OCCITAN Wrote:Bonjour,
Pas sûr que l'humour habile de jojo en guise de cache-misère, suffise à faire oublier les conséquences de la gestion du ferroviaire auxquelles sont confrontés les clients dans de trop nombreuses circonstances, et particulièrement, lors des situations inhabituelles ou accidentelles.
Les "grandes théories..." dont s'amuse jojo prennent bien souvent des aspects restrictifs, négatifs, qui eux, se manifestent pleinement dans le concret.
J'observe d'ailleurs que des voix s'élèvent de plus en plus à l'encontre de ces saucissonnages.
Quant au climat social dans l'entreprise, beaucoup doutent qu'il puisse collaborer à cet état d'esprit "maison" indispensable au développement et à la prospérité. De ce coté là, ça ne paraît pas devoir s'arranger...
Alors, oui, comme le premier élu, ou journaleux venu, j'ai commis un hors-sujet. Impardonnable dans la forme, mais tellement avéré sur le fond, si non à l'occasion de cet évènement précis !
Occitan, je suis d'accord, l'explication "rationnelle" est une piètre consolation. Il n'y a que le ferrovipathe, pourtant souvent moqué par des intervenants qui considèrent avoir de la hauteur de vue, qui peut s'y intéresser, et encore, je ne suis pas sûr qu'il considérera qu'on ne pouvait pas faire mieux. On constate en effet que, quel que soit le pépin, le chemin de fer est incapable de se reconfigurer pour s'adapter : une coupure de ligne et tout détournement est quasiment impossible même lorsque des itinéraires alternatifs existent, cf Rastatt, Maurienne, Languedoc ... sans être grossier et évoquer le train de nuit Paris-Briançon.
Bonne soirée.