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nanar Wrote:En grossissant au maximum la coupe
http://www.ferro-lyon.net/xmedia/Images ... e-1983.png
pour mesurer les hauteurs entre le dessus des traverses ferroviaires et le béton des viaducs, on arrive à déterminer très approximativement que les poutres transversales de 9 mètres pourraient avoir :
environ 65 cm de haut à mi longueur
55 cm dans l'axe médian des piles (6,70 m de portée d'axe à axe)
et 35 cm à leur extrémité.
Ces dimensions peuvent-elles donner la résistance nécessaire ?
Faudrait-il poser autant de poutres qu'il y a de traverses divisé par 2 (espacement +ou- 70 cm) ?
Serait-ce plus lourd que le ballast et les traverses existant-es ?
chris2002 Wrote: Donc, en décalant les voies de l'axe des piliers, le calcul des charges, qui avait pouvait plus ou moins se faire (en tout cas en 1ère approximation) en 2D quand les voies étaient dans l'axe des piles devra se faire en 3D, avec une dalle en béton ou un réseau de poutre qui s'appuie sur 4 piliers à la fois, alors qu'auparavant les poutres soutenant les voies ne s'appuyaient probablement que sur 2 piliers à la fois. [...]
Jojo Wrote:Les viaducs ne sont-ils pas déjà reliés par les structures des quais de service ?
Sasomo Wrote:On parle quand même d'une gare de la capitale (qui n'est qu'une des plus grosses gares de Suisse) qui avale 2 fois plus de trafic avec de nombreux trains terminus avec 2 voies de plus que Part Dieu actuel. C'est donc bien qu'il y a un problème de gestion des flux voyageurs et ferroviaire voire un problème de gestion...
nanar Wrote:Je suppose en outre qu'aujourd'hui la présence de ballast entre voie+train dessus d'une part, pile+viaduc dessous d'autre part, amortit les efforts exercés par les premiers sur les deuxièmes ?
La fixation directe des rails sur des poutres transversales simplement rajoutées sur les viaducs existants supprimerait-elle cet amortissement des efforts ?
dyonisien Wrote:Or quand la gare de La Part-Dieu a été créée, elle était prévue pour être agrandie à 16 voies (c'était avant que les inventeurs de ouigos et autres fariboles mettent la main sur la SNCF). Il semble que ce serait la première chose à faire, à moins que des ânes urbanistes locaux n'aient rendue impossible cette extension.
dyonisien Wrote:Bien sûr elle ne réglerait pas tout à elle seule, mais ce serait un début, qui pourrait être suivi d'une banalisation totale entre St Clair et la Guillotière
dyonisien Wrote:Mais bon, on a les décideurs de l'hexagone...
Locutus Wrote:dyonisien Wrote:Or quand la gare de La Part-Dieu a été créée, elle était prévue pour être agrandie à 16 voies, à moins que des ânes urbanistes locaux n'aient rendue impossible cette extension.
16 voies?![]()
Je vois pas comment...
Mais là c'est clairement impossible à part en rasant intégralement la gare et en la reconstruisant sans ces foutus quais de services...
Locutus Wrote:Je ne vois pas en quoi la banalisation des voies augmenterait le nombre de sillons disponibles.
Locutus Wrote:16 voies?![]()
Je vois pas comment...
Mais là c'est clairement impossible à part en rasant intégralement la gare et en la reconstruisant sans ces foutus quais de services...
dyonisien Wrote:Je ne vois pas en quoi la banalisation des voies augmenterait le nombre de sillons disponibles.
1.10 Etoile ferroviaire de Lyon, contournement ferroviaire de l’agglomération lyonnaise (CFAL), et accès au tunnel Lyon-Turin
Carrefour européen, national et régional stratégique, l’Étoile Ferroviaire Lyonnaise (EFL) joue un rôle majeur dans l’organisation des circulations de voyageurs et de marchandises. Chaque jour, elle accueille 1 200 trains, dont 600 TER. Extrêmement sollicitées (hausse de 60% de la fréquentation en 10 ans), ses infrastructures ont atteint leur limite de capacité au début de la précédente décennie. Les points de congestion multiples y dégradent la qualité de service et entravent les possibilités de développement de nouveaux services.
