Stifff38 Wrote:Est-ce rentable, énergétiquement, de faire rouler des Citadis classiques à 70 km/h au lieu de Dualis ou autres![]()
Énergétiquement je ne sais pas, mais au niveau usure de l'infra, je ne pense pas, vu la tenue de voie des Citadis...
Stifff38 Wrote:Est-ce rentable, énergétiquement, de faire rouler des Citadis classiques à 70 km/h au lieu de Dualis ou autres![]()
Transports-Bordeaux : la gazelle et le dinosaure
Depuis son entrée en scène en 2004, le tramway bordelais tire la couverture à lui. Une star et les 88 lignes de bus, des repoussoirs. En choisissant Keolis en 2009, les élus de la Communauté urbaine ont voulu renverser la tendance, la filiale de la SNCF ayant promis le Grand Soir du réseau de bus pour 2010. Un an après, le trafic est à la hausse mais le déficit s'est creusé.
Dans l'inconscient collectif des Bordelais, le tramway est au même niveau que le vin ! Une enquête commandée par Keolis, fililale de la SNCF, pour préparer une réponse "éclairée" à l'appel d'offres de la Communauté urbaine en 2009 pour l'exploitation du réseau de transports urbains Tbc révèle cette étrange analogie.
Fiers de leur très chic tramway bleu marine inauguré en 2004 qu'il compare à une "gazelle" et qui a transfiguré la ville, les habitants de Bordeaux ont alors délaissé encore plus les autobus, baptisés les "dinosaures" dans cette même enquête.
Seulement voilà, le tramway n'a pour l'heure que trois lignes, bientôt 4 puis 5 à l'horizon 2018, mais en aucun cas, il pourra desservir les 27 communes de la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB, 715 000 habitants, 815 0000 d'ici à 2030).
Pour aller chercher les habitants à 15 ou 20 kilomètres à la ronde, il faut des bus, mais les Bordelais ne voulaient plus en entendre parler depuis longtemps, bien avant l'arrivée du tram.
Depuis, ils les boudent encore plus, l'écart d'image, de confort et de rapidité entre les deux modes de transport étant flagrant
Tram au pinacle, bus au pilori
Bref, un réseau de transport à deux vitesses, avec un tram porté au pinacle et des bus cloués au pilori. C'est sans doute parce qu'elle avait compris ce déséquilibre que Keolis a remporté, non sans encombres (lire l'encadré ci-dessous), l'appel d'offres pour exploiter le réseau des transports publics de Bordeaux, en 2009. "Nous avions étudié de près les besoins depuis plusieurs années", reconnaît l'actuel directeur de Tbc, Bruno Danet.
En place depuis plus de 40 ans, le candidat sortant, Veolia, n'avait pas vu venir le loup qui cherchait à entrer dans cette bergerie pour décrocher un contrat de 750 millions d'euros de chiffre d'affaires, dans la sixième agglomération française.
Le grand soir de février 2010
Installé aux manettes de Tbc le 1er mai 2009, Keolis a préparé la révolution des 88 lignes de bus puisque c'était la promesse faite aux élus. Elle s'est déroulée dans la nuit du 21 au 22 février 2010 lorsque toutes les lignes routières ont changé de trajet, de noms et de numéros.
Les salariés ont déplacé les poteaux d'arrêts, changé les girouettes, affiché les nouveaux horaires, la nouvelle cartographie des lignes, "les conducteurs les plus zêlés ont fait des parcours de repérage dans la nuit pour ne pas se tromper le lendemain !", raconte Bruno Danet.
Il n'y aurait eu qu'une seule erreur d'itinéraire sur 15 000 services quotidiens", selon le directeur de Keolis Bordeaux.
Des réunions de concertation avaient été organisées avec les élus, les techniciens puis les usagers et des psychosociologues ont conseillé la direction. Avant ce big bang, des ambassadeurs du réseau sont allés à la rencontre des habitants pour leur apprendre à se servir du nouveau réseau de bus. Pas une sinécure.
Lianes, Coroles, Citeis, Flexo et bientôt des bateaux
Aujourd'hui, le réseau d'autobus est organisé ainsi :
•3 Lianes : des lignes "structurantes qui vont d'une banlieue à l'autre en passant par Bordeaux, ont la priorité aux feux mais ne bénéficient pas d'un site propre, et circulent de 5h à minuit, toutes les 10 minutes. Ces lignes diamétrales représentent 90% de tous les voyages du réseau. Vitesse commerciale : 17km/h
•Corol : des lignes de rocade, sans passer par Bordeaux, qui circulent de 5h à 20h30, toutes les 20 à 30 minutes selon les heures.
•Citeis : des navettes bus intracommunales.
•Flexo : des lignes et itinéraires à la demande.
