Kyro38 Wrote: les bifilaires ne sont pas vraiment populaire.
Se faire piquer par intraveineuse est rarement apprécié également ,mais pourtant ça sauve des vies...
Modérateurs: jerome, Dorfmeister, Terroir, kyah117
Kyro38 Wrote: les bifilaires ne sont pas vraiment populaire.
Donostian Wrote:Il n'y a plus de raisons valables à faire l'impasse sur la traction électrique...
La RATP ne connaît pas la crise
Malgré un contexte économique déprécié et les chiffres du chômage qui s'envolent, entraînant forcément une baisse de la mobilité en partie compensée par la hausse des prix du carburant, la RATP qui exploite les transports publics parisiens, une partie du réseau francilien et de nombreux réseaux en province et à l'étranger tire son épingle du jeu. Les filiales réalisent 14% du chiffre d'affaires du groupe.
"Les résultats semestriels 2012 se maintiennent à un niveau historiquement élevé, en ligne avec les objectifs. Ces bons résultats concernent aussi bien l’EPIC que les filiales (RATP Dev, mais pas Systra dé-consolidée après la fusion des sociétés d'ingénierie de la RATP et de la SNCF en juillet 2012 NDLR)", se félicite le patron de la RATP Pierre Mongin.
Les filiales, dont le chiffre d’affaires atteint 365 millions d’euros, contribuent à 14% du chiffre d’affaires du groupe, contre 12% au 30 juin 2011 à périmètre constant.
Au premier semestre 2012, sa principale filiale, RATP Dev qui réalise 64% de son chiffre d’affaires à l’international, a remporté plusieurs marchés au Maghreb (tram d'Alger, d'Oran et de Constantine en Algérie, tram de Casablanca au Maroc) et aux États-Unis avec le réseau de bus d’Austin au Texas et le tram de Washington.
En Grande-Bretagne, RATP Dev a racheté le transporteur britannique HR Richmond, et le marché britannique constitue aujourd'hui la première zone d'activité de la filiale à égalité avec la France. Grâce à la force de la Livre sterling par rapport à l'euro et depuis l'héritage des actifs nés de la fusion Veolia Transdev.
CA "impacté" et légère baisse de trafic
Au 30 juin 2012, semestre au cours duquel les activités de gestionnaire d'infrastructure et d'opérateur de transport ont été séparées dans les comptes de l'entreprise publique, le chiffre d'affaire consolidé du groupe s'élevait à un peu plus de 2,5 milliard d'euros, en progression de 0,2% à périmètre constant, mais "impacté négativement par la déconsolidation de Systra et l'application de la nouvelle norme comptable IFRIC 12 au matériel roulant dans le cadre du nouveau contrat signé avec le Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif)", précise le communiqué. "A méthode constante, la progression du chiffre d'affaires consolidé aurait été de 4,5%", a insisté Pierre Mongin lors de sa présentation devant la presse, le 3 septembre en fin de matinée.
Le résultat d'exploitation se maintient à 265 millions "grâce notamment à la performance des filiales et "en dépit d'un contrat plus exigeant avec le Stif qui s'est traduit part la remise à zéro des incitations financières de la RATP. Le contrat signé en mars est implacable sur la ponctualité et la régularité des métros, RER et bus. Malus à l'appui".
Le résultat net du groupe baisse à 149 millions d'euros, contre 155 millions en juin 2011 (en partie à cause de ce système de bonus-malus plus drastique), et la contribution des filiales à ce résultat net augmente de 3 millions d'euros.
Quant aux recettes voyageurs, elles affichent une hausse de 3,2% à 1,126 milliard d'euros, malgré une baisse du trafic de 0,8% depuis janvier 2012, uniquement sur le réseau d'autobus et de tramways. Recul que Pierre Mongin attribue essentiellement aux travaux de construction ou de prolongement des lignes de tramways. La bonne tenue des recettes malgré le recul du trafic s'explique par la hausse des prix des tickets et l'augmentation du nombre des abonnements vendus.
Signe d'un report de la voiture vers les transports collectifs à cause de l'envolée du prix des carburants ? Pierre Mongin en a l'intuition, "même si nous ne disposons d'aucune étude pour l'étayer", a t-il confié.
6,5 milliards d'investissements d'ici à 2016
Au premier semestre, le groupe a investi 580 millions d’euros dont 564 millions en Ile-de-France (+7,2%) avec notamment les nouvelles rames du RER A et les rames rénovées sur le RER B. En ligne de mire pour le second semestre 2012, l’automatisation intégrale de la ligne 1 du métro et les prolongements de la ligne 12 du métro et des lignes de tramway T1, T2 et T3, soit 25 km de lignes de tram.
