A la base le choix modal est basé sur une seule et unique question : fait-on un réseau principal squelette ou un réseau maillé ?
Combien de fois faudra-t-il répéter que le choix d'un mode lourd ne dépend pas d'un raisonnement abstrait mais de la structure de la ville? Cf. mon topo sur rennes.
Question: la part de la voiture a-t-elle baissé dans les agglomération française? Non. Donc la politique des services de l'état, qui consiste à raisonner partout pareil et à plaquer les mêmes solutions partout est un echec. Point. La mobilité doit être gérée par les services locaux, au service d'une politique urbaine cohérente. Très peu de villes en sont capables, et cela ne dépend pas du mode de transport. Je suis ravi que Grenoble en fasse partie. Mais malheureusement, ce qui devrait être la règle n'est que l'exception et la lacheté politique est de mise.