Revue de Presse

Le Forum des passionnés de rail et de caténaires...

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Re: Revue de presse

Messagepar Didier 74 » 06 Déc 2012 15:30

L'Union, 6 décembre
La grogne des usagers atténuée par le TGV

Les usagers qui prennent l'abonnement travail sont pénalisés les soirs avec les nouveaux horaires.

RETHEL (Ardennes). Trois TER devraient être touchés par la nouvelle grille horaire de la SNCF. Pour atténuer la grogne des abonnés TER, la SNCF leur propose de prendre le TGV.

C'EST un vent de révolte qui soufflait sur la gare de Rethel mardi, depuis que les usagers ont eu confirmation de la nouvelle grille des TER qui sera mise en service au 9 décembre. « Il y a trois TER qui ont été annulés et notamment les soirs », gronde Nathalie Rémy, une habitante de Rethel qui fait le déplacement tous les jours pour aller travailler à Reims.
Il s'agit du 19h29, qui va de Reims à Sedan, du 19h44, de Reims à Longuyon, et du 20h31, Reims-Sedan. Évidemment ces trois trains s'arrêtent à Rethel et pour certains à Bazancourt. « Ils ont supprimé les trois trains pour en mettre un seul à la place à 19h58 avec arrêt à Bazancourt, cela aboutit à une carence de trains entre 18h28 et 19h59, après il faut attendre 21h54 pour avoir un autre train pour les Ardennes.
Du coup, les personnes qui travaillent dans le commerce et qui terminent à 19 heures, par exemple, rentrent chez elles soit vers 20h30 soit vers 22h55 au lieu de 19h50 ou 21h30. « Est-ce normal qu'il n'y ait plus de TER entre 18h28 et 19h59 et entre 19h59 et 21h54, à des heures où il y avait des passagers ? Les trains n'étaient pas vides, cela nous était bien utile, car le train comme moyen de transport est moins coûteux et aussi moins polluant. A-t-on pensé à ces familles qui attendent le parent qui rentre ? » Nathalie Rémy évoque la possibilité de prendre un TGV à 19h21. « Ce serait un mieux, car cela pourrait arranger la situation des abonnés qui sortent du travail à 19 heures, mais ceux qui partent de Reims à 20 heures seront toujours pénalisés. »

Un TGV pour remplacer
Nathalie Rémy qui s'est fait le porte-parole de tous les abonnés au train, a fait circuler une pétition qui a été envoyée au conseil régional, à la SNCF, à la mairie de Reims et aussi de Charleville.
La date du 9 décembre approchant, il y aurait fort à parier que les horaires des trains seraient modifiés, comme prévu. « Ça râle déjà sur les quais, les gens en parlent. C'est écœurant de devoir rentrer si tard le soir. C'est vraiment révoltant de supprimer ces trains. Les gens ne sont vraiment pas contents, cela fait tard, ce n'est même pas jouable, il faudrait reprendre la voiture ! ». C'est ce qu'on entend de la part des abonnés qui sont nombreux à utiliser le TER en guise de « métro » pour aller travailler à Reims. Certains doivent même prendre la voiture ensuite pour rejoindre des villages comme Signy-l'Abbaye ou Novion-Porcien, sans compter les abonnés de Bazancourt et du sud des Ardennes comme le Châtelet ou Juniville.
« On ne comprend pas pourquoi, ils retouchent si souvent les horaires, et surtout quand ça marche. Pour une fois que cela rendait service aux gens », grondent les salariés ou les commerçants qui doivent fermer leur boutique après 19 heures, même si la SNCF les autorise à prendre le TGV. Cette solution a été proposée mardi après-midi, aux abonnés TER.
Ces derniers pourraient accéder au TGV moyennant une participation de 25 euros mensuels pour les actifs et 12 euros pour les étudiants, « mais cela ne réglera pas et de loin le problème des abonnés qui quittent le travail à 20 heures, à Reims car ils devront de toute façon attendre deux heures, c'est dommage. Il faudrait penser un peu à eux et à leur famille ! » persistent des usagers. Mais en coupant la poire en deux et en anticipant la grogne qui gagnait les quais, comme elle vient de le faire, la SNCF espère bien se rallier les faveurs de ses clients.

Le TGV en sus…
Nous avons contacté Éric Chartrain, directeur délégué TER Champagne-Ardenne. Il explique qu'il n'y a pas une suppression de trois trains. « Le TER de 19h44 n'est pas supprimé, il est décalé d'un quart d'heure et part à 19h59. Quant au 19h29, il peut être remplacé par le TGV, nous sommes en train d'étudier les conditions d'accès au TGV, une communication sera faite dans les jours qui viennent (NDLR : la communication a été faite l'après-midi même par la SNCF à ses abonnés) ; maintenant pour les clients qui sortent à 20 heures, il y a une solution à 21h54 avec arrêt à Bazancourt, et le vendredi et le dimanche, un train est prévu à 20h54. Sur le 20h31, nous n'avions qu'une quinzaine de personnes, alors que le train compte 176 places, les clients devraient considérer les redéploiements que l'on a pu faire sur d'autres lignes, très fréquentées ».
Donc la solution qui a été trouvée, concerne les clients de 19 heures avec la possibilité de prendre le TGV moyennant une participation supplémentaire de 25 euros mensuels ce qui place un abonnement mensuel à plus de 100 euros. Et 7,50 euros pour la formule hebdomadaire.

Sources http://www.lunion.presse.fr/article/ard ... &xtmc=SNCF et http://www.lunion.presse.fr/article/aut ... &xtmc=SNCF

Relaxnews, 6 décembre
les iDTGV pour le printemps en vente dès le 11 décembre

La SNCF ouvre à la vente ses billets de trains iDTGV, pour tout voyage compris entre le 29 mars et le 13 juin. Dès le 11 décembre, les voyageurs pourront organiser leurs vacances de printemps, à partir de 19€ l'aller simple, vers trente destinations en France.

Les billets petits prix de la SNCF seront disponibles vers les nouvelles villes mises en service, à savoir Quimper, Lorient, Auray et Vannes. Les passagers pourront les acheter sur iDTGV.com.

Les billets iDTGV viendront compléter l'offre à bas prix lancée prochainement par la SNCF. Des TGV low-cost verront le jour l'an prochain, a priori fin mars-début avril. Avec eux, les voyageurs pourront relier quelques villes de France, comme Montpellier, à partir de 25? l'aller simple. Il faudra toutefois partir des gares de banlieue, comme Marne-la-Vallée, en Ile-de-France.

Ouest France, 6 décembre
La Roche-Maurice. Un arrêt supplémentaire pour le TER

À partir du dimanche 9 décembre, le TER partant de Brest à 17h15 effectuera un arrêt supplémentaire à la gare de La Roche-Maurice. La SNCF l’a annoncé lors de la publication des horaires d’hiver. Le comité de défense de la gare de Landerneau « se félicite d’avoir été entendu par les élus du conseil général ». Les salariés, les étudiants, les lycéens « qui habitent dans le secteur de La Roche-Maurice, gagneront 45 minutes et ne seront plus obligés d’attendre le train qui part de Brest à 18h, pour rejoindre leur domicile », souligne Gilles Meurice, au nom du comité.

Source http://www.brest.maville.com/actu/actud ... 9_actu.Htm

La Dépêche du Midi, 7 décembre
Trains : nouveaux horaires en Midi-Pyrénées

La modernisation du réseau ferroviaire est à l'origine des ajustements des horaires.

À compter du 9 décembre, en raison de travaux de modernisation du réseau ferré, des aménagements des horaires de certains trains vont entrer en vigueur. La SNCF et RFF se sont engagés, hier, à stabiliser ces horaires en 2013.

La construction de la future ligne à grande vitesse (LGV) Tours-Bordeaux, avec notamment la réalisation des travaux de raccordement sur la ligne classique, ainsi que la poursuite des efforts de rénovation et de modernisation du réseau ferroviaire sont à l'origine de la mise en œuvre, à compter du 9 décembre, de la nouvelle grille horaire 2013. Hier, lors d'une conférence de presse, Pierre Meyer et Christian Dubost, respectivement directeurs régionaux de la SNCF et de Réseau ferré de France (RFF) ont présenté les principales modifications touchant les TGV, intercités et TER.

Des décalages de quelques minutes
Ces changements sont nettement moins importants qu'en 2012, où 85 % des horaires avaient évolué, a rappelé Christian Dubost, ajoutant que l'un des objectifs est de «stabiliser le système» jusqu'en 2017, année de la mise en service prévue des LGV Tours-Bordeaux, le Mans-Rennes et Nîmes-Montpellier, afin d'offrir une «meilleure visibilité» aux clients du rail. En outre, pour limiter l'impact des travaux sur les circulations de train, une nouvelle organisation de la maintenance a été mise en place, avec notamment une intensification des interventions de nuit.

Sur l'axe Paris-Orléans-Limoges-Toulouse (Polt), qui relie l'Île-de-France au grand Sud-Ouest et à l'Espagne, les circulations Toulouse, Cahors et Brive seront décalées de quelques minutes, comme sur l'axe Toulouse-Agen.

En revanche, l'organisation des travaux de jour va entraîner, sur les TER, des changements horaires plus importants.