Et sur les quatre prochaines années, le budget d'investissement inscrit dans le contrat avec le Stif est de 6,5 milliards d’euros pour moderniser les transports franciliens.
La capacité d’autofinancement du groupe représente 430 millions d’euros, "mais un besoin en fonds de roulement conjoncturel a nécessité un endettement supplémentaire sur la période", indique la RATP dont la dette historique représente plus de 5 milliards d'euros.
Les perspectives pour fin 2012
Le transporteur public compte bien jouer un rôle de choix dans le projet du Grand Paris Express en se positionnant sur les marchés de maîtrise d’œuvre, "en particulier celui des systèmes", a indiqué Pierre Mongin."Par exemple, nous sommes en train de préparer les appels d'offres pour les travaux de prolongement de la ligne 14 vers Saint-Denis-Pleyel".
En province, où RATP Dev a remporté les bus de Charleville-Mézières et a été renouvelée pour exploiter ceux de Moulins et de Bourges, la filiale est candidate à l’exploitation de plusieurs autres réseaux comme à Boulogne-sur-Mer, Sens, Châtellerault, Pays d’Olonnes. A l’international enfin, l'entreprise attend des résultats d'appels d'offres en Asie et "sur la route de l'Asie", comme l'a confié Jean-Marc Janaillac, pdg de RATP Dev à Mobilicités.
Restent certains actifs de Veolia qui cherche à se désinvestir de sa filiale transport Veolia Transdev et qui semblent intéresser la RATP, comme la SNCF : "Nous nous sommes mis d'accord avec Guillaume Pepy (patron de la SNCF, NDLR), mais la décision revient d'abord à l’État". Et à l'autorité de la concurrence... C'est vers l'Asie, où RATP Dev a une joint venture avec Veolia que le duo Mongin-Janaillac lorgne tout particulièrement.
Grève le 9 octobre à la RATP : trafic quasi-normal sauf sur le RER B
Des perturbations sont à prévoir demain sur le RER B, avec trois trains sur quatre en circulation, mais le reste du trafic des transports parisiens devrait rester quasi-normal, à la suite du dépôt d'un préavis de grève de la CGT, selon la RATP.
Le trafic du RER B sera perturbé, mais les interconnexions devraient être assurées au niveau de la Gare du Nord, indique la RATP.
Par ailleurs, la circulation des métros devrait être normale, et le trafic quasi-normal sur les réseaux bus, trams et le RER A.
Le mouvement s'inscrit dans le cadre de l'appel à la mobilisation lancé par la CGT pour la journée de mardi, pour la défense de l'industrie et de l'emploi.
Thibaut Wrote:Bonjour à tous !
Je ne sais pas si je poste au bon endroit mais je ne savais pas trop où mettre ce qui suit ^^
Je me suis toujours posé question: comment cela se fait-il que certain bus RATP n'ont/n'avaient pas de plaques d'immatriculations "normales" du style 1234 AA 56, mais simplement leurs numéros de parc ? S'agit-il ou s'agissait-il d'un autorisation spéciale de la préfecture ?
@+
La Cour des comptes accable la RATP pour sa gestion du marché du RER A
Les rames du RER A font l'objet d'un rapport critique de la Cour des comptes, resté confidentiel depuis juin 2012, et que "Le Monde" s'est procuré.
Rutilantes dans leur robe d'acier grise et verte, elles traversent depuis près d'un an l'Ile-de-France d'est en ouest en passant par Paris. Inaugurées le 5 décembre 2011 par Nicolas Sarkozy, les nouvelles rames à deux étages du RER A devaient, selon le président de la République, à l'orée de sa campagne présidentielle, améliorer les transports de "millions" de voyageurs. Aujourd'hui, ces rames font l'objet d'un rapport critique de la Cour des comptes, resté confidentiel depuis juin 2012, et que Le Monde s'est procuré. Celui-ci dénonce la "pratique contestable" et "peu efficace" de la RATP pour lancer au meilleur prix ce marché de 2 milliards d'euros diligenté par l'Elysée.
La commande passée en avril 2009 par la Régie à Alstom-Bombardier de 65 trains n'a pas permis de faire jouer "ouvertement la concurrence", souligne le rapport. Pour respecter la promesse présidentielle de livrer en un temps record 65 trains, le PDG de la RATP, Pierre Mongin, a choisi de commander "un matériel aussi proche que possible" des trains déjà en service sur la ligne, construits par le groupement Alstom-Bombardier, explique la Cour. L'industriel a pu faire des propositions rapidement. Ce qui l'a "favorisé" au détriment de concurrents potentiels. Aucun n'a présenté d'offre alternative.
