Modérateurs: Terroir, jerome, kyah117, Urbino, Tchouks
François Wrote:Je ne suis pas certain qu'il faille se limiter à cette simple explication, à la lecture des faits les causes sont plurielles...
Magnum Wrote:C'est très simpliste de conclure de cette manière, je ne m'apitoierais pas aussi vite sur son sort.
gavatx76 Wrote:Tu médites longuement tes apportations au forum?
DRÔME / VALENCE Elle affiche plus de 500 infractions au compteur de la SNCF
Le péché mignon, de cette habitante de la région de Starsbourg ? Sillonner la France entière en train sans payer…Hier elle a été débarquée en gare de Valence, et comme souvent ne s’est pas laissée faire.
Au passage elle s’en est prise à une fillette présente sur les quais et lui a tiré les cheveux si violemment qu’elle en a été quitte pour deux jours d’ITT. Cette voyageuse serait connue de la SNCF pour être « coupable » de plus de 500 infractions. Un record !
François Wrote:Au delà de l'humour, les passagers n'ont pas apprécié, ni les retards, ni les conditions de l’attente... Ce qui est troublant c'est de constater que ce type d'événement se produit toutes les années, à la même période. Quand on reprend les reportages des grands départs, systématiquement, il y a des grosses perturbations.
Si on peut comprendre que l'augmentation de la circulation des trains peut entraîner quelques complications dans l'exploitation, les ruptures de caténaires sont beaucoup trop nombreuses et ne peuvent ne pas être imputées à la SNCF. Le défaut de surveillance et le mauvais entretien se répercutent naturellement sur ces "dysfonctionnements", la chaleur ne venant qu’aggraver ce risque.
capelanbrest Wrote:Ce qui aurait pu être possible autrefois (loc en réserve mécanos à deux pas matériel remorqué en réserve ne l'est plus). les installations fortement sollicitées vieillissent et montrent des signes de faiblesse demandant toujours plus de maintenances, pour rester opérationnelles etc etc...
Metrazur Wrote:plusieurs TER Intervilles (par ex. le 17498) ont été supprimés
Hérault : un homme et une femme meurent percutés par des trains
Un homme et une femme sont morts après avoir été percutés par des trains lundi à Lunel et Vias (Hérault), a-t-on appris auprès du centre opérationnel d’incendie et de secours (Codis) et de la gendarmerie.
Des enquêtes sont en cours pour déterminer s’il s’agit d’accidents ou de suicides pour ces deux décès qui ont occasionné des perturbations du trafic ferroviaire, a-t-on précisé de même source.
À Lunel, le corps d’un sans domicile fixe a été découvert en début de matinée sur la voie. Sa mort remontait à plusieurs heures, a précisé le Codis.
À Vias, c’est une femme de 48 ans qui a été percutée par un train régional vers 19h30, provoquant l’interruption de la circulation dans les deux sens, a rapporté la gendarmerie.
Intempéries : trafic ferroviaire perturbé sur la ligne Paris-Nevers-Clermont
Les intempéries qui touchent actuellement l'Auvergne perturbent le trafic ferroviaire. Avec les orages, des arbres et des branches sont tombés sur les voies occasionnant un arrêt temporaire de la circulation. De nombreux trains ont été arrêtés en gare de Nevers.
Les trains au départ de la gare de Lyon-Perrache ont rencontré des difficultés en raison de "conditions climatiques exceptionnelles" selon le site de la SNCF. Tous les trains à destination ou en provenance de Lyon ont eu le même temps de retard de prévu.
Les trains intercités Clermont-Paris ont eu des problèmes d'alimentation électrique, conséquence des forts orages, selon la SNCF. Sur cette ligne, les trains ont eu près de 3 heures de retard.
La circulation revient progressivement à la normale depuis 21h20.
"FAILLE DU SYSTÈME DE SÉCURITÉ"
"La ligne avait été planifiée dans un premier temps avec la norme UIC [organisation mondiale du secteur ferroviaire], et avec un système de sécurité ERTMS [European Rail trafic Management System]" pour les trains à grande vitesse, aux normes européennes, qui comprend un système de freinage automatique lorsque le conducteur ne respecte pas la vitesse autorisée, a affirmé M. Ferre Molto.
Par la suite c'est le système conventionnel ASFA (Automatic Braking and Signal Announcement) qui a été retenu, avec un freinage automatique mais uniquement au-delà de 200 km/h. Comme M. Ferre Molto, M. Gomez-Pomar a souligné que "toutes les procédures avaient été observées avec toutes les mesures de sécurité nécessaires".
Train des plages : retour mouvementé
Le train estival Les Sables-d'Olonne - Saumur connaît un vif succès depuis quelques semaines, date de son début de circulation. Mais samedi soir, le retour de plage a été plus long que prévu. En effet, le train TER parti de la gare des Sables-d'Olonne à 18h36 a percuté une automobile sur un passage à niveau sans barrière vers 19h40, à 5 km de Chantonnay en Vendée.
Selon Ouest-France, le conducteur vendéen de 60 ans, ébloui par le soleil, n'a pas vu arriver le train en arrivant sur ce passage à niveau marqué par un simple stop et dépourvu de barrières et de feux. Aucun blessé n'est à déplorer dans le train qui transportait une centaine de voyageurs ayant passé la journée sur la plage des Sables-d'Olonne. Ni dans la voiture, même si le conducteur, choqué, a été conduit à la clinique de La Roche-sur-Yon.