Sur l'axe Toulouse-Castelnaudary-Carcassonne, les horaires des TER et TER omnibus seront avancés de 5 à 6 minutes. Sur d'autres axes, comme Toulouse-Auch et Latour-de-Carol, aucune modification n'est prévue.

Concernant la circulation TGV, la réalisation des travaux sur le tronçon Tours-Bordeaux va imposer un allongement des temps de parcours d'une dizaine de minutes en 2013. La SNCF a également annoncé la mise en service, vers la fin de l'année prochaine, de deux allers-retours TGV de Toulouse vers l'Espagne.

«Globalement, le service TGV est reconduit avec quelques adaptations horaires» a souligné le directeur de la SNCF.

Face à ces changements, une intense campagne d'information a été conduite et sera poursuivie. Dans les gares, à bord les trains, des opérations sont organisées pour informer le plus largement possible les voyageurs. En 2013, avant chaque période de travaux, les équipes de la SNCF et de RFF iront à la rencontre des voyageurs pour mieux les informer.

Plus de renseignements sur les horaires sur http://www.ter-sncf.com ou sncf.com.

Le fléau des vols de cuivre
Le vol de câbles en cuivre sur le réseau SNCF est devenu un véritable fléau. «On enregistre un vol par jour» a indiqué, hier, Pierre Meyer, le directeur régional de la SNCF.

L'impact de ces vols, qui viennent s'ajouter à d'autres facteurs externes comme les suicides, en recrudescence cette année, ou de mauvaises conditions atmosphériques, pénalise fortement la régularité des trains estimée à 91% (pour les TER, à 5 minutes près) en Midi-Pyrénées.

La SNCF a calculé les retards générés par ces actes de grivèlerie : ils s'élèvent à 10000 minutes, soit plusieurs jours perdus, sans compter le coût des réparations. Un fléau pourtant difficile à combattre faute de pouvoir mettre un agent ou un cheminot derrière chaque caténaire.

Source http://www.ladepeche.fr/article/2012/12 ... enees.html
Dernière édition par Didier 74 le 08 Déc 2012 18:22, édité 4 fois.
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 07 Déc 2012 11:07

L'Alsace, 5 décembre
Le 3 e plus grand tunnel ferroviaire d’Allemagne

Deux trains, un ICE et un train de marchandises, ont symboliquement franchi le tunnel hier après-midi, pour sa mise en service.
Le tunnel du Katzenberg, à Efringen-Kirchenn, près de Bâle, est entré en service hier. D’une longueur de 17,6 kilomètres, il est une étape importante dans l’amélioration de la liaison Karlsruhe-Bâle.

Le chantier avait été lancé en 2003. Il a pris fin aujourd’hui, avec la mise en service du tunnel du Katzenberg, à Efringen-Kirchen (Bade), tout près de Bâle. Un tunnel qui mesure 9385 mètres de long. Il a été emprunté symboliquement par deux trains, un ICE (le TGV allemand) et un train de marchandises, avec parmi les premiers passagers, Peter Ramsauer, ministre fédéral des Transports, et Rüdiger Grube, le président de la Deutsche Bahn.

Le tunnel du Katzenberg est un des principaux maillons de la rénovation de la ligne Karlsruhe-Bâle, a expliqué le ministre. Il permet un accroissement du trafic, tant pour le transport de marchandises que pour le transport de passagers. En tout, le tunnel et les voies qui le raccordent au réseau existant font 17,6 kilomètres de long. L’investissement, cofinancé par l’État fédéral, l’Union européenne et la Deutsche Bahn, est de 610 millions d’euros, dont 340 pour le seul tunnel.

La ligne Karlsruhe-Bâle, qui mesure 128 kilomètres, est en train d’être modernisée : elle est en effet au cœur de la magistrale Rotterdam-Gênes, essentielle au développement du transport des marchandises par le rail. C’est surtout pour cette raison qu’elle est en train d’être élargie à quatre voies, pour 5,7 milliards d’euros. Des éléments essentiels comme le tunnel du Katzenberg sont déjà en service. D’autres, comme la portion au sud du tunnel vers Bâle, sont en construction.

Source http://www.lalsace.fr/actualite/2012/12 ... -allemagne
Didier 74
 

Re: Revue de presse

Messagepar Didier 74 » 08 Déc 2012 13:18

La Dépêche du Midi, 8 décembre
Muret. Les usagers mécontents des nouveaux horaires

Les usagers demandent un TER toutes les 30 minutes en période de pointe

Récemment s'est tenue à Muret la réunion de ligne Montréjeau-Boussens-Toulouse plusieurs fois reportée depuis juin. Les représentants de la SNCF et de RFF ont présenté le projet des nouveaux horaires TER Midi-Pyrénées applicables à mi-décembre 2012. Gérard Jeager représentant les usagers, s'adresse directement au conseil régional dans une lettre ouverte dont nous publions l'essentiel. Pour lui, «ce projet confirme les horaires mis en place depuis décembre 2011, mais aussi malheureusement la régression de l'offre envers les usagers parce qu'il ne répond pas à leurs besoins»

Quel est votre constat ?
Le train actuellement au départ de Toulouse à 18h30 est retardé de 10 minutes, ce qui génère un trou horaire d'une heure au moment de grande affluence puisque le précédent au départ de Toulouse est à 17h40. Nous avons compris que le trafic régional (TER) dont le conseil régional a la responsabilité est moins prioritaire sur ces créneaux de grande affluence que les autres trains (pèlerins, marchandises,…) au mépris des travailleurs, clientèle captive. Entre novembre 2011 et mai 2012 les usagers avaient pourtant démontré au moyen d'une pétition très suivie (plus de 2000 signatures) et au moyen d'une enquête fine et exhaustive sur le terrain, l'inadéquation et la régression de l'offre mise en place en 2012.

Que demandent les usagers ?
Ils ont demandé a minima un retour aux horaires d'avant décembre 2011 ; c'est-à-dire à un TER toutes les demi-heures en heure de pointe et en décalage d'un quart d'heure par rapport aux heures pleines. Les horaires de 2011 et 2012 requièrent les mêmes ressources, qu'elles soient humaines ou matérielles.

Dans quelles conditions circulent ces usagers ?
À cette grille horaire inadaptée s'ajoutent les multiples aléas que les usagers subissent au quotidien : retards et suppressions de trains sans préavis ni explication convaincante ; capacité insuffisante par rapport à un trafic en augmentation de 10-12% par an ; récurrence d'offre capacitaire insuffisante et non conforme au cahier des charges.

Les TER (Trains Express Régionaux) seraient-ils devenus des TAR (Trains Aléatoires Régionaux)

Supplique au conseil régional
«Le conseil régional est-il muet face à cette situation et avoue-t-il tacitement son impéritie en la matière comme pourrait l'attester l'absence du vice-président Charles Marziani à cette réunion et son engagement devant les usagers, mais non suivie d'effet, à améliorer la grille horaire 2012 sans attendre celle de 2013.Le conseil régional semble se résoudre à ne laisser aux usagers de cette ligne, en ces temps de crise et de politique de développement durable affiché ostensiblement, comme seule solution le retour à la voiture ?» écrit Gérard Jeager.

Source http://www.ladepeche.fr/article/2012/12 ... aires.html
Dernière édition par Didier 74 le 08 Déc 2012 20:50, édité 1 fois.
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 08 Déc 2012 15:00

La Nouvelle République, 8 décembre
Rail : la CGT veut une nouvelle direction

Friture sur la ligne à la SNCF. A Thouars, où les effectifs cheminots ont fondu, ce n'est pas nouveau. Mais l'actualité récente, alors que le comité de ligne nord Deux-Sèvres se réunissait lundi, a incité le syndicat des cheminots CGT thouarsais à monter au créneau. Dans un communiqué, il « dénonce avec la plus extrême vigueur la situation faite aux usagers du rail dans le nord Deux Sèvres les 5 et 6 décembre par la direction SNCF. Alors que le préavis de grève déposé par les agents de conduite avait été levé le 4 décembre à midi en raison des avancées obtenues par la négociation, la direction n'a pas cru bon de rétablir un service normal dans les plus brefs délais ».