"COÛTS PRÉVISIONNELS TRÈS INFÉRIEURS À L'ESTIMATION RÉELLE"
La direction de la RATP a dissimulé la vérité des prix à son conseil d'administration en diffusant "des coûts prévisionnels très inférieurs à l'estimation réelle", et ce "en toute connaissance de cause". La direction de l'entreprise a justifié à la Cour cette démarche en expliquant qu'elle visait à "dissuader les industriels de présenter des offres trop chères", indique le rapport.
La Cour des comptes réfute cet argument en indiquant qu'"il est possible de se demander" si "le bas niveau de l'estimation" n'a pas simplement "contribué à dissuader les industriels autres qu'Alstom-Bombardier de déposer une offre".
Dans la lettre jointe au rapport, datée du 30 août et destinée à Gilles Carrez, président (UMP) de la commission des finances de l'Assemblée nationale, Didier Migaud, le premier président de la Cour, observe que "cette absence de concurrence largement prévisible n'a pas été propice à l'obtention de conditions financières favorables" à la RATP.
L'estimation "leurre" établissait le coût par train à 20 millions d'euros. Ce montant "ne reposait sur aucune analyse", indique la Cour. Il a été présenté au Syndicat des transports d'Ile-de-France (STIF). L'autorité organisatrice des transports, présidée par Jean-Paul Huchon (PS) – à la tête du conseil régional – a, "pour la première fois", souligne M. Migaud, accepté de "cofinancer un programme majeur d'acquisition de matériel". Mais le STIF s'est engagé à payer la moitié du marché sur la base du coût prévisionnel annoncé par la RATP en 2008, c'est-à-dire à verser 650 millions d'euros.
LA MAIN À LA POCHE
Lors de la signature du marché en 2009, l'offre réelle d'Alstom a atteint plus de 25,8 millions d'euros par train. La RATP a tenté d'obtenir une participation du STIF paritaire mais au prorata du coût réel. Elle a essuyé un refus net et clair de la part de M. Huchon. La Régie s'est vue contrainte de prendre à sa charge les 190 millions d'euros supplémentaires par rapport à ce qu'elle aurait dû payer si elle avait fait la vérité des prix dès le départ. Au final, le STIF ne supporte que 37 % du coût réel total, au lieu de la moitié. "La stratégie" de la RATP "était peu efficace pour tirer les prix vers le bas", observe M. Migaud. Avec une seule entreprise sur les rangs, elle n'était pas en position de force pour négocier. Le bluff sur les prix "a privé la Régie d'une partie du financement qu'elle pouvait espérer du STIF", conclut la Cour.
En juin 2012, le marché des 65 trains a été réévalué à 2 milliards d'euros. Le STIF promet toujours de verser 650 millions d'euros. Reste 1,35 milliard d'euros à la charge de la RATP, soit plus des deux tiers du coût. Consolation : selon la Cour, la Régie devrait se voir compenser en "grande partie" ce manque à gagner après 2039. Ce sera aux collectivités qui financent le STIF de mettre la main à la poche pour payer au prix fort la facture présidentielle de 2011.
Épinglée par la Cour des comptes pour le RER A, la RATP réplique
Lemonde.fr du 27 novembre 2012 révèle qu'un rapport de la Cour des Comptes épingle la RATP pour sa gestion d'un marché de 65 trains destinés au RER A. Passée en avril 2009 pour un montant de deux milliards d'euros au consortium Alstom Bombardier, cette commande n'aurait pas permis de faire jouer "ouvertement la concurrence" écrit le quotidien. Une accusation dont la RATP se défend dans un communiqué.
Ce rapport de la Cour des comptes date de juin 2012. Il s'agit d'un rapport particulier remis aux dirigeants et au ministre de tutelle a indiqué la Cour des Comptes à l'AFP.
Selon Le Monde, les experts de la rue Cambon expliquent que "pour respecter la promesse présidentielle de livrer en un temps record 65 trains, le président de la RATP, Pierre Mongin, a choisi de commander "un matériel aussi proche que possible" des trains déjà en service sur la ligne, construits par le groupement Alstom-Bombardier". Ce qui a permis à l'industriel de faire des propositions rapidement et l'a "favorisé" au détriment de concurrents potentiels. "Aucun n'a présenté d'offre alternative", ajoute le quotidien.
La direction de la RATP aurait dissimulé la vérité des prix à son conseil d'administration en diffusant des coûts prévisionnels très inférieurs à l'estimation réelle" "en toute connaissance de cause". Elle aurait ensuite tenté d'obtenir une participation paritaire mais au prorata du coût réel auprès du Syndicat des transports d'Ile-de-France (Stif), autorité organisatrice des transports, présidée par le socialiste Jean-Paul Huchon. "Elle a essuyé un refus net et clair de la part de M. Huchon", écrit encore le journal.
