Creusot.
En août dernier, un incident est intervenu sur la chaudière entraînant brutalement l’arrêt total de cette machine. Après expertise, la remise en fonctionnement de cette machine sera possible après le remplacement des tubes-fumées et des entretoises. Le coût est estimé à environ 80.000 € HT.
Divers partenaires tels que la Direction Régionale aux Affaires Culturelles (DRAC) de Bourgogne, le Conseil Général de Saône-et-Loire, peuvent apporter leur soutien à ce projet, important tant d’un point de vue patrimonial qu’économique.
Ce lundi soir, les élus du Creusot ont autorisé le Maire à déposer un dossier de demande de subvention la plus élevée possible auprès de la DRAC., du Conseil Général, ainsi qu’auprès de tout autre partenaire susceptible de financer cette opération.
Locomotive à vapeur Le Creusot : la 241P17 sur de bons rails
L’association des Chemins de fer du Creusot (CFC) met tout en œuvre pour que « sa » P17 puisse à nouveau circuler en 2013.
Fabriquée par les établissements Schneider en 1949, la locomotive à vapeur 241P17 avait été affectée à la traction à grande vitesse de l’époque, avec une vitesse commerciale de 120 km/h.
Classée « Monument Historique », elle est la plus imposante des locomotives à vapeur française.
Le financement des travaux sur la chaudière est maintenant bouclé, les Monuments Historiques ont donné leur feu vert, plus rien ne s’oppose à ce que le retubage commence. Il devrait intervenir dans les prochains jours, l’objectif étant de passer l’épreuve décennale dans le courant du mois de novembre.
L’association des Chemins de fer du Creusot (CFC) met tout en œuvre pour que « sa » P17 puisse à nouveau circuler en 2013. Un premier programme des voyages a d’ailleurs déjà été élaboré, avec des nouveautés comme un week-end à Nancy, un projet sur la Suisse et si tout va bien, d’autres destinations surprises !
Cette troisième vie de la 241P17 coïncidera avec le 20e anniversaire du début des travaux de restauration, tout un symbole. D’autres tâches restent à accomplir comme le ré-agrément des voitures DEV inox « ex Citev », beaucoup de travail en perspective pour l’équipe de passionnés qui espère « qu’après les difficultés, le public sera au rendez-vous afin de donner à la 241P17 un avenir radieux ! ».
241P17. La locomotive à vapeur devrait à nouveau s’époumoner au printemps prochain. Nouveau départ pour la loco
Après plusieurs mois d’arrêt, suite à l’accident du 28 août 2011 en Savoie, la Princesse du Creusot devrait effectuer une marche d’essais en avril prochain.
Le retubage complet de la chaudière de la locomotive, soit près d’un kilomètre de petits et gros tubes, reste le principal travail à faire sur la 241P17. C’est le président de CFC, Serge Chevalier, qui évoque la grosse opération, assez compliquée à réaliser, et sous-traitée à une entreprise spécialisée : Stein Énergie, basée en Alsace. L’approvisionnement en tubes est complet tandis que les techniciens alsaciens s’apprêtent à entamer des opérations de rétreint et de dudgeonnage afin d’assurer une étanchéité parfaite entre tubes et plaque tubulaire.
Les tubes devraient donc faire le voyage au Creusot d’ici quelques semaines pour être reposés sur la machine. Restera à faire ensuite l’épreuve hydraulique de la chaudière pour vérifier qu’il n’y a aucune fuite sur celle-ci. Ces tests se feront en présence d’un organisme agréé : « On espère réaliser cette épreuve avant les grands froids », commente Serge Chevalier, qui a bien en tête la liste des autres travaux à effectuer, comme le régulage des coulisses des bielles haute pression et basses pression par exemple.
Remise en chauffe en mars 2013
Si tout va bien, la 241P17 devrait effectuer son grand retour sur les voies SNCF au printemps 2013. Bien sûr à la halle à marchandises, tout le monde est suspendu à ces délais de réalisations. Mais nombreux sont ceux, qui comme le président de l’association des Chemins de fer du Creusot, ont coché sur le calendrier de l’année 2013 des croix à l’encre rouge sur le mois d’avril, pour voir la machine s’époumoner à nouveau et participer à une marche d’essais. « Pour être là au début de sa troisième vie » qui coïncidera pratiquement avec le 20 e anniversaire du début de sa restauration. Il faut le rappeler, c’est en 2006 que l’association avait remis en service la locomotive, après treize longues années de travaux, qui « ont débuté exactement le 11 novembre 1993 », se souvient Serge Chevalier.
Voyage voyage
Au CFC on ne reste pas les bras croisés à attendre la remise en chauffe de la P17. Plusieurs projets de voyages pour 2013 sont dans les cartons. On parle de voyages en mai, juin, août, septembre et octobre. Avec une grosse nouveauté : un week-end complet sur Nancy avec deux formules en cours de discussion. La Suisse devrait faire l’objet d’un voyage, et en août la locomotive pourrait symboliquement retourner à Aix-les-Bains. D’autres noms de villes ont été avancés : Belfort, Besançon…
Les jeunes au boulot
Chaque week-end, on dénombre une quinzaine de jeunes bénévoles, venant d’horizons divers, travailler sur la 241P17. Ces passionnés de vapeur prennent sur leur temps de loisir pour réaliser des opérations de maintenance comme quelques retouches de peinture ou des tests hydrauliques sur les tubes surchauffeurs de la loco. « Un des défis majeurs de l’association sera aussi de former de nouveaux chauffeurs pour la machine ». On le voit, Serge Chevalier est résolument optimiste quant au devenir de la prestigieuse machine classée monument historique. Oui, c’est incontestable, ce nouveau départ de la loco est vu comme un réel événement du côté de la gare du CFC. Et c’est tant mieux pour tous les passionnés qui attendent cela avec grande impatience.
