tourismo69 Wrote:je me pose une question depuis des années : on fait comment pour travailler pour eurolines ?
François Wrote:tourismo69 Wrote:je me pose une question depuis des années : on fait comment pour travailler pour eurolines ?
Si tu es conducteur, il faut postuler dans une entreprise affiliée... En France Véolia
tourismo69 Wrote:je me pose une question depuis des années : on fait comment pour travailler pour eurolines ?
LAGPanoramic Wrote:En Belgique, Eurolines Belgium dispose d'un seul car, un T917 Acron. Même topo pour Eurolines Nederland, 1x T917 Acron
riri27 Wrote:Pour l'instant, seules les destinations de l'Ouest sont disponibles au départ de Paris (uniquement) : Rouen, Caen, Rennes, Angers et Nantes (+ 1 trajet transversal entre Rouen et Rennes).
williamcaurel Wrote:( temps de trajet identique à la SNCF sur ce parcours)
williamcaurel Wrote:" ce parcours" voulait dire Rouen - Rennes : 4h00 pour eurolines et 4h11 en meilleurs temps de parcours pour la SNCF.
williamcaurel Wrote:" ce parcours" voulait dire Rouen - Rennes : 4h00 pour eurolines et 4h11 en meilleurs temps de parcours pour la SNCF.
Pour avoir de la clientèle il faudrait faire des arrets à Rennes ( La Poterie) Le Mans ( Tram Université) Massy Palaiseau et le temps de trajet serait revu à la baisse.
j'avais pris eurolines de Rennes à Paris en 2003 et le trajet se faisait via Le Mans
Eurolines. Six liaisons par autocar dans le grand Ouest
Eurolines, le spécialiste du transport international par autocars, vient d'ouvrir ses sixpremières liaisons inter-régionales par autocar en France, dans l'ouest de la France.
Caen-Paris, Rouen-Paris, Rennes-Paris, Rennes-Rouen, Nantes-Paris ou Angers-Paris en autocar. Ce sont les six nouvelles liaisons que vient d'ouvrir il y a une dizaine de jours Eurolines. Une alternative de plus en plus tentante pour les voyageurs face aux prix du train.
Plus de 500 trajets à venir
Et ce n'est qu'un début car la société avait annoncé, en février dernier, son projet de lancer dans les semaines à venir plus de 500trajets entre les régions françaises. Une première pour une entreprise privée rendue possible par une loi sur le transport votée début 2010 et mise en application en janvier2011. Aucun bus supplémentaire ne sera cependant mis en place pour ces liaisons car les places proposées seront puisées dans le stock des invendus d'Eurolines.
Gain d'argent mais pas de temps
Concernant les tarifs, Eurolines annonce pour la liaison Paris-Rouen des prix à partir de 8€ pour 2h15 de trajet (contre 21€ en moyenne et 1h30 de trajet en train) et, pour la liaison Rennes-Paris en aller-simple, des tarifs à partir de 24 €, contre 55 à 60€ en train (constaté en moyenne sur voyages-sncf.com). Il faudra en revanche compter sur 6h15 de trajet en car, contre 2h seulement pour rejoindre Rennes en train. Si les tarifs sont abordables, ils intéresseront avant tout les adeptes des petits prix et les voyageurs peu pressés.
«Pas notre philosophie»
Cette nouvelle offre n'affole pourtant pas Michel Salaün, P-DG de Salaün Holidays, actuellement à Pékin, et qui a reçu la dépêche hier, sur son mobile. «Eurolines est le leader des lignes régulières internationales et s'adresse à une clientèle qui n'a pas les moyens de voyager autrement. Il est vrai que l'on regarde comment peut évoluer ce marché des liaisons interrégionales, mais on n'est absolument pas sur la même cible. On pense que la plupart des gens qui font un Rennes-Nantes ou un Rennes-Paris en car veulent aussi du service et du confort. Mettre des clients dans les cars comme des sardines dans les boîtesne sera jamais notre philosophie».
