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nikko-citelis Wrote:Pour la petite histoire,
1 rrr + 67300
Un conducteur prend son service a Grenoble à 15h12, arrive a St Marcellin à 15h56.
Il en repart a 16h04 arrive a Chambéry à 18h02, il échange la 67300 contre une 67400.
Il part de Chambéry a 18h24 et arrive a Valence villea 21h20 (je précise que le dernier parcours et en omnibus)
Petites questions :
-pourquoi jusqu'a Valence ville pourquoi ne pas faire terminus a Grenoble ?
-pourquoi en omnibus ?
Didier 74 Wrote:nikko-citelis Wrote:Pour la petite histoire,
1 rrr + 67300
Un conducteur prend son service a Grenoble à 15h12, arrive a St Marcellin à 15h56.
Il en repart a 16h04 arrive a Chambéry à 18h02, il échange la 67300 contre une 67400.
Il part de Chambéry a 18h24 et arrive a Valence villea 21h20 (je précise que le dernier parcours et en omnibus)
Petites questions :
-pourquoi jusqu'a Valence ville pourquoi ne pas faire terminus a Grenoble ?
-pourquoi en omnibus ?
Le sillon de 18h24 au départ de Chambéry est un sillon omnibus pour Grenoble. La desserte omnibus Chambéry > Grenoble comprend 2 trains par heure de 16h24 à 19h24. Ce train arrive à Grenoble à 19h23. Il poursuit jusqu'à Valence ville en repartant de Grenoble à 19h42 (sous le même numéro) dans un sillon omnibus jusqu'a Saint-Marcellin où il arrive à 20h26. La desserte omnibus Grenoble - St Marcellin est cadencée à la 1/2h de 16h12 à 20h12. Ce train stationne à Saint-Marcellin jusqu'à 20h41 (en raison du croisement avec un train venant en sens inverse entre La Sône et Saint-Hilaire) avant de prendre la direction de Valence ville (arrivée à 21h20). Il me semble que ce train est ensuite réutilisé le lendemain matin pour le TER omnibus Valence 5h24 - Chambéry 8h02 (puisque que le 6h04 au départ de Saint-Marcellin est amorcé à Valence).
Par le passé, il me semble qu'il y avait un échange de matériel et / ou de locomotive avec une rame qui effectuait un AR Lyon - Valence en RRR.
jo380 Wrote:je crois que les 67400 de Chambéry sont toutes VFE .
Sur Chambéry-Grenoble-Saint Marcellin , je n'ai jamais vu de 67400 avec RRR
Recommandation n° 26,
Ligne TER 17766 entre Lyon Part Dieu et Paris Bercy (via Macon et Tournus) : la Médiatrice recommande à SNCF et aux Autorités Organisatrices de Transport
d'étudier :
- Une augmentation de la capacité sur cette desserte en 2012 permettant de mieux répondre à la fréquentation importante en heure de pointe, notamment le TER de
17H20 entre Lyon Part Dieu et Tournus,
- Une évolution de la desserte en 2013 permettant de mieux réguler le trafic voyageur.
Suite donnée à la recommandation :
Une étude d’augmentation de capacité des TER aux heures de pointe et notamment du TER de 17h20 entre Lyon Part Dieu et Tournus est en cours pour une mise en
oeuvre en 2012 et pour le service 2013.
La ligne TER Lyon-Grenoble en voie d’amélioration ?
Les usagers de la ligne Lyon-Grenoble seront certainement très heureux d’apprendre que la SNCF et RFF (Réseau ferré de France), en partenariat avec la Région Rhône-Alpes, en sa qualité d’autorité organisatrice, travaillent depuis plusieurs mois déjà à l’amélioration de la qualité du service.
