
=> http://letramdetours.blogspot.fr/2012/1 ... ja-la.html

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Tours97 Wrote:Ça c est pas bête ,la ville de Tours pense à de bonnes choses pas comme à Aix en Provence ,quand il construit qqc ils détruisent peu de temps après !
La ligne 2 est prévu pour 2020 je suppose ?
Il n y a pas encore une date précise pour l inauguration de la première ligne de tramway ?
C est toujours le 1er Sept 2013
Maastricht Wrote:On a parlé effectivement de 2018, il y a un an ou deux, mais ça me semble maintenant très optimiste. Le PDU est encore en cours d'élaboration, et rien n'est défini sur le tracé de cette deuxième ligne, en dehors du tronçon Sud pour lequel cet aiguillage a été posé, et pour lequel il y a une quasi-unanimité.
On s'oriente à mon humble avis sur une mise en service vers 2020, au mieux.
Concernant le futur réseau bus/tram, il sera présenté en mai prochain (l’expo lui étant dédiée à la Maison du tramway est maintenant terminée). Nous n'avons rien à vous envoyer pour l'instant.
La nouvelle et 7ème exposition vient d'ouvrir ! Venez découvrir les métiers liés au tramway !
Tours97 Wrote:Ça c est pas bête ,la ville de Tours pense à de bonnes choses pas comme à Aix en Provence ,quand il construit qqc ils détruisent peu de temps après !
Padicha Wrote:Alors, il y a le secteur rue de Jemmapes - îlot Gentiana, le pont Wilson et le nord de la rue Nationale, avenue de Grammont, pont sur le Cher et Jean Monnet.
La plupart de ces secteurs sont en finitions à l'exception du pont Wilson où la pose des rails est toujours en cours !
Ainsi que ces photos de Maastricht :
http://snofilbleu.free.fr/forum/viewtop%20...%20717#p11717
La nouvelle République Wrote:Tram : et maintenant, il roule !
A Tours mais aussi à Joué-lès-Tours, l'année 2012 restera comme la plus intense du long chantier du tramway, avec son cortège de désagréments pour la vie quotidienne des Tourangeaux. Reste que depuis plusieurs semaines, la lumière brille au bout du tunnel : au sens propre comme au sens figuré, le tramway est désormais sur les rails. Le 12 novembre dernier, la première rame du Citadis, fabriquée dans l'usine Alstom de Reichshoffen, en Alsace, a effectué sa première sortie entre le centre de maintenance de la Chambrerie et le quartier de l'Europe. Sans personne à son bord sinon le personnel du constructeur, car il s'agissait de procéder à des essais.
Reste que le compte à rebours qui mène à la mise en service officielle, au début du mois de septembre 2013, est désormais enclenché. A part quelques mètres encore manquants sur le pont Wilson et au carrefour de Verdun, les rails seront bientôt tous posés. L'ultime soudure est d'ailleurs attendue pour la fin du mois de janvier.
En mars, le tramway devrait faire son apparition en centre-ville pour poursuivre ses essais, tracté dans un premier temps par une motrice « rail-route ». Et en avril, il pourra rouler de manière autonome sur l'ensemble de la ligne, une fois le système d'alimentation par le sol mis en service entre la place Choiseul et la gare SNCF.
Quant à la facture finale, elle a été récemment précisée par Jean Germain : il en coûtera 401 millions d'euros. Hors taxes.
La pose des rails s'étirera jusqu'à la fin janvier
La dernière soudure de rail est prévue, fin janvier, au niveau du pont Wilson.
La mise en place de la voie ferrée sur la ligne de tramway, qui devait être bouclée en décembre, ne s’achèvera qu’à la fin janvier.
L'installation de la voie ferrée constitue l'aspect le plus symbolique (et le plus visible) de l'arrivée du tramway sur l'agglomération tourangelle. Une opération dont le coup d'envoi a été donné en août 2011, dans le quartier de la Rabière (Joué-lès-Tours), qui est aujourd'hui entrée dans sa dernière ligne droite sur les 15 km de la ligne.
Elle va toutefois jouer les prolongations, car la pose des rails (*) ne sera pas bouclée pour cette fin d'année, contrairement à ce que prévoyait le planning prévisionnel présenté en septembre dernier. « La fin des travaux de voie ferrée est désormais programmée la dernière semaine de janvier, confirme Jean-Luc Paroissien, directeur de projet à Cité Tram. Il reste aujourd'hui deux secteurs à terminer : le carrefour de Verdun et le pont Wilson. »
Lancement des essais au mois de mars
C'est sur l'ouvrage d'art enjambant la Loire que la dernière soudure devrait être réalisée. « Sur le pont Wilson, nous avons dû faire face à des intempéries et nous n'avons pas pu rattraper le retard », justifie Jean-Luc Paroissien. Les équipes d'Alstom ne devaient d'ailleurs pas observer de trêve des confiseurs et travailler sur la mise en place de l'alimentation par le sol (APS) entre Noël et le jour de l'An.
