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Alerte à la bombe : matinée agitée sur l'axe Marseille-Toulon-Nice
Le trafic des trains a été interrompu pendant plus d'une heure dans la préfecture du Var. Des wagons ont été fouillés dans la cité des Aiglons après un appel anonyme.
Les policiers ont fouillé plusieurs trains à Nice et à Toulon après un appel anonyme.
Le trafic a repris vers 7h30 ce matin en gare de Toulon. Il avait été interrompu depuis 6h10 à cause d'une alerte à la bombe, à la suite d'un coup de fil anonyme assurant qu'un engin explosif se trouvait dans un des wagons arrivant dans la préfecture du Var.
L'axe Marseille-Toulon-Nice est encore perturbé même si les TER et TGV reprennent le chemin des voies. Et ce, à cause des retards cumulés durant un arrêt de presque 1h30 mais aussi en raison de perturbations en gare de Nice (elle a été évacuée entre 7h45 et 8h45) où deux trains viennent d'être fouillés par les démineurs, par mesure de précaution.
Selon Nice matin, un important périmètre de sécurité a été mis en place autour du parvis de la gare et de l'avenue Thiers. La gare est inaccessible depuis les avenues Gambetta et Jean-Médecin. Deux camions de pompiers et un important dispositif policier ont été déployés.
Perturbations sur les lignes SNCF Lyon/Ambérieu et Lyon/Grenoble
La soirée de lundi a été très difficile pour les usagers de la ligne Lyon-Ambérieu. Une situation que Jean-Pierre Frencel, le président de l’association d’usagers Adula, a déploré dans un communiqué évoquant sept trains supprimés et des retards pour 65 autres dont plusieurs sur la ligne Lyon-Ambérieu. La direction régionale de la SNCF confirmait hier des suppressions de train et des retards, précisant que la panne d’un train de fret d’une société privée était à l’origine de ces perturbations. Il circulait dans le sens Ambérieu-Lyon et a été immobilisé une première fois à 16h30 à Montluel. Après avoir pu repartir, il est retombé en panne à 17h08 à La Valbonne. Un train de la SNCF est intervenu pour le pousser jusqu’à la Part-Dieu à 30 km/h. La ligne ne permet pas de basculer le trafic sur la voie inverse. C’est ce qui explique les suppressions de train. L’Adula en est d’ailleurs consciente, soulignant même la bonne réaction des équipes SNCF de terrain mais elle demande que soit réalisée une « Installation permanente de contresens » qui permettrait de limiter les problèmes dans ce cas de figure.
Hier en fin d’après-midi, c’est la ligne Lyon-Grenoble qui a, à son tour, été perturbée à la suite de la panne, à la Verpillière, d’un train circulant en direction de Grenoble, entraînant suppression et retards.
Un homme armé de deux sabres retient une femme en otage en gare de Bordeaux
Une passagère du train reliant La Rochelle à Toulouse a été prise en otage vers 19 heures en gare de Bordeaux Saint-Jean par un individu armé de deux sabres
Un passager armé de deux sabres a saisi la passagère lors de l'arrivée du train sur le quai numéro 6. Se montrant particulièrement menaçant, l'individu s'est retranché dans un coin du wagon tandis que les pasagers, médusés, s'empressaient de quitter le train.
L'alerte a été rapidement donnée et un important dispositif policier a été déployé dans et autour dela gare Saint-Jean. Le Groupe d’intervention de la police nationale (GIPN) intervient afin de tenter de neutraliser le forcené. Le préfet de région, Patrick Stefanini est présent sur les lieux.
Le trafic des trains est fortement perturbé. L'intervention est en cours.
Gare Saint-Jean à Bordeaux : l'otage a été libérée
Une passagère du train reliant La Rochelle à Toulouse a été retenue en otage en gare de Bordeaux pendant deux heures ce mercredi soir par un individu armé de deux sabres. Elle a été libérée par le GIPN
Un individu armé de deux sabres a pris en otage une passagère du train reliant La Rochelle à Toulouse ce mercredi vers 19 heures en gare de Bordeaux Saint-Jean.