Le vocabulaire choisi par les représentants du personnel est sans ambiguïté : « C'est scandaleux et démontre à la fois toute l'incurie qui règne au niveau de la direction de l'entreprise et de ses relais locaux, mais aussi tout le mépris vis-à-vis des usagers du TER. Les multiples suppressions de trains que vivent les usagers du rail en nord Deux-Sèvres ne sont pas la préoccupation quotidienne de dirigeants mis en place pour saborder et décapiter le service public. »

" Droit de grève restreint "
Avant d'argumenter sur le service minimum : « Cette situation locale est le reflet de ce que vivent au quotidien de nombreux usagers. Il faudra leur expliquer pourquoi, alors qu'il n'y avait aucun cheminot en grève, les trains n'ont pas circulé. A aucun moment les cheminots ne peuvent être tenus pour responsables. La loi votée en 2008 démontre, dans un cas comme celui-ci, toute sa nocivité. Elle n'a pas été faite pour les usagers, comme une habile campagne de communication l'a laissé croire, mais bien pour encadrer et restreindre le droit de grève. »
Le syndicat conclut avec trois revendications : « L'abrogation de la loi de 2008 qui, en finalité, pénalise les usagers ; la mise en place de moyens suffisants pour assurer au quotidien un service public digne de ce nom ; le remplacement de dirigeants incompétents par une gouvernance réellement attachée au service public et à la satisfaction des besoins de transport dans le nord Deux-Sèvres. »

Source http://www.lanouvellerepublique.fr/Deux ... -direction
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 08 Déc 2012 15:34

AFP, 6 décembre
Maroc : le financement du TGV bouclé, des travaux ont débuté

Le financement du Train à grande vitesse (TGV) marocain Tanger-Casablanca est bouclé, ont souligné jeudi des responsables du projet à l'occasion d'une visite de chantier qui a permis de constater que des travaux avaient débuté.
"Le financement du budget est bouclé", a déclaré à la presse le directeur général de l'Office national des chemins de fer (ONCF), Mohamed Khlie.
Le montant des dépenses est de quelque 20 milliards de dirhams (1,8 milliard d'euros) pour le seul TGV, budget qui englobe les études, le pilotage du projet, l'infrastructure, les équipement ferroviaires et l'acquisition du matériel roulant, a-t-il précisé.
"Aujourd'hui, et après les phases d'études, de mobilisation des financements et des appels d'offre, le projet (...) est désormais sur les rails d'une nouvelle étape de sa vie, qui consiste en les travaux de concrétisation conformément au planning prévu", a encore dit M. Khlie, cité par l'agence MAP.
La visite de chantier a permis d'assister à des travaux au niveau de l'oued Sebou, dans la région de Kénitra (40 km au nord de Rabat), visant notamment à l'installation des piliers destinés à soutenir le futur pont qui enjambera le fleuve, selon le photographe de l'AFP présent.
Le premier TGV de l'histoire du continent africain doit entrer en service en 2015 et permettre de relier en à peine 2H30 Tanger, dans l'extrême-nord, à Casablanca (ouest), la plus grande ville du royaume, via la capitale Rabat.
Ce projet a fait l'objet de protestations, notamment d'un collectif baptisé "Stop TGV", qui le juge "non prioritaire" pour un pays comme le Maroc.
L'ONCF rétorque de son côté que la ligne existante entre Tanger et Casablanca est saturée et dit miser sur une clientèle de six millions de passagers à l'horizon 2016, contre 3,5 millions actuellement.

Le Matin, 7 décembre
Le projet TGV en est à 95% en termes d’engagement budgétaire

L’état d’avancement du dossier TGV, depuis son lancement en 2006, atteint aujourd’hui 50%, toutes composantes confondues. La phase des travaux proprement dits est réalisée à hauteur de 10%. Quant au budget global, il est engagé à plus de 95%.

Le chantier du TGV avance bien. En effet, le budget global du projet a déjà été engagé à plus de 95% et l’état d’avancement du chantier dans sa globalité a atteint 50%, toutes composantes confondues : études, foncier, génie civil, équipements ferroviaires, rames de trains LGV, atelier de maintenance, offre commerciale, exploration, installations terminales… C’est ce qu’ont indiqué les responsables du projet, lors d’une visite de chantier au profit des journalistes de la presse nationale, la première du genre d’ailleurs, organisée avant-hier, aux sites situés sur la région sud (près de Kénitra) du projet de LGV Tanger-Casablanca. Cet état d’avancement, nous a expliqué le directeur général de l’Office national des chemins de fer (ONCF), Mohamed Rabie Khlie, porte sur la planification globale du projet, qui a été lancé en 2006. C’est entre 2007 et 2009, a-t-on rappelé, que l’avant-projet du chantier a été lancé pour ensuite passer à des versions plus détaillées de cet avant-projet entre 2009 et 2010.

On en est à la 3e phase du projet
Cette phase du projet a nécessité une multitude d’études qui, à elles seules, ont coûté plus de deux milliards de DH, ont relevé les responsables de l’ONCF. «Il faut noter que, comme tous les autres chantiers, celui de LGV est composé de trois phases essentielles relatives à la conception, à la logistique et à la production. Quand les deux premières phases sont bien faites, en leur réservant le temps et l’effort qu’il faut, la phase de la production, en l’occurrence celle des travaux, va plutôt vite», nous a expliqué Khalid Khairan, directeur du projet de Ligne à grande vitesse (LGV).
Actuellement, on en est à la troisième phase du projet. En effet, après les phases d’études, de mobilisation de financement et des appels d’offres, vient la phase décisive de la concrétisation de ce grand chantier structurant. «Le projet de Ligne à grande vitesse (LGV) est désormais sur les rails d’une nouvelle étape de sa vie : celle des travaux de concrétisation conformément au planning prévu», a-t-on signalé, lors de cette 1re visite qui s’inscrit, fait-on savoir, dans le cadre du plan de communication spécifique au projet LGV et qui initie une série de visites futures qui devront permettre aux médias nationaux d’accompagner de près l’évolution du projet dans ses différentes étapes jusqu’à sa mise en service.

La phase des travaux est réalisée à hauteur de 10%, nous a précisé M. Khlie. Par ailleurs, le même responsable souligne que pour les marchés de génie civil, qui ont été tous placés, on a intégré pour la 1re fois dans les appels d’offres lancés la clause de la préférence nationale. Ceci a permis, signale-t-on, d’attribuer 50% du budget des travaux de génie civil à des entreprises nationales. En intégrant la sous-traitance locale pour les différentes composantes du projet, ce taux atteindra même à terme près de 65%. C’est donc un projet qui créera de la valeur ajoutée au Maroc. «Ce projet intégré, de par ses multiples composantes, permettra, à travers la participation de plusieurs bureaux d’études marocains dans la maitrise d’œuvre du projet (études, suivi des travaux…), d’acquérir la technique industrielle de la Grande Vitesse et un transfert local de compétences pour le déploiement de la suite du Schéma directeur national LGV de 1 500 km», conclut-on, en avançant d’autres chiffres sur l’apport du projet. En effet, fait-on savoir, pendant la phase des travaux, ce sont près de 30 millions de journées d’emploi direct et indirect qui seront générées. Pendant la phase d’exploitation, près de 1500 emplois directs et 800 indirects seront également créés.

Visite de presse sur plusieurs chantiers
La première visite de chantier au profit de la presse a porté sur plusieurs chantiers. Il s’agit des chantiers de construction du viaduc de Sebou ; de travaux relatifs aux terrassements, mise en œuvre de matériaux, ouvrages d’art courants et de rétablissement de voies de communication sur le
site de Sebou ; de travaux relatifs au traitement des zones compressibles ; de réalisation de la base travaux de Kénitra, raccordée au réseau en exploitation et à la LGV en construction ; enfin de l’usine de traverses en béton précontraint.

Source http://www.lematin.ma/journal/Transport ... 75161.html
Dernière édition par Didier 74 le 08 Déc 2012 17:39, édité 1 fois.
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 08 Déc 2012 15:49

nouvelobs.com, 8 décembre
Quand les feuilles mortes perturbent la SNCF

Rails creusés, essieux abîmés, dix millions d'euros de préjudice: les feuilles mortes qui s'accumulent sur les voies coûtent cher au réseau SNCF Transilien.

"Une petite feuille peut faire patiner un train qui pèse je ne sais de combien de tonnes et abîmer toute la structure", explique Philippe Lebarbier, agent d'accompagnement, 32 ans de métier dans l'entreprise ferroviaire.

Aquaplanning
"Quand un amas de feuilles se pose sur les rails, cela crée une pellicule glissante, le contact entre l'essieu et le rail ne se fait plus. Donc cela fait une sorte d'aquaplanning comme un véhicule routier sur une flaque d'eau", précise Stéphane Héry, responsable logistique Engins de Paris Nord.

Sur le tronçon ferroviaire nord, les dégâts causés par les feuilles sur les rails sont visibles. Ce tronçon fait partie des secteurs sensibles avec notamment 50 kilomètres traversés en zones boisées et voit défiler 550 trains RER et TER par jour, sans compter les trains de marchandises.

"Ça c'est l'empreinte de patinage due aux feuilles" dit Philippe Lebarbier, montrant des stries laissées sur le rail. "On peut supposer qu'ici il y avait des feuilles et quand la machine est arrivée dessus elle a patiné".

Des agents de terrain en gilet orange fluo inspectent les voies, notent les empreintes de patinages. Puis les draisines, engins de 22 tonnes équipés de brosses métalliques, entrent en action.

"J'ai un interrupteur qui permet de baisser et monter les brosses (...) Ce passage permet de sécuriser les voies, d'assurer la régularité des trains", explique le conducteur Anthony Haudiquet qui participe à sa quatrième campagne anti-feuilles.

Roues abîmés
Suivent des wagons laveurs avec "des jet d'eau de 1.000 bars de pression pour nettoyer le gras", précise Stéphane Héry en montrant une remorque à deux citernes stationnées au Bourget (Seine-Saint-Denis).

Lorsque les essieux et les roues sont sérieusement abîmés, le train est envoyé au technocentre de Villetaneuse. "Quand il y a des défauts hors tolérance, nous on passe au tour, on reprofile complètement la roue, on fait des réglages des freins et le train peut repartir en ligne", explique Pascal Jolivet, agent de maintenance.

