Modérateurs: jerome, Dorfmeister, Terroir, kyah117, Tchouks
thalys75 Wrote:Pendant l'ete les duplex sur Paris-Mulhouse sont remplacés par des rames sud-est. Ils seront de retour de retour à partir de la rentrée. Le plus simple est de tenter une reservation sur le site voyages-sncf.com et au moment de selectioner la place, le choix entre salle haute et salle basse sera proposé si c'est un duplex
johnstefan Wrote:Merci Thalys75, j'ai bien réserver mon voyage et comme indiquer qu'il pas mention de salle haute ou basse. Mais est-ce ces TGV SE sont des renov1 ou renov2 ?
Arnaud68800 Wrote:Il reste cependant trois aller-retours Paris - Mulhouse assurés quotidiennement Duplex pendant les vacances : il s'agit en réalité de deux des quatre TGV Lyria Paris - Zürich, assurés en rames Euroduplex (les trois autres étant en POS) :
Jojo Wrote:Arnaud68800 Wrote:Il reste cependant trois aller-retours Paris - Mulhouse assurés quotidiennement Duplex pendant les vacances : il s'agit en réalité de deux des quatre TGV Lyria Paris - Zürich, assurés en rames Euroduplex (les trois autres étant en POS) :
Trois sur six, plutôt, non?
thalys75 Wrote:http://www.20min.ch/ro/news/vaud/story/-Nouveau--TGV-d-occasion-pour-les-Suisses-29462498
Certains utilisateurs sont déçus des rames POS qui circulent sur Paris Lausanne depuis ce matin, tablettes cassées, portes qui s'ouvrent difficilement, la vidéo est assez intéressante...
Les rames seront pélliculées et subiront une rénvation intérieure par la suite.
Nemo Wrote:Exigeante la clientèle de Lyria, mais il me semble qu'au départ il n'était pas question d'une rénovation des aménagements intérieurs des remorques pour virer la déco et les sièges Lacroix !
thalys75 Wrote:@Didier74 : Dans les documents de projet de desserte TGV Rhin-Rhône, Bern et Lausanne sont intégrées à Rhin-Rhône, tout comme les relations entre Metz-Nancy et le sud-est. Je pense que l’appellation Rhin-Rhône va au delà de l'emprunt de la LGV.
Tchouks Wrote:J'ai appris qu'il y avait de gros travaux le WE des 21 et 22 avril, avec coupures des circulations entre Dijon et Montereau une partie du WE !
Les infos ne sont pas légions sur le sujet, mais voici ce que j'ai réussi à compiler à partir du message dudit contrôleur, du site TER et des VSC. Sachant qu'Infolignes ignore superbement la chose...
En sens pair, les circulations sont interrompues entre le TER 891902 (départ de Dijon à 07.35) et le TER 891904 (départ de Dijon retardé à 13.01), soit une coupure de 5 h. Dimanche matin, le 891902 ne circule pas, le dernier train quittant Dijon sera donc le TGV 6744 pour Paris à 07.26.
En sens impair, les circulations sont interrompues entre le TGV 6701 (arrivée à Dijon avancée à 08.35) et le TGV 9269 (arrivée à Dijon à 13.35), donc la même coupure de 5 h.
Tous les TGV, TER et Fret sont supprimés dans l'intervalle.
A noter les adaptations suivantes dans le sens pair :
- Le TER 17754 Mâcon 06.07 > Paris-Bercy 10.22 est limité à Dijon, mais un autre train circule dans le même sillon sous le numéro 891254 de Dijon à Migennes. Rien au-delà. (Valable samedi uniquement, le 17754 ne circule jamais le dimanche.)
- Le TGV 9206 Zürich 07.34 > [Paris-Lyon 11.37] est détourné par la LGV Est. Sillon normal jusqu'à Mulhouse, départ 08.55 pour une arrivée à Paris-Est à 12.35 ; un arrêt de service est prévu à Strasbourg.
- Le TER 17760 Lyon 11.20 > Paris-Bercy [16.22] est retracé et détendu après Dijon, avec un arrêt à Nuits-sous-Ravières en plus et une arrivée à Paris à 16.51 (départ de Sens à 15.35 donc certainement détourné en région parisienne).
- Seule compensation dans le trou de 5 h, un car partira de Dijon à 10.46 pour rejoindre Migennes à 13.52 seulement, en remplacement du TER 891356 (Dijon 12.29 Migennes 13.57).