Trois heures de retard en gare de Thouars
La motrice endommagée ne pouvant poursuivre le voyage, les passagers ont dû être transbordés dans deux autocars spécialement affrétés. Pompiers, gendarmes et protection civile ont tout mis en œuvre pour aider le personnel navigant à faire circuler les dizaines de voyageurs sur la voie ferrée afin de rejoindre la route où les attendaient les cars. Boissons fraîches, communication et sourires ont adouci ce désagrément de voyage pour les usagers deux-sévriens, qui forment un important contingent sur ce parcours.
Les Thouarsais, par exemple, sont enfin arrivés à destination à 23h45 place de la gare, soit avec un retard de 3 heures. Serviettes de plage et maillots de bain ont donc eu le temps de sécher pendant que dans les rouages ferroviaires, un grain de sable se logeait… La SNCF a également pris en charge une dizaine de nuits d'hôtel sur Saumur pour certains voyageurs. Le train a dû rester immobilisé sur les voies toute la nuit. Conséquence : le lendemain, dimanche, des cars ont remplacé l'engin au départ de Thouars, mais dans ces circonstances, certains voyageurs ont préféré renoncer à leur trajet vers la plage.
Environ 23.000 foyers étaient privés d'électricité mercredi matin après de forts orages en Dordogne et en Limousin où le trafic ferroviaire, perturbé après des chutes d'arbres sur des caténaires, devrait être rétabli en fin de matinée.
[...]
Plusieurs trains circulant dans le Limousin dans la nuit de mardi à mercredi ont par ailleurs été arrêtés en gare de Limoges et un train de fret a été bloqué sur la voie après la chute d'un arbre survenue vers minuit sur des caténaires au niveau de Masseret (Corrèze), à la limite avec la Haute-Vienne.
La situation a commencé à se rétablir vers 06H00 et, selon un porte-parole de la SNCF, le trafic devrait être rétabli pour la fin de matinée.
Une personne sous un train à Chambéry
Une personne est décédée après avoir été percutée par un train, mercredi en fin d’après-midi, avenue des Landiers à Chambéry. L’accident ou le suicide s’est produit vers 17h45 sur la voie Chambéry/Annecy et a provoqué l’interruption du trafic dans les deux sens sur cette ligne et sur la ligne Chambéry/Saint-André-le-Gaz, des voyageurs étant descendus sur les voies. Le TGV 6980 Annecy/Paris par Chambéry a fait demi-tour à Aix-les-Bains pour passer par Bourg-en-Bresse. Les voyageurs en partance de Chambéry ont été acheminés à Aix par car afin de prendre le train suivant.
Ils lâchent leur chien d'attaque sur les passagers d'un train
Les deux hommes ont été condamnés à deux et trois ans d'emprisonnement respectivement
Ils n'avaient pas apprécié que des passagers du train leur demandent d'éteindre les pétards qu'ils fumaient dans le wagon. Deux frères originaires de Garges-lès-Gonesse, dans le Val d'Oise, n'ont pas hésité à lâcher leur chien d'attaque sur les passagers, dans la soirée de samedi, alors que le TER circulait entre Marseille et Toulon, relate le quotidien Var Matin, information reprise par LeParisien.
L'American Stafford Terrier a sauté à la gorge d'une des victimes, relatent les deux titres. L'homme s'en sort avec une morsure au bras, grâce à un réflexe de protection. Une deuxième personne a également été blessée. Jugés en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Toulon, les deux frères ont été condamnés à deux et trois ans de prison ferme avec mandat de dépôt émis à la fin de l'audience. L'aîné a écopé d'une condamnation plus lourde, son casier judiciaire portant déjà trace de neuf condamnations. Aucune précision n'a été donnée sur le sort réservé au chien.
Loire : évacuations et voie SNCF coupée à cause de fortes pluies
Les fortes pluies, doublées d'un coup de vent jeudi dans la Loire, ont entraîné l'évacuation d'un lotissement et celle d'un camping, et la coupure partielle de la voie SNCF Lyon-Roanne, a-t-on appris auprès de la préfecture, des pompiers et de la SNCF.
[...]
En raison des fortes pluies durant la journée, la voie SNCF Lyon-Roanne a également dû être coupée, mais des tests étaient réalisés sur les voies et une activité partielle devait reprendre dans la soirée, ont ajouté la préfecture et la SNCF.
La SNCF précisait toutefois que les TER Lyon-Clermont passant par Roanne étaient détournés par Saint-Étienne, impliquant une trentaine de minutes de retard.
Pour les trains dont le terminus est Roanne, des autocars de substitution étaient mis en place.
Chambéry : la personne percutée par un train toujours pas identifiée
C’est une femme d’origine africaine qui a été percutée, mercredi 7 août en fin d’après-midi, par une motrice, sur la ligne SNCF Chambéry – Aix-les-Bains. Mais, les policiers n’ont toujours pas son identité. Ils vont devoir procéder à des recherches ADN pour mettre un nom sur ce corps. L’enquête en cours devra expliquer la présence de cette femme sur la voie au moment du passage du train.
Montpellier : retour à la normale du trafic des trains après des vols de câbles
Les réparations sont terminées, le trafic est revenu à la normale. Cet après-midi, les trains enregistraient des retards de 15 minutes à 1h15 dans le Languedoc-Roussillon en raison de vols de câbles du réseau dans le secteur de Gallargues-le-Montueux. Les voyageurs ont dû prendre leur mal en patience à Montpellier.