Les rames en réparation réduisent le nombre de trains en circulation, mais la sécurité reste prioritaire. "Avec l'enrayage, on risque de ne pas freiner à la bonne distance et ainsi créer des problèmes de sécurité par rapport au franchissement d'un passage à niveau ou d'un aiguillage derrière", note Stéphane Héry.

Au total "une centaine de personnes dont 60 opérateurs terrains" sont mobilisées en Ile-de-France sur cette campagne pendant la période automnale, qui dure de mi-octobre à mi-décembre.

Par endroits, les arbres sont élagués "pour éviter qu'ils fassent comme un tunnel, que les feuilles tombent tout droit sur les voies ferrées", ajoute Philippe Lebarbier.

Source http://tempsreel.nouvelobs.com/societe/ ... -sncf.html
Didier 74
 

Re: Revue de presse

Messagepar capelanbrest » 08 Déc 2012 18:04

Le Télégramme de Brest, 8 décembre 2012 :

Bretagne
Trains. Gare aux nouveaux horaires

8 décembre 2012

Nouveaux trains, gros travaux... Attention: à partir de demain, d'importantes modifications horaires vont entrer en vigueur sur le réseau breton des TER.

Ce n'est pas le big bang horaire de l'an dernier, qui avait vu85% des horaires modifiés, mais les changements qui vont intervenir à compter de demain vont quand même bousculer les habitudes d'un bon nombre de voyageurs empruntant, chaque jour, les TER du réseau breton. Plusieurs raisons expliquent ces modifications: outre celles qui visent à tenir compte des demandes des usagers pour améliorer certaines dessertes, il y a la création, par le conseil régional, de nouveaux TER. Treize nouveaux trains circuleront à partir de demain sur le réseau breton. De nombreuses lignes sont concernées: Lannion-Saint-Brieuc, Lorient-Redon, Quimper-Rennes... Ce qui, évidemment, nécessite de revoir certainshoraires.

Suppression de certains trains

Mais ce sont les très importants travaux d'entretien et de modernisation des voies qui seront entrepris un peu partout parRFF, tout au long de 2013, sur les axes sud et nord, qui expliquent, pour l'essentiel, ces changements horaires. Certains trains, le dernier de la journée en général, pourront même parfois être supprimés pour permettre aux équipes de nuit sur les chantiers de pouvoir travailler plus longtemps. Il faut savoir que, normalement, les temps de parcours ne seront pas allongés par rapport aux fiches horaires disponibles sur internet et dans les gares. Le calcul de ces temps a intégré les ralentissements dus aux chantiers. Aux voyageurs qui pourraient s'étonner que leur train continue à rouler lentement bien que les travaux sur la voie soient achevés, la SNCF tient par avance à expliquer qu'un délai doit être respecté avant de pouvoir reprendre une vitesse normale. «Il faut attendre que le nouveau ballast se tasse». Outre les chantiers sur le réseau breton, d'autres sont également prévus en amont, notamment dans le cadre de la LGV. «Il faut déjà commencer à modifier les aiguillages sur la ligne actuelle en vue des raccordements», explique-t-on à la SNCF.

Dix week-ends de gros travaux

Des travaux qui auront eux aussi un impact sur les horaires et sur la circulation des trains en Bretagne. Comme cela a été le cas cette année, il est prévu, en2013, plusieurs week-ends où cette circulation, TGV et TER, sera interrompue entre deux gares ou détournée. Le premier de ces week-ends fortement perturbé concernera les 25, 26 et 27janvier. Les TGV entre Brest-Paris et Quimper-Paris seront détournés par Nantes avec, pour certains trains, un allongement du temps de parcours jusqu'à une heure et quart. En mars, deux week-ends connaîtront des interruptions de circulation. Des services de car seront bien entendu mis en place pour acheminer les voyageurs.

Yvon Corre

Le réseau breton victime de son succès

Tous les travaux engagés par Réseau ferré de France ne suffiront pas forcément à améliorer la situation des voyageurs bretons. La suroccupation des lignes périurbaines ne cesse, en effet, d'augmenter...

Réseau ferré de France prévoit, pour l'année prochaine, deux fois plus de travaux sur les voies bretonnes que cette année, avec une enveloppe de 202millions d'euros. «Mais les voyageurs ne seront pas plus affectés par les perturbations du trafic», précise XavierRhoné, directeur régional de RFF. L'essentiel des chantiers lourds sera, en effet, concentré sur la construction de la LGV LeMans-Rennes qui longera la voie actuelle. Aussi leur impact sera-t-il limité. En revanche, la poursuite des travaux de modernisation des voies existantes continuera à imposer des modifications d'horaires ponctuelles (lire ci-dessus). Mais tous ces travaux ne suffiront pas à rendre idéale la situation des voyageurs bretons, remarque Gérard Lahellec, vice-président aux transports du conseil régional. «Depuis neuf ans que la Région a la compétence ferroviaire, le nombre de passagers a été multiplié par deux», rappelle-t-il.

100% du parc disponible utilisé

Le problème, c'est que le matériel a du mal à suivre, malgré les450millions investis dans des rames neuves depuis 2002. Les premières livraisons de la prochaine commande (des TER à étage) n'interviendront qu'en 2014, alors que «100% du parc disponible, même des vieilles locos de40ans, est utilisé pour faire face à la demande». Une demande qui a explosé, notamment sur l'étoile rennaise et sur Brest-Landerneau (29), où il arrive que les trains régionaux bondés ne puissent plus embarquer les voyageurs massés sur les quais. L'arrivée des 17 nouvelles rames va s'échelonner jusqu'en 2020, «mais à cette date, nous ne sommes pas sûrs que cela suffira, vu la progression du trafic», s'inquiète l'élu. Et il faut savoir qu'il se passe au moins cinq ans entre une commande ferme et la première livraison.

Alain Le Bloas

Pour être informé des changements

Outre les informations disponibles en gare, toutes les fiches horaires concernant les TER sont consultables sur le site http://www.ter-sncf.com/bretagne. Pour les TGV, il faut consulter le site http://www.sncf.com. Il est également possible d'écrire à horaires2013enbretagne@sncf.fr pour connaître les horaires à trois mois.


Source : http://www.letelegramme.com/ig/generale ... 934807.php
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Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 09 Déc 2012 17:45

mobilicites.com, 9 décembre
Ile-de-France : les élus du syndicat des transports haussent le ton contre la SNCF et RFF

La signature du contrat entre l'autorité organisatrice des transports et la SNCF, mi-2012 avait été un véritable bras de fer. Six mois après, les élus en charge des transports tapent du poing sur la table. La qualité de service n'est pas au rendez-vous, selon eux. Ce ne sont pas les usagers qui les contrediront...

Les élus du Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif), l'autorité organisatrice des transports de la région sont très remontés contre la SNCF et Réseau ferré de France (RFF). Et ils l'ont fait savoir à la presse par voie de communiqué le 7 décembre 2012. Motif de ce mécontentement : une qualité de service "toujours pas satisfaisantes" pour les millions de voyageurs quotidiens.

Les élus, membres du conseil d'administration, avaient auditionné le 5 décembre le président de la SNCF Guillaume Pepy, ainsi que François-Régis Orizet, directeur régional Ile-de-France de RFF.
"Malgré les investissements importants engagés depuis 2006 et les engagements des présidents des deux entreprises, la qualité du service rendu aux voyageurs n'est toujours pas satisfaisante", ont déclaré les élus, qui rappellent que les "objectifs fixés dans le contrat (2012-2015) doivent être tenus par le SNCF sur toutes les lignes".

L'incident du RER B
Certaines lignes ont connu "des évolutions préoccupantes ces derniers mois", ont souligné les élus, citant "surtout sur les RER A, B, C et D ainsi que sur les lignes K et R".
L'incident du RER B du 7 novembre, qui avait entraîné en cascade l'immobilisation de tous les trains au départ de la gare du Nord touchant des milliers de voyageurs, a été aussi évoqué. "Afin de mettre en rapport la SNCF avec la réalité vécue par les Franciliens notamment sur l'information délivrée au cours de cette soirée", le Conseil a décidé "d'organiser un retour d'expérience avec les voyageurs dans les prochains jours".

Sur les RER A et B, les élus ont aussi exprimé leur mécontentement à la SNCF, après l'avoir déjà fait auprès de la RATP, pour que les deux entreprises qui co-exploitent ces lignes "améliorent rapidement" leur fonctionnement et mettent enfin en place "un centre de commandement unifié de la ligne B", où des trains changent de conducteurs en fonction de celui qui exploite la ligne.
Enfin, les élus se sont inquiétés de l'utilisation rapide et efficace des moyens financiers dégagés pour les investissements, 2,6 milliards d'euros pour 2012-2015 venant prendre le relais de 1,35 milliard d'euros pour le contrat 2008-2011.

Les élus "ont insisté pour que les schémas directeurs des RER et que le plan de mobilisation soient réalisés dans les temps conformément aux engagements initiaux des entreprises, et que la SNCF reste mobilisée sur la réalisation du vaste programme de rénovation et renouvellement des trains et RER engagé depuis 2006".

