ARRAUD Wrote:Est il prévu une intégration du réseau SNCF dans le réseau tbc comme cela se fait par ex sur arcachoń, Toulouse.. Il serait possible avec son abonnement tbc de prendre le ter jusqu'à cenon, pessac, ... ?
ARRAUD Wrote:Pour ce qui est de l abonnement modalis sachez que c est un supplément pour un trajet fixe à l avance ! C à d que vous devez rajouter un abonnement pessac bordeaux SNCF sur l abonnement tbc par ex en abonnement mais ne pouvez emprunter le lendemain un trajet bordeaux ambares. Ce n est pas une libre circulation sur les gares de banlieue. C une formule qui existe déjà dans les autres régions. Vous êtes en hors sujets je demandai si il y avait un projet de tarification sur le réseau tbc des gares de la cub ce qui est très différent de l offre actuel et qui peut être très intéressant ! Ce qui permettrait de densifier l offre et la demande sur des sections comme bordeaux St. André de cubzac avec parc relais au gare. Secteur de l à 10 très perturbé en heure de pointe ... Étant de ce secteur rien n est fait pour laisser la voiture au garage.
Bordeaux : un observatoire de sûreté des transports en commun
Suite aux actes de délinquance et autres incivilités dans les transports en commun, un plan d'actions a été instauré.
Les policiers devraient être de plus en plus visibles dans le tram.
Les chiffres sont loin d'être alarmants à Bordeaux : les incivilités ont baissé de 30% en 2012 par rapport à l'année dernière dans les transports en commun. En revanche, les agressions de conducteurs de tramway et de bus sont en augmentation. On observe en particulier une recrudescence de tirs avec des pointes laser. « C'est un phénomène qui se développe », constate Hubert Weigel, préfet délégué à la sécurité, lors de la présentation de l'Observatoire de sûreté des transports en commun de l'agglomération bordelaise qui a eu lieu, hier. La mise en place de cet observatoire a été présidée par le préfet Michel Delpuech, en présence du maire de Bordeaux, Alain Juppé, du député Vincent Feltesse, de Claude Laplaud, procureur de la République, et des 26 maires de l'agglomération, réunis pour la signature de la convention.
Des progrès sur la ligne A
« Nous devons faire converger les initiatives, insiste Michel Delpuech. Cet observatoire a pour objectif de garantir la sécurité des personnels et des biens sur les réseaux des transports en commun par la mise en place d'une stratégie territoriale de sécurité et de prévention de la délinquance qui repose sur cinq objectifs opérationnels. » Le représentant de l'État énumère la mise en commun des bases de données et d'analyse de situation, la prévention de l'alcoolisation des jeunes, la prévention situationnelle, la conception et la conduite d'actions de sécurisation et de contrôle et la formation-communication.
En clair, les acteurs de la sécurité, policiers, gendarmes et sapeurs-pompiers ; les élus, les représentants de l'Éducation nationale ainsi que Kéolis et la SNCF, vont œuvrer main dans la main pour couper court au sentiment d'insécurité tant chez les personnels des trams et bus que chez les usagers. « Car il y a des faits qui ne font pas l'objet de plaintes et ne sont pas comptabilisés », note en toute objectivité le préfet. « Nous devons développer l'animation-médiation mais aussi étendre la vidéoprotection qui rassure et aide à la résolution des affaires. La sécurité est le devoir premier de l'État, mais c'est aussi un engagement partagé. »
Pour sa part, Alain Juppé « se réjouit de cette initiative sur un territoire plutôt apaisé », tout en indiquant cependant « qu'il y a des progrès à faire, sur la ligne A du tramway, de l'avenue Thiers vers le centre-ville ». Le maire pointe en particulier « des équipes de Roms ayant parfois un comportement agressif envers les usagers des transports en commun ». « Nous devons être vigilants », observe Bruno Danet, directeur de Kéolis. « Pour nous, la sécurité des voyageurs doit être assurée du point de départ à l'arrivée », rappelle Pierre Boutier, directeur régional de la SNCF.
Au plan judiciaire, le procureur Claude Laplaud est très impliqué dans le dispositif et promet des sanctions à l'encontre des fauteurs de troubles qui seront interpellés par les forces de l'ordre.