Ce retard dans l'achèvement de l'infrastructure ferroviaire ne remet toutefois pas en cause le calendrier des essais et des formations de conducteur. A partir de la mi-mars, des rames devraient circuler en différents secteurs de la ligne. Et avant la fin du mois d'avril, l'ensemble de la ligne – y compris la partie en APS, entre la place Choiseul et la gare SNCF – sera opérationnel. Les « essais d'ensemble », avec tous les systèmes en fonction, s'échelonneront alors jusqu'à fin juillet.
Puis le tramway s'offrira un ultime galop d'essai avec une « marche à blanc », autrement dit une mise en condition réelle d'exploitation sans voyageurs, en vue d'une ouverture commerciale de la ligne le 1er septembre.
(*) Au total, ce sont 66,4 km de rails, dont 6,3 km dans l'emprise du centre de maintenance de Tours-Nord, qui seront alignés pour la réalisation de la première ligne de tramway.
1949 : le temps du démontage
Au siècle dernier, le tram circulait – déjà ! – dans les rues de Tours. La NR se replonge dans la chronique de l'époque.
Octobre 1949. Le dernier tram avait à peine terminé son service que déjà on parlait du démontage des rails et de leur récupération. Et les rails qui provoquaient régulièrement la chute des cyclistes, tolérés jusqu'ici par nécessité, devenaient la première installation à enlever.
Le 27 décembre 1949, une commission se réunissait à la préfecture en vue de l'attribution du marché de récupération des vieux métaux : acier des rails et cuivres des fils. Quantités prévues approximativement : 140 tonnes d'acier et 6,5 tonnes de cuivre. Cinq entreprises étaient sur les rangs proposant de 3,6 à 4,6 francs le kilo d'acier, et de 86 à 119 francs le kilo de cuivre. Une entreprise de Tours, Veyssière, avait obtenu le marché des rails, et une autre de Paris devait récupérer les fils démontés.
Une société lorraine, Sométal, proposait de récupérer les rails en échange de la remise en état des chaussées gratuitement. Elle invoquait des raisons humanitaires : « Beaucoup de cités ont déjà pu faire disparaître tout vestige de ces moyens de transport jugés archaïques, encombrants, et source permanente d'accidents, souvent même mortels. »
Pour la remise en état des chaussées, il y avait deux solutions : soit la rue était pavée et il fallait la remettre en état en reconstituant le pavage tel qu'il était à l'origine, en reprenant les pavés que l'on avait stockés au départ ; soit les rails étaient recouverts de bitume. Le « comité des fêtes et intérêts généraux du quartier Paul-Bert » s'inquiétait dès le 29 juillet 1950. Il avait prévu une course cycliste pour la fête annuelle du 9 au 12 septembre, et il fallait absolument que les rails soient rebouchés à temps. Ce sera fait !
Quelques mois plus tard, la première facture de la remise en état arrivait : l'entreprise Lagaisse réclamait 3.600.000 francs pour repaver les chaussées débarrassées des rails.
Et petit à petit, tout le réseau mis en place depuis 1877 sera démantelé.
La nouvelle République Wrote:Deuxième ligne de tram : on verra après 2014 !
C'est au centre de maintenance du tramway que Jean Germain a formulé hier les vœux aux élus et au personnel de Tour(s)plus . - (Photo NR, Hugues Le Guellec)
Pour éviter les “ crispations ” entre maires de l’agglo, la discussion sur le tracé de la deuxième ligne de tramway est reportée après les municipales.
Quel symbole ! Pour illustrer la prise de la compétence « transports » par l'agglo, programmée au cours de cette année 2013, Tour(s) plus avait choisi d'organiser sa traditionnelle cérémonie des vœux au centre de maintenance du tramway, rue Daniel-Mayer. Devant un auditoire dense – dont de nombreux élus des 19 communes du territoire – et deux rames du Citadis d'Alstom, qui attendent d'être officiellement « livrées », le 18 janvier, au syndicat des transports en commun, Jean Germain en a profité pour évoquer la future deuxième ligne du tram tourangeau.
Une ligne dont le tracé ne sera défini qu'après les municipales de 2014, a-t-il annoncé ce lundi. Pourquoi différer ce débat ? Il s'agit, précise le président de Tour(s) plus, d'éviter que le sujet ne provoque des « tensions artificielles » entre les différents maires, par ailleurs en lice pour leur réélection. « Dans un contexte de campagne électorale, ce la pourrait arriver. Nous trancherons donc après ! » Et d'annoncer, malicieusement, que cela donnera aux uns et aux autres « le temps de la réflexion. » Il aura l'occasion de s'en expliquer avec les élus corpopétrussiens vendredi prochain puisqu'il assistera (avant de se rendre à ceux de Philippe Briand à Saint-Cyr), aux vœux à la population de sa collègue sénatrice-maire, Marie-France Beaufils, qui plaide depuis de longs mois pour une desserte de sa commune.
Reste qu'au-delà du tramway, la compétence transports dont l'agglo s'apprête à se saisir concerne l'ensemble du réseau exploité par Fil Bleu. Au passage, Jean Germain n'a d'ailleurs pas manqué de rappeler que les titres de transports (billets à l'unité, abonnements) permettront d'emprunter, à un tarif identique, indifféremment le bus ou le tram.