Le trafic ferroviaire revient peu à peu à la normale en Languedoc-Roussillon ce vendredi en fin d'après-midi. Des retards de trains d'une trentaine de minutes ont été provoqués après les vols de câbles. Seuls trois trains enregistraient encore des retards de 10 à 15 minutes vers 18 heures, alors que les réparations sont terminées, a précisé la direction Languedoc-Roussillon de la SNCF.
Trois actes de malveillance recensés
Le retard le plus important s'est élevé à 75 minutes pour un Intercité en provenance de Nice, la plupart des autres étant d'une trentaine de minutes en moyenne. Trois actes de malveillance ont "endommagé gravement les câbles du réseau de signalisation qui assurent à la fois la fluidité du trafic et la sécurité du système ferroviaire". En Languedoc-Roussillon, les vols se concentrent entre Vergèze et Nîmes. "Ce sont plus de 800 connexions à rétablir sur plusieurs kilomètres", a précisé la SNCF.
DRÔME Ivres, ils s’en prennent aux passagers d’un train et aux forces de l’ordre
Mercredi, vers 14 heures, deux SDF ont été interpellés sur le quai n°2 de la gare de Montélimar. Ivres, les individus, âgés de 62 et 32 ans, voulaient monter dans le train à quai sans billet ni argent. Après s’être vu opposer un refus, ils s’en sont pris à des usagers, à un agent de médiation et à un agent de sécurité. Aux services de police, ils ont refusé de décliner leur identité. Interpellés, ils se sont débattus, ont craché et commis des outrages à agent. Après 7 minutes d’arrêt supplémentaires, le train a pu repartir. Eux ont été conduits à un médecin, qui a constaté leur ivresse, et placés en cellule de dégrisement. Ils ont été entendus hier matin. Les individus, bien connus des services de police, ont été déferrés au parquet et passeront devant le tribunal correctionnel.
Chambéry : la victime n’a toujours pas été identifiée
La personne percutée par un train mercredi n’a toujours pas été identifiée. Personne ne s’est encore manifesté au commissariat de police pour signaler la disparition d’un membre de sa famille. Aucun bijou, papier ou objet distinctif qui aurait pu permettre de connaître son identité n’a été retrouvé sur le lieu du drame.
C’est pourquoi la police lance un appel à témoins afin de mettre un nom sur la victime. Cette femme, sans doute d’origine africaine, était vêtue tout en noir, elle portait un pantalon et un tee-shirt. Elle se trouvait le long des voies ferrées peu avant le choc qui s’est produit mercredi 7 août à 17h50 au niveau de l’avenue des Landiers à Chambéry entre un garage auto et le circuit de pilotage moto, de l’autre côté du Leclerc Drive.
Le train en provenance d’Aix-les-Bains et se dirigeant vers la gare de Chambéry circulait à 140 km/h quand il l’a percuté. Le conducteur de la motrice a vu la femme courir en direction de la voie au moment où il arrivait.
Toute personne pouvant apporter une information sur la victime afin de l’identifier est invitée à contacter le commissariat de police de Chambéry au 04 79 62 84 00.
Savoie : une automobiliste se tue dans une collision avec un TGV
Une automobiliste est morte dans la collision de sa voiture avec un TGV samedi à un passage à niveau en Savoie, a-t-on appris auprès des pompiers.
Aucun des quelque 300 passagers du TGV qui reliait Paris à Milan n'a été blessé, selon les pompiers et la SNCF.
La conductrice du véhicule, âgée d'une trentaine d'années, a été éjectée de sa voiture, ont précisé les pompiers.
Le TGV, bloqué depuis 18H00 en gare de Lépin-le-Lac, à environ 25 km de Chambéry, non loin du lieu de l'accident, est reparti vers 20H30, a indiqué la SNCF.
Le train achemine les voyageurs jusqu'à Chambéry où des cars les conduiront ensuite à leur destination finale, a précisé un responsable de la SNCF.
Les six trains situés sur la ligne ont été détournés par Ambérieu (Ain), accusant des retards d'une trentaine de minutes à 1H30 pour l'un d'entre eux, a-t-il indiqué.
"La circulation sur la ligne revient progressivement à la normale", a poursuivi la même source.
Une enquête a été ouverte pour connaitre les circonstances de l'accident.
SAVOIE / LEPIN-LE-LAC La conductrice se serait engagée sur les voies malgré le feu rouge
L’enquête se poursuit sur l’accident entre un TGV et une voiture à un passage à niveau à Lépin-le-Lac dans l’Avant-pays savoyard qui a coûté la vie à une automobiliste de 49 ans.
D’après plusieurs témoignages et le parquet de Chambéry, Julianna Lavergé se serait engagée sur les voies ferrées alors que le feu rouge du passage à niveau était enclenché, sans que les demi-barrières ne soient complètement descendues, et aurait ensuite calé sur les rails. Sous la panique, elle aurait tenté de redémarrer son véhicule avant d’être percutée et éjectée du véhicule par le TGV reliant Paris-Milan. Le train circulait à 85 km/h (sur une portion limitée à 90 km/h). Après deux heures de massage cardiaque, elle a finalement succombé à ses blessures.
De nouvelles auditions sont attendues (notamment celle du chauffeur du train) afin de déterminer toutes les circonstances exactes de ce drame.