« Rationaliser l’offre en fonction de l’intérêt général »
Car comme l’a souligné l’un d’entre eux hier à Grenoble lors de la présentation de l’audit qualité de cette ligne TER, l’une des douze classées “sensibles” en France, « les problèmes réguliers et en particulier les annulations intempestives deviennent de plus en plus insupportables, au point que de nombreux voyageurs reprennent leur voiture »…
Comment « améliorer le système » alors, quand on sait pertinemment, comme le rappelle la directrice régionale de la SNCF, Josiane Beaud, que « le doublement du nombre de voyageurs en dix ans ne peut pas se traduire par le doublement immédiat des infrastructures » ?
« Pour régler toutes les difficultés liées à cette saturation, il faudrait des investissements et du temps, ce dont RFF ne dispose pas. En revanche, les pistes d’améliorations existent », assure-t-elle, l’objectif étant d’augmenter le taux de ponctualité des trains au départ estimé aujourd’hui à 79%. « Il n’y aura pas un grand soir ni un grand matin, mais en agissant avec nos moyens à la fois sur l’exploitation, l’offre et les infrastructures, on devrait retrouver de la souplesse et donc de la fluidité », insiste Pascal Delaitre, directeur délégué du TER en Rhône-Alpes. Pour obtenir des résultats tangibles dans un contexte de trafic hyper tendu où chaque minute de retard a un impact, il est donc question de « rationaliser l’offre en fonction de l’intérêt général » et d’aller surtout « vers la standardisation des dessertes ».
Côté infrastructures, la gare de Saint-André-le-Gaz sera la grande priorité avec un « schéma cible » qui intégrera évidemment le développement des trafics vers Chambéry et Grenoble tandis qu’à la gare de Grenoble justement, le projet d’une voie supplémentaire à quai vers Lyon devrait voir le jour en 2015.
Et les responsables de la SNCF l’ont promis hier, ils travaillent aussi à « l’amélioration de la réactivité opérationnelle et de l’information voyageurs en cas d’aléa ». Sans aucun doute la première préoccupation des usagers.
Le comité de ligne de Saint-Étienne/ Montbrison/Clermont a tourné court
Transports ferroviaires. Au nom de la neutralité du service public en période électorale, la SNCF et RFF n’ont pas diligenté de représentants au comité de ligne programmé jeudi à Bonson. Les usagers présents n’ont pas apprécié et ont fait annuler la réunion.
la violence va bon train
TER Malgré plusieurs mesures, l'insécurité ne diminue pas selon la CGT
Mai 2011. Les contrôleurs de la région lyonnaise cessent le travail après l'agression d'un des leurs dans un train circulant entre Nice et Lyon. 17 mai 2012 : Un contrôleur de la ligne Lyon-Saint-Etienne est brutalisé en gare de Part-Dieu par un voyageur. Dès le lendemain, les agents usent de leur droit de retrait et réclament davantage de sécurité dans les trains. Mais cette demande, souvent formulée sous le choc des agressions, a-t-elle été entendue ? En un an, la sécurité à bord des trains rhônalpins s'est elle améliorée? Non, à en croire la CGT Cheminots qui, avec Sud-Rail, avait demandé au printemps dernier la mise en place de 12 contrôleurs supplémentaires pour doubler les agents dans les trains circulant sur les lignes dites sensibles (Vallée du Rhône, Lyon-Saint-Etienne…). En vain.
« Il y a même 30 agents de moins depuis la suppression des contrôles systématiques dans l'Ouest Lyonnais », déplore Laurent Brun de la CGT Cheminots. Selon lui, certaines mesures ont toutefois été prises par la SNCF pour lutter contre l'insécurité. « La présence de la police ferroviaire a été renforcée dans les trains. Mais cela équivaut à une équipe de plus jour, ce qui est insuffisant », ajoute le délégué, précisant que depuis 2007, « les agressions et outrages à agents ont progressé de 600 % » en Rhône-Alpes. Un chiffre non confirmé par la direction régionale de la SNCF. Selon elle, le nombre d'agressions est passé de 15 en 2007 à 25 en 2011. «Cette violence observée dans les trains comme dans la société est difficile à endiguer», précise la directrice régionale de la SNCF Josiane Beaud.