« C'est l'ensemble de notre système de transport qui va devenir plus complet et plus attractif », a de son côté expliqué Philippe Lacaïlle, le directeur général des services de Tour(s) plus, mentionnant les 2,5 M€ qui seront bientôt investis pour créer une ligne BHNS (bus à haut niveau de service) entre l'avenue de Grammont et le CHU Trousseau. En attendant le tram ? On le saura… après 2014 !
à suivre
Alors que les communes sont, en ce moment, appelées à choisir la date à laquelle leurs écoles élémentaires reviendront à la semaine de quatre jours et demi Jean Germain annonce une prochaine réunion des maires de Tour(s)plus afin « d'harmoniser les rythmes scolaires sur l'ensemble de l'agglo ». Quant à l'application de la réforme, la ville de Tours l'a déjà repoussée à septembre 2014, comme le gouvernement en laisse la possibilité.
Obstacles
La « méthode Germain », c'est parfois de contourner l'obstacle plutôt que de l'attaquer de front. Le choix de repousser la décision sur le tracé de la deuxième ligne de tramway procède de cette stratégie. C'est aussi une manière de calmer localement le jeu avec les communistes en général et Marie-France Beaufils en particulier qui fait de cette question un enjeu majeur pour le développement de Saint-Pierre-des-Corps. Le tram ira-t-il un jour jusqu'à la Rabâterie ? C'est loin d'être gagné mais, si l'agglo disait non à une desserte de la cité cheminote avant même la campagne des municipales, l'affaire aurait sûrement tourné au casus belli. « On ne sort de l'ambiguïté qu'à son détriment », disait le cardinal de Retz, et Jean Germain connaît ses classiques. Il est en revanche un obstacle qu'il veut aborder sans atermoiement : celui du rattachement à Tour(s)plus de Chanceaux-sur-Choisille, Parçay-Meslay et Rochecorbon. Les débats ont eu lieu dans les conseils municipaux concernés et cette adhésion a été ratifiée, constate-t-il. « Les décisions votées doivent être exécutées, telle est la règle dans notre République », a-t-il redit hier. La balle est désormais dans le camp du préfet.
Saint-pierre-des-corps 2e ligne de tram : le lobbying continue
Marie-France Beaufils continue de réclamer une ligne de tram pour desservir la Rabâterie, la gare TGV, les Granges-Galand et les Fontaines.
Rien, elle ne lâchera rien ! Hier soir, lors de la cérémonie des vœux, Marie-France Beaufils est revenue à la charge à propos de la 2e ligne de tramway, et c'est tout sauf une surprise.
La sénatrice et maire de Saint-Pierre-des-Corps voulait, en effet, répondre à l'annonce qu'a faite Jean Germain, lundi, et qu'il a répétée jeudi soir : rien ne sera tranché à propos de l'éventuelle construction d'une 2e ligne avant 2014, autrement dit les élections municipales.
« En même temps, certains avancent fortement l'idée qu'un bus à haut niveau de service serait suffisant à Saint-Pierre », poursuit Marie-France Beaufils, en regardant Jean Germain, qui l'écoute, debout, au milieu de l'assistance, et vers qui plusieurs visages se tournent.
« J'ai dit " certains ", je n'ai pas dit " le président de l'agglomération " », plaisante-t-elle aussitôt. Elle doit penser à Jean-Gérard Paumier, le maire de Saint-Avertin, et à Christian Gatard, le maire de Chambray, qui se sont exprimés sur la question, notamment dans nos colonnes.
Marie-France Beaufils a donc souhaité rappeler tout son attachement à ce projet de 2e ligne de tram « qui pourrait desservir, bien sûr, la Rabâterie, quartier d'habitat social qui mérite d'être désenclavé autant que le Sanitas à Tours ou la Rabière, à Joué-lès-Tours ».
D'autre part, la desserte de la gare par le tram est une perspective « à ne pas négliger » car, même si une « navette dédiée » était remise en service entre les gares de Tours et Saint-Pierre, elle ne suffirait pas, estime-t-elle. En plus, les problèmes de stationnement dans le secteur de la gare TGV se répercutent dans les rues du centre-ville, l'agrandissement du parking payant ne semblant rien régler : « C'est difficile à supporter, en permanence. »
Maastricht Wrote:Il faut voir combien d'axes seront retenus au prochain PDU, et si le PDU parle explicitement d'un tramway ou d'un BHNS, ou plus globalement d'un TCSP.
Maastricht Wrote:Qu'un tramway desserve St Pierre Gare et le quartier de la Rabâterie en partant de Tours, pourquoi pas, c'est ce qui était prévu au PDU de 2003. Le coût serait raisonnable, et la fréquentation attendue serait a priori jouable pour un tram fer.
Maastricht Wrote:L'axe St Pierre-des-Corps - Fontaines - Trousseau est par contre inenvisageable en tramway : coût démesuré, fréquentation faible, insertion très difficile. Marie-France Beaufils réclame le plus pour avoir le moins, c'est une tactique.
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