R312 224 Wrote:Alors le premier est situé dans la "grande rue" d'Avrillé, (je ne connais pas le nom exact) entre l'église et le Champion.
FLG Wrote:Grafitti de m**** à mon avis il ne fera pas long feu!
C'est pris de quel coté de la ligne..?
Maville Wrote:Les restes d'un squelette découverts rue d'Alsace
Les archéologues travaillent d'arrache-pied depuis deux semaines.
Les fouilles archéologiques entreprises rue d'Alsace commencent à payer. Les spécialistes de l'Inrap (Institut nationale des recherches archéologiques préventives) ont mis au jour des ossements du Moyen-Âge.
Située sur un ancien cimetière paroissial, la rue d'Alsace présente, en sous-sol, de nombreux vestiges de sépultures.
Si elles s'avèrent fructueuses, les fouilles conduites en préalable aux travaux du tramway peuvent apporter de riches enseignements sur la population d'Angers à l'époque médiévale.
Ouest-France
www.angers.maville.com Wrote:Un squelette pas si vieux que ça...
Un squelette datant d'entre le VIIe et le XVe siècle a été découvert rue d'Alsace, ces jours derniers.
Un squelette datant d'entre le VIIe et le XVe siècle a été découvert rue d'Alsace, ces jours derniers.
Le chantier des fouilles archéologiques se poursuit, rue d'Alsace. Des restes d'ossements humains ont été mis au jour. De l'époque médiévale.
« Un squelette vieux de 1 500 ans ? Sûrement pas ! », répond sèchement l'archéologue Elodie Cabot, qui répond à la question que beaucoup de passants se posaient hier, rue d'Alsace.
Avec son équipe, elle travaille d'arrache-pied, depuis dix jours, dans cette rue fermée à la circulation pour cause de travaux du tramway, pour mettre au jour les restes médiévaux qui reposent sous terre depuis des siècles. Pas plus tard qu'hier, elle a découvert une sépulture avec un coffrage en schiste...
Mais les découvertes qui frappent le plus les nombreux passants qui entourent le périmètre des fouilles, ce sont les restes d'ossements humains.
« Ces derniers jours, nous avons découvert plusieurs squelettes dont la date est située dans une fourchette comprise entre le VIIe et le XVe siècle. Dont celui d'une femme âgée de 30 ans, qui pourrait remonter au IXe ou Xe siècle », explique Elodie Cabot.
Des découvertes qui n'ont rien de surprenant, à en croire l'archéologue. « À l'époque médiévale, les environs de la place du Ralliement comprenaient plusieurs cimetières liés à des églises, comme celle de Saint-Maimboeuf. »
Dater l'époque d'une découverte archéologique reste difficile. « Nous procédons par la scintigraphie, par rapport à certaines couches archéologiques. Mais il est impossible d'indiquer avec certitude l'époque d'un reste humain. Sauf en utilisant le carbone 14, mais cela prend plusieurs mois. » Ou par le mobilier funéraire.
Mais le problème, c'est qu'il n'y en a presque pas, rue d'Alsace. « Il s'agit principalement d'inhumations en cercueil. »
Dans les jours à venir, l'équipe d'Elodie Cabot va faire une pause, et s'occuper de démonter les squelettes, morceaux de voie romaine, fours, qui ont déjà été découverts... Pour en savoir plus sur l'histoire d'Angers.
A.W.
Ouest-France
www.angers.maville.com Wrote:« On pensait trouver plus de 300 squelettes »
La grande partie du cimetière médiéval, sur lequel pensaient tomber les archéologues, a disparu en raison d'un décaissement de la rue, au XIXe siècle. Quatorze squelettes ont jusqu'à présent été mis à jour, dont celui d'un enfant découvert récemment (photo ci-dessus).
Plus d'un mois après le début des fouilles, rue d'Alsace, une première visite guidée, hier, a permis de faire le point sur les découvertes archéologiques.
Le nez collé aux grilles qui entourent le chantier de la rue d'Alsace, nombreux sont les passants à partager le même étonnement : « Dire qu'il a suffi de racler la chaussée pour retrouver des squelettes juste en dessous ! » La proximité immédiate de restes humains sous le centre-ville surprend. Et pourtant...
Non seulement les archéologues savaient qu'ils en trouveraient, mais « on s'attendait à en découvrir entre 300 et 400 ! », confie Elodie Cabot, la responsable du chantier. Or, jusqu'à présent, seuls quatorze squelettes ont été mis à jour. Alors pourquoi une telle différence entre les prévisions des archéologues et la réalité du terrain ? Tout simplement parce que « la rue a été décaissée au XIXe siècle », a expliqué Elodie Cabot, hier, à une vingtaine de personnes profitant d'une première visite guidée.
En partant explorer le sous-sol de la rue d'Alsace, « on était parti pour fouiller un cimetière médiéval ». Mais c'était sans compter sur un décaissement ignoré. Lors de sa réalisation, au XIXe, la rue d'Alsace a perdu près de quatre mètres de hauteur dans sa partie haute. De quoi supprimer toute une partie des différentes couches de l'ancien cimetière.
