Modérateur: Urbino
Il conclut, en la matière, à « une formation insuffisante » du chauffeur. S'appuyant, notamment, sur ses explications : « Il a déclaré s'être adapté seul à la conduite avec un régulateur de vitesse et n'avoir bénéficié d'aucune formation spécifique
PAYBREIZH Wrote:Pourrait-on remettre en cause la solidité des châssis des Mercedes Tourismo ou le véhicule a été spécialement construit comme cela ?
PAYBREIZH Wrote:Que la carrosserie éclate si facilement, cela ne me surprends pas du tout. Ce qui est grave, c'est voir que le châssis du véhicule est très enfoncé ...
Pourrait-on remettre en cause la solidité des châssis des Mercedes Tourismo ou le véhicule a été spécialement construit comme cela ?
Ps : Normalement, un châssis, c'est solide et ça se tord moins que la carrosserie. En effet, tout repose sur lui, avant de reposer sur les roues et pneus.
Amicalement,
Laurent.
Modérateurs désolé par avance mais la c'est trop : PAYBREIZH >>> Et t'as connerie, sur quel châssis repose t'il pour balancer un truc aussi con ???
Maintenant, je précise qu'il y à une adolescente de décédée suite à cet accident et trois enseignants gravement blessé. Personne ne sait encore les circonstances exactes de l'accident. Comme le dit Francois, ont ne peut pas généraliser cet accident à la solidité du châssis ! C'est absurde !
SETRAMICHEL67 Wrote:Ensuite là ou je donne raison à Paybreizh, c'est que plus çà va, moins les autocars sont résistants...et vu les matériaux employés c'est pas étonnant.
williamcaurel Wrote:la déformation a peut-être pour but d'amortir le choc
williamcaurel Wrote:Il conclut, en la matière, à « une formation insuffisante » du chauffeur. S'appuyant, notamment, sur ses explications : « Il a déclaré s'être adapté seul à la conduite avec un régulateur de vitesse et n'avoir bénéficié d'aucune formation spécifique
C'est spécifique sur un car?
Si tous les loueurs de véhicules (voitures particulières) doivent s'assurer que le client a bénéficier d'une formation , ils vont demander aux constructeurs de les désactivés.
BUS TPG Wrote:Accident d'un autocar en Republique Tchèque, il s'agit d'un Tourismo de l'entreprise Champagne Mobilités (Groupe RATP Dev). Les images très impresionnantes témoignent de la violence du choc !
http://www.lemonde.fr/europe/article/20 ... _3214.html
stevendu22 Wrote:Bonjour,
Le numéro du car est le 11511 si ça intéresse quelqu'un.
il n'a donc pas roulé toute la nuit. Mais bon quand même... une bonne partie...
PÉROU Un car tombe de 200 m dans les Andes : au moins 26 morts
L'accident a eu lieu dans les Andes.
Au moins 26 personnes ont été tuées et sept blessées, lors de la chute de 200 mètres au fond d’un ravin d’un autocar samedi sur une route dans les Andes, dans le nord du Pérou, a annoncé la police régionale.
«Nous avons récupéré jusqu’à présent 26 corps et il y a sept personnes blessées», a déclaré à l’AFP Asto Moreno, du commissariat de Otuzco, proche du lieu de l’accident.
Le car effectuait le trajet entre la localité andine de Cajabamba, dans la province d’Otuzco, et la ville de Trujillo, sur l’océan Pacifique.
La plupart des victimes sont des enseignants exerçant dans diverses localités andines et qui devaient passer le week-end à Trujillo, a précisé la police.
L’accident s’est produit à l’aube pour une raison inconnue. Une enquête a été ouverte.
BELGIQUE Un accident de bus transportant des adolescents fait au moins 5 morts
Au moins cinq personnes sont mortes et plusieurs autres ont été blessées dimanche matin dans un accident de bus transportant des adolescents ukrainiens et russes en Belgique.
L’accident s’est produit vers 6h30 sur une autoroute en direction d’Anvers, dans le nord du pays, a indiqué la police.
Le véhicule polonais transportait une quarantaine d’adolescents ukrainiens et russes âgés de 15 à 17 ans.
Les circonstances de l’accident ne sont pas encore connues. Le chauffeur aurait perdu le contrôle de son véhicule. Le car aurait touché la rambarde de sécurité sur un pont et serait tombé en contrebas pour se retrouver couché sur le flanc.
Trois adolescents sont morts, ainsi que le chauffeur du bus et un accompagnateur, selon le dernier bilan cité par les médias locaux.
Les blessés les plus graves ont été évacués dans différents hôpitaux de la région.
Au moins un mort dans un accident de car près de L'Alpe-d'Huez
Un accident de car a fait un mort et quatre blessés, mardi 16 avril 2013, près de L'Alpe-d'Huez (Isère).