En sens impair, les modifications sont les suivantes :
- Le TGV 6701 qui ne circule normalement pas le week-end, est mis exceptionnellement en route les deux jours, mais avec un horaire avancé de 30 min : Paris-Lyon 06.53 > Dijon 08.35/38 > Besançon-TGV > Belfort-TGV > Mulhouse 09.55.
- Le TGV 9211 Paris-Lyon 10.23 > Zürich [13.26] est détourné par la LGV Est et donc un bout de l'interconnexion. Arrivée à Mulhouse à 13.49 seulement, et à Zürich 15.28 ; aucun arrêt commercial entre Paris et Mulhouse.
- Le TER 891377 Auxerre 13.36 > Dijon [15.30] est retracé et détendu après Migennes, avec un arrêt de 11 min à Tonnerre et une arrivée à Dijon à 15.48. (Valable dimanche uniquement, le TER 891377 ne circule jamais le samedi.)
- Trois cars de remplacement sont prévus dans ce sens...
... le premier pour remplacer le TER 17755 de Migennes (09.01) à Dijon (12.07), le TER étant supprimé sans remplacement avant Migennes et circulant dans son sillon normal à partir de Dijon (départ 10.40) ;
... le deuxième pour remplacer le TER 891907 des Laumes (12.08) à Dijon (13.50) ;
... le troisième pour remplacer le TER 891375 de Migennes (12.01) à Dijon (15.07), le TER circulant normalement d'Auxerre à Migennes, avec correspondance vers le car dans cette gare.
Et point barre. Pour le reste, "les voyageurs sont invités à différer leur voyage".
Côté Grandes Lignes, ça me semble un peu léger, alors que les vacances de la zone B, dont font partie Bourgogne et Franche-Comté, commencent précisément ce samedi.
A noter des combinaisons baroques via Lyon, Nancy ou Strasbourg proposés par VSC pour aller de Paris et Dijon dans l'intervalle de la coupure ! En plus de 4 h bien sûr.
102.010 Wrote:Sinon, les arrêts en gares LGV (BM-TGV et BFC-TGV) dans la nuit laissent une drôle d’impression, celle d'arriver au milieu d'un aéroport fantôme, au milieu de nulle part, surtout que les annonces de disaient mot des correspondances TER et Bus....
Grosses perturbations sur l’axe Strasbourg-Mulhouse
Entre le 15 octobre et le 22 décembre, en raison de travaux, les trains circulant sur l’axe Strasbourg-Mulhouse iront plus lentement, et des horaires seront modifiés. Certains trains seront même supprimés.
Réseau Ferré de France (RFF) réalise actuellement d’importants travaux de renouvellement de voies et de ballast entre Strasbourg et Erstein. Bien que mené de nuit, ce chantier entraîne des répercussions sur la circulation des trains des lignes de l’axe Strasbourg-Mulhouse.
Les travaux ont débuté le 17 septembre. À compter du lundi 15 octobre, et jusqu’au samedi 22 décembre, ils nécessiteront des limitations de vitesse importantes, et donc des allongements du temps de parcours. Les horaires des trains de cet axe seront donc adaptés.
[...]
Les TGV empruntant la zone de travaux (Colmar-Paris et Strasbourg-Méditerranée) sont également impactés par les limitations de vitesse. Outre des modifications horaires, les allongements de temps de parcours nécessitent de plus que certains TGV Colmar-Paris ainsi que l’aller-retour TGV Mulhouse-Lille par le TGV Est aient pour origine ou terminus la gare de Strasbourg.
Des affichages sont prévus dans les gares. Pour les TER, on peut consulter des fiches horaires spécifiques, disponibles en gare et consultables sur le site www.tersncf.com/alsace, ou bien téléphoner au 0800.77.98.67 (appel gratuit depuis un poste fixe de 6h30 à 19h30 du lundi au vendredi et de 8h30 à 15h30 le samedi).
Pour les TGV, on peut consulter le site www.voyagessncf.com ou téléphoner au 3635 (0,34 € TTC/mn, hors surcoût éventuel de votre opérateur de 7h à 22h).
L’EuroAirport poursuit son envol dans le sillage de la compagnie easyJet
Avec une croissance du trafic de 7% au cours des trois premiers trimestres, l’EuroAirport devrait dépasser nettement le seuil des cinq millions en 2012.