Des nouvelles de la P17
Quant à la locomotive à vapeur 241P17, l'opération de retubage complet de sa chaudière arrive à son terme. Les travaux menés par l’entreprise Alsacienne (Stein Énergies), chargée de changer dans un premier temps les 141 petits tubes de la machine puis les 33 autres de diamètre plus important s’est bien déroulée. La chaudière devrait être certifiée prochainement par l’APAVE, après une série de tests et vérifications de maintenance actuellement en cours.
La locomotive pourra ensuite retrouver rapidement les voies SNCF pour entamer une nouvelle vie et tracter des trains touristiques vers Nevers, Aix-les-Bains, Belfort, etc.
Le Creusot Loco à vapeur, c'est reparti pour dix ans !
La P17 sera mise en chauffe vers le 15 avril pour un essai à poste fixe.
La Princesse du Creusot fera son premier voyage vers Nevers le 5 mai 2013.
La 241P17 a subi avec succès l'épreuve hydraulique décennale. Le remontage de la locomotive va donc pouvoir débuter dès ce week-end à la halle à marchandises.
C’est fait et c’est un événement pour les Chemins de fer du Creusot et pour la locomotive à vapeur 241P17 puisque ce jeudi 14 mars, la chaudière a subi avec succès son épreuve hydraulique décennale à 23,4 bars très exactement.
Cette épreuve fait suite aux travaux réalisés par Stein Énergie sur la chaudière, à savoir le remplacement des tubes de fumées et des entretoises. Les travaux se sont achevés lundi soir et Yann Janaudy, le responsable d’exploitation de la loco, avait programmé pour ce jeudi l’épreuve officielle, après des essais en interne très concluants. Cette épreuve valide ces maintenances successives et autorise la remise en service de la locomotive pour une durée de dix ans. « Nous allons dès ce week-end remettre les éléments démontés auparavant pour permettre l’épreuve par l’organisme » a commenté ce vendredi Yann Janaudy, fier d’annoncer que le train du dimanche 5 mai sera assuré à destination de Nevers. Auparavant, un essai de la locomotive à poste fixe (sans aller sur les voies SNCF) près de la Halle à marchandises pourrait avoir lieu autour du 15 avril date à laquelle les Creusotins pourront entendre à nouveau ses coups de sifflet, signe d’un nouveau départ.
La locomotive à vapeur du Citadelle express fait le buzz à la gare de Belfort
De la vapeur, du bruit, des coups de sifflet stridents… Après un premier voyage entre Nevers et Le Creusot, le 5 mai, la locomotive à vapeur 241P17 a transporté hier les touristes, pour un aller-retour Le Creusot-Belfort. Elle était attendue par une centaine de nostalgiques.
La 241P17 a été construite entre 1947 et 1949 par les établissements Schneider du Creusot, puis mise en service le 10 mai 1950 au dépôt de Lyon-Mouche, mutée à Marseille-Blancarde le 27 septembre 1958, puis au Mans le 20 novembre 1959. Elle a assuré le dernier service commercial des 241-P, le 28 septembre 1969, sous la forme du train de messagerie 4738 Nantes – Le Mans.
Elle a été ensuite rallumée le 14 novembre 1969 pour une exposition du 28 novembre au 14 décembre. Elle a ensuite regagné le dépôt du Mans le 16 décembre et y est restée jusqu’au 19 janvier 1971. Elle a ensuite été transférée au Creusot, à l’usine de la Société des Forges et Ateliers du Creusot (SFAC), anciennement Établissements Schneider. Il a fallu ensuite pas moins de treize ans de restauration entre 1993 et 2006, puis, après un accident fâcheux et dramatique à Annecy, deux ans d’opération de maintenance entre 2011 et 2013 ont été nécessaires pour qu’elle puisse reprendre du service. Elle est synonyme de prestige dans le cœur de tous les anciens cheminots.
Classée monument historique
Hier, le voyage touristique au départ du Creusot à 9h55, organisé par les Chemins de fer de la localité, passait par Besançon avec une halte pour découvrir la Citadelle, Montbéliard et Belfort, où le train s’est arrêté à 15h18 pour un arrêt d’une heure vingt. Le train ne roule pas très vite, les passagers ont eu le temps d’admirer le paysage. « Une belle promenade , souligne ce père de famille venu avec son épouse et ses deux enfants. On a le temps d’admirer le paysage avec ce côté rétro qu’apportent le bruit et la fumée de la loco. »
Il est vrai que la 241-P-17, classée monument historique et qui détient le record de kilométrage de la série avec 1741865 km parcourus, se déplace à peine moins vite qu’un TER.
« Pas à cause des capacités de la machine , indique un technicien, mais à cause des contraintes techniques liées aux aiguillages. Et puis, la vitesse, ce n’est pas le but, ce n’est pas le TGV. »
À bord des voitures, de type années cinquante, la convivialité et la passion sont au rendez-vous, et le confort des premières et secondes classes est l’équivalent des trains actuels. Une voiture-bar dont l’espace salon a été entièrement rénové se trouve au centre de la rame et une boutique souvenirs vous permet aux touristes de repartir avec « un morceau de la 241P17 ».
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