Un accident de car près de L'Alpe-d'Huez (Isère) a fait au moins un mort, mardi 16 avril, selon un bilan provisoire de la préfecture. Peu avant, cette dernière avait fait état d'au moins trois décès avant de revoir son bilan. "On en est à un seul décès, a priori le conducteur du car, trois blessés graves et 17 blessés légers", a précisé une porte-parole de la préfecture. "Parmi les trois blessés graves héliportés vers l'hôpital de Grenoble, un est brûlé à 80%. Son pronostic vital est engagé", précisent nos confrères de France 3 Alpes.
Le véhicule transportait une cinquantaine de jeunes touristes britanniques de retour d'un séjour dans la station de sports d'hiver. Vers 14h30, il a percuté une falaise au niveau d'un virage avant de prendre feu.
Le ministre des Transports attendu sur place
Un centre médical avancé a été installé à la caserne des pompiers de Bourg-d'Oisans. Plusieurs dizaines d'ambulances sont réparties entre le lieu de l'accident et la caserne, rapporte le quotidien régional Le Dauphiné libéré.,Le ministre des Transports, Frédéric Cuvillier, est attendu sur place mardi soir.
Selon Le Dauphiné Libéré, "l'hypothèse la plus probable est que les freins du véhicule ont lâché". Le journal qualifie l'accident de "très grave". France 3 Alpes indique également que la route départementale 211, vers Bourg d'Oisans, est officiellement fermée à la circulation mardi aprrès-midi.
L'accident de car de l'Alpe d'Huez "probablement dû à un problème de freinage", selon le parquet de Grenoble
Mercredi 17 avril, au lendemain du tragique accident de car qui a causé la mort du chauffeur et blessé grièvement trois passagers, le procureur de la République de Grenoble évoque le problème de freinage comme principale explication. Les rescapés ont pu regagner le Royaume-Uni.
"C'est très probablement une question de freinage. Maintenant, la question est pourquoi et l'enquête s'annonce longue, plusieurs mois", a déclaré le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat. "Il y aura des expertises et c'est toujours compliqué dans les accidents techniques car chacun se renvoie la responsabilité", a ajouté le magistrat.
Au soir du drame, des rescapés avaient rapporté à l'ambassadeur du Royaume-Uni, Sir Peter Ricketts, et au ministre des Transports, Frédéric Cuvillier, les déclarations du chauffeur juste avant son décès où il prévenait "des problèmes de freinage".
Mardi soir, toutes les autorités présentes ont rendu hommage à ce chauffeur qui, en donnant l'alerte juste avant le choc, a permis aux passagers de s'extraire rapidement alors que le bus prenait feu.
Le retour au Royaume-Uni
Cette journée de mercredi aura été marquée par l'arrivée des enquêteurs de la gendarmerie vers 9 heures dans un hôtel de Grenoble pour entendre les 49 rescapés et blessés légers.
Le tour-opérateur britannique (Skibound) devaient ensuite organiser leur rapatriement en Grande-Bretagne par vol charter. Peu après 23 heures, le porte parole de l'Ambassade du Royaume-Uni nous informait que la majorité des personnes impliquées dans l'accident était rentrée.
En parallèle, l'Ambassade a organisé l'accueil des familles des trois blessés graves encore hospitalisés. Parmi eux, une femme a été acceptée au service des grands brûlés à l'hôpital Édouard Herriot de Lyon. Deux autres sont au CHU de Grenoble, l'une en réanimation et l'autre en chirurgie.
On ne sait rien de leur état de santé.
Accident mortel dans la descente d'Huez: questions autour d’un drame
Trois jeunes Britanniques blessés dans l’accident de car qui a fait un mort et 26 blessés, mardi, dans la descente de l’Alpe d’Huez en Isère, étaient toujours hospitalisés hier. Une jeune femme de 23 ans est dans un état critique à l’hôpital des grands brûlés de Lyon et deux jeunes hommes sont maintenus au CHU de Grenoble dans un coma artificiel.
Hier après-midi, après avoir passé la nuit dans un hôtel grenoblois, tous leurs camarades (dont de nombreux blessés légers, sortis de l’hôpital mardi soir) ont pris un vol spécial affrété par le Tour opérator Skibound. Alors qu’une défaillance du sytème de freinage du car ne fait aujourd’hui plus de doute, un bon connaisseur du dossier révèle que la descente s’est déroulée normalement jusqu’au virage 20. Le conducteur (âgé de 64 ans et décédé dans l’accident) a subitement constaté que les freins ne répondaient plus, quelques secondes avant le choc.
Ralentisseur hydraulique
“La première hypothèse est celle d’une avarie technique subite. La seconde est celle d’un échauffement progressif au cours de la descente, dû à une conduite inadaptée, et qui se serait manifesté subitement à partir d’une température très précise”, explique le même interlocuteur. Après le choc, des jeunes passagers ont réussi à ouvrir la porte arrière droite du car, distante d’environ un mètre de la paroi rocheuse. C’est par cette issue que les occupants ont évacué le véhicule en flammes. L’embrasement s’étant produit à l’avant -là où se trouve le réservoir de carburant- ce sont les passagers placés dans cette partie du véhicule qui ont été les plus gravement blessés ou brûlés. Par ailleurs, ce car, de marque Berkhof à motorisation Volvo, était en circulation depuis six ans. Il était équipé d’un ralentisseur hydraulique. Conduit en alternance par 2 chauffeurs, il avait pris en charge 25 passagers à Serre-Chevalier mardi matin. Les autres voyageurs avaient ensuite pris place à Huez.