La RATP investit 1,7 milliard dans les transports franciliens
La SNCF se fait tirer l'oreille, et la RATP communique sur le montant de ses investissements en Ile-de-France : 1,7 milliard d'euros, "un niveau record (+14%), conforme au contrat passé avec la Stif en mars 2012".
Cette enveloppe a été approuvée lors du conseil d'administration du 6 décembre au cours duquel le nouveau patron de RATP Dev, a été nommé François-Xavier Perin.

Le montant total des investissements à réaliser sur quatre ans et inscrits au contrat avec l'autorité organisatrice est de 6,5 milliards d'euros, avec un engagement de la RATP de 1,6 milliard par an. Tout cet argent doit servir à réaliser d'importants programmes de renouvellement du matériel roulant (lignes de métro 1,2, 5, et 9 + 500 nouveaux bus articulés à motorisation hybride en 2013) et d'entretenir des infrastructures et de moderniser les réseaux.

Lesté d'une dette historique de plus de 5 milliards d'euros, le groupe a trouvé "Un équilibre financier qui (lui) garantit de ne pas avoir à recourir structurellement à de la dette supplémentaire", lit-on dans un communiqué du 7 décembre 2012.

Source http://www.mobilicites.com/fr_reseaux_i ... _2235.html
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 10 Déc 2012 17:59

Vendre des billets de train peut dynamiser les bars en milieu rural

L'Union, 10 décembre
A Vervins, le bar-PMU vend des billets SNCF

VERVINS (Aisne). À Vervins, la borne SNCF face à la mairie n'existe plus. De l'autre côté de la place, les gérants du bar PMU, ont en revanche repris le relais…

LA gare la plus proche s'appelle La Bouteille. Enfin, si l'on peut dire. La plupart des Trains Express Régionaux (Ter) marquent ici l'arrêt. Mais le local est bien trop petit pour accueillir une personne et un guichet. Ici, le quai est le lieu où se côtoient les passagers. Dans cette gare, il n'y en a pas d'autres.
Quelques kilomètres plus loin, on est à Vervins. Il faut en sortir pour prendre le train. La gare est à peine excentrée et la prochaine se trouve à plus de 10 kilomètres.
Pour la SNCF, c'est suffisant pour faire valoir sa politique de développement de proximité de ses services en zones rurales. À Vervins, la borne de distribution automatique de billets vient de disparaître en face de la mairie. En réalité, elle a été remplacée par un logiciel et une imprimante installés dans le bar PMU de l'autre côté de la place, 1, place du Général-de-Gaulle.
Selon le service communication de la compagnie de chemins de fer, « ce service de proximité est bien mieux qu'un distributeur automatique et permet aux usagers de mutualiser leurs achats. » En d'autres termes, l'entreprise a ainsi humanisé le dispositif. « Depuis quelques mois, la SNCF se rapproche de vous et facilite l'accès au train dans les zones rurales », peut-on également lire dans un communiqué.
Cette opération de séduction n'a pas été pour déplaire à Didier Hennebert et à son épouse, Sophie. Les gérants du bar PMU disent certes avoir été sollicités par la SNCF. Ils disent aussi qu'ils ont accepté « de collaborer » sans ambages. « Depuis une dizaine d'années, la consommation d'alcool a bien baissé. Notre activité bar diminue, tout comme la vente de cigarettes depuis que le prix du paquet a augmenté ici en France, et non à quelques kilomètres d'ici, en Belgique. Pour nous en sortir, nous varions les activités. Vendre des billets ou des abonnements de travail en fait partie. »
Depuis trois semaines, Sophie et Didier disent avoir vendu quelques titres de transport, mais sans plus.
« C'est un démarrage timide, pour l'instant. Nous verrons dans quelques jours. » Ils espèrent en tout cas combler le manque à gagner de leurs autres activités.
Et la SNCF de redonner confiance à des usagers qui empruntent régulièrement la ligne Laon-Hirson et qui regrettent sa paupérisation ?

Source http://www.lunion.presse.fr/article/ais ... &xtmc=SNCF
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 10 Déc 2012 20:51

Le Parisien, 3 décembre
Ils défendent le TGV picard

Caroline Cayeux et Philippe Enjolras l’ont dit et répété : « Il ne s’agit ni d’un vœu pieux ni d’une idée farfelue. » Depuis plusieurs semaines, le sénateur-maire UMP de Beauvais et le président de la chambre de commerce et de l’industrie de l’Oise militent pour la création d’une ligne TGV Paris-Londres passant par Beauvais.
Déterminés à affirmer leur volonté, à la fois politique et économique, la communauté d’agglomération du Beauvaisis, la ville de Beauvais et la chambre de commerce ont donc décidé de créer une association Paris-Londres-Beauvais-Picardie. Le but de cette association est de fédérer le soutien des acteurs économiques et politiques pour défendre les intérêts ferroviaires du Beauvaisis. Par ailleurs, une pétition en faveur du projet a déjà recueilli deux mille signatures.

Source http://www.leparisien.fr/espace-premium ... 374093.php
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 11 Déc 2012 19:18

Le Pays, 11 décembre
Le TGV espagnol bientôt sur la ligne Rhin-Rhône

Le TGV espagnol, construit dans les usines d’Alstom Transport au début des années 1990, est à nouveau dans les ateliers belfortains où ses équipements sont transformés afin qu’il puisse circuler sur les lignes ferroviaires à grande vitesse françaises et allemandes. La première rame AVE a quitté Belfort pour effectuer ses premiers tests. Michel Paté, directeur de projet, précise « qu’Alstom Transport est le seul fabriquant ferroviaire à installer des équipements interopérables, ce qui permet aux trains de circuler d’un pays à l’autre en utilisant les systèmes de signalisations propres à chaque pays. »

Source http://www.lepays.fr/territoire-de-belf ... rhin-rhone
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 11 Déc 2012 20:35

franche-comte.france3.fr, 11 décembre
Ornans (Doubs) : 2012, année faste pour Alstom

Alstom Transport est à nouveau sur les rails. Oublié le passage à vide. Du Brésil, d'Italie, de Scandinavie et de France, les commandes affluent.

Ornans, son site naturel et son paysage industriel. De rêve. Alstom Transport termine l'année 2012 avec un carnet de commandes regonflé. Ornans est le centre où l'entreprise conçoit tous ses moteurs. De TGV, de trains et de trams. Tous très en vogue, un peu partout dans le monde. Du métro de Rio de Janeiro, au Brésil, aux trains régionaux Italiens.

Vidéo http://franche-comte.france3.fr/2012/12 ... 62749.html
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 11 Déc 2012 21:25

mobilicites.com, 11 décembre
Plus de voyageurs dans les transports publics mais pas plus de recettes...

Le transport public séduit plus de voyageurs avec une fréquentation en hausse de 5,3% dans les réseaux de province en 2011. Mais plus de clients ne rime pas forcément avec plus de recettes commerciales. Conséquence, le taux de couverture des dépenses par les recettes recule à nouveau pour s'établir à moins de 34% en moyenne nationale. La tendance pour le premier semestre 2012 est plus mitigée avec un ralentissement du trafic voyageurs sans doute lié à la crise et au chômage qui affectent la mobilité des personnes.

La hausse de fréquentation dans les transports collectifs de province sera moindre en 2012 à en croire la tendance sur les six premiers mois de l'année.

En 2011, près de 2,5 milliards de voyages* ont été réalisés dans les réseaux de transport urbain de province selon les derniers chiffres clés de l'Union des transports publics (UTP, 142 réseaux adhérents).
Un trafic en hausse de 5,3% par rapport à 2010 qui l'avait vu progresser faiblement (+1,8%). "Contrairement aux années précédentes, cette embellie profite à toutes les agglomérations, quelle que soit leur taille :

+5,4% dans les agglomérations de plus de 250000 habitants
+5,2% dans celles de 100000 à 250000 habitants
+5,5% dans les plus petites.

Ce rythme de croissance inédit jusque là pour les deux dernières catégories tient à deux explications : la flambée du prix du carburant et l’augmentation de l'offre de transport (+3,7% de production kilométrique). "La montée en puissance de l’offre se révèle peu à peu payante", relève Stéphanie Lopes d’Azevedo, chargée de mission au département Clientèles, exploitation et recherche de l'UTP.
Ce sont les petits réseaux qui ont le plus "boosté" leur offre (+4,9%), contre +3,7% dans les réseaux des villes de taille moyenne et +3,5% dans les plus grandes. Les agglomérations de moins de 100 000 habitants ont donc rattrapé leur retard pour offrir une alternative crédible à la voiture : en élargissant les amplitudes horaires des transports publics, en augmentant les fréquences et en lissant l’offre de transport sur l’ensemble de l’année.

Dépenses en hausse et recettes à la traîne
Revers de la médaille, elles ont payé "cash" leurs efforts pour favoriser l'usage des transports collectifs : les dépenses de fonctionnement des petits et moyens réseaux se sont envolées en moyenne de 7,6%. "Augmenter l’offre implique de mobiliser plus de matériel, de personnel et de carburant", rappelle Stéphanie Lopes d’Azevedo,
Des efforts de productivité ont toutefois été réalisés par les opérateurs : les recrutements (+2,3%) sont restés inférieurs à l’augmentation de la production (+3,7%).