Des vestiges médiévaux mais aussi antiques
À défaut de squelettes à profusion, les archéologues ont en revanche découvert un vestige de l'église Saint-Mainboeuf, le premier édifice chrétien d'Angers. « Les fondations d'un mur de 80 cm de large datant du VIIe siècle, percé par deux tombes ». A l'opposé, ont été retrouvés les restes d'un autre mur (XIIe) constituant le chevet de l'église Saint-Pierre.
Du coup, « alors qu'on s'attendait à tomber surtout sur des vestiges médiévaux, on est tombé aussi sur des vestiges antiques, sans avoir besoin de creuser profondément ». Les archéologues ont notamment retrouvé les traces d'une voie romaine de quatre mètres de large, bordée de fossés, et d'un trottoir, orientée perpendiculairement à la rue d'Alsace. « On en connaissait l'existence, mais ça nous permet de confirmer le tracé ».
Les archéologues ont encore jusqu'à la fin du mois d'août pour creuser. Ils n'en sont toujours qu'à 40 cm de profondeur. Et peuvent encore pousser jusqu'à un mètre par endroits.
Le sous-sol réserve peut-être encore d'autres surprises.
Article de Vincent COQUEREAU.
(c) Ouest-France Multimédia
dag49 Wrote:Donc si je comprends bien, s'ils creusent à 40cm voire jusqu'à 1mètre de profondeur, c'est qu'il n'y a pas de réseau cablé, ou de tuyaux en tout genres juste en dessous de la rue ?
Ha mais pas que pour les réseaux, pour les fondations des immeubles, etc. Autrefois, on ne se préoccupait pas de cela, on creusait et on détruisait tout sans le savoir .dag49 Wrote:Ok, je vois mais ils ont déja dû en enlever des vestiges lors de l'aménagement des réseaux sous-terrains...
Ouest-France Wrote:Les automobilistes embouteillés, sans s'énerver
Sur le boulevard Foch, les policiers municipaux « suppléent » les feux durant toute la journée. Histoire de rendre la circulation plus fluide, d'éviter l'anarchie, et parfois de faire patienter les gens en échangeant quelques mots.
Les travaux du tramway ont démarré en début de semaine sur le boulevard Foch. La circulationest dense, mais la population semble assez disciplinée et conciliante. Ambiance.
Midi, boulevard Foch. Les voitures passent au feu rouge, s'arrêtent au vert. Une situation pas si anormale que ça en période de travaux. Quatre policiers municipaux « humanisent » la circulation, par roulement. Une heure et demi, deux heures maximum, « pour ne pas être continuellement dans les pots d'échappement ». Pour sûr, il y a du trafic et ça bouchonne. Mais l'ambiance est cordiale.
Les Angevins patientent dans leurs véhicules et semblent avoir accepté l'idée d'une cité chamboulée pendant les longs mois qui précèdent la naissance du tramway. « Les gens commencent à s'y faire, confirme ainsi l'un des agents. Et changent aussi peut-être leurs habitudes, leurs itinéraires. »
Vraiment ? L'hypothèse demande vérification. A l'arrêt de bus, certains le reconnaissent : ils ont réétudié le cas des transports en commun. D'autres, pour des trajets courts, ont repris la marche, « quand il ne pleut pas... » Il y a aussi Jo, 21 ans, qui a trouvé une solution intermédiaire : « J'emprunte la planche à roulette de mon frère. J'ai calculé : aux heures de pointe, même en temps normal, je vais plus vite qu'en voiture. » Voilà des témoignages qui réjouiront Nicolas Hulot.
Patrice, de son côté, a tenté de modifier son parcours habituel. Verdict ? « Pas très concluant. Un raccourci qui rallonge, quoi », sourit-il. Et il raconte : « En début de semaine, j'ai voulu anticiper les probables bouchons. Mais je me suis un peu perdu. Surtout, je suis tombé sur d'autres voies, elles aussi fermées pour cause de travaux, ou dont le sens de circulation avait été modifié. Ça change tous les jours ! »
Alors, il a repris « les bonnes vieilles habitudes » et le boulevard Foch : « Je mets un peu plus de temps qu'auparavant, mais ça se régule assez bien, je trouve. Il suffit de partir un peu plus tôt. »
« Les gens sont compréhensifs »
Tout ça est plutôt bon enfant. Un chauffeur de taxi assure que « les gens sont compréhensifs. Nous, on s'adapte à leur demande. On leur propose de faire un détour, qui leur revient certes un peu plus cher, mais pas énormément car ça va plus vite. Après, s'ils préfèrent passer par là, quitte à attendre un peu, on le fait. » Le policier municipal fait alors un geste en sa direction : « Ah, c'est à moi ! Bonne journée. »
La semaine est terminée. Hier en fin d'après-midi, le boulevard Foch était sacrément encombré. Mais pas spécialement stressé.
Fanny ROCA.
J'ai remarqué par hasard que la voiture que je vois au 1er plan (on ne voit que le devant) semble la même dans un autre message à la page précédente de ce sujet.R312 224 Wrote:L'article du jour :Ouest-France Wrote:Les automobilistes embouteillés, sans s'énerver
jean-françois Wrote:J'ai remarqué par hasard que la voiture que je vois au 1er plan (on ne voit que le devant) semble la même dans un autre message à la page précédente de ce sujet.
petite question : comment je fais pour citer 2 "extraits" dans 1 message (que je veux envoyer) ? Merci.
jean-francois
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