Emilio Wrote:Je suis pas tout à fait d'accord avec ce que dit Mr Salaun, j'ai déjà voyagé énormément de fois avec la société Eurolines voir à l'époque Intercars vers l'Espagne et le Portugal et on est pas plus serré que dans le TGV ou le train. Très souvent c'était des autocars de 12m80 avec 48 ou 50 fauteuils et il arrivait parfois qu'ils soient équipés de sièges en cuir et moi qui fait 1m82 je n'était pas du tout serré. Au niveau du confort je n'ai rien eut à redire surtout que ce sont généralement des véhicule récents. Après c'est sûr qu'il n'y a pas les reposes mollet comme sur certains cars de chez Salaun, mais dans le train nomplus lol
Bientôt d'autres lignes nationales par autocar ?
Au lendemain d'une réunion au ministère des Transports, Antoine Michon, directeur d'Eurolines, fait le point sur les demandes d'ouvertures de liaisons inter-régionales en autocar. Pour la quarantaine de lignes routières demandées, cinq régions auraient posé leur véto. L'Etat doit maintenant donner, ou non, son feu vert.
Mobilicités : Combien de liaisons longue distance par autocar comme celle que vous venez d'ouvrir vers le grand Ouest espérez-vous mettre sur route en France ? Antoine Michon : Une quarantaine de demandes sont en cours, il s'agit de des tronçons de lignes sur des liaisons internationales. Par exemple, Paris-Bordeaux sur les lignes au départ de Paris vers l'Espagne et le Portugal, Paris-Lille ou Paris-Valenciennes sur des liaisons entre Paris, Bruxelles et Anvers, Paris-Lens-Calais vers Londres, Paris-Lyon vers l'Italie. Et en Paca, le long du littoral méditerranéen, sur des lignes vers l'Italie. Nous avons déjà une autorisation signée du gouvernement pour le Paris-Strasbourg mais pour des raisons techniques, Eurolines n'est pas encore en mesure d'exploiter cette liaison.
Pouvez-vous nous expliquer le processus d'autorisation pour ces lignes dites de "cabotage" ?
Après le dépôt des demandes d'un opérateur routier, le ministère consulte les Régions concernées par ces nouvelles dessertes. Celles-ci ont alors deux mois pour répondre et donner leur avis positif ou négatif. S'il est négatif, elles doivent le motiver. Sans réponse de leur part, leur silence vaut consentement.
Si une région considère qu'une nouvelle liaison routière est susceptible de perturber l'équilibre économique d'un service public de transport existant, elles peuvent poser leur véto. Nous avions déposé nos demandes d'ouverture de lignes auprès du ministère des Transports le 14 avril 2011 qui a transmis aux régions. Lesquelles avaient jusqu'au 15 juin pour répondre. Début juillet, nous avons donc mis sur route six liaisons routières interégionales.
D'autres pourraient suivre ? Quelles régions se sont opposées à l'ouverture de lignes par autocar ?
Cinq régions ont émis un avis négatif et le ministère est en train de les examiner. Il s'agit de Rhône-Alpes, Bourgogne, Pays de la Loire, Lorraine et Champagne-Ardennes. Six autres régions ont répondu favorablement, y compris l'Ile-de-France. Je ne peux pas vous dire précisemment quand nous ouvrirons de nouvelles liaisons interrégionales, mais ce sera dans un délai raisonnable...
Eurolines débute timidement dans les liaisons interrégionales
Les six premières lignes « régionales » d’Eurolignes, sur les 500 qu’elle convoitait, entrent en exploitation cet été, suite à l’autorisation reçue du ministère. Les premiers billets sont en vente depuis le 8 juillet. Une modification de la Loti est espérée par la FNTV, qui permettrait aux transporteurs de proposer des lignes interrégionales s’affranchissant du cabotage.
Si Eurolines avait fait grand bruit en février dernier pour annoncer son intention de proposer dès le mois de mai plus de 500 trajets entre les régions françaises, la société est cette fois-ci beaucoup plus discrète. C’est sans tambours ni trompettes qu’elle a mis en ligne cet été ses billets pour les six premières liaisons. « Les ventes ont ouvert le 8 juillet sur les six lignes pour lesquelles nous avons obtenu l’autorisation du ministère des Transports, fin juin », se borne-t-on à confirmer au service communication. Il s’agit de dessertes en cabotage, comme le permet le décret d’application.