Si l’on considère l’évolution du nombre de passagers d’un aéroport comme un indicateur de la situation économique, la région trinationale desservie par l’EuroAirport ne connaît pas la crise. C’est vrai pour les régions de Bâle et de Fribourg, où le taux de chômage se situe respectivement autour de 3 et 4%. Mais pas pour le Haut-Rhin, qui s’enfonce dans le chômage de masse avec un taux de près de 9%.
Les difficultés économiques, liées à la désindustrialisation, et la perte de compétitivité en Haute-Alsace ne freinent guère la croissance du trafic de l’EuroAirport.
En septembre, la plateforme aéroportuaire a accueilli 509000 passagers, portant à 4080000 le trafic total depuis le début de l’année, chiffre en hausse de 7% par rapport à la même période de l’année précédente, ce qui correspond à 250000 passagers supplémentaires en neuf mois.
Cette évolution résulte principalement de la forte activité d’easyJet. La compagnie britannique à bas prix génère à elle seule la moitié du trafic (49%) à l’EuroAirport où elle a basé sept Airbus.
À son plan de vols de l’hiver 2012-2013 figurent 33 destinations, dont cinq nouvelles : Bruxelles, Budapest et Manchester, trois lignes abandonnées par Swiss, ainsi que Toulouse et Saint-Jacques-de-Compostelle, ville du nord-ouest de l’Espagne desservie pour la première fois depuis l’EuroAirport.
Toulouse sera la 4 e destination française (après Nice, Bordeaux et Nantes) d’easyJet à l’EuroAirport. « Le marché français enregistre un fort développement », signale Thomas Haagensen, directeur commercial d’easyJet Switzerland.
La fréquence des vols sur la ligne de Bordeaux a été portée de quatre à six liaisons par semaine. Des fréquences additionnelles ont également été mises en place pour Londres Gatwick et Berlin. Lancées l’été dernier, Teneriffe et Furteventura (îles Canaries) seront opérées toute l’année. Par contre les vols vers Thessalonique (Grèce) sont interrompus jusqu’à la prochaine saison estivale. « Cet hiver, nous allons effectuer 1500 vols de plus que l’hiver passé au départ et à l’arrivée de l’EuroAirport, ce qui nous amènera à plus de 8000 vols au total pour la saison », indique Thomas Haagensen. easyJet envisage d’ouvrir de nouvelles routes à l’EuroAirport l’été prochain avec l’arrivée probable d’un 8 e avion.
Le programme hiver est marqué par l’arrivée de Wizz Air, une compagnie low cost créée en 2004 en Hongrie opérant en Europe de l’Est. Cette compagnie, qui cherche à contrer easyJet, va assurer à partir du 26 octobre deux vols par semaine vers Skopje, la capitale de la Macédoine et, à partir du 13 décembre, deux vols par semaine vers Belgrade, la capitale de la Serbie. Ces vols seront effectués par des Airbus A-320.
Depuis l’arrêt des vols de Swiss sur Varsovie, la Pologne n’est plus reliée directement. Il reste d’autres taches blanches sur la carte des destinations en Europe de l’Est, notamment les pays Baltes, la Roumanie, la Bulgarie. Une compagnie russe qui voulait lancer des vols pour Moscou n’a pas encore obtenu de droit de trafic.
Swiss a réduit ses opérations à l’EuroAirport où la compagnie helvétique ne dessert plus que Barcelone, Londres, Prague et Rome. Elle ne représente plus que 5% du trafic.
La plupart des vols programmés par la compagnie charter bâloise Hello, en dépôt de bilan, seront assurés par la compagnie Tuifly, filiale du tour-opérateur allemand TUI.
Air France (8% du trafic) a arrêté son vol quotidien pour Marseille, une opération pas rentable qui n’aura duré qu’une saison. Sur la ligne de Paris, le TGV a conquis la plus grande part du marché.
Longtemps à la première place, Paris est désormais la troisième destination en nombre de passagers (250000 en cumul depuis le début de l’année), loin derrière Londres (450 000), avec 49 vols par semaine vers trois aéroports. Berlin se situe au troisième rang avec 24 vols par semaine. Istanbul et Palma complètent le top cinq des destinations en vols réguliers.
Trop de suppressions de trains entre Belfort et Paris
Jean-Pierre Chevènement s’est étonné par un récent courrier adressé à Guillaume Pepy, président de la SNCF, du nombre considérable de suppressions de liaisons entre Belfort et Paris constatées depuis plusieurs semaines.