L'homme a saisi la passagère lors de l'arrivée du train sur le quai numéro 6.
Se montrant particulièrement menaçant, l'individu s'est retranché dans un coin du wagon tandis que les passagers, médusés, s'empressaient de quitter le train.
L'alerte a été rapidement donnée et un important dispositif policier a été déployé dans et autour de la gare Saint-Jean.
Profitant d'un moment d'inattention, le Groupe d’intervention de la police nationale (GIPN) a réussi à neutraliser le forcené. La passagère, dont on a appris qu'il s'agissait de l'épouse de Bertrand Maréchaux, le Préfet de l'Orne, a été prise en charge par le SAMU et les sapeurs-pompiers. L'intervention a duré plus de deux heures.
Le préfet de région, Patrick Stefanini était présent sur les lieux.
Le trafic des trains a été fortement perturbé.
Le forcené a été interpellé et dirigé au commisariat central. L'enquête a été confiée à la Police judiciaire.
Passages à niveau : les barrières de tous les dangers
Entre 2000 et 2010, il y a eu 374 accidents en Haute-Garonne, 41 blessés et 54 tués à des passages à niveau.
Au lendemain d'une collision entre un TER et une octogénaire, zoom sur les passages à niveau dangereux. Ils sont au nombre de cinq dans la ville et ne sont pas près d'être supprimés.
«Ce passage à niveau est vraiment dangereux, j'espère que les pouvoirs publics vont réagir ! » Abdallah, un habitant de la route de Seysses à Toulouse est choqué au lendemain de la collision d'une octogénaire avec un TER. « On voit souvent des jeunes, ou des deux roues éviter les barrières pour passer coûte que coûte », témoigne un habitant du quartier qui emprunte ce passage à niveau depuis 52 ans. Ces comportements à risque « sont malheureusement en hausse », déplore-t-on à Réseau Ferré de France (RFF), l'entité qui gère le réseau ferroviaire.
Les piétons en danger
En 2010, il n'y a pas eu de morts en Midi-Pyrénées à des passages à niveau, mais deux piétons ont perdu la vie depuis le début de l'année dans la région. Pour lutter contre ce relâchement des comportements et éviter une recrudescence des accidents, RFF a une devise : « Prévenir, sécuriser, supprimer ». De l'affichage dans les mairies au réaménagement des abords du passage, en passant par de la sensibilisation des plus jeunes, les actions sont variées. Mais quand elles s'avèrent insuffisantes, il faut parfois supprimer les passages dangereux.
Créer des ouvrages d'art
À Toulouse, cinq passages à niveau sont classés comme « préoccupants » du fait de la circulation routière et ferroviaire importante, ou en raison d'une forte accidentologie. Des études doivent être menées pour les sécuriser, « mais ça prend beaucoup de temps, et il faut trouver les financements », explique RFF.
Supprimer un passage à niveau nécessite de lourds travaux car il faut créer des ponts ou des ouvrages d'arts qui coûtent entre 5 et 10 millions d'euros, voire plus. En général, la région finance à hauteur de 15 %, l'État et RFF 50 %, reste à trouver les financements restants auprès des autres collectivités. À l'heure actuelle, les études de suppression de ces cinq points noirs toulousains ne sont pas encore lancées.
Mais avec 220 passages à niveau dans le département, le risque ne peut pas être ramené à zéro et il est impossible de tous les supprimer. Les usagers doivent donc avoir en tête qu'un train ne s'arrête pas comme une voiture. Il lui faudra 800 mètres pour se stopper. Impossible d'éviter le choc.
Le chiffre : 11
passages > A niveau préoccupants en Haute-Garonne. Cinq se trouvent à Toulouse, les autres sont à Escalquens, Montgiscard, Muret, Pins-Justaret, Portet-sur-Garonne, Villefranche de Lauragais. Il y en a 16 dans la région.