Quid des 494 autres lignes envisagées par la filiale de Veolia Transport ? Elles sont visiblement en attente des autorisations ministérielles. « Nous avons pris du retard sur notre agenda et avons un certain nombre de demandes en instances », confirme-t-on laconiquement. Les premières villes concernées sont toutes situées dans l’ouest de la France : Caen, Rouen, Rennes, Nantes et Angers, toutes desservies au départ de Paris. Et s’y ajoute un Rennes - Rouen. Une offre qui s’adresse aux habitués d’Eurolines, dont 46 % de la clientèle sont constitués d’étudiants et de jeunes trentenaires à petits revenus. Huit billets sur dix sont achetés au cours des quatre jours précédant le départ, à des prix garantis « les plus bas du marché ».
Il s’agit bien de dessertes en cabotage, c’est-à-dire en faisant faire des escales aux autocars effectuant des liaisons internationales, seule possibilité actuellement ouverte par la loi française. Suite à l’autorisation de Bruxelles, en 2010, un décret d’application est paru en novembre 2010, puis un arrêté en janvier 2011, fixant les conditions à remplir pour les opérateurs. Exigence impérative : le chiffre d’affaires réalisé sur la partie nationale doit représenter moins de la moitié de la totalité du CA de la ligne. Les places proposées par Eurolines sont donc puisées dans le stock des invendus des liaisons internationales, qui affichent un taux de remplissage de l’ordre de 60 à 70 %.
Sur le papier, tout est clair, alors, pourquoi tant de mystère et ce lancement en catimini ? La situation agace un peu le président de la FNTV, Michel Seyt, même s’il salue cette première. « Le ministère des Transports n’est pas en mesure de donner des informations précises sur l’examen et l’avancée des autorisations, on se demande pourquoi, s’interroge-t-il. Nous sommes plutôt en retard par rapport à des pays comme l’Italie, l’Espagne, l’Allemagne ou la Grande-Bretagne. Avec notre très forte culture du train, c’est comme si la France autorisait ces dessertes de cabotage à contrecœur. »
Cette ouverture préfigure l’évolution future promue par la FNTV, qui nécessite une révision de la Loti et est en cours de discussion avec le ministère : la mise en œuvre d’une offre interrégionale structurée à l’initiative de deux ou trois régions sans autorisation ministérielle – c’est aussi l’objet de l’amendement d’Hervé Mariton. « Il y a un marché pour l’autocar express, notamment sur des transversales mal desservies en train comme Clermont - Montpellier, estime le président. Nous espérons que quelques expérimentations verront le jour au cours des douze prochains mois… » Il est toutefois à craindre des réticences de certaines régions, qui risquent d’y voir une concurrence avec le TER. Pourtant, la loi a déjà prévu un verrou, puisque dans le cadre du cabotage les AOT peuvent contester une desserte en car qui menacerait l’économie d’une ligne existante.
Carte d’identité
- Eurolines est une association de 32 entreprises de transport privées créée en 1985. La marque fédère le plus vaste réseau de transport par car d’Europe : 600 destinations (Europe et Maroc) au départ de 92 villes de France, mais aussi d’un pays à l’autre (un Sicile - Helsinki ou un Casablanca - Moscou sont notamment proposés).
- En 2005, Veolia Transport est devenu actionnaire à 100 % du groupe VT-Eurolines, si bien que Veolia détient et exploite la marque en Belgique, en France, aux Pays-Bas et au Portugal, et est en partenariat en Pologne, Espagne et République tchèque.
- En 2009, 110 millions de kilomètres ont été parcourus sur le réseau Eurolines, qui a accueilli près de 4 millions de voyageurs en 2010.
- Près de 500 véhicules circulent quotidiennement, soit 2 % des déplacements motorisés intereuropéens.
Le match autocar/train
Pour chacune des destinations, nous avons interrogé les sites Internet d’Eurolines et de la SNCF, avec une date de départ imminente et une lointaine. A noter que la desserte Eurolines se résume à trois allers-retours par semaine, c’est-à-dire un trajet proposé un jour sur deux, soit les mardis, jeudis, et samedis au départ de Paris. Et si le match tarifaire est parfois serré, le temps de parcours est toujours en faveur du train, a fortiori pour les trois liaisons assurées en TGV. Voici les résultats :
• Paris - Rouen : dans un mouchoir
En autocar, le trajet dure 1h45 et le billet ne coûte que 8 €. En train, 1h10 à 1 heure 38 suffit pour un prix de 21,60 € en Intercités tarif normal et de 16 € en Prem’s.