« Un petit calcul m’a permis de dénombrer pas moins de 470 suppressions de liaisons annoncées entre Paris et Belfort du 17 octobre 2012 au 15 janvier 2013, soit un pourcentage de 53 % par rapport aux liaisons initialement prévues », indique le sénateur du Territoire de Belfort dans un communiqué.
Jean-Pierre Chevènement considère que ces suppressions sont contraires aux engagements pris par la SNCF : « L’arrivée de la LGV dans le nord Franche-Comté devait apporter une impulsion supplémentaire au développement de la région. C’est pourquoi j’ai souhaité connaître les raisons qui ont conduit la SNCF à prendre une telle décision et j’espère que ces suppressions n’obéissent pas à de simples considérations de rentabilité, ce qui remettrait en cause le pacte passé entre la SNCF et les collectivités locales ».
Dans sa réponse, Guillaume Pépy souligne que « les adaptations de certains TGV ne correspondent pas à des suppressions de desserte », qu’au contraire que « la Franche-Comté va bénéficier au prochain service d’un nouveau TGV Paris-Dôle-Besançon les vendredis et dimanches, renforcé par deux nouveaux TGV Paris-Besançon les samedis et dimanches, dès avril ».
Quatre TGV supprimés les 10 et 11 novembre
« Un septième aller-retour ralliera également Dijon à Belfort en décembre, fréquence prolongée jusqu’à Bâle à partir de l’été 2013. Quant aux suppressions ponctuelles évoquées, elles sont dues à un renouvellement des voies et du ballast près de Dijon, entraînant des décalages horaires et quelques interruptions de TGV Paris-Belfort. »
Le président de la SNCF rappelle l’importance de ces travaux et indique que les week-ends des 10 novembre et 2 février seront particulièrement impactés.
« En lien avec RFF, des plages de travaux ont été déterminées afin de préserver les TGV les plus utilisés par la clientèle. Les 10 et 11 novembre, quatre TGV sur 23 seront supprimés et douze les 2 et 3 février. »
Retombées touristiques sensibles dans le Territoire de Belfort
Belfort et son Lion devraient attirer encore plus de touristes, via le TGV, dans les années à venir.
Fabrice Cavaillon, directeur de Belfort Tourisme, affirme que les effets du TGV Rhin-Rhône se font déjà ressentir mais qu’il faut poursuivre les efforts de communication, pour inciter les touristes à venir dans la Cité du Lion.
Il est très difficile de répondre de manière précise à la question « Est-ce que le TGV a apporté de nouveaux touristes à Belfort ? », souligne Fabrice Cavaillon, directeur de Belfort Tourisme. En fréquentation pure, l’impact du TGV a consolidé l’affluence de touristes.
En tout cas, il n’y a pas eu de répercussion significative dans la fréquentation hôtelière. Les hôteliers ont enregistré une baisse de fréquentation de moins de 1% depuis la mise en service du TGV. Régis Cavaillon reconnaît « qu’il n’y a pas d’effets négatifs sur le tourisme d’affaires. Nous sommes même plutôt satisfaits. Quant au tourisme de loisirs, il est clair que nous travaillons sur l’axe Francfort-Lyon. Et nous avons des retours quantifiables sur notre centrale de réservation. Par exemple, nous avons mis en place un forfait avec une offre sur le Ballon d’Alsace à 98€ par personne, avec prise en charge à la gare TGV de Meroux. On a eu des fréquentations, mais cela reste encore marginal. Mais cela paye en terme de communication ».
« Nous avions mis en place du 11 décembre au 31 mars une opération qui permettait de rembourser le billet Paris-Belfort. Nous n’avons pas beaucoup remboursé de billets, mais cela a été une excellente campagne de promotion du Territoire de Belfort, avec des articles dans des quotidiens nationaux que nous n’aurions jamais eu. C’est l’image de Belfort qu’il faut véhiculer. Et quand les Parisiens connaîtront Belfort en bien, ils viendront encore plus nombreux », conclut Fabrice Cavaillon.
thalys75 Wrote:8 millions de voyageurs depuis la mise en service de TGV Rhin-Rhône :
http://www.lepays.fr/actualite/2012/11/23/belfort-tire-profit-de-la-mise-en-service-du-tgv-rhin-rhone-un-an-apres
Frédéric
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