Le car accidenté mis en circulation il y a six ans
Le car accidenté mardi après-midi dans la descente de l’Alpe d’Huez était un véhicule mis en circulation il y a six ans. Il s’agit d’un autocar de marque Berkhof, à motorisation Volvo. Le propriétaire est la société “Classic”, basée à Newcastle. Il s’agit d’une importante compagnie de transport britannique puisqu’elle dispose d’une flotte d’environ 400 véhicules.
Le car était doté d’un ralentisseur hydraulique
Selon une source judiciaire, le car anglais était doté d’un ralentisseur hydraulique permettant une plus grande sécurité dans les côtes raides… Ce car Berkhof, d’un poids approximatif de 7 tonnes à vide, dont le poids total autorisé en charge (PTAC) est de 12 tonnes, tractait une remorque de trois tonnes remplie de matériel.
Il y avait eu changement de chauffeur à Huez
Le véhicule, affrété par le tour-opérateur britannique Skibound, a quitté Douvres (Angleterre) lundi avec deux chauffeurs. Il a gagné la station de Serre-Chevalier dans la soirée, qu’il a quittée en fin de matinée mardi, avec 25 passagers.
C’est le chauffeur non impliqué dans l’accident qui a conduit le véhicule lors de ce trajet entre les Hautes-Alpes et l’Isère. Le car s’est rendu à l’Alpe d’Huez, et a pris en charge le complément de passagers. Ces derniers étaient tous pensionnaires ou travailleurs saisonniers de l’hôtel de la Vallée Blanche, à Huez.
Vers 14 heures, le car a amorcé sa descente après changement de chauffeur. Une trentaine de minutes plus tard, il percutait le talus au virage numéro 21.
DRAME DU CAR ANGLAIS (ISERE SUD) Une information judiciaire va être ouverte pour “homicide et blessures involontaires"
Dans l’affaire du drame du car anglais, le parquet de Grenoble va ouvrir une information judiciaire dans les prochains jours pour “homicide et blessures involontaires”, a indiqué au Dauphiné Libéré Jean-Yves Coquillat, le procureur de la République. Un juge d’instruction va donc être saisi du dossier de l’accident qui a fait un mort, trois blessés graves et 23 blessés légers, mardi après-midi, au niveau du virage 21, dans la descente de l’Alpe d’Huez. La nécessité de procéder à des expertises et à des auditions complémentaires motive cette décision du ministère public. Il est en effet probable que les enquêteurs soient appelés à interroger les différents responsables de la société de transport Classic, propriétaire du car accidenté, et ceux du tour opérator SkiPound, qui a affrété le véhicule. Les gendarmes isérois devront probablement se rendre au Royaume Uni pour procéder à l’ensemble de ces investigations.
Accident de l'Alpe d'Huez : Le car anglais était-il "taillé" pour la montagne ?
A l'heure où le procureur de la République de Grenoble s'apprête à ouvrir une information judiciaire pour "homicide et blessures involontaires", que peut-on dire sur le car anglais qui a visiblement eu un problème de frein dans le dernier lacet de l'Alpe d'Huez ?
Ce sont des textes de loi qui régissent la circulation dans les zones de relief. Un arrêté du 2 juillet 1982 a notamment rendu obligatoire les ralentisseurs pour les transports de personnes. Déjà, en 1957, une circulaire évoquait cet équipement.
Un car, comme un camion, est équipé de freins à disque activés par un circuit pneumatique, à air comprimé, auxquels s'ajoutent le frein moteur et parfois, mais pas toujours, un troisième système, le "ralentisseur", qui peut être électromagnétique ou hydraulique, ce qui évite au chauffeur de solliciter constamment les freins.
Sachant que le car anglais était récent, 6 ans environ, il était obligatoirement doté d'un ralentisseur hydraulique idéal en montagne.
On pense donc plus à une défaillance de ces freins, mais pour quelle raison? C'est le difficile travaille des experts qui commence, "un travail qui sera long" avait affirmé le procureur de la République de Grenoble au lendemain du drame.
En attendant, les chauffeurs de l'Isère observe cet accident avec beaucoup d'attention, eux qui sont formés à la montagne.
La colère des 110 supporters de l’ASSE naufragés de l’A6
Ils sont arrivés ce dimanche matin à Saint-Étienne, fatigués et en colère. Les supporters des Verts, bloqués samedi sur l’A6, au niveau de l’aire de Châlon-sur-Saône, ont connu un vrai week end de galère
La collision entre leurs deux cars a généré une attente de quatre heures sur l’autoroute et une arrivée trop tardive au stade de France. Les supporters d’un premier véhiculer n’ont vu que la 2e mi-temps , les seconds pas plus de trente-minutes. Avant de repartir en terre forézienne vers 4 heures du matin. Ils réclament le remboursement de leur déplacement à l’ASSE, qui avait organisé leur voyage.
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