Accidents > En dix ans. Entre 2000 et 2010, RFF a recensé 374 accidents à des passages à niveau. 41 personnes ont été blessées et 54 tuées.
995 > Passages à niveau. En Midi-Pyrénées. Il y en a 220 dans le département. 14 d'entre eux n'ont pas de barrières.
40 trains > Par jour. Le passage à niveau de la route de Seysses est sur la ligne Toulouse-Auch qui voit passer 40 trains par jour.
Coût > Suppression. La suppression d'un passage à niveau coûte entre 5 et 10 millions d'euros.
800 mètres > Pour s'arrêter. Un train lancé à 160 km/h mettra 800 mètres pour s'arrêter.
Six trains sur huit supprimés hier à Thouars et Bressuire
Hier à Thouars, six des huit trains prévus à destination de Saumur et Tours se sont transformés en cars. A Bressuire, deux sur deux. Pas de quoi être optimiste alors qu’une grande refonte des horaires des TER est promise par la SNCF pour le 11 décembre prochain.
La pénurie d’effectifs chez les conducteurs a contraint la SNCF à supprimer au dernier moment la plupart des TER hier dans le nord des Deux-Sèvres.
La plupart des voyageurs qui se sont rendus hier dans les gares de Bressuire et Thouars ont eu une bien mauvaise surprise. Six des huit trains prévus au départ, pour rallier Saumur puis Tours, n’ont en effet pas pu circuler (2 sur 2 à Bressuire, 4 sur 6 à Thouars). En fait, seuls deux TER sont partis de Thouars le matin.
Motif de cette crise : le manque de conducteurs disponibles. Une pénurie que dénoncent depuis longtemps les syndicats et qui s’est donc fait cruellement ressentir hier. « En 2003, il y avait environ 85 conducteurs sur l’ensemble de ce périmètre, explique un représentant de la CGT cheminot. Aujourd’hui, ils ne sont plus qu’une vingtaine… »
Correspondances ratées
Des cars de substitution ont été mis en place pour parer au plus pressé. Mais du coup, certaines correspondances n’ont pas pu être assurées. « En prenant le TER de 16h35, j’aurais dû arriver à Paris vers 19h, soupire une voyageuse en attendant le départ du car de rechange, à 16h45. Au lieu de cela, je dois prendre un car, puis un train, puis un TGV dans lequel je ne suis pas sûr d’avoir une place. Et je n’arriverai que vers 22h ! Je ne l’ai su qu’en arrivant à la gare. Si j’avais été prévenue, j’aurais pu m’organiser autrement. Quant à un éventuel dédommagement, on ne m’a rien signalé… »
En gare de Thouars, une affiche évoquait hier des « mouvements sociaux » pour justifier la situation. Il n’en est rien. « Il y avait bien eu une grève des conducteurs du périmètre Thouars - Le Mans - Nantes, mais elle s’est achevée le dimanche précédent, poursuit le syndicaliste. C’est un mensonge et une manipulation que nous dénonçons avec force. »
“ Sabotage organisé ”
La suppression de trains, dans une telle proportion, est une première tristement historique. « C’est une opération de sabotage organisé, conclut le représentant CGT. On ne donne aucun espoir pour l’avenir de la SNCF en général et du site de Thouars en particulier. Nous demandons l’intervention énergique des politiques pour que cesse cette situation. » A commencer par Ségolène Royal, présidente de région, qui ne doit guère goûter de tels dysfonctionnements pour des TER estampillés Poitou-Charentes.
Ain. Le train percute une voiture : la conductrice était ivre
Saint-Martin-du-Mont. Bloquée sur la voie ferrée, la conductrice avait abandonné son véhicule
L’accident aurait pu virer à la catastrophe.
Dimanche aux environs de 4h30, une voiture franchit le passage à niveau 37 sur la commune de Saint-Martin-du-Mont. Vaine tentative puisque le véhicule sort des roulements et s’arrête sur la voie ferrée !