TF1News.fr Wrote:Deux jeunes filles blessées par un tramway en banlieue de Bordeaux
Mis en ligne le 25 décembre 2012 à 12h58, mis à jour le 25 décembre 2012 à 13h02
Deux jeunes filles de 17 et 18 ans ont été grièvement blessées après avoir été heurtées par un tramway.
Deux jeunes filles de 17 et 18 ans ont été grièvement blessées après avoir été heurtées par untramway, alors qu'elles traversaient la voie à pied, lundi soir dans la banlieue de Bordeaux, a-t-on appris mardi auprès des secours.
Les deux jeunes filles, pour une raison encore indéterminée, ont été surprises par letramway alors qu'elles franchissaient la voie peu après 19H00, au niveau d'une intersection à Lormont, au nord-est de Bordeaux, a-t-on précisé de source proche de l'enquête. Toutes deux ont été hospitalisées dans un état grave au Centre hospitalier universitaire (CHU) de Bordeaux.
Choc
La jeune fille de 17 ans, en état de choc, souffrait de contusions et plaies à la tête et au cou, et le pronostic était réservé la concernant, a-t-on indiqué de même source. Son amie souffrait d'un traumatisme du rachis et de blessures aux membres supérieurs, avec une évolution favorable.
La circulation des tramways a été interrompue pendant près d'une heure et demie lundi soir sur une des trois lignes de l'agglomération bordelaise à la suite de l'accident.
Sud Ouest Wrote:2013, dix ans de tramway à Bordeaux
Le tramway bouclera sa première décennie de fonctionnement le 21 décembre. Un an à l'avance, Fabrice Dubille, qui a conduit l'une des six rames le jour de l'inauguration, y pense déjà.
C'est une image qu'il n'oubliera jamais. Fabrice Dubille conduisait l'une des six rames du convoi inaugural du tramway de Bordeaux, le 21 décembre 2003. Au niveau de la station Porte de Bourgogne, juste après avoir franchi le pont de pierre, son tramway s'est enfoncé dans une incroyable marée humaine. « On avançait à vitesse réduite, sans doute 5 km/h, la rame poussait littéralement les gens qui débordaient jusque sur les voies. On ne voyait plus les rails, il y avait trop de monde. C'était colossal ! La seule chose avec laquelle je peux comparer, c'est l'arrivée du Tour de France à l'Alpe d'Huez, quand la route est envahie de spectateurs, que les coureurs sont obligés de tailler dans la foule ! »
350 000 personnes
Ce jour-là, on estime que 350 000 personnes sont venues voir l'inauguration de la première ligne du tramway, la A entre Lormont-Cenon, sur la rive droite, et Mériadeck, dans le centre de Bordeaux. Une dizaine de kilomètres de ligne et la foule tout le long. « On avait l'impression d'être perdus au milieu de la foule, les tramways avançaient en touchant les gens, les conducteurs étaient hypertendus, c'était énorme ! », se souvient Céline Rangeard, une collègue de Fabrice Dubille. Certains badauds étaient là dès la mise en service de la ligne, à 5 heures du matin, sous une pluie battante. Dans le convoi officiel, il y avait le président de la République, Jacques Chirac, avec Alain Juppé, qui présidait la Communauté urbaine de Bordeaux, des ministres (De Robien, Bussereau, Darcos) et plus de 1 000 personnalités invitées par la CUB.
Un jour de gloire pour le tram, mais aussi de galère. Techniquement pas encore maîtrisé, le système d'alimentation électrique par le sol (APS) avait lâché plusieurs fois dans la journée, comme il le faisait durant la période des essais. Plusieurs heures de panne qui préfiguraient ce que les Bordelais allaient vivre par la suite.
Alstom mettra plus d'un an à fiabiliser l'APS et c'est peu dire que Bordeaux a essuyé les plâtres. « Les pannes, je m'y étais préparé, explique Fabrice Dubille. On savait qu'il allait y avoir des soucis et nous, les conducteurs, on était les fusibles ! Au début, les gens nous houspillaient, mais après ils sont devenus plus indulgents. Ce que je retiens de cette période, c'est que les Bordelais ont fait preuve d'une énorme patience. »
Débuts noirs
La chronique locale se faisait l'écho quotidien des dysfonctionnements du tramway. Le 5 mars 2004 par exemple, le tramway n'avait fonctionné que 3 h 30, au lieu des 20 heures prévues… Fin mars 2004, la CUB annonçait un report de la mise en service des lignes B et C, toujours à cause des caprices de l'APS. Certains jours, les médias faisaient des articles parce que, fait exceptionnel, le tram n'était pas tombé en panne. Les débuts ont été noirs. Sans oublier le premier accident mortel, dès le 2 mars 2004, lors d'un choc avec un scooter, sur le pont de pierre.