Une brigade de contrôle testée
Pour la faire reculer, la SNCF a lancé une expérimentation à Annemasse et sur la ligne Lyon-Saint-Etienne. Comme sur le réseau TCL, « une brigade mobile réalise des contrôles inopinés, à la descente ou la montée des passagers. Personne alors ne monte sans billet », ajoute la directrice. Après le passage de l'équipe, le contrôleur risque moins d'être confronté à un contrôle qui tourne mal. Ce système sera évalué cet été et pourrait, s'il s'avère efficace dans la lutte contre la fraude et l'insécurité, être étendu à d'autres lignes dès la rentrée. D'ici là, la direction régionale s'est engagée au lendemain de l'agression à la Part-Dieu, à renforcer sur la ligne Lyon-Saint-Etienne, « la présence dans les trains de fin de soirée ». Un geste destiné à « rassurer les cheminots ».
http://telechargement.ter-sncf.com/Images/Rhone_Alpes/Tridion/Affiche_Substitution_été_2012_St-Etienne_-_Clermont_du_2_juillet_au_24_août_2012_tcm-31-76701.pdf
Tib0138 Wrote:Sur la ligne Lyon <> Villefranche <> Mâcon, le week-end je constate que le dernier train Lyon >> Villefranche >> Mâcon (>> Dijon) part de Lyon à 21:20.
Je trouve que l'exploitation de cette ligne s'arrête vraiment tôt compte-tenu de son importance au vu du nombre de voyageurs qui l'empruntent...
Dans l'autre sens, c'est le samedi uniquement que l'exploitation de la ligne s'arrête tôt, le dernier train arrivant à Lyon à 21:40 (je ne compte pas le TGV qui passe à Mâcon à 22:40 et arrive à Lyon à 23:14, celui-ci ne faisant que passer sur cette ligne classique sans s'arrêter aux gares intermédiaires).
Y'aura t-il un ou 2 trains qui rouleront après 21:40 sur cette ligne Lyon <> Villefranche <> Mâcon à partir de juillet 2012 ?
Le TER Bellegarde-Lyon saturé : une autre rame a été réquisitionnée
Les voyageurs partant en vacances étaient munis de sacs de voyage, valises, instruments de musique et autres poussettes. Cela a probablement réduit le nombre de places, car les TER sont plus conçus pour les trajets des travailleurs en semaine que pour les jours de grand départ en vacances.
Pour la journée de samedi dernier, Bison Futé avait vu rouge. De son côté, la SNCF avait annoncé, déjà depuis fin 2011 dans son” calendrier voyageurs”, que ce serait un de “jour particulier”. Et pourtant…
Les TER en provenance d’Évian-les-Bains et de Saint-Gervais-les-Bains, réunis à Annemasse, sont arrivés bondés à Bellegarde-sur-Valserine, à 7h51.
Certains voyageurs n’ont pas pu monter à bord
Ce n’est pas que Bellegarde soit devenue un lieu de villégiature à la mode, mais il faut y passer pour se rendre par le train à Lyon ou Paris, en venant d’Annemasse.
Quelques minutes plus tard, quand le TER en provenance de Genève et à destination de Lyon est arrivé sur les quais de la gare de Bellegarde, il fut aussitôt pris d’assaut par une armée de candidats aux vacances, munis de sacs de voyage, valises trolley, instruments de musique et autres poussettes chargées comme des mobil-homes.
Or, le train ne comprenait qu’une seule rame. Une rame vide stationnait sur le quai d’à côté, sans destination indiquée.