La conductrice et son passager s’extraient prestement de l’habitacle. Lorsque survient un train de marchandises… Qui percute la voiture. Trois autres convois de fret se retrouvent immobilisés. Les secours et les gendarmes de Pont-d’Ain mettront plus de deux heures à rétablir le trafic ferroviaire. Les trains repartent à 6h50 avec un retard de 2h20. La circulation routière, elle, n’a pas été interrompue.
Bilan : quelques dégâts matériels seulement et des soucis en perspective pour la conductrice. Suite à une alcoolémie de 0,86 gramme, elle a été placée quelques heures en cellule de dégrisement.
Loi des séries ? La nuit précédente, c’est la barrière du passage à niveau de Saint-Just qui a été percutée. Donc, plus aucune sécurité. Heureusement, un cheminot a constaté rapidement les dommages et fait le nécessaire pour remettre le passage à niveau en état.
SNCF : L'autorail TER accidenté à Mesvres est arrivé à Nevers
Il avait percuté une pale d'éolienne au passage à niveau de Mesvres. Il est allé jusqu'à Chagny, via Le Creusot et Montchanin, avant de partir en direction de la Nièvre.
Le mardi 31 mai, un TER circulant entre Dijon et Nevers percutait une pale d'éolienne au passage à niveau de Mesvres… Un accident spectaculaire, heureusement sans gravité avec la promesse d'une lourde note à payer pour les responsables de l'accident. C'est finalement à Nevers que l'autorail propriété du Conseil Régional de Bourgogne, exploité par la SNCF, sera réparé.
Samedi matin, il a quitté la gare SNCF d'Etang-sur-Arroux, où il était stationné et où il a été remis sur rails, en direction de Chagny. Un voyage avant de repartir en direction de Nevers pour ne pas circuler avec la cabine explosée dans le sens de circulation.
Le voyage a été on ne peut plus délicat. Le train a circulé à vitesse réduite à 30 km/heure, avant arrêt tous les 20 kilomètres pour vérifier les bogies et en particulier les boites d'essieux, afin d'éviter une rupture.
Pour cette délicite opération, sept personnes ont été mobilisées par la SNCF, sur deux jours, après cinq journées de préparatifs. Il s'agissait en effet de mener un certain nombre d'études et de préparation de l'autorail TER.
Selon les premières estimations, il faudra compter de 12 à 18 mois de réparations.
Fuite de gaz: le trafic ferroviaire à destination de Cointrin rétabli
ACCIDENT | Une fuite de gaz sous le pont de l'avenue Henri Golay a bloqué la circulation des trains à destination de l'aéroport. Le SIS, les SIG et les CFF ont décidé de rétablir le trafic ferroviaire à 13h30.
Une fuite de gaz sous le pont de l'avenue Henri Golay a bloqué la circulation des trains à destination de l'aéroport jusqu'à 13h30. Des bus de remplacement ont été mis en service, indiquent les CFF. Le problème est survenu peu avant 10h00, précise Frédéric Revaz, porte-parole des CFF, interrogé par l’ats.
Le SIS, les SIG et les CFF ont décidé de rétablir le trafic ferroviaire à 13h30.
Le trafic SNCF très perturbé suite aux orages
Les trains entre Nîmes et l’Aude ne circulent plus que sur une seule voie.
Le trafic SNCF en Languedoc-Roussillon est très fortement perturbé depuis ce matin, peu avant 6 heures, suite à la mise hors-circuit des signalisations en raison d’un orage.
La foudre a en fait endommagé des installations électriques à Nissan-lez-Ensérune, entre Béziers et Narbonne. Sous le choc, ces dernières ont pris feu.
Du coup, entre 6 et 10h, les trains entre Nîmes et l’Aude n'ont circulé que sur une voie selon la direction régionale de la SNCF, ce qui représente une fréquence de circulation de six trains à l’heure.