Malgré ces débuts chaotiques, le tramway a très rapidement été adopté par la population. Il est même devenu en quelques mois le symbole de la rénovation urbaine lancée au début des années 2000. Un moyen de déplacement en même temps qu'un objet de fierté et un puissant vecteur d'image. Dans son sillage, la fréquentation des transports en commun a progressé de 65 % entre 2003 et 2011. Il transporte aujourd'hui un peu plus de 230 000 voyageurs par jour, souvent serrés comme des sardines. Comme le miroir d'eau des quais, il incarne le Bordeaux moderne, il est sur toutes les photos et souffre de la même saturation aux heures de pointe.
Un point noir cependant : au printemps 2012, l'agence d'urbanisme de la CUB a livré des chiffres décourageants. En presque dix ans, le tram n'a fait gagner aux transports en commun qu'un point de part modale dans les déplacements. Car en même temps, il y a eu dans le Grand Bordeaux une explosion de la mobilité tous modes confondus et la part de la voiture n'a presque pas reculé. Cela n'empêchera pas, dans onze mois, de fêter les 10 ans du tram.
Fabrice Dubille, en tout cas, y compte bien : « Les dix ans, oui, j'y pense, c'est dans un coin de ma tête, c'est une part de ma vie. Ce tram quand même, ça a été quelque chose… »
La charge de Trans'Cub contre le tram-train du Médoc
L'association a transmis de nouveaux documents au tribunal administratif. Les prévisions de coût et de trafic sont en cause||Le vice-président EELV de la CUB réagit aux attaques de Trans'Cub.
À plusieurs reprises, déjà, le bouillonnant porte-parole de Trans'Cub, Denis Teisseire, avait critiqué le projet de tram-train du Médoc (TTM), cette extension de la ligne C du tramway qui doit être construite entre le quartier de Ravezies (station Cracovie) à Bordeaux, et la gare de Blanquefort sur l'emprise de Réseau Ferré de France (RFF). Les Brugeais se souviennent certainement d'une altercation assez violente qui l'avait opposé à Gérard Chausset, vice-président de la Communauté urbaine de Bordeaux, chargé des transports de demain, lors d'une réunion publique, en juin dernier, sur leur commune ; Denis Teisseire estimant que « les chiffres du tram-train étaient faux ».
« Quasiment personne »
Lors d'une conférence de presse organisée hier, à Bordeaux, les membres de Trans'Cub ont sonné la charge. Sur le thème « 120 millions foutus en l'air », ils fustigent le coût du projet et la faible fréquentation du TTM prévue en bout de ligne. Le président, Jacques Dubos, et Denis Teisseire ont expliqué qu'ils avaient désormais des informations précises, ils parlaient même de « nouvelles révélations » pour justifier le recours qu'ils ont déposé devant le tribunal administratif de Bordeaux en juin, dans le but de faire annuler l'arrêté de déclaration d'utilité publique signé par le préfet le 23 mars 2012. Un nouveau « mémoire » vient d'être transmis à la justice. Il met en exergue une série de chiffres, trouvés dans des documents de la CUB « à diffusion restreinte » selon Denis Teisseire. « Nous avions déposé au départ un recours gracieux auprès de la Communauté urbaine qui a refusé le débat », regrette-t-il.
L'association Trans'Cub se sert de ces données pour affirmer que le tram-train du Médoc « ne transportera quasiment personne », soit « 290 voyageurs en heure de pointe et moins de 50 à Blanquefort. Ce qui représente un trafic « dix fois inférieur à celui retenu par le schéma directeur opérationnel des déplacements métropolitain (SDODM) pour le tramway qui est de 2500 voyageurs ».