À l’heure du départ, les wagons étaient pleins. Même une contrôleuse filiforme n’aurait pas pu se frayer un chemin à l’intérieur de la rame. Certains voyageurs qui n’avaient pas pu monter à bord, sont restés penauds, sur le quai. Quelques minutes plus tard, la direction a enfin pris la décision de doubler la rame. Un machiniste a alors manœuvré la rame libre, stationnée sur le quai d’à côté, pour l’accrocher en tête du train. Tous les passagers ont pu prendre place. Le train a alors pu quitter la gare de Bellegarde avec une demi-heure de retard.
À bord, le contrôleur rechercha qui aurait un problème de correspondance à Lyon à cause du retard, afin de prévenir les responsables lyonnais pour qu’ils agissent en conséquence. On peut s’étonner que la SNCF ait réagi si lentement face à cette situation car elle dispose probablement de données au niveau de la billetterie pour anticiper ce genre d’inconvénients.
Les agents de la SNCF auraient également dû se douter, dès 7h15 en gare d’Annemasse, à l’arrivée des TER d’Évian-les-Bains et de Saint-Gervais-les-Bains, qu’une rame ne suffirait pas au départ de Bellegarde…
Le député saisit le ministre des Transports sur l’état de la ligne TER Lyon-Ambérieu
Le député UMP de l’Ain, Charles de la Verpillière, a alerté Frédéric Cuvillier, ministre délégué chargé des Transports, « sur les investissements qu’il faudrait réaliser sur la voie ferrée entre Lyon et Ambérieu-en-Bugey ».
Cette ligne TER, dont l’exploitation est souvent perturbée, figure parmi les douze lignes « sensibles », recensées par l’audit commandé par le gouvernement Fillon, fin 2011.
Concrètement, ce n’est pas l’offre TER en elle-même qui est mise en cause, mais bien l’état des infrastructures. « La ligne est victime de son succès : en raison de l’accroissement du nombre de trains, les voies et les gares sont saturées et tout événement (panne sur le matériel roulant ou la signalisation, blocage d’un passage à niveau, accident de personne, etc.) entraîne des retards qui peuvent aller jusqu’à plusieurs heures », précise Charles de la Verpillière dans son communiqué.
Réseau Ferré de France (RFF) prévoit à l’horizon 2014 de renouveler les voies et allonger les quais pour recevoir les futures rames TER. Mais pour le député, ces travaux ne résoudront pas les problèmes précités.
D’autres investissements, notamment le renforcement de l’alimentation électrique, la modernisation de la signalisation, et la suppression de certains passages à niveau sont préconisés par Charles de la Verpillière, en accord avec certains spécialistes.
Le gouvernement est donc désormais alerté sur les problématiques de cette ligne. Il lui a été demandé d’appuyer cette requête auprès du Réseau Ferré de France pour que les investissements soient entrepris. La réponse du ministre devrait intervenir en novembre prochain.
Train annulé : les usagers s’en prennent au chauffeur des Cars roannais
Exaspération. Les gendarmes ont du intervenir dans un bus en gare de Tarare pour calmer des voyageurs ulcérés par l’annulation de leur train. Un incident qui intervient sur une ligne où les chauffeurs ont été agressés à quatre reprises depuis le mois de mars.
«J’ai très mal dormi car ce n’est vraiment pas agréable d’être pris pour le bouc émissaire de service » avouait Jean-Paul Riegert, hier matin.
Chauffeur de car depuis 28 ans, il a vécu une « première » mercredi soir puisqu’il a été escorté par les gendarmes, puis par quatre agents de la police ferroviaire afin d’assurer la liaison Tarare-Lyon. Il est employé par Les Cars roannais (Le Coteau), la société qui assure la liaison TER Roanne-Lyon, la seule assurée quotidiennement par car, les autres le sont en train
Il raconte. « Une vache a été percutée par un TER qui assurait la liaison Roanne-Lyon en fin d’après-midi à hauteur de L’Arbresle. Pour ma part, j’assurais la liaison par la route et lorsque je suis arrivé en gare de Tarare, une quarantaine de passagers m’attendaient.
Leur train avait été annulé suite à l’accident. Comme c’est la règle, je leur ai donc demandé de me présenter leur titre de transport avant de les laisser grimper dans mon car.