Le renforcement de capacité de l’étoile ferroviaire lyonnaise est nécessaire au développement d’un RER métropolitain lyonnais, au développement des services voyageurs régionaux et nationaux, des circulations fret dans le couloir rhodanien notamment, mais conditionne également la possibilité d’augmenter les circulations fret attendues à la mise en service du tunnel de base transfrontalier Lyon-Turin. Les objectifs fixés dans le cadre du débat public qui s’est tenu en 2019 étaient de permettre à l’EFL de faire circuler 2 fois plus de TER, +25 % de TGV, +50 % de fret. SNCF Réseau estime actuellement que ces 3 types de trafics pourraient aller jusqu’à doubler à l’horizon 2050.
Maillon central du corridor Méditerranée du RTE-T, de la péninsule ibérique vers l’Europe centrale, le projet Lyon Turin vise à une amélioration significative de la performance du mode ferroviaire (fret et voyageurs) pour la traversée des Alpes. Il doit permettre le report mod al du fret de la route vers le fer, améliorer les liaisons entre les agglomérations alpines et sécuriser les déplacements entre la France et l’Italie. Cette liaison est également une réponse à la problématique de la pollution constatée dans les vallées alpines et s’inscrit dans le cadre de la
convention pour la protection du massif alpin. Les accès français au tunnel international dont la première phase comprend la ligne classique Dijon-Modane, le contournement ferroviaire de l’agglomération Lyonnaise, l'étoile ferroviaire lyonnaise (notamment le nouveau franchissement ferroviaire du Rhône) ont des interfaces avec l'étoile ferroviaire de Grenoble et celle de Chambéry, et sont à synchroniser avec les accès italiens. COI 2018 : Dans la suite de la Commission mobilités 21, le COI avait développé une approche conjointe du nœud lyonnais et des accès au tunnel Lyon-Turin. Tout en soutenant la poursuite du « plan court-moyen terme de dénouement du nœud ferroviaire lyonnais 2015-2025 », de l’ordre de 500 M€, inscrits au CPER, le conseil avait préconisé la tenue d’un débat public multimodal à l’échelle de la métropole lyonnaise et avait recommandé de prévoir pour le nœud ferroviaire lyonnais (NFL) et les accès au tunnel Lyon-Turin, dans le scénario 2 retenu par la LOM : les financements nécessaires sur la période 2018-2022 et sur le quinquennat suivant de la première phase de réaménagement du NFL et des travaux complémentaires ; la modernisation du tronçon Dijon – Ambérieu – Chambéry - Montmélian - Saint-Jean-de-Maurienne de la ligne ferroviaire existante Dijon-Modane en l’engageant durant la période 2023-2027 avec une réalisation progressive en environ dix ans ; la réalisation des phases ultérieures d’aménagement du nœud ferroviaire lyonnais à partir de la période 2028-2032 ;
la réalisation d’un contournement ferroviaire lyonnais après 2038 ; s’agissant des nouvelles voies d’accès au Lyon-Turin, considérant que la démonstration de leur urgence n’était pas avérée, leur engagement après 2038.
Le débat public recommandé, limité aux sujets ferroviaires, s’est tenu en 2019. Lors de ce débat, la réalisation prioritaire de la mise à 4 voies entre Saint-Fons et Grenay, nécessaire quel que soit le scénario de phasage des grands projets, a été mise en avant, afin d’améliorer globalement les niveaux de service vers Grenoble, Chambéry, la LGV, et le tunnel Lyon-Turin. Ce n’est cependant qu’en juillet 2022 que le Comité des grands partenaires de l’étoile ferroviaire lyonnaise a arrêté d’un commun accord de retenir le scénario de désaturation par la réalisation
du CFAL Nord plutôt que par l’ajout de voies supplémentaires en cœur d’agglomération lyonnaise entre SaintClair et Guillotière, beaucoup plus coûteux, aussi bien en option souterraine que dans celle de surface, et beaucoup plus long à mettre en œuvre.