•Des navettes fluviales sur la Garonne reliant une rive à l'autre sont en projet.
•Environ 1 500 vélos en libre-service.
Le déficit d'exploitation se creuse
Un an après, le bilan est satisfaisant : en 2010, le trafic bus a bondi de 16% (contre 2% pour le tram, ce dont personne ne semble se plaindre) et globalement le trafic du réseau a progressé de 20%. Depuis janvier 2011, il enregistre une nouvelle poussée de 11%.
Le bus rattappe son retard sur le tram avec 41% des déplacements en 2011 contre 37% en 2009. Il y avait bel et bien du trafic à prendre", constate Paul Chaperon, directeur marketing de Tbc.
Mais dans le même temps, le déficit d'exploitation s'est creusé, ce qui inquiète les élus. Même si Christophe Duprat (en photo), vice-président de la CUB en charge des transports se veut conciliant : "la crise est passée par là, et il faut se rappeler que l'exercice 2010 est la seule année pleine pour Keolis qui avait vu 2009 amputée à cause de la bataille judiciaire après le résultat de l'appel d'offres", argumente l'élu (lire ci-dessous).
La contribution forfaitaire de la CUB donnée à Keolis représente 105 millions d'euros par an (contre 97 millions en 2009 .
Le déficit d'exploitation représente quant à lui 8 millions d'eros, à la charge de l'exploitant. En 2010, Keolis a donc versé 3,3 millions d'euros à la CUB, l'autorité organisatrice, pour compenser l'insuffisance des recettes.
Bruno Danet reconnait cette insuffisance mais souligne que le contrat a été négocié à l'automne 2008, c'est-à-dire avant la crise économique qui a affecté la fréquentation des transports urbains.
L'épineuse question sociale
Autre ombre au tableau, la question sociale qui reste délicate sur ces rives de la Garonne. En 2009, les syndicats de Tbc ont été affolés par la choix de Keolis car au même moment, leurs collègues de Keolis Lyon se battaient contre le projet Edifis, une remise à plat de tous les accords sociaux du réseau de transports collectifs de Lyon.
"J'ai signé en 2010 un accord avec les syndicats pour protéger les accords assez protecteurs en place à Bordeaux et négociés par Veolia", observe Serge Danet. Visiblement, il a négocié la paix sociale.
Ce qui n'empêche pas les syndicats d'observer une grève perlée depuis des mois à cause des négociations annuelles oblogatoires (NAO) de 2010 qui ne sont toujours pas finalisées (+2% de hausse de salaire). La CGT s'opposant à la signature de l'accord.
La direction tente de débloquer l'affaire et lance un référendum interne le 8 juillet. Histoire de mettre en lumière l'opinion des salariés.
Le feuilleton judiciaire d'un appel d'offres controversé
En novembre 2008, les élus de la Communauté urbaine de bordeaux (CUB) choississent Keolis pour succéder début 2009 à Veolia et exploiter le réseau des transports urbains Tbc. La Deutsche Bahn qui s'était présenté à l'appel d'offres fait un recours au tribunal administratif sur motif que l'autorité organisatrice n'avait pas publié l'appel d'offres dans le reprochait à la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB) de n'avoir pas fait paraître l'appel à candidature dans le Journal Officiel de l'Union européenne. La DB a été déboutée.
Keolis devait donc remplacer Veolia Transport le 1er mai 2009 pour un contrat d'exploitation jusqu'en 2013. Le directeur régional de Veolia, candidat sortant, a alors contesté cette date, préférant un changement sur six mois, soit le 10 octobre 2009, comme le stipulait le contrat initial. Requête "sans objet", a finalement déclaré le juge des référés.
Le contrat de Keolis a donc démarré le 1er mai 2009 et court jusqu'au 30 avril 2013.
Le passage du tram-train questionne les riverains
Lors de la réunion publique de mardi, certains habitants se sont inquiétés des conséquences du tram-train, prévu pour 2014, en termes d'attente aux passages à niveau.
Le tramway devrait enjamber la ligne de chemin de fer au niveau de la rue Beyerman.
L'installation du tram-train du Médoc dans le cadre de l'extension de la ligne C intrigue et inquiète. Les riverains s'étaient donc déplacés en nombre, mardi soir, pour assister à la réunion publique d'information organisée à l'Espace Treulon concernant ses incidences sur le territoire de Bruges.
Cette rencontre s'est déroulée en présence de Gérard Chausset, vice-président de la CUB chargé des transports de demain, du maire Brigitte Terraza, de Bruno Malek responsable de la mission tram-train à la CUB et de Philippe Sabot chef de projet chez Tisya.
Cette nouvelle ligne devrait être mise en service en 2014 entre le secteur de Cracovie, - allée de Boutaut en limite de Bruges et de Bordeaux - et la gare de Blanquefort. « Elle s'étendra sur sept kilomètres , e t sera construite principalement sur l'emprise de la voie de chemin de fer qui relie Bordeaux au Verdon Côté ouest»indique-t-on à la CUB.