Julianna Lavergé, mère de famille, était domiciliée à Annecy-le-Vieux où elle exerçait le métier d’assistante maternelle. Elle venait régulièrement en Savoie et dans l’Avant-pays savoyard car elle était la compagne du premier adjoint de la commune d’Attignat-Oncin.
Il coupe un arbre et c'est toute la ligne SNCF qui est bloquée
Le train Tours-Lyon Perrache a été immobilisé en gare d’Avord pendant deux heures et quarante minutes.
L’arbre coupé par le riverain tombe sur la voie ferrée et engendre des retards
Hier après-midi, un riverain de Nérondes a eu la main verte malheureuse. L’arbre qu’il coupait est tombé sur la voie ferrée.
Le temps que l’arbre soit dégagé de la voie, le train 16841 Tours-Lyon Perrache a été immobilisé en gare d’Avord pendant deux heures et quarante minutes.
Les passagers du train 860841, en provenance de Tours et à destination de Nevers, ont, eux, enregistré un retard d’environ une heure.
Dans une bagarre, il se fait arracher l’oreille avec les dents
Un jeune homme s’est fait arracher, avec les dents, une oreille samedi soir dans une bagarre à Argenteuil (Val-d’Oise), et son agresseur, la bouche encore en sang, a été rapidement arrêté à proximité.
La bagarre entre les deux jeunes de 20 et 23 ans, ivres, a éclaté devant la gare SNCF d’Argenteuil. Quand les secours et les policiers, alertés par des témoins, sont arrivés sur place, ils ont trouvé un jeune homme gisant sur le sol, et son oreille gauche à côté.
«Des témoins ont désigné l’auteur de l’agression, qui se trouvait pas loin, toujours à proximité de la gare», a décrit une source policière. Au moment de son interpellation, les policiers ont découvert «des traces de griffure sur le torse» et «du sang séché autour de la bouche» du suspect, qui était toujours en garde à vue lundi matin au commissariat d’Argenteuil, a précisé une source proche de l’enquête.
La victime, de nationalité algérienne, vivait en France sans papiers et était hébergée par son agresseur à Bezons (Val-d’Oise). Il s’agit «d’une dispute entre gens pris de boisson», a souligné la source proche de l’enquête, selon laquelle les motifs de la dispute restaient toujours flous lundi matin.
La victime a été hospitalisée au centre hospitalier d’Argenteuil. Une auto-greffe de son organe auditif devrait être tentée, «mais la question est de savoir si elle prendra», a souligné cette source.
Un piéton écrasé par un TGV : la circulation des trains bloquée
Beaumont. Un homme âgé d’une cinquantaine d’années a mis fin à ses jours samedi soir en se portant sur la voie ferrée au moment du passage d’un TGV.
Le geste d'un désespéré de 52 ans seulement. Un dramatique accident est survenu samedi vers 19 h 30 à proximité de la gare de La Tricherie sur la commune de Beaumont où un piéton a été écrasé par le TGV Bordeaux - Lille.
D'après le parquet de Poitiers qui s'appuie sur le témoignage du conducteur de la rame, la victime se serait volontairement portée sur les rails au moment de l'arrivée du TGV.
La voie neutralisée dans les deux sens
Le temps de procéder aux constatations d'usage, la circulation ferroviaire a été interrompue. Au total, dix trains ont accusé du retard en cette période estivale de grandes migrations.
« Ces retards s'échelonnaient de quinze minutes à deux heures, sachant que les deux voies ont été neutralisées », explique le service de communication de la SNCF, avec des trains bloqués en gare de Poitiers mais également d'Angoulême et de Saint-Pierre-des-Corps. Comme la réglementation l'exige, il a fallu procéder au remplacement du conducteur du TGV. « C'est systématique, continue le préposé à la communication de la SNCF. Essayez d'imaginer le traumatisme, le choc qu'il peut ressentir dans ce genre de circonstances. Un autre conducteur est alors acheminé sur place pour rallier le terminus. » A 21h, le trafic est redevenu normal.
Une lettre retrouvée à son domicile
L'enquête s'est poursuivie hier, « notamment auprès de la famille, pour déterminer les causes qui auraient pu amener cet homme à se suicider, précise encore le parquet. Et il s'avère que des éléments vont dans ce sens car une lettre retrouvée à son domicile révèle bien que cette personne était déprimée, dans un état de suicide. »
Sur ce sujet sensible, Guillaume Pépy, le P-DG de la SNCF, avait relevé fin 2012 que le nombre de suicides sur les rails était « en forte augmentation », parlant même de « chiffres catastrophiques. »
Le train-couchette percute une vache
Grosse frayeur, samedi vers 22h, pour les 337 passagers du train-couchette au départ de Luxembourg et à destination de Portbou.
En rase campagne à hauteur de la commune de Barisey-au-Plain, Sébastien raconte la scène : « On a entendu un gros boum ! Comme si l’on avait percuté un tas de bois. Puis le train a freiné très fort dégageant immédiatement une odeur de brûlé. »
Un contrôleur informe aussitôt des voyageurs inquiets : « Il nous a dit que nous avions percuté une vache et qu’il fallait nettoyer le train ! » , se remémore Fabienne, présente dans un autre wagon. Pour autant, l’incident a suscité beaucoup d’émotion : « Une personne a d’ailleurs fait un malaise dans un wagon. Et un médecin présent dans le train lui a porté les premiers secours » , souligne Sébastien. Fabienne met en exergue « l’agitation et l’énervement » de nombreux passagers. Très vite, les agents de la SNCF se rendent sur place ainsi que les gendarmes, les sapeurs-pompiers et des élus locaux.