Etoile ferroviaire de Lyon
Le plan de mobilisation 2015-2025, en cours de réalisation pour 500 M€ (qui à ce stade d’avancement devrait ressortir un peu moins coûteux), vise à améliorer la qualité de service, diminuer le nombre de retards de 18%, réduire l’impact des incidents, améliorer le confort et la sécurité en gare de LyonPart-Dieu. Il comprend des augmentations de capacité à Lyon Part-Dieu (quai supplémentaire et nouveaux accès voyageurs) et plusieurs opérations sur les différentes branches de l’étoile. Il a déjà permis de premiers progrès : sur les 5 dernières années on constate une baisse de plus de 40% des minutes perdues dans l’EFL et de 50% des trains ayant plus de 5 minutes de retard.
Le nouveau plan de développement des services et de la capacité (2025-2035) doit permettre de déployer progressivement un réseau express métropolitain (un train par 1/4h sur les branches les plus chargées et proches du centre de l’agglomération). En cours d’études, et se composant de nombreuses opérations localisées (retournements, évitements, signalisation…), son coût est évalué entre 350 à 500 M€.
La principale opération utile à tous les trafics est cependant la mise à 4 voies de la section Saint-Fons-Grenay sur la ligne vers Grenoble/Chambéry et la dénivellation du raccordement de Saint-Fons. Cette opération est évaluée à 1 060 M€2022.
Les études relatives à la définition de la trajectoire service / infrastructure permettront, d’ici 2023, de comparer les différents scénarios de réalisation progressive des aménagements, en précisant à quelle échéance ils doivent être réalisés en lien avec celle des projets Saint-Fons-Grenay et du CFAL Nord. Les études sont à approfondir d’ici 2023 par SNCF Réseau pour définir les gains de capacité permis par chacune des composantes avec des éléments précis d’analyse socio-économique. Le projet Saint-Fons – Grenay est à un stade d’étude de faisabilité. A ce stade,
SNCF Réseau estime qu’il ne pourrait pas être mis en service avant 2035/36, de même que le CFAL Nord, mais une accélération parait indispensable pour répondre à l’échéance d’ouverture du tunnel Lyon Turin.
Le programme d’études est financé par l’État, la région Auvergne Rhône Alpes, la Métropole de Lyon et l’Union européenne. Le plan de financement de la réalisation de la 2e phase d’aménagement du NFL (a priori dans le cadre du CPER) et de l’opération Saint-Fons Grenay et du raccordement de Saint-Fons (grand projet) n’est pas arrêté à ce stade. La LOM avait prévu l’engagement des travaux de Saint-Fons Grenay en 2032.
Le dossier de débat public de 2019 prévoyait une demande « voyageurs » dans le NFL de près de 276 000 voyageurs/jours (nationaux et régionaux approximativement pour moitié) contre 153 000 en 2017. Il en résultait une VAN/€ investi très positive, sauf dans le scénario avec traversée souterraine de Lyon. Les études socioéconomiques doivent être reprises en lien avec la définition du projet de service express métropolitain et du plan d’investissement 2025-2035. En itération avec les études d’exploitation, elles permettront notamment de définir
la (ou les) trajectoire(s) la plus opportune au regard de leur performance.
Un impact positif est attendu sur la qualité de l'air de l'agglomération lyonnaise et les émissions de gaz à effet de serre, mais les bilans produits pour le débat public de 2019 doivent être repris. Les autres composantes de l'impact environnemental restent à déterminer dans le cadre des études à venir et en fonction des choix d'aménagement retenus in fine. Les aménagements portant essentiellement sur les lignes existantes, ils limitent les effets d’emprise (élargissements de plateformes existantes) et de fractionnement.