Marchés approuvés à l'unanimité
Selon la RATP qui a réagi à ces accusations par un communiqué, "il n'y a aucun problème dans la conduite des marchés qui ont été passés après une procédure d'appel d'offre européen, et qui ont été approuvés en toute connaissance de cause par le conseil d'administration de la RATP, en deux temps". D'abord "en mars 2009 pour la livraison de 60 éléments", puis "en juin 2012, pour la levée de la tranche conditionnelle de 70 éléments complémentaires pour acquérir de nouveaux trains à deux niveaux de la ligne A", précise la Régie. Elle ajoute que "dans les deux cas, le conseil d'administration de la RATP a approuvé à l'unanimité ces marchés. La procédure d'achat et l'appel à concurrence ont donc été parfaitement réguliers, contrairement à ce qui est insinué dans l'article du Monde".
A propos du coût de ce marché, la RATP indique : "la Cour des comptes a relevé que l'estimation technique préliminaire et non détaillée des services du matériel de la RATP avait servi de base à la discussion avec le Stif pour obtenir de lui un financement d'une partie de l'investissement. Il s'est avéré que cette estimation était inférieure à la réalité du prix final, et qu'en conséquence le taux de participation du Stif calculé sur 50% de l'estimation s'est avéré, après coup, limité à 37% du coût du projet; la différence (190 millions d'euros) étant assumée par l'entreprise publique". La RATP précise qu'elle est "pleinement en mesure d'assumer le reste du financement" dans le cadre de son contrat pluriannuel avec le Stif "tout en stabilisant sa dette".
Livrés en 30 mois
Le communiqué de la RATP précise également un point qui selon elle est essentiel : " Le groupement retenu a réalisé en 30 mois la fabrication et la livraison de trains qui sont fiables, livrés dans les délais prévus, appréciés des voyageurs et des agents RATP."
Livrés au rythme de deux trains par mois, ils vont permettre d'accroître de 50% la capacité de la ligne A, l'une des plus chargées au monde.
Le Point Wrote:Une rame de métro évacuée au-dessus de la Seine
LePoint.fr – il y a 17 heures
À la suite d'un "accident grave de voyageurs", le trafic a été interrompu sur le pont de Bercy.
Les passagers d'une rame du métro parisien, immobilisée sur un pont enjambant la Seine, ont été évacués mercredi après-midi sans incident, a-t-on appris auprès de la RATP, confirmant une information de la radio France Bleu. À la suite d'un "accident grave de voyageurs" sur la ligne 6 (Nation-Étoile par Denfert) à la station Nationale, la RATP a interrompu le trafic entre les stations Place d'Italie et Dugommier, selon la régie.
La coupure d'alimentation électrique a alors immobilisé une rame sur le pont de Bercy. Conformément à la procédure, le machiniste a alors fait évacuer les passagers de la rame qui se sont rendus à pied à la station suivante en longeant les rails. Entamée à 15 h 48, l'évacuation s'est terminée sans incident à 16 h 24 et le trafic a ensuite repris sur la totalité de la ligne.
izgood Wrote:Bonjour
La RATP investira 1,72 md€ en 2013, voir Le Figaro :
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/1 ... n-2013.php
PR118 Wrote:izgood Wrote:Bonjour
La RATP investira 1,72 md€ en 2013, voir Le Figaro :
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/1 ... n-2013.php
Dont l'acquisition de 500 bus articulés, un record pour l'entreprise, les heureux élus sont Irisbus et Evobus.
@+
greg59 Wrote:C'est pour le remplacement des Agora L ?
greg59 Wrote:Peut on connaitre les lignes qui passeront en articulés ?
PR118 Wrote:greg59 Wrote:Peut on connaitre les lignes qui passeront en articulés ?
Il y aurait le 26, 38, 60, 150, 170, 258 (rien n'est arrêté pour certaines lignes et je ne connais pas encore la liste complète). Le 393 est passé en articulé y a quelques semaines et le 272 récemment depuis la mise en service du prolongement du T2.
@+
greg59 Wrote:Ok, il doit y avoir surement d'autres lignes
PR118 Wrote:izgood Wrote:Bonjour
La RATP investira 1,72 md€ en 2013, voir Le Figaro :
http://www.lefigaro.fr/flash-eco/2012/1 ... n-2013.php
Dont l'acquisition de 500 bus articulés, un record pour l'entreprise, les heureux élus sont Irisbus et Evobus.
@+
rail45
Pour le 189, le matériel a été renouvellé récemment et je ne crois pas que l'articulé soit à l'ordre du jour, d'autant que le passage au niveau de TF1, déjà délicat avec un standard, risque de l'être encore plus avec un articulé. De plus, le dépôt de Fontenay-aux-Roses n'est pas adapté à recevoir des articulés.
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