Les dégâts sur la locomotive sont plus importants que prévu, divers wagons ont été touchés, notamment sous les essieux, provoquant des fuites d’air au sifflement perceptible de tous les passagers.
Après avoir remplacé la locomotive et les quelques wagons endommagés, tous les voyageurs ont été finalement rapatriés vers la gare de Nancy vers 2h30 : « Ils nous ont tout de même laissé dormir dans le train jusqu’à 7h15. Nous avons été très bien pris en charge dès le réveil par l’assistance de la SNCF tant pour prendre le petit-déjeuner que pour les diverses modalités de remboursements et options de transport. »
À 8h17, ces passagers ont finalement embarqué à bord du TGV en direction de Paris, gare de l’Est : « Là encore, nous avons été bien encadrés pour rallier la gare de Lyon en RER. Nous avons ensuite pris le TGV en direction de Perpignan. » D’autres passagers de ce même train-couchette initial se rendaient vers Nice. Ils ont pris le TGV à Paris et sont arrivés sans encombre à destination à 16h26.
« Pas exceptionnel »
« Ce genre d’incident n’est pas exceptionnel. Cela arrive régulièrement », explique David Dupin, du service communication de la direction régional de la SNCF à Metz. Hier, l’entreprise ferroviaire avait une volonté, si ce n’est de banaliser, tout du moins de relativiser l’accident qui s’est produit à Barisey-au-Plain la veille au soir.
Une telle scène n’aurait pas été possible avec un TGV. Car les rails du train grande vitesse sont protégés par des grilles. Pour éviter à tout prix la présence d’animaux. On imagine en effet facilement qu’un choc à 320 km/h ferait de gros, gros dégâts. Et pas seulement sur le ou les animaux…
Mini «Orange mécanique» dans le TGV Paris-Sud-Est
Quatre copains de la banlieue parisienne voyageant sans billet ont semé samedi la zizanie dans un TGV qui a dû être détourné à Lyon pour y subir un retard de 45 minutes. Ils voulaient voir la mer, ils ont fini à la barre du tribunal lyonnais.
Après 48 heures de garde à vue, les « potes » de Levallois-Perret affichaient, lundi, dans le box des comparutions immédiates des gueules d’ange alors que samedi ils ont mis en émoi toute une rame TGV et pour deux d’entre eux se sont rebellés contre les policiers de la PAF (Police aux frontières).
Partis tôt de la gare Lyon à Paris, la bande comptait aller piquer une tête dans la grande bleue. Direction Montpellier sans billet en poche mais joints au bec. Malheur à ceux qui dans le wagon ont émis quelques protestations. Sous l’effet du cannabis, de la toute-puissance mais aussi de l’alcool, les garçons de vingt ans déjà connus pour des incivilités ont vite réglé le problème à leur façon.
Baladeur arraché des oreilles d’un passager, termes orduriers adressés à une femme et même une gifle envoyée à une jeune fille. Quand les contrôleurs ont montré le bout de leurs casquettes ils ont été accueillis avec une bordée d’injures et de menaces.
Face à une situation ne pouvant qu’empirer la décision initiale d’effectuer une exfiltration en gare de Nîmes a été abandonnée et c’est tout le TGV qui a été détourné sur Lyon.
L’interpellation par les agents de la PAF ne s’est faite sans heurts et la garde à vue n’a pas été non plus un long fleuve tranquille. Avec au final des condamnations allant de 1 à 3 mois de prison sans maintien en détention donc aménageables.
La circulation des trains interrompue pendant plus d'une heure
Mardi 13 août, la circulation des trains a été interrompue sur la ligne SNCF classique, de 6h28 à 8h05, à la hauteur de Châteauneuf-du-Rhône (Drôme).
La présence d’un corps aurait été signalée sur la voie.
Après vérification par la SNCF et la gendarmerie, le trafic a pu reprendre.
Huit Français voyageaient avec de faux titres de transport
Un groupe de huit voyageurs français munis de faux titres de transport a tenté de circuler gratuitement à travers l'Europe, avant d'être pincés à Zurich.
Un groupe de huit voyageurs français a tenté de voyager à l’œil à travers l'Europe. Mais l'excursion délictueuse de ces quatre hommes et autant de femmes âgés de 18 à 22 ans a pris fin brusquement mardi matin dans l'intercity Budapest-Vienne-Zurich, peu avant l'arrivée sur les bords de la Limmat.
Entre Sargans (SG) et Zurich, les huit ressortissants français ont présenté au contrôleur de faux titres de transport. L'employé des CFF a constaté que ces billets interRail, valables dans toute l'Europe, avaient été falsifiés, mais la police cantonale zurichoise n'a pas précisé si c'était là l'oeuvre de leurs détenteurs ou si ceux-ci se les étaient procurés auprès d'un tiers.
A l'arrivée en gare de Zurich, le groupe de fraudeurs a été remis à la police cantonale par le personnel des CFF avec l'aide des agents de la police ferroviaire Securitrans. Les délinquants ont été déférés au Ministère public zurichois, puis le dossier a été transmis à l'Office cantonal des migrations, a indiqué la police zurichoise.