Le COI estime que la mise à 4 voies de Saint-Fons Grenay est urgente, pour répondre à l’échéance de l’ouverture du tunnel Lyon-Turin mais aussi aux ambitions du RER métropolitain ; il recommande donc que toutes les pistes soient recherchées pour en accélérer le calendrier.
Le Conseil a pris en compte : dans les scénarios Planification écologique et Priorité aux infrastructures, l’achèvement du plan de mobilisation 2015-2025 (500 M€) et sa poursuite par un plan 2025-2035 (350 à 500 M€) dans le cadre du CPER, sous réserve des négociations régionales à venir pour sa conclusion, et le lancement au plus vite des études de mise à 4 voies Saint-Fons-Grenay et du raccordement de Saint-Fons, afin de viser une DUP vers 2025-26, un engagement des travaux vers 2030 et une mise en service vers 2035/36, en visant à les accélérer.
dans le scénario Cadrage budgétaire, l’achèvement du plan de mobilisation 2015-2025, et le lancement des opérations suivantes à partir de 2028, reportant la mise en service de Saint-Fons Grenay vers 2038.
Le conseil recommande également que la poursuite des études et travaux prévus sur l’étoile ferroviaire lyonnaise soit bien articulée aux améliorations ferroviaires envisagés comme alternatives à A45, Saint-Etienne étant une des branches de l’étoile
Contournement ferroviaire de l’agglomération lyonnaise (CFAL)
Le Contournement Ferroviaire de l’Agglomération Lyonnaise (CFAL) est un projet de contournement par l’est de l’agglomération lyonnaise, pour les circulations fret et voyageurs. Il participe à la désaturation de l’étoile ferroviaire en détournant les trafics fret de la traversée du centre de l’agglomération et de la Part-Dieu.
Faisant partie des corridors européens de fret, d’orientation Nord-Sud et vers l’Italie, ce projet a pour objectifs de : faciliter l’écoulement des trafics fret de transit NordSud et augmenter la capacité, libérer de la capacité pour les trains voyageurs et le RER métropolitain dans le centre de l’étoile, constituer un débouché à la nouvelle liaison Lyon – Turin (avant réalisation des nouveaux accès alpins, puis avec branchement direct de ces nouveaux accès), améliorer la desserte des sites de fret ferroviaire actuels (sous réserve de mise à 4 voies Saint-Fons Grenay : terminaux de Vénissieux-Saint Priest et du port Edouard Herriot) ou de futurs sites potentiels (zones logistiques de l'est de l'agglomération), accueillir des circulations voyageurs, en particulier renforcer la desserte de la plateforme de Saint Exupéry, par un raccordement spécifique.
Le projet comprend trois opérations :
- CFAL nord, entre la ligne Ambérieu-en-Bugey – Lyon (à Leyment) et la ligne Lyon – Grenoble (à SaintPierre-de-Chandieu), déclaré d’Utilité Publique le 28/11/2012, d’un montant de 2 090 M€2021 et qui peut se décomposer en 4 sous-opérations fonctionnelles : Grenay / Saint-Pierre de Chandieu – Dagneux (1,080 Md€), raccordement de Saint-Exupéry, section Dagneux-Leyment, raccordement de la Boisse (1,010 Md€ pour ces trois autres éléments) ;
- CFAL Sud, entre le CFAL Nord (à Saint-Pierre-de-Chandieu) et la ligne Paris-Lyon-Marseille en rive gauche du Rhône, évalué à 1 350 M€2021 ; Un nouveau pont sur le Rhône, évalué à 510 M€2021, fluidifiant la liaison fret en direction de la ligne orientée fret de la rive droite du Rhône, et plus globalement le traitement du nœud de Chasse-sur-Rhône /Givors.