La tension est montée très rapidement et les noms d’oiseaux ont fusé car les gens étaient très énervés d’avoir perdu du temps suite à l’incident. Sous l’influence de quelques-uns, les passagers sont montés de force dans l’autocar. J’ai immobilisé le véhicule et j’ai appelé la gendarmerie car j’estimais ne pas pouvoir assurer mon service dans ces conditions.
L’arrivée des militaires a ramené un peu de calme et, ce sont, eux, qui ont finalement contrôlé les billets. Ensuite un véhicule de la gendarmerie m’a escorté jusqu’à L’Arbresle où quatre agents de la police ferroviaire sont montés dans l’autocar pour m’accompagner jusqu’à la gare de La Part Dieu. « S’il avoue comprendre l’exaspération des voyageurs retardés suite au problème rencontré par le TER, Jean-Paul Riegert admet mal qu’ils aient passé leurs nerfs sur lui. « J’étais là pour faire mon boulot et les transporter, pas pour me faire insulter. »
Un nouvel incident qui s’est produit sur une ligne où les chauffeurs ont été agressés physiquement ou verbalement à quatre reprises depuis le mois de mars.
« C’est la seule ligne où on a ce type de problèmes. On a obtenu que le service ne soit plus assuré par des femmes. Mais même nous, on va travailler avec la boule au ventre. »
La SNCF recherche « une solution immédiate»
« Dès qu’il y a une interruption de trafic sur une ligne, on contacte immédiatement les autocaristes pour trouver des véhicules afin d’acheminer les passagers » explique le service communication de la SNCF. « Mais la difficulté dans un tel cas est de trouver des cars disponibles. Concernant l’accident de mercredi soir, une équipe d’assistance régionale est allée récupérer les passagers bloqués sur la voie. Ils ont été acheminés vers la gare de L’Arbresle en minibus. Dans le même temps, trois autocars de substitution ont été trouvés pour prendre en charge les passagers bloqués dans les différentes gares. Quant à l’incident qui s’est produit dans le car qui assure la liaison régulière, il résulte du fait que le chauffeur n’avait pas connaissance que les passagers étaient bloqués depuis un bon moment en gare de Tarare et qu’ils avaient perdu patience. »
Il y a eu un gros quiproquo
Christèle, 27 ans, usager SNCF habitant Lyon et travaillant à Tarare
« Le train de 19h45 s’est arrêté en gare de Tarare sans pouvoir repartir. Apparemment celui d’avant avait percuté une vache vers L’Arbresle. On nous a annoncés tout d’abord une heure de retard. Vers 20h30, on a compris que le train ne repartirait pas. Certains devaient savoir qu’il y avait un car TER qui devait partir vers 20h50 mais la plupart ont pensé qu’il s’agissait d’un car de remplacement. Et quand le chauffeur a demandé les titres de transport, les gens se sont énervés. Ils trouvaient scandaleux qu’on le leur demande alors qu’on s’était gelé sur le quai pendant une heure. Je pense qu’il y a eu un gros quiproquo en fait. Le conducteur ne devait pas comprendre pourquoi les gens étaient tellement énervés. Il s’est, semble-t-il, senti agressé. Je sais qu’il y a eu des soucis ces derniers temps sur cette ligne de car. Il a dit qu’il préférait partir, qu’il exerçait son droit de retrait. Les gens étaient déjà excédés, ils se sont de nouveaux énervés. Il faut dire qu’il était tard. Il y avait des enfants, petits pour certains, et rien n’avait été prévu, tout était fermé, même pas de quoi acheter de l’eau. Je pense que les gens ont un peu paniqué. Vers 21h30, comme je voyais que le car n’était toujours pas parti, je suis allée dormir chez une collègue… Je ne sais même pas comment s’est fini le voyage mais je pense qu’il y a eu beaucoup de malentendus ».
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