La fabrication et l'usage de faux titres de transport ne sont pas nouveaux, notamment par des voyageurs étrangers. Alors qu'ils avaient renforcé, en 2003, leurs contrôles oculaires, les CFF ont découvert près de 300 faux billets, soit trois fois plus qu'un an auparavant.
Les titres de transport internationaux étaient alors particulièrement touchés, au point que les CFF pensaient que des gangs internationaux étaient à l’œuvre. Dans la foulée, l'ex-régie avait fourni des détecteurs UV à quelque 2000 contrôleurs. Ces appareils permettent de vérifier rapidement l'authenticité d'un ticket.
L'enquête sur l'accident de Granges-Marnand conclut à une erreur humaine
L'accident ferroviaire de Granges-près-Marnand (VD) survenu le 29 juillet a été causé par le non respect du signal d'arrêt du train régional, a indiqué jeudi le Service d'enquête suisse sur les accidents.
La collision ferroviaire de Granges-près-Marnand (VD), le 29 juillet, est survenue parce que le train régional qui circulait de Payerne en direction de Moudon, est parti alors que le signal montrait "arrêt", indique jeudi le Service d'enquête suisse sur les accidents (SESA).
Visibilité diminuée
A ce moment, le train régio-express, qui circulait de Moudon en direction de Payerne, avait déjà réduit sa vitesse à 55 km/h et franchi le signal d'entrée. La visibilité des deux mécaniciens était diminuée par des wagons marchandise garés sur le côté intérieur d'une courbe.
Lorsque les deux mécaniciens ont réalisé l'imminence de la collision, ils ont tous deux freiné d'urgence. Malgré cela, le choc n'a pas pu être évité. Il est survenu à 18h44 et a coûté la vie au conducteur du régio-express, un Français de 24 ans.
Les installations en bon état
Les installations de sécurité étaient dans un état normal et celles de la voie dans un bon état. Au moment de la collision, aucune intervention d'entretien n'était en cours et les deux trains circulaient à l'heure.
Une voiture face au train
Un TER est entré en collision avec une voiture, hier matin.
Un accrochage entre la voiture d’un automobiliste de 73 ans, immatriculé en Gironde, et un train express régional (TER) reliant Saintes à Royan a eu lieu hier, peu avant 8 heures, à Saujon.
L’homme a déclaré avoir été ébloui par le soleil. Il n’aurait donc pas remarqué la barrière baissée du passage à niveau, qu’il aurait enfoncée.
Le train, qui quittait la gare à ce moment, roulait lentement lorsqu’il a percuté la voiture.
Personne n’a été blessé, mais les deux conducteurs, choqués, ont été conduits au centre hospitalier de Royan.
La circulation est revenue à la normale dès 10h30.
La société Canadian Pacific Railway refuse de payer pour la décontamination du Lac Megantic
Canadian Pacific Railway refuse de payer pour la décontamination du Lac Megantic. Le gouvernement du Québec a publié jeudi une liste de sociétés considérées comme responsables de la pollution. 72 wagons-citernes remplis de pétrole avaient déraillé en juillet provoquant la mort de 47 personnes.
Didier 74 Wrote:AFP, 12 aoûtDans une bagarre, il se fait arracher l’oreille avec les dents
Sylvain Wrote:
Au passage, un rappel : viewtopic.php?f=1&t=22382#p440942
Gros retards à cause d’une panne
Hier, la circulation sur la ligne Toulouse-Bayonne a été fortement perturbée.
Une panne d’un train de fret parti de Lacq, à 9 heures, hier matin, et immobilisé sur la voie 1 km plus loin, à hauteur d’Artix, suite à un incident électrique, a causé une belle pagaille sur la ligne Toulouse-Bayonne et, par ricochet, sur celle Bordeaux-Toulouse, la circulation étant devenue impossible entre Pau et Puyoô pendant toute la matinée. Une quinzaine de trains, notamment de pèlerins venus passer l’Assomption à Lourdes, ont été impactés. Pour répondre à l’urgence, la SNCF a dû faire passer certains trains sur la voie inverse, en détourner d’autres par Toulouse et supprimer trois TER, remplacés par des cars. Jusqu’à trois heures de retard ont été enregistrées. Le train en panne a pu être dégagé à 13 heures et un progressif retour à la normale s’est imposé dans l’après-midi. « Un défaut d’alimentation entre la locomotive et la caténaire est à l’origine de la panne du train de fret qui doit désormais être expertisé pour comprendre la cause de cet incident », expliquait la SNCF.
La ligne Bordeaux-Le Verdon perturbée hier
Deux ruptures de caténaires ont arrêté le trafic, jeudi soir, et entraîné des retards, hier.
C’est l’une des pannes les plus redoutées de la SNCF, peut-on lire sur le site internet du groupe : la rupture de caténaire, qui correspond au fil électrique situé au-dessus des voies, et qui assure la bonne marche des trains. Jeudi soir, une première rupture a été constatée entre 20 heures et 21 heures, entre les gares de Lesparre et du Verdon. Une deuxième rupture a suivi, cette fois-ci entre Lesparre et Pauillac. Pour l’instant, ces deux incidents, survenus coup sur coup, relèveraient de la coïncidence. Plusieurs raisons peuvent expliquer cette rupture, explique le site de la SNCF : usure, mauvaises conditions météo, disjonctions d’alimentation suite à une surchage du réseau... La circulation a donc été arrêtée et des travaux ont été entrepris durant la nuit.