« Le bébé du président »
Côté finances, Trans'Cub dénonce une « très forte dérive ». « Le coût a plus que doublé en quatre ans : 57 millions d'euros en 2008 et 120 millions au budget de décembre 2012. » Selon Denis Teisseire, les élus de la Communauté urbaine ont lancé la phase 3 du tramway en 2009 « les yeux bandés », « dans l'urgence, sans aucun chiffre de fréquentation ni de coût ». Il pointe également des « chiffres de fréquentation invraisemblables qui varient d'un dossier d'enquête publique à l'autre ».
Au-delà des considérations financières, du « gaspillage » et de la « supercherie » dénoncés, Denis Teisseire et Jacques Dubos pensent que le TTM est avant tout « le bébé » du président de la CUB ». En effet, Vincent Feltesse était encore maire de Blanquefort lorsque le projet a été lancé. « Chaque maire veut le tramway chez lui. Il le considère comme un avantage politique », a déclaré hier Jacques Dubos. « Il valorise sa ville et permet une requalification urbaine. »
Un autre recours
Un autre recours contre le tram train du Médoc a été déposé devant le tribunal administratif par l'association des riverains du projet Ausone (ARPA) de Bruges, selon sa présidente Véronique Leroy. Cette action s'associe à la démarche de plusieurs habitants, certains voyant leur maison menacée par le projet.
Pour sa part, Denis Teisseire espérait hier que la juridiction bordelaise pourrait stopper le TTM « d'ici six mois ».
Chausset dénonce la méthode
En réponse aux critiques formulées hier par Trans'Cub, l'élu communautaire Gérard Chausset (Europe Écologie-Les Verts) dénonce, lui, la méthode. « La CUB a organisé plusieurs réunions de concertation sur la phase 3 du tramway et Trans'Cub a généralement brillé par son absence. » « En fait, l'association a besoin d'exister et tombe dans une dérive de juridiciarisation. On ne compte plus les recours qu'elle a déposés et qui n'ont pas abouti. C'est de l'acharnement. »
Le vice-président chargé des transports de demain, qui est un ancien adhérent de Trans'Cub, ne veut pas répondre sur les chiffres donnés par Denis Teisseire et ses amis, concernant la fréquentation du futur TTM dont la livraison est prévue pour « fin 2014 début 2015 ». « Nous les réservons à la justice administrative », dit-il.
Un pont à Bruges
Sur le coût du projet, en revanche, l'élu est précis. Il affirme que l'enveloppe concernant le projet global hors taxe et avec le matériel roulant s'élève aujourd'hui à 109 millions d'euros. « Cette valeur était de 76 millions d'euros en 2009, hors matériel roulant ». « En 2010, nous avons décidé d'une modification du programme. Elle concerne la réalisation d'un pont à Bruges et de deux stations supplémentaires. »
« Le tram-train du Médoc est un bon projet. Il coûtera 14 millions d'euros du kilomètre, ce qui n'est pas particulièrement cher. Il faut savoir qu'il s'agit d'un projet évolutif. Les rails du tramway seront compatibles avec le TER et le tram-train qui pourra emprunter, plus tard, la ligne de ceinture. On n'aura pas besoin de refaire des travaux. »
Circulation à Bordeaux : pas de bus, ni de poids-lourds avant 10 heures
Des pluies verglaçantes ont contraint les pouvoirs publics à prendre des mesures
Un arrêté préfectoral a été pris au vu de l'alerte météo pour ce vendredi 18 janvier, les bus du réseau TBC ne circuleront pas avant 10h. Le tramway, lui, fonctionne normalement.
L'arrêté préfectoral touche également les transports scolaires et les poids-lourds de plus de 3,5 tonnes.
Tram-train Médoc : Joan Taris demande un moratoire
L'élu Modem estime que le projet porté par la CUB ne fait plus du tout consensus.
Le tram-train Médoc veut utiliser l'emprise de l'actuelle ligne SNCF Bordeaux-Le Verdon.
Déjà vivement attaqué la semaine dernière par l'association Trans'CUB, le projet de tram-train Médoc entre Bordeaux-Ravezies et Blanquefort vient de subir la charge du centriste Joan Taris, conseiller régional, conseiller municipal de Blanquefort et responsable départemental du Modem.