En revanche, cette dérive des coûts n’a pas été compensée par la hausse des recettes commerciales. Même s'il a progressé de +4,9%, le produit des ventes de billets et d'abonnements n’a pas été proportionnel à la hausse du trafic et encore moins à celle des dépenses. Conséquence : le taux de couverture (R/D : ratio entre les recettes commerciales et les dépenses de fonctionnement) s’établit en moyenne nationale à 33,8%. Un point en moins par rapport à 2010.

Les petites villes plus touchées
Les grandes agglomérations s'en tirent plutôt mieux avec un R/D de 37,8%, celui des villes moyennes se situe à 25,7% tandis que celui des petites villes s’effondre à 22,7%, en baisse de 3%.
"Les grandes agglomération ont réussi à limiter l’érosion de ce ratio à - 0,4% car elles ont augmenté leurs tarifs : leurs recettes augmentent au même rythme que le nombre de voyages. Ce résultat est aussi lié au fait qu’elle ont relativement moins augmenté leur production : +3,4%, contre +4,9% dans les petits réseaux", explique-t-on à l'UTP.
La recette par voyage s’est à nouveau repliée (-2,2%) dans les agglomérations de taille moyenne à 46 centimes d’euro et dans dans les petites villes à 41 centimes (-1,1%).
Dans les grands réseaux, la recette par voyage a progressé symboliquement de +0,1% pour se situer à 52 centimes. Cet indicateur est le reflet des politiques sociales et des stratégies commerciales. La population se précarisant du fait de la crise économique, le nombre de bénéficiaires de tarifs réduits augmente naturellement et tire vers le bas le prix moyen des abonnements. Sans compter les stratégies commerciales visant à ne pas augmenter les tarifs au rythme de l’inflation.

L’étude Une décennie de tarification (UTP et Groupement des autorités responsables de transport) de juin 2012 démontre que les tarifs ont en moyenne baissé en euros constants depuis 2000 : -4% pour le ticket unitaire, -7,2% pour l'abonnement mensuel, -18,1% pour l'abonnement annuel. Seul le prix du ticket unitaire issu du carnet a été revalorisé (+0,3%).

Ralentissement en 2012, diminution de l'offre de transport
Pour 2012, les résultats sont en demi teinte. C’est ce qui ressort de l’analyse des trois principaux indicateurs étudiés sur les six premiers mois de l’année : la production a progressé de +2,4%, le trafic de +3,6% et les recettes de 3,1%.
"Des progressions deux fois moins importantes qu'en 2011, constate Stéphanie Lopes d’Azevedo. En cause, la crise économique et le chômage qui ont un impact sur la mobilité".

Le tassement de la production reflète les difficultés des collectivités locales à financer le transport. Autre élément conjoncturel qui a affecté les recettes, le passage du taux de de la TVA sur les transports à 7% (au lieu de 5,5%). "Le choix a été fait de ne pas répercuter cette hausse sur les tarifs, mais 1,5% des revenus commerciaux sont alors sortis du budget de financement de l’exploitation", souligne Stéphanie Lopes d’Azevedo. Ce qui fait moins d'argent public pour maintenir un niveau d’offre élevé. "Les temps sont à la prudence : les autorités organisatrice de transport ignorent comment vont se comporter les recettes commerciales et le versement transport. Par conséquent, elles investissent moins", constate l'UTP.

* voyage : trajet effectué par un voyageur sur une ligne de transport public, sans correspondance. Un voyageur effectuant un trajet avec changement est donc comptabilisé deux fois.

Le TER est très dynamique
La montée en puissance du transport public a été également observée dans le transport express régional (TER) qui affiche des résultats très dynamiques pour 2011. La mise en place des horaires de trains cadencées dans plusieurs régions a permis d’augmenter la production kilométrique de +6,8%. Avec une offre de transport plus attractive, les voyageurs ont davantage pris le train : +4,6%.

En Ile-de-France, si l’offre de transport a progressé de 6,2%, cette hausse est moins marquée qu’en province avec un nombre de voyageurs en hausse de +2,5% sur 2011.
Néanmoins la part modale des transports collectifs dans la région capitale est telle que le Transilien enregistre à lui seul presque autant de voyageurs-kilomètres que dans les TER de la France entière : 11,5 milliards (13,5 milliards pour l'ensemble de l'Hexagone).

Sur le réseau RATP, qui a dû faire faire face à d’importants travaux de voirie pour accueillir des extensions ou de nouvelles lignes de tramway, l’usage des transports publics n'a proggressé que modestement (+1,5%). Il reste toutefois à des niveaux sans commune mesure comparé à la province : 3,1 millions de voyageurs transportés contre 2,5 millions dans les 150 autres réseaux de transport de l'Hexagone.

Source http://www.mobilicites.com/fr_plus-de-v ... _2224.html
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 11 Déc 2012 22:23

La Dépêche du Midi, 11 décembre
Quel avenir pour la boutique SNCF de Saint-Girons ?

Les élus couserannais suivent de près l'évolution de la situation de la boutique SNCF de Saint-Girons.

Alain Fauré a récemment rencontré MM. Bauchet, directeur régional du TER et Roméro, responsable des agences SNCF de Midi-Pyrénées et les élus du Couserans (François Murillo, Henri Nayrou, Raymond Coumes et Marie-Christine Denat-Pince) pour évoquer l'avenir de l'agence SNCF et «trouver une solution acceptable pour son maintien à Saint-Girons.»

Les élus ont réaffirmé leur opposition de voir fermer cette agence «qui rend de nombreux services aux Couserannais. Ce point de vente est fréquenté par toutes les générations qui y sont fortement attachées.»

Alain Fauré a profité de ces rencontres pour rappeler à ses interlocuteurs les accords qui ont été signés entre la SNCF et la région Midi-Pyrénées dans le cadre de la mission transport régional. Le jour même, il a rendu visite au personnel de l'agence et a signé la pétition pour soutenir fermement le maintien de ce service de proximité.

Source http://www.ladepeche.fr/article/2012/12 ... irons.html
Didier 74
 

Re: Revue de presse

Messagepar Didier 74 » 11 Déc 2012 23:30

Sud Ouest, 11 décembre
SNCF : les horaires sens dessus-dessous

Les nouveaux horaires de trains ont été mis en place. Huit horaires sur dix ont changé. État des voies dans le département.
Pour les lignes TER, 60 à 70 % des horaires sont changés.

Alors qu'il y a un an, la modification de 85% des horaires des trains avait provoqué une vague de mécontentements, il n'y a pas eu hier de raz-de-marée dans les gares du département. Pourtant, depuis ce dimanche 9 décembre, la SNCF a de nouveau changé ses horaires. Et là où la plupart du temps, seulement un quart des horaires est modifié, dans les régions Aquitaine et Poitou-Charentes, huit horaires sur dix ont changé. Cela s'explique notamment par l'important programme de travaux de rénovation et de modernisation du réseau ferroviaire dans le secteur mais aussi et surtout, par la construction de la LGV entre Tours et Bordeaux.

Temps de parcours allongés
Ainsi, en raison de ce vaste chantier, la durée du trajet entre Paris et La Rochelle augmente de quinze minutes, durée qui devrait être maintenue jusqu'en 2017 - année de mise en service de la ligne - et de douze minutes entre Tours et Bordeaux.

Par ailleurs, entre Paris et Bordeaux, le raccordement des lignes classiques à la future LGV a d'importantes conséquences. Outre l'allongement des temps de parcours, les heures de départ et d'arrivée des trains sont en effet, pour bon nombre, décalées. Ainsi, un tiers des TGV à Poitiers voient leurs horaires modifiés de dix minutes à une heure. Et il faudra désormais compter de huit à onze minutes supplémentaires pour rallier Poitiers à La Rochelle.

Pour les lignes TER, si la SNCF a tenté de conserver l'essentiel des horaires, on constate malgré tout des glissements de l'ordre de dix à vingt minutes. Ce qui implique parfois de partir plus tôt au travail ou de rentrer plus tard le soir. « 60 à 70% des horaires ont changé avec des décalages allant jusqu'à vingt minutes en plus ou en moins », souligne un chef d'escale en gare de La Rochelle. Quant aux trains qui n'ont pas changé d'horaires, ils ont souvent changé de numéro, ce qui perturbe également les voyageurs.

Sur l'axe La Rochelle-Bordeaux, des travaux de maintenance vont perturber la circulation des trains pendant quinze semaines (en janvier, février et octobre 2013). Pire encore, pendant douze semaines, la ligne sera totalement fermée entre La Rochelle et Nantes, sauf le week-end et de grosses incidences sont à prévoir sur les temps de parcours entre La Roche-sur-Yon et La Rochelle.

« Le gros point noir sur cet axe, c'est la suppression de l'Intercités de 17h01 au départ de Bordeaux pour La Rochelle via Jonzac, Saintes et Rochefort, qui intéresse plus de 200 voyageurs par jour. Il a été supprimé alors qu'il n'entre pas dans la fenêtre de travaux. C'est inacceptable », souligne Benoît Groussin, vice-président de l'Association de promotion de la ligne ferroviaire Nantes-La Rochelle-Bordeaux. Un courrier a été envoyé à ce titre aux maires concernés ainsi qu'à la préfecture pour les sensibiliser sur le sujet.