Le CFAL nord est déclaré d’utilité publique depuis 2012, et l’ensemble des recours a été purgé. Sa mise en service pourrait être envisagée une douzaine d’année après le lancement des études AVP, soit vers 2035/36 mais une accélération parait indispensable pour répondre à l’échéance d’ouverture du tunnel Lyon Turin. La durée de validité de la DUP est de 15 ans, renouvelable une fois. La partie Nord, dans l’Ain, qui continue à être contestée, n’est pas comptabilisée dans les besoins de financement envisagés dans un premier temps mais mériterait d’être portée plus activement.
Le nouveau franchissement du Rhône au Sud, qui était initialement totalement lié au CFAL Sud, trouve sa pertinence indépendamment de celui-ci pour assurer la liaison avec la ligne orientée fret en rive droite du Rhône, et il a été décidé d’en accélérer les études, en combinaison avec les aménagements Saint-Fons Grenay.
Le CFAL sud dont le tracé fait débat, et dont les études restent à réaliser, pourrait être mis en service au plus tôt en 2040. L’instance de concertation sur les mobilités et les transports dans le sud-est lyonnais lancée par le ministre des transports en novembre 2022, devrait permettre de préciser d’ici à l’automne 2023 le principe de tracé.
Aucun protocole de financement n’a encore été signé. Le mode de financement et le type de maitrise d’ouvrage seront à confirmer. Ce projet étant prioritaire pour l’Europe, un financement de 20% pourrait être perçu. La LOM n’avait pas prévu le financement de cette opération, dans l’attente des résultats du débat public de 2019.
Le projet CFAL appartient à deux programmes : le programme nord-sud de contournement de l’agglomération Lyonnaise et le programme ouest-est de liaison nouvelle entre la France et l’Italie (Lyon – Turin). Chacun de ces programmes a fait l’objet d’une évaluation socio-économique en 2010 dans le cadre de la procédure d’enquête publique. Une analyse socio-économique à jour sur la base de scénarios probables et intégrant les évolutions liées à l’étoile ferroviaire lyonnaise et aux trafics attendus du Lyon-Turin est indispensable.
La DUP datant de 2012, les études environnementales deviennent anciennes pour la partie Nord du tracé du CFAL Nord et devront être reprises. Pour le CFAL Sud, les études environnementales sont à réaliser. La consommation d’espace pour la totalité du projet avait été évaluée entre 5 et 600 ha. Les bénéfices attendus proviennent notamment du report modal.
Le COI souligne que la réalisation du CFAL Nord est urgente, pour répondre à l’échéance du tunnel Lyon-Turin mais aussi aux ambitions du service express métropolitain lyonnais, en désaturant le centre de l’étoile ferroviaire. Il recommande que toutes les pistes soient recherchées pour en accélérer le calendrier : anticipation des acquisitions foncières, conception réalisation ou autres modalités spécifiques de réalisation, création d’une société de projet portant tout ou partie des grands projets lyonnais et des accès alpins …
Le conseil a pris en compte :
dans le scénario Planification écologique, la relance au plus vite des études du CFAL Nord, en vue d’un engagement des travaux en 2028, en vue d’une mise en service vers 2035, et du nouveau franchissement du Rhône, en vue d’un engagement des travaux, après DUP vers 2030 et d’une mise en service vers 2037. Cale correspond à une forte accélération par rapport à
la LOM. L’engagement des travaux du CFAL Sud est prévu au quinquennat 2033-2037.
dans le scénario Priorités aux infrastructures, une accélération d’un an du CFAL nord et du franchissement du Rhône, si elle est techniquement accessible, et un engagement des travaux du CFAL Sud au quinquennat 2028-2032.
dans le scénario Cadrage budgétaire, un engagement des travaux du CFAL Nord vers 2032, du franchissement du Rhône au quinquennat suivant, et du CFAL sud au quinquennat 2038-2042.
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