• Paris - Caen : parfois au même prix
Eurolines assure la liaison en 3h30, tandis que la SNCF le fait en 1h48 ou 2h34. Le car coûte 15 €, le train 32,90 € en tarif normal, mais on peut trouver un Prem’s pour 15 € !
• Paris - Angers : kif-kif seulement en Prem’s
A partir de 17 € le parcours de 4h45 en autocar (parfois à 22, 27 ou 33 €), tandis que le TGV file en 1h30 ou 1h47 et offre des Prem’s à 28 €, et des billets plein tarif loisirs à 58,70 €, des loisirs réduits à 40, 41, 43 ou 46 €, entre autres.
• Paris - Nantes : gros avantage au TGV
Il faudra patienter six longues heures dans le car et débourser au moins 22 € (mais il en coûte 27 ou 33 € en dernière minute ou le samedi), alors que le TGV trace sa route en 2h01 (meilleur temps) et au pire 2h22 pour un prix de 58,70 € en plein tarif loisirs, le billet loisirs réduit pouvant descendre à 44 €, le Prem’s étant à 33 €.
• Paris - Rennes : l’autocar ne fait pas le poids
Moyennant 24 € et 5h45 d’autocar, les voyageurs qui ne sont pas pressés arriveront à bon port. Le TGV lui emmènera les voyageurs en 2h04 ou 2h31 pour 55,80 € (loisirs plein tarif) ou 35 € s’ils arrivent à dénicher un billet Prem’s.
• Rouen - Rennes : vive l’autocar !
Sur cette liaison qui n’est jamais directe en train, la SNCF ne fait pas le poids. Il faut passer par Paris ou Le Mans, voire les deux pour rallier ces deux villes de province, soit un temps de parcours allant de 4h12 à 5h58 pour couvrir 315 km ! Le tarif est à l’avenant : 71,20 € en plein tarif loisirs via Paris, ou 58 € via Le Mans. On peut aussi trouver des Prem’s à 57 ou 61 €. Le match est gagné haut la main par le car qui devrait faire le plein en promettant un trajet de 4h et moyennant un tarif défiant toute concurrence : à partir de 19 € !
Le gouvernement va t-il autoriser les lignes en autocar longue distance en France ?
Suite à la mise en service par Eurolines de lignes routières inter-régionales sur des trajets internationaux en juillet 2011, le ministre des Transports Thierry Mariani pourrait annoncer cet après-midi l'autorisation de nouvelles liaisons en autocar, voire des lignes longue distance à l'intérieur du territoire français. Il se rend à 16h30 à la gare routière internationale de Paris.
Eurolines a ouvert le bal en juillet 2011 avec l'ouverture de six liaisons longue distance en autocar dans l'ouest de la France. Puis deux autres, fin août.
En juillet, Eurolines France, filiale de Veolia Transdev, ouvrait six trajets en autocar dont une liaison inter-régionale, principalement dans l'ouest de la France, dans le cadre du cabotage international.
Le cabotage permet à un transporteur de faire des stops en France, pour prendre des passagers à bord, sur un trajet international.
Pour rappel, le cabotage international est autorisé par l'Union européenne et a été transposé en droit français début 2011.
Déjà huit liaisons longue distance en service
Eurolines a dégainé le premier à l'été 2011 en ouvrant la porte de certaines lignes régulières européennes, assurant ainsi le remplissage des ses autocars.
Antoine Michon, le directeur, nous avait alors indiqué que de nouvelles demandes d'autorisation avait été déposées pour l'ouverture d'une quarantaine de lignes inter-régionales, toujours dans le cadre du cabotage.
D'ailleurs, au cours de l'été, deux nouvelles liaisons ont été ouvertes : Toulouse-Narbonne et Toulouse-Perpignan.
Lundi 5 septembre après-midi, attendu pour un pont presse à la gare routière internationale de Paris (Porte de Bagnolet), le ministre des Transports pourrait annoncer de nouvelles autorisations, voire la possibilité pour les autocaristes de lancer sur la route des lignes hexagonales longue distance.
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