Hier matin, des bus étaient mis à disposition jusqu’à environ 9 heures, où le premier train en provenance de Bordeaux a pu repartir. Des retards d’environ vingt minutes ont cependant ponctué la journée, car, la voie étant unique, les trains sont obligés de se croiser en gare, le retard d’un train entraînant de fait le retard de la ligne inverse. Certains trains ont également été supprimés.
Depuis le début de l’été, la ligne a déjà été perturbée deux fois : du 22 au 25 juillet, des travaux de maintenance autour d’un poste de transformation électrique avaient bloqué la ligne.
Les épisodes orageux de la fin du mois de juillet avaient également immobilisé le trafic pendant quatre jours, alors que la plupart des autres lignes du département avaient été rétablies au bout de deux jours.
Doubs : un cycliste percuté par un TGV
Un cycliste a été percuté par un TGV sur un passage à niveau samedi dans le Doubs, alors qu’il tentait de traverser la voie malgré l’interdiction des barrières.
«Le cycliste a été happé par un TGV à hauteur de la commune d’Arc-et-Senans. Il tentait de traverser la voie alors que les barrières étaient baissées» a déclaré le porte-parole de la SNCF.
L’homme âgé d’environ 70 ans est mort sur place.
À cet endroit, les TGV circulent à vitesse réduite sur une voie unique classique. Ce train reliait Lausanne (Suisse) à Paris, avec à son bord une centaine de voyageurs.
Il est reparti au bout de deux heures, un seul train régional a été annulé à cause de cet incident.
TGV : une avarie électrique entraîne des perturbations entre Dax et Bayonne
Un TGV Bordeaux-Hendaye a été immobilisé plusieurs heures vendredi soir dans les Landes à la suite d'un incident d'alimentation électrique, qui a coupé tout trafic sur la ligne et devrait le réduire à une seule voie pour la journée de samedi, selon la SNCF.
Le TGV, avec 250 personnes à bord, a été stoppé par l'avarie vers 22h30 entre Dax et Bayonne, peu après la gare de Labenne (Landes).
Les passagers ont été ravitaillés en eau. La zone étant accessible, une centaine de passagers ont pu être récupérés dans la soirée par des proches, les autres acheminés par cars.
Des retards à craindre ce samedi
Deux trains, un TGV avec 150 personnes et un TER, ont été immobilisés en amont en gare de Dax à la suite de l'incident, et leurs passagers pris en charge par des cars. L'ensemble de l'intervention était conclue avant 2 heures ce samedi. Les équipes techniques sont intervenues dans la nuit puis ce samedi sur l'avarie, survenue au niveau de la liaison entre le pantographe du train et la caténaire. La structure caténaire étant affectée, les travaux importants devraient durer jusque dans la nuit de samedi à dimanche.
Le trafic entre Dax et Bayonne se faisait en conséquence sur une seule voie samedi, avec des retards pouvant aller jusqu'à 20 minutes, a-t-on précisé de même source.
Une panne électrique a fortement perturbé le trafic SNCF
Le trafic de deux TGV et d’une dizaine de TER a été perturbé sur le tronçon Colmar-Mulhouse jeudi à partir de 7h, à la suite d’un problème électrique localisé près de Wittelsheim. Une équipe de la SNCF a constaté sur place des dégradations sur les installations électriques le long des voies. Il s’agirait vraisemblablement d’un acte de malveillance. Des pièces ont été changées, ce qui a pris une bonne partie de la matinée. Deux TGV ont été concernés. Le premier, qui assurait la liaison Strasbourg-Marseille, a eu un retard de deux heures. Le second, assurant la ligne Strasbourg-Montpellier, a totalisé une heure et demie de retard. Une dizaine de TER ont aussi été touchés : deux ont même été supprimés. Des trains ont tout de même circulé entre Strasbourg et Colmar et Mulhouse et Bâle. Quatre bus ont circulé entre Colmar et Mulhouse. Plusieurs centaines de voyageurs ont été pris en charge. Une plainte a été déposée par la SNCF auprès de la gendarmerie.
Landes : un jeune meurt heurté par un TGV
Un jeune homme est mort dimanche matin après avoir été percuté par un TGV près de Dax, un accident qui a provoqué une interruption du trafic ferroviaire entre Bordeaux et Hendaye, et des retards allant jusqu’à deux heures pour plusieurs trains, a-t-on appris auprès des secours et de la SNCF.
Le jeune, dont l’identité était en cours de vérification, revenait apparemment d’une nuit aux Fêtes de Dax. Pour une raison indéterminée, il se trouvait vers 8h20 sur la voie à hauteur de Saint-Paul-lès-Dax, à l’arrivée d’un TGV Hendaye-Paris venant de la gare Dax située à 2 km, a-t-on précisé de source judiciaire.
Le jeune aurait tenté de s’écarter mais trop tard pour éviter le choc, et a été tué sur le coup.
La rame TGV, avec près de 500 passagers a bord, a été immobilisée environ deux heures et demie, le temps des interventions des secours, services de police et de la SNCF, avant que le train ne puisse repartir, une fois son conducteur relevé.
L’accident a interrompu le trafic sur les deux voies dans le sens Bordeaux-Hendaye et Hendaye-Bordeaux, et occasionné des retards sur six trains, des TGV et TER, avant un retour progressif à la normale à partir de 10h45, a-t-on précisé de mêmes sources.