À Royan, Saintes et Jonzac
Concernant la liaison Niort-Saintes-Bordeaux, d'une part, les usagers de Niort et de Saint-Jean-d'Angély bénéficient d'un aller-retour quotidien pour Bordeaux avec changement à Saintes, grâce à l'aménagement des horaires des TER. D'autre part, la Région a convaincu la SNCF de remettre en service la desserte entre Royan et Angoulême via Saintes, en service en fin d'après-midi, du lundi au vendredi ainsi que le dimanche.

En gare de Jonzac, le plus gros changement concerne un train d'après-midi, le Nantes-Toulouse, désormais en gare de Jonzac avec une heure d'avance (16h21 au lieu de 17h23), très utilisé par les scolaires, les apprentis du campus des métiers rentrant à Bordeaux et ceux qui travaillent. Ils devront désormais attendre le train suivant prévu à 18h06.

En revanche, Jonzac gagne un train supplémentaire qui ne passait que le lundi, le Bordeaux-Saintes, et qui circule désormais tous les jours en semaine, permettant un arrêt à Montendre à 18h15, à Jonzac à 18h30 et à Pons à 18h45.

Source http://www.sudouest.fr/2012/12/11/decal ... 73-757.php
Dernière édition par Didier 74 le 20 Déc 2012 13:37, édité 2 fois.
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 15 Déc 2012 12:08

La Dépêche du Midi, 15 décembre
Saint-Girons. Les questions au maire

Sur l'avenir de la boutique SNCF : elle reste ou pas ?

François Murillo précise avoir rencontré le directeur délégué des TER de la région et le directeur de communication SNCF de Midi-Pyrénées qui n'ont répondu ni oui ni non sur un danger de fermeture. Il a alerté les députés ariégeois et le président du Sénat sur ces bruits fondés ou pas.

La mairie mobilisée suit ce dossier et sa position reste celle-ci «on s'oppose à la fermeture. On ne veut pas d'un rideau fermé sur un service public».

Hervé Soula (opposition de gauche) demande une meilleure cohérence des transports et souhaite que le maire montre son attachement à une organisation des transports collectifs en Couserans passant pour lui par la création d'une gare routière. Il sollicite une délibération des communes de ce territoire exigeant le maintien de la boutique SNCF à Saint-Girons.

Source http://www.ladepeche.fr/article/2012/12 ... ublic.html
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 15 Déc 2012 13:37

Reuters, 14 décembre
Le Brésil améliore les termes d'un appel d'offres pour un TGV

Le Brésil a proposé jeudi des conditions plus avantageuses et moins risquées afin de convaincre les grands groupes internationaux à participer à l'appel d'offres concernant la construction d'un train à grande vitesse reliant Rio de Janeiro à Sao Paulo en 2020.

L'année dernière, ce projet susceptible d'intéresser Alstom, n'avait pas trouvé aucun preneur.

L’État endossera plus de risques en augmentant sa participation 30% à 45% dans le consortium qui va concevoir, fabriquer et faire rouler les trains pendant une concession d'une durée de 40 ans.

"C'est un moyen de partager les risques avec l'investisseur et de rendre le projet plus attractif", a dit lors d'une conférence de presse Bernardo Figueiredo, directeur de l'Agence nationale chargé des projets d'infrastructure.

Celui qui remportera l'appel d'offres devra investir environ 7,7 milliards de réals (2,8 milliards d'euros environ). Selon les termes du contrat, il devra, entre autres, proposer des billets en classe économique à moins de 200 réals et s'engager à ce que le train relie Rio à San Paulo - 420 kilomètres de distance- en moins de 99 minutes.

Les constructeurs de trains à grande vitesse allemand, français, espagnol, japonais et sud-coréen devraient répondre à l'appel d'offres.

Les grands groupes internationaux surveillent de près ce projet, souhaitant tirer profit du besoin en infrastructures du Brésil qui recevra les Jeux Olympiques de 2016 et la Coupe du monde de football en 2014.

Parmi les candidats potentiels se trouvent, outre Alstom, l'allemand Siemens, le canadien Bombardier, le sud coréen Hyundai, et les japonais Hitachi Construction Machinery et Mitsubishi Heavy Industries .

Source http://bourse.lesechos.fr/infos-conseil ... 834511.php
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 15 Déc 2012 14:07

itespresso.fr, 14 décembre
Sogeti prend en main la gestion de la flotte des TGV de la SNCF

La SSII Sogeti a mis au point la solution Concerto pour la SNCF, permettant de réaliser des études et simulations pour améliorer les performances et la résistance des roulements de la flotte de 450 TGV.

La SSII Sogeti est le maître d’œuvre du projet Concerto de la SNCF. « Notre connaissance métier et notre expertise en architectures techniques nous ont permis d’atteindre les objectifs de performance et de qualité exprimés par la Maîtrise d’Ouvrage SNCF », explique Guy Roux, directeur de la Business Unit Rhône-Alpes chez Sogeti.

Mais qu’est Concerto exactement ? Une solution permettant de réaliser des études et simulations en amont, afin d’améliorer les performances et la résistance des roulements. Le tout conçu spécifiquement pour la flotte de 450 TGV de la SNCF (Concerto signifie « Conception de roulements de rames TGV optimisée »), souligne Silicon.fr.

Cette application a été développée à partir de 2009 par Sogeti, qui a dédié 30 experts à cette tâche, pendant les trois ans de travaux nécessaires. Côté technologie, le logiciel s’appuie sur la plate-forme .NET de Microsoft.

« Démarré en 2009 et mis en production au 2e trimestre 2012, le projet Concerto est une solution innovante et simple qui permet aujourd’hui aux acteurs du métier SNCF Voyage de gagner en efficacité dans la préparation des plans de transport TGV sur le territoire national. Notre objectif 2018 est de gagner tous les jours 1 heure de circulation par rame TGV », indique Monique Pério, Business Unit Manager « Études pour le Transport de Voyageurs » de la SNCF (DSI-T).

Trois objectifs sont visés. Le premier est économique, via une optimisation de la maintenance et du taux d’utilisation des TGV. Le second est environnemental, au travers de la réduction de la consommation énergétique. Le troisième est un défi de qualité de service, dans un contexte d’explosion du trafic à grande vitesse.

Ce dernier devrait en effet doubler d’ici 2020. Mais entre temps le projet Concerto aura permis « de libérer l’équivalent de 40 rames TGV supplémentaires », indique la représentante de Direction des Systèmes d’Information et des Télécommunications de la SNCF (DSI-T).

Source http://www.itespresso.fr/sogeti-gestion ... 59942.html

Lire aussi http://www.infodsi.com/articles/137449/ ... n-tgv.html
Dernière édition par Didier 74 le 14 Jan 2013 23:25, édité 1 fois.
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 15 Déc 2012 14:57

leparisien.fr, 12 décembre
Un tunnel SNCF transformé en cave à fromages

Viane (Tarn). Tous les fromages haut de gamme de la laiterie Fabre Frères passeront désormais dans cette drôle de cave d’affinage, située sur l’ancienne ligne Castres-Lacaune.

C’est une cave d’affinage originale mais surtout naturelle. La laiterie Fabre Frères, installée dans le petit village de Viane (Tarn), dans les monts de Lacaune, a racheté un ancien tunnel désaffecté, sur la ligne ferroviaire Castres-Lacaune, pour y affiner ses fromages. Le dernier train y est passé au mois d’août 1962.

« L’idée a germé lors d’une promenade durant l’été 2003, raconte Gilles Fabre, le gérant de la laiterie.

En pleine canicule, nous sommes entrés dans ce tunnel et nous avons été très surpris par sa fraîcheur. Comme il était en bon état, on s’est dit que ce tunnel serait parfait pour notre production de tommes. »

L’entreprise, comptant sept salariés, mettra sept ans, en raison des procédures administratives, à acquérir ce curieux ouvrage. Après des relevés de températures, d’hygrométrie et l’installation d’un système de ventilation, les premiers fromages au lait de vache et de brebis ont été disposés dans leur nouvelle cave en février.

Le tunnel contenait naturellement des moisissures que la laiterie utilise pour son affinage qui dure de six mois à un an. Elle travaille avec seize producteurs de lait de vache et quatre éleveurs de brebis, situés à une vingtaine de kilomètres aux alentours. « Nous sommes attachés au terroir et à l’artisanat, ce lieu rare et naturel donne une image de marque à notre laiterie qui produit 410 t de fromages par an », assure Gilles Fabre. A terme, tous les fromages haut de gamme de la laiterie viendront parfaire leur affinage dans ce tunnel.

Source http://www.leparisien.fr/economie/video ... 401593.php
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 15 Déc 2012 16:31

La Nouvelle République, 15 décembre
Chasseneuil-du-poitou Pont SNCF : remplacement en janvier

L'ouvrage construit en 1883 sera remplacé en janvier.