A 10h, le trafic a repris sur les deux voies mais devrait être réduit, à nouveau, qu'à une voie entre 11h et 12h30. Un laps de temps durant laquelle les techniciens de la SNCF répareront définitivement les dégâts liés aux orages.
Les passagers doivent donc prendre leur mal en patience dans les gares régionales. Entre 20 minutes et deux heures de retard sont constatés.
Mougins-Mouans : un camion arrache des caténaires, le trafic ferroviaire Cannes-Grasse interrompu
Ce matin vers 10h un camion avec une grue articulée a arraché les caténaires au passage à niveau numéro 5 de la ligne Cannes-Grasse, à la limite des communes de Mougins et Mouans-Sartoux. Les techniciens de la SNCF sont actuellement à pied d'œuvre pour rétablir la ligne, mais compte tenu de l'ampleur des dégâts, une interruption du trafic ferroviaire entre Cannes et Grasse est prévue jusqu'à 21h ce soir. Un service de navette a été mis en place pour les usagers.
SNCF sécurise ses lignes pour l'été
La surveillance du réseau ferré a permis d'arrêter des voleurs de câbles en flagrant délit.
Deux silhouettes traversant à la hâte des voies ferrées pourtant grillagées, passé une heure du matin; deux autres grimpant sur une échelle pour tenter d'accéder aux connexions d'un feu de signalisation; des voitures curieusement stationnées à proximité de zones techniques normalement inaccessibles au public: de jour comme de nuit, les caméras infrarouges des hélicoptères EC-135 de la gendarmerie nationale dédiés, depuis février, à la surveillance du réseau SNCF, ont permis de réaliser quelques beaux flagrants délits. Et la société nationale est bien décidée à renforcer ses liens avec la gendarmerie à l'approche du grand chassé-croisé du mois d'août. Alors qu'un mouvement de grève se profilait hier soir encore dans les transports aériens, les autorités ne peuvent se permettre qu'un incident vienne perturber les départs et les retours en masse des vacanciers.
Enjeu économique
Le général Jacques Mignaux, directeur général de la gendarmerie nationale, assure que le partenariat engagé avec la SNCF a permis de «marquer des points dans la lutte contre les vols de câbles sur le réseau». Un véritable fléau l'an dernier. Ces vols, qui peuvent paralyser des tronçons entiers, ont occasionné en 2010 plus de 5800 heures de retard sur les lignes. L'enjeu économique pour le monde du rail est évidemment considérable. On parle déjà de plusieurs dizaines de millions d'euros de préjudice par an par le seul effet des vols de métaux. La menace pour l'entreprise est d'autant plus forte que le prix de la tonne de cuivre a dépassé au début de l'année les 7000 euros. De quoi susciter des appétits.
Il n'y a pas que les vols de métaux. La délinquance générale s'illustre sur le réseau. La SNCF doit faire face notamment à des gangs organisés qui s'adaptent très rapidement. En 2010 on a relevé 708 actes dits de malveillance (dégradation). Depuis début 2011 on n'en recense plus que 255, une baisse vraisemblablement due aux efforts conjugués des forces de l'ordre et des équipes de sûreté de la SNCF. Les actes de violence envers les personnes et les agents SNCF restent stables, il s'en produit environ 660 par an.
L'été impose certains redéploiements des forces de sécurité, notamment dans les gares d'affluence. Aujourd'hui, gendarmerie et SNCF travaillent main dans la main. La maréchaussée a effectué depuis 2011 environ 50.000 missions en gare, soit 11% de plus qu'en 2010. Ces chiffres s'accompagnent d'une hausse de 30% des arrestations en milieu ferré depuis le début de l'année. Cependant les services de police assurent eux aussi la sécurité des axes ferroviaires. En cette période de grand chassé-croisé, la coordination doit définir les points sensibles, comme la région sud-est. Le dispositif de vigilance - outre l'hélicoptère, coûteux dans sa mise en œuvre -, intégrera probablement des drones. Guillaume Pepy, patron de la SNCF, souhaite qu'il surveille les lignes à risques.
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