Elle accueillera dans un premier temps un simple tramway. Mais il s'agit d'une installation évolutive sur laquelle pourront circuler ultérieurement des trains et du matériel hybride de type tram-train comme en Allemagne ou à Mulhouse, un engin qui peut s'adapter à tous les types de rails.
Jusqu'à 70 km/h
Pour l'heure, quatre stations sont programmées sur la commune de Bruges : Cracovie (en limite de Bordeaux), la Vache (près du cimetière), Bruges sud (au niveau de la rue Andron) et Bruges gare ou un parc relais doit être construit, à proximité de la rocade (1).
Certaines stations seront dotées d'une voie d'évitement. Il est prévu, en effet, que le tram-train, dont la vitesse pourra atteindre 70 km/h, selon les techniciens, circule sur une voie unique à partir de La Vache vers Blanquefort.Environ 3 500 passagers sont attendus sur cette ligne, à raison de quatre tramways par heure, dans chaque sens.
« Heureux Brugeais ! » s'est exclamé Gérard Chausset, en annonçant qu'il faudra, dès 2014, environ un quart d'heure pour relier la commune à la place des Quinconces. Mais cette bonne nouvelle n'a pas empêché les uns et les autres d'exprimer leurs craintes concernant l'attente aux passages à niveau et la construction d'un ouvrage près de la rue Beyerman, dans le quartier Ausone.
À propos de ce pont, qui doit permettre aux voitures et au tramway de passer au-dessus de la ligne de chemin de fer, Brigitte Terraza n'a pas manqué de souligner qu'elle aurait préféré une structure souterraine. « Il faudra faire d'un inconvénient un avantage et bien l'intégrer dans le paysage. » a déclaré le maire de Bruges.
Fleuranceau et Andron
Concernant les passages à niveau de La Vache, de la rue Andron et de rue Fleuranceau, ils seront maintenus, avec des barrières. À La Vache, les automobilistes croiseront le tramway mais pas le TER, déjà dévié vers Arlac et la gare Saint-Jean.
En revanche, rue Andron et rue Fleuranceau, c'est le trafic du tramway et du TER qui stoppera les voitures augmentant ainsi l'attente et les désagréments en termes de circulation. Les riverains n'ont pas manqué de s'en plaindre lors de cette réunion. « Il faudra monter un cabinet de pneumologie et d'ORL, à cause de la pollution et des nuisances sonores » a lancé un membre de l'assistance.
Par ailleurs la présence des bus qui feront le lien entre la gare de Bruges et la ligne C, pendant les travaux (dès 2012) devraient également avoir des conséquences sur le trafic local déjà très chargé aux heures de pointe.
« Nous allons étudier un plan de circulation » a promis le maire « Et débattre de ces questions dans les conseils de quartier ». L'enquête publique devrait avoir lieu avant la fin de l'année 2011.
(1) Deux stations sont annoncées sur Blanquefort à Tiscot et à la gare.
GX217 Wrote:Il y en a toujours sur Bordeaux, 2 NG272, les 9382 et 9386, chez Kéolis Gironde pour les scolaires 78 et 79.
Pour Bergerac, je ne peux te renseigner, ce n'est pas vraiment mon secteur.
GX217 Wrote:Salut!
Oui 1 ou 2 mais prises au dépôt donc par MP ou mail, c'est au choix.
En parlant de ces S215 SL, je crois qu'ils ne vont pas rouler finalement sur le réseau. Ils sont dans un état déplorable (carrosserie et peinture corrodés, impossible de régler le siège conducteur sur l'un, ...) et personne ne veut les conduire, ils n'ont pas bougé du fond du dépôt depuis 2 semaines.
GX217 Wrote:Salut!
Oui 1 ou 2 mais prises au dépôt donc par MP ou mail, c'est au choix.
En parlant de ces S215 SL, je crois qu'ils ne vont pas rouler finalement sur le réseau. Ils sont dans un état déplorable (carrosserie et peinture corrodés, impossible de régler le siège conducteur sur l'un, ...) et personne ne veut les conduire, ils n'ont pas bougé du fond du dépôt depuis 2 semaines.
mm Wrote:
C'est tout de même assez rarissime un incident de ce type sur un tramway; mise à part le translor qui a entièrement fondu....je n'ai pas à ma connaissance de cause un tel incident.
A +
Tramway à Bordeaux : colis suspect aux Quinconces
Les services de police ont fait exploser la valise sur le quai du tramway. Le trafic a repris vers 17h30
Le trafic sur la ligne C du tramway a été interrompu pendant près d'une heure au niveau des Quinconces à Bordeaux en raison de la présence d'un colis suspect laissé sur les quais.