Un wagon de produits chimiques se déplace seul à Monthey (VS)
Alors que Monthey (VS) s'inquiète de la sécurité du transit ferroviaire lié à sa zone industrielle, un wagon de produits chimiques s'est détaché samedi soir en gare, a appris dimanche la RTS. Aucune conséquence grave n'est a déplorer.
Grosse frayeur samedi soir le long d'une ligne de chemin de fer à Monthey. Vers 21h00, un wagon avec deux citernes de produits chimique s'est détaché du convoi parqué en gare et a parcouru plusieurs centaines de mètres avant de percuter un tampon de sécurité, selon la RTS. Le déplacement des rails témoignent du choc.
"Il y avait des marquage orange sur le côté (du wagon) indiquant des produits corrosifs", a indiqué un riverain à la RTS. Aucun blessé et aucun épanchement de produit toxique n'est a déplorer. En effet, les citernes étaient vides, a précisé la police.
Cet incident a nécessité l'intervention de deux patrouilles de police, puis des pompiers des CFF. Les wagons ont été remorqués vers 23h00.
La question de la sécurité demeure
Pour assurer la sécurité, la ville de Monthey projette de construire un terminal ferroviaire et routier hors les murs de la cité. Devisé à 54 millions - 70 avec les aménagements annexes - le financement de ce terminal est actuellement discuté au Tribunal fédéral administratif.
L'instance devra trancher dans la bisbille née de la réduction de la subvention de la Confédération, passée de 43 à 23 millions de francs.
Un jeune homme meurt heurté par un train sur les hauts de Montreux
Un jeune homme de 24 ans a été percuté par le Goldenpass (MOB) dimanche matin près de la gare vaudoise des Avants, où se tenait Bukolik, une compétition de descente freestyle qu'il co-organisait.
Un jeune homme de 24 ans a été heurté dimanche vers 06h00 par un train circulant à proximité de la gare des Avants (VD). Il est décédé sur place, a indiqué Stéphane Birrer, porte-parole de la police cantonale vaudoise.
"La piste privilégiée est celle de l'accident", a-t-il poursuivi. Des investigations sont en cours pour déterminer les causes du drame.
Impliqué dans la vie locale
La victime était l'un des membres les plus actifs de l'association Orgiride très impliquée dans les hauts de Montreux et co-organisatrice du Bukolik, une compétition de descente freestyle qui se tient justement ce week-end aux Avants.
La manifestation, qui devait se poursuivre dimanche, a été annulée.
La barrière du passage à niveau reste abaissée pendant plus de 2h30
La barrière du passage à niveau de Borne, sur la RN 102, a été en panne pendant près de 2h30, samedi en fin d’après-midi. Les barrières étant abaissées, les automobilistes ont dû prendre une autre route pour arriver à destination. La SNCF a envoyé des dépanneurs, mais ce n’est qu’à partir de 20 heures que la situation est revenue à la normale.
Gironde : ivre, il urine dans le wagon-bar du TGV
Il a été conduit à la gendarmerie
Le TGV a fait un arrêt inattendu à Libourne
Un passager à été débarqué en gare de Libourne, arrêt non prévu Vers 22 heures, vendredi, un Toulousain de 36 ans a été débarqué en gare de Libourne du TGV 8515 assurant la liaison Paris-Bordeaux-Toulouse. En état d'ivresse, il venait d'uriner dans le wagon-bar. Verbalisé pour ces dégradations par des agents de la SNCF, il a ensuite été conduit à la brigade de gendarmerie pour ivresse publique manifeste.
Un homme a été tué par un train sur un quai en gare de Lausanne
Un sexagénaire en état d'ébriété a perdu la vie dimanche en fin d'après-midi après avoir tenté de s'accrocher à un wagon en mouvement en gare de Lausanne, selon la police vaudoise lundi.
Un homme de 64 ans, visiblement alcoolisé, a perdu l'équilibre et chuté sur la voie 5 dimanche après-midi en gare de Lausanne, ville dans laquelle il était domicilié. Il est décédé sur place peu après, a précisé la police vaudoise lundi dans un communiqué.
Une quarantaine de pèlerins hindous ont été tués par un train en Inde
Au moins 37 pèlerins hindous ont été tués par un train lundi dans l'est de l'Inde alors qu'ils traversaient les voies, un accident qui a suscité la fureur de la foule qui s'en est pris au matériel ferroviaire.
Des pèlerins hindous ont été fauchés par un train lundi, alors qu'ils traversaient une voie de chemin de fer dans l’État du Bihar, au nord-est de l'Inde. Trente-sept sont morts, ont précisé des responsables de la police et des chemins de fer indiens.
Des wagons incendiés
Des groupes d'habitants ont convergé vers le train express Rajya Rani, incendié des wagons et mis à sac la gare de Dharhara. Selon un haut responsable des chemins de fer, les pèlerins n'avaient aucune idée de l'arrivée du train.
Deux trains étaient à quai et le Rajya Rani Express a reçu la permission de traverser la gare. "Mais l'accident s'est produit car des personnes sont descendues du quai pour traverser la voie", a indiqué Arunendra Kumar, le président du conseil national des chemins de fer, à New Delhi.
15'000 morts par an
Le réseau ferré indien, géré par l’État, transporte 18,5 millions de personnes chaque jour et reste le principal moyen de transport longue distance dans le pays.
On recense chaque année quelque 300 accidents, souvent meurtriers, dus à des collisions ou des déraillements. Selon un rapport officiel de 2012, près de 15'000 personnes meurent chaque année rien qu'en traversant les voies.
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