Dans quelques jours, les travaux de remplacement du pont SNCF situé sur la route départementale 18, vont débuter. Construit en 1883, ce pont est devenu dangereux au fil des années sur et sous l'ouvrage. Les voûtains sont altérés et des morceaux menacent de tomber sur les voies. Dès janvier, des cabanes de chantiers vont donc être installées rue de la Croix-Blanche entre le chemin de Chandon et la rue de la Cluzette, côté voie ferrée. La circulation se fera par alternance régulée par des feux bicolores. Le chemin de Chandon sera en sens unique rentrant, les automobilistes emprunteront ponctuellement la rue du Petit-Bois et la rue de la Prairie pour rejoindre les Groseilliers. Les travaux s'effectueront principalement de nuit afin de perturber le moins possible la circulation des trains. Deux temps forts ont été annoncés mercredi lors de la réunion organisée par le conseil général maître d'œuvre.
> La démolition du pont. Elle aura lieu les samedi 19 et dimanche 20 janvier. L'entreprise en charge des travaux travaillera 23h sans discontinuer afin de soulever et évacuer l'ouvrage existant à l'aide d'une grue de 350 tonnes.
> Autre épisode bruyant. Il est attendu au moment de la suppression des culées (appuis sur lesquels repose l'ouvrage) et le coulage des nouvelles. Les riverains les plus proches pourront, si le bruit est vraiment insupportable, être relogés le temps du week-end. Les travaux s'effectuant sous coupure totale de la circulation, une déviation sera mise en place. A partir du centre bourg au nord pour les poids lourds (route de Saint Georges), pour les véhicules légers par le nord ou le sud (rue de l'Industrie, rond-point Charlemagne). La rue du 11-Novembre sera en sens unique ainsi que la rue du 8-Mai. Le nouvel ouvrage aura une portée de 16 m, une longueur totale de 22,50 m, la chaussée comportera deux voies d'une largeur de 2,75 m chacune, ouverte aux bus. Le montant prévisionnel global des travaux s'élève à 1.477.060€ TTC.

Le calendrier : Démarrage des travaux janvier 2013 ; démolition de l'ouvrage existant les 19 et 20 janvier ; régénération des appuis de février à avril ; travaux sur culées et réalisation des dalles de frottements de mars à juin ; réalisation des superstructures et équipements de juillet à septembre ; achèvement des travaux en septembre 2013.

Source http://www.lanouvellerepublique.fr/Vien ... en-janvier
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Brayaud » 15 Déc 2012 16:52

Didier 74 Wrote:leparisien.fr, 12 décembre
Un tunnel SNCF transformé en cave à fromages

Viane (Tarn). Tous les fromages haut de gamme de la laiterie Fabre Frères passeront désormais dans cette drôle de cave d’affinage, située sur l’ancienne ligne Castres-Lacaune.

C’est une cave d’affinage originale mais surtout naturelle...

.
Ce n'est pas nouveau: il y a longtemps que cette technique est pratiquée sur la ligne Brioude - St Flour
Amicalement
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Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 15 Déc 2012 17:10

Brayaud Wrote:Ce n'est pas nouveau: il y a longtemps que cette technique est pratiquée sur la ligne Brioude - St Flour

C'est également le cas du tunnel de la Puya à Annecy sur l'ex ligne vers Albertville.
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 16 Déc 2012 15:31

Le Journal de Saône-et-Loire, 16 décembre
Contrôles tous azimuts vendredi en gare de Chagny. Organisée par la gendarmerie nationale en Bourgogne, sur réquisition de la justice, l’opération de surveillance et de contrôles des usagers de la SNCF avait comme point de départ la gare de Chagny et pour objectif de lutter contre les cambriolages.

À l’heure du bilan, les gendarmes de Chagny et de Chalon, ainsi que les services du peloton de surveillance et d’intervention de la gendarmerie (PSIG) de Saône-et-Loire, sous le commandement du capitaine Monnot de la compagnie de Chalon, ont procédé au contrôle des identités de 599 personnes. 617 véhicules ont également été vérifiés dans les 21 gares investies pour cette opération à l’échelle régionale.

Alors que 45000 voyageurs transitent chaque jour en Bourgogne, les gendarmes de Bourgogne n’ont relevé vendredi que cinq infractions.

Source http://www.lejsl.com/edition-de-chalon/2012/12/16/sncf
Didier 74
 

Re: Revue de Presse

Messagepar Didier 74 » 16 Déc 2012 19:19

lesechos.fr, 12 décembre
Le patron de la Deutsche Bahn reconduit jusqu'en 2017

Le conseil de surveillance de la compagnie ferroviaire a reconduit Rüdiger Grube au poste de PDG. A charge pour lui de poursuivre la modernisation du groupe.

Le PDG de Deutsche Bahn, Rüdiger Grube, a été reconduit dans ses fonctions jusqu'à fin 2017 par le conseil de surveillance, a annoncé la compagnie ferroviaire allemande mercredi. « Rüdiger Grube dirigera la société jusqu'en décembre 2017. Le conseil de surveillance de l'entreprise a entériné mercredi à Berlin le renouvellement et l'allongement de son contrat à compter du 1er janvier 2013 », précise son communiqué.

Âgé de 61 ans, M. Grube dirige le groupe depuis le 1er mai 2009. « Avec cette décision, nous assurons la continuité et la fiabilité au sein de l'entreprise », a souligné Utz-Hellmut Felcht, chef du conseil de surveillance de Deutsche Bahn, cité dans le communiqué. « M. Grube et son équipe peuvent dès à présent mettre en oeuvre la modernisation et le changement de culture déjà initiés de manière cohérente », a-t-il ajouté.

L'intéressé a estimé de son côté qu'« il restait beaucoup à faire au cours des prochaines années » pour moderniser l'entreprise. « Nous sommes sur le bon chemin, mais encore loin du but ».

Leader mondial
Crée en 1994, le groupe DB (Deutsche Bahn AG) est aujourd'hui un leader mondial de la mobilité et de la logistique. Il emploie 295.000 salariés dans 130 pays à travers le monde dont 193.000 en Allemagne. Le cœur son activité reste le transport ferroviaire en Allemagne (voyageurs et fret) où le groupe gère le plus long réseau ferroviaire d'Europe (33.500 km de lignes environ). Mi-novembre, la compagnie ferroviaire a annoncé 4,4 milliards d'euros d'investissements en 2013 pour l'entretien et la modernisation de son réseau ferré en Allemagne.

La division transport de passager de la DB transporte près de 10 millions de passagers par jour en Europe. En juillet dernier, la DB a annonce une augmentation de la fréquentation de ses trains de voyageurs en Allemagne , établissant au passage un nouveau record. Mais le point du groupe fort reste sa division Transport & Logistique. Le leader du marche européen du fret , avec sa filaiel Schenker notamment, le groupe a transporté en 2011 la bagatelle de 412 millions de tonnes de marchandises par le rail, 96 millions de tonnes par la route, plus de 1,1 million de tonnes de fret par voie aérienne et qui achemine enfin 1,7 million de conteneurs EVP (équivalent 20 pieds) par voie maritime.

Source http://m.lesechos.fr/industrie-services ... 881115.htm
Didier 74
 

Re: Revue de presse

Messagepar Didier 74 » 17 Déc 2012 13:08

tendanceouest.com, 17 décembre
Train Cherbourg-Paris supprimé : le PS réagit

Le président de la région Basse-Normandie et le député PS Stéphane Travert réagissent à la suppression du dernier train Cherbourg-Paris en semaine.

Les usagers de la SNCF l'ont appris la semaine dernière : le dernier train Cherbourg-Paris, du lundi au vendredi, est supprimé pendant un an.

Dans un communiqué, Laurent Beauvais, président de la région Basse-Normandie, indique : "Au delà de la façon de procéder de la SNCF qui vis à vis de son partenaire, la Région, et surtout de ses usagers est plus que légère".

Stéphane Travert, député PS de la troisième circonscription de la Manche, a lui aussi critiqué la suppression du train. "Si la nécessité des travaux sur les deux tunnels situés sur la ligne Paris-Cherbourg ne font aucun doute, il est regrettable de constater que les usagers pâtissent une nouvelle fois d’un manque d’informations de la SNCF, et soient pénalisés dans leur usage quotidien du train."

Ce nouvel épisode est une nouvelle fois pour les deux politiques l'occasion de réaffirmer la nécessité de créer la Ligne Nouvelle Paris Normandie.

Source http://www.tendanceouest.com/cherbourg/ ... eagit.html

lamontagne.fr, 18 décembre
Pour le TER Clermont-Thiers de 17h33

Les travaux entrepris à la gare de Clermont-Ferrand pour deux ans ont eu pour conséquence la suppression de plusieurs trains, dont celui de 17h33 et qui dessert Aulnat, Pont-du-Château, Vertaizon, Lezoux, Pechadoires et Thiers. Une décision obligeant les usagers à se rabattre sur des trains de 17h11 ou 17h51. Pas très pratique pour les personnes terminant leur travail à 17 heures, déplore l’association Ensemble avec le rail, présidée par Dominique Sandeyron. Le siège de l’association se situe à la mairie de Lezoux, BP 69, 63190 Lezoux.

Source http://www.lamontagne.fr/auvergne/actua ... 78868.html
Dernière édition par Didier 74 le 10 Jan 2013 12:45, édité 3 fois.
Didier 74
 

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