Joan Taris estime que « ce projet ne réunit plus aujourd'hui le consensus nécessaire à sa mise en œuvre » et demande à Vincent Feltesse, président PS de la CUB, « un moratoire sur le dossier, le temps de parvenir à des éléments objectifs et incontestables, par exemple au moyen d'une commission indépendante et pluraliste réunissant tous les acteurs concernés, en particulier les collectivités ».
« Doublement du coût »
Selon lui, le projet cumule les handicaps : « désagréments pour les usagers du TER Bordeaux-Le Verdon ; problèmes liés au chantier et aux conséquences sur les riverains ; prévisions de fréquentation contestées et considérées comme très surévaluées par l'association Trans Cub ; projet jugé par certains moins prioritaire que d'autres ; doublement du coût prévisionnel passé de 57 à 120 millions d'euros dans un contexte particulièrement contraint pour les finances locales. »
Au sein de la CUB, ce projet est contesté par le groupe de droite autour d'Alain Juppé (Communauté d'avenir, minoritaire).
Sud Ouest Wrote:Bordeaux : tramway interrompu entre La Morlette et Floirac
Une importante intervention technique occasionne l'interruption du service sur la ligne A entre la station La Morlette et le terminus Floirac Dravemont. Des bus sont mis en place
Les tramway sont interrompus entre La Morlette et Floirac Dravemont (Archives Stéphane Lartigue)
En raison d'une importante intervention technique consécutive à un accident, la ligne A du tram est interrompue entre la station La Morlette et le terminus Floirac Dravemont.
L'interruption sera effective jusqu'à la fin du service, explique le réseau tbc sur son site internet.
Des bus de substitution, dont la girouette indique "Navette tram", sont mis à votre disposition pour assurer cette liaison.
De La Morlette vers Floirac Dravemont : Les autobus longent les voies du tram, les arrêts de bus s'effectuent à proximité de chaque station tram, côté voirie et ce, dans les deux directions.
Le tram mobilise toujours
Plus d'une centaine de personnes ont participé à la réunion organisée par l'association Prendre le tram à Gradignan.
L'association Prendre le tram à Gradignan organisait, vendredi 25 janvier, une réunion publique destinée à assurer un bilan des actions passées et esquisser les futures.
L'association se mobilise pour la création d'une ligne de tramway allant du CHU de Pellegrin au sud de la commune en passant par Talence. Elle intensifie ses moyens d'action pour être plus visible notamment avec le site Internet, des publications régulières et une page Facebook (1).
L'accès de Gradignan par le tramway fait partie des quatre axes prioritaires retenus par la Communauté urbaine avec comme perspective 2025-2030. La première étape d'études est achevée.
« Un feu d'artifice de tram »
Actuellement, l'analyse des potentiels en terme de budget et de modèles de transport est en cours. Une estimation financière détaillée et un bilan socio-économique devraient être élaborés fin du premier semestre 2013.
« Aujourd'hui, Gradignan est une commune mal desservie par les transports en commun. Concernant la liane de bus numéro 10, 2,89 millions de voyages effectués en 2012. Le coût d'un voyage en bus est de 2,31 euros contre 0,14 en tram. Le tramway connaît un renouveau en France. On assiste à un feu d'artifice de tram à Dijon, Le Havre, Brest, Paris. 22 villes françaises ont un réseau de tram. Six autres sont en cours de construction par exemple Avignon, Tours, Besançon, Aubagne », rappelle avec vigueur Dominique Rolland, président de l'association gradignanaise.
L'association a demandé à Germain Suys (ancien ingénieur de la SNCF), de Talence, d'exposer l'intérêt pour les deux communes représenté par la gare de la Médoquine et la création d'un pôle multimodal.
Pour le maire Michel Labardin, « la route est longue mais à regarder sur une échelle du temps, le tramway à Gradignan par le CHU, la connexion entre les deux ponts, les hôpitaux, l'arrière-pays (Belin-Beliet, Saucats, Cabanac…) avec un parc-relais au Pontet est un projet d'intelligence ».
Plus d'une centaine de personnes ont participé à cette réunion publique clôturée par une prestation, chaleureusement applaudie, de la troupe des Gravissimes sur, bien évidemment, le tram à Gradignan.
(1) http://www.prendre-le-tram-a-gradignan.com/
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