Un périmètre de sécurité a été mis en place autour du pôle intermodal, les personnels de TBC et du kiosque évacués. Les services de police ont fait exploser la valise sur le quai.
Le trafic a repris normalement vers 17h30.
Sud Ouest Bordeaux le 03 octobre 2011.
Keolis devrait gérer le réseau TBC huit mois de plus Objectif : recaler le contrat dans une année civile et éviter le télescopage avec les élections municipales de 2014.
La CUB veut lancer une grande concertation sur les différents modes de gestion du service des transports publics. archives l. th.
Signé en 2009, le contrat de délégation de service public entre la Communauté urbaine de Bordeaux (CUB) et la filiale de la SNCF, Keolis, pour l'exploitation du réseau TBC (trams et bus de la CUB), doit en principe prendre fin en avril 2014. Mais il pourrait en fait se voir prolonger de huit mois. C'est en tout cas ce que le bureau de la CUB (l'organe décisionnel) compte soumettre au vote des conseillers communautaires dans un proche avenir. La gauche (majoritaire) et la droite sont tombées d'accord pour faire passer cette mesure.
Le but est de replacer la délégation de Keolis dans un calendrier normal de l'année civile. Suite à un recours de Veolia (qui exploitait le réseau avant Keolis) lors de la remise en concurrence de la délégation en 2009, Keolis n'avait pris en main le réseau qu'en juillet, au lieu de janvier. C'est ce décalage qu'il s'agit de combler pour que le contrat de Keolis ait son terme au 31 décembre 2014. Ce qui présente un intérêt fiscal, comptable et en terme d'organisation. Mais aussi un avantage politique, car les élections municipales devraient avoir lieu en mars 2014. Sujet sensible s'il en est, la question des transports publics aurait pu difficilement être abordée avec la perspective d'un nouveau contrat à signer tout juste un mois après. Là, c'est la nouvelle assemblée communautaire issue de ces élections qui le signera, huit mois après.
Mais la CUB veut aussi profiter de ce délai supplémentaire pour lancer une grande concertation sur les différents modes de gestion du service des transports publics, et ce dès 2012. En clair : soumettre au débat le choix entre l'exploitation de ce gros marché par une entreprise privée (comme c'est le cas actuellement) ou en régie directe par la CUB elle-même.
« Compliqué »
De là à faire ressurgir le spectre du dossier de l'eau (1) , il n'y a qu'un pas. Mais à gauche comme à droite, les élus estiment qu'il ne doit pas être franchi. « Ce dossier n'est pas à l'image de ce qui a été fait sur l'eau. Nous allons réfléchir au meilleur mode de gestion, mais la plupart des élus sont favorables à une délégation confiée à un privé. Les transports en commun, c'est compliqué, il y a beaucoup de personnel, presqu'autant que dans toute la CUB. On ne peut pas passer en régie comme cela, d'ici 2015 », explique Christophe Duprat, vice-président de la CUB chargé des transports d'aujourd'hui (groupe Communauté d'avenir, droite). Selon Gérard Chausset, vice-président chargé des transports de demain (EELV), « il y a un consensus sur ce sujet. On prend plus de temps pour réfléchir. Mais je ne vois pas comment on pourrait passer les transports en régie si vite, alors qu'on ne l'a pas fait pour l'assainissement ». Dans ces conditions, on peut se demander à quoi servira la concertation.
(1) Après une concertation fleuve et une remise à plat du contrat de l'adduction d'eau géré par la Lyonnaise-Suez, la CUB a décidé au printemps dernier de reprendre cette activité en régie, à compter de 2019.
Ce samedi après-midi, un accident s'est produit sur la ligne A entre un tramway et un bus sans passagers.
La collision s’est produite à Bordeaux en fin d’après-midi à hauteur du boulevard du Maréchal Leclerc, face au stade Chaban-Delmas, au niveau de l’intersection avec la rue d’Ornano.
Il était environ 17h45, quand un autobus très ancien, immatriculé en Lot-et-Garonne, et ne transportant pas de passagers, est allé s’encastrer au niveau de la cabine d’une rame du tramway circulant en direction de Mérignac.
Sous la violence du choc, la motrice est sortie de ses rails. Deux voyageurs, légérèrement choqués, ont été examinés sur place par les sapeurs-pompiers, intervenus rapidement. Plus de peu que de mal, donc. La circulation des tramways a été pertrurbée un long moment. Un constat a été effectué par la police.
Un incident qui a donc provoqué des perturbations sur la ligne A entre les stations St Augustin et Mériadeck sur le réseau tbc. "Des bus de substitution, dont la girouette indique "Navette tram", sont mis à votre disposition pour assurer cette liaison" indique d'ailleurs tbc sur son site internet.
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