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voix du nord édition Béthune Wrote:En 2013 si tout va bien. C'est le délai prévu pour redonner son lustre à la Rotonde et au centre-ville. Copié sur Mons, le projet promet un centre commercial flambant neuf et des « locomotives » de renom international autour du beffroi.
PAR ISABELLE MASTIN
bethune@info-artois.fr Forum Invest, ce n'est pas très vendeur comme nom de prince charmant. Mais pour peu que le soupirant sorte de sa poche la bagatelle de 250 millions d'euros, on lui découvre des charmes insoupçonnés. Comment ça, vénale ? Fi ! La ville ne badine pas avec sa bonne mine économique, voilà tout.
Au point d'embarquer ses élus et ses commerçants, direction Mons.
Éric Delobel y joue les guides et incarne le groupe hollandais au tableau de chasse fort du projet lillois des Galeries Lafayette. Philippe Preudhomme, chargé de négocier le contrat nuptial, s'ébaubit sitôt entré dans le centre commercial des Grands Prés. Du Forum Invest tout craché. Verrière immense, matériaux nobles, insonorisation parfaite... De quoi faire rêver les Béthunois quand ils songent à la Rotonde : les négociations sont assez engagées pour qu'en 2013, Béthune n'ait plus à pâlir d'envie. Les plans sont tracés, inspirés de Mons (lire ci-dessous) . Éric Delobel l'affirme : « La Rotonde est un maillon essentiel dans l'aménagement de la ville, au centre de quartiers en mutation ou devant muter ». La proximité de l'A26 en fait en outre « un point de passage vers l'hypercentre.
» De Béthune, il retient « un potentiel inexploité de 240 000 personnes » et 200 millions d'euros évadés vers Noyelles-Godault, la Porte Nord et potentiellement Loisinord 2.
Mais pas question de déshabiller Pierre pour habiller Paul : « L'hypercentre n'est pas moribond ». C'est même 226 enseignes et une Maison du commerce bien décidée à ne pas louper le coche. La lacune du centre, c'est le manque d'enseignes nationales, par manque de locaux. Des 1 000 ou 1 500 m² que Philippe Preudhomme sait où trouver : la médiathèque, déménagée, les deux ailes de la mairie à couvrir façon orangerie... Un fonds d'investissement parallèle au FISAC porterait des animations.
La Rotonde ? C'est « 18 ha à réaménager ». Imaginez : la Rotonde 2 transférée côté Rotonde, au profit d'un pôle résidentiel et de loisirs (terrain sportif, salle de spectacles plus vaste que le théâtre...) isolé par un mur anti-bruit. Inconcevable de dynamiter la Rotonde mais elle perd la salle Olof-Palme et on l'ouvre comme un bon gros camembert pour laisser traverser... le tramway. « Il faut vous battre à fond pour l'obtenir ! » Tout le reste mue : Auchan déménage sur l'arrière (l'école de musique migrerait) et passe de 9 000 à 14 000 m² ; 150 enseignes sont prévues contre 40. 60 000 m² et 4 000 places de parking, la plupart souterraines puisqu'on rase le si controversé parking aérien. On parle de recettes fiscales nouvelles de 1,2 M E et de 1 300 emplois, en recrutement local. Locales aussi, les entreprises sur le chantier.
Forum Invest prévoit une ouverture étalée sur 2012 et 2013. Reste une inconnue de taille : la voirie. Forum Invest veut être sûr que la desserte sera à la hauteur. La mairie évoque un souterrain avenue de Bruay qui distillerait le flux automobile, mais la décision appartient au Département. Il va falloir refrapper aux portes.
SOIT DIT EN PASSANT
mardi 01.07.2008, 05:01 - La Voix du Nord
Coup de corne de L.-M. Deprez contre le Syndicat mixte de transport
Son sang n'a fait qu'un tour lorsque Léonce-Michel Deprez a appris que la taxe transport, à laquelle sont assujettis les industriels comptant plus de 9 salariés, allait augmenter. Cette fiscalité destinée au financement du transport en commun sur le territoire du Syndicat mixte de transport augmente de 0,8 %, pour atteindre 1,8 %. Ceci à partir d'aujourd'hui, 1er juillet. Coiffé des casquettes de chef d'entreprise et de président de la CCI de Béthune, Léonce-Michel Deprez tient à dénoncer cette décision prise « sans aucune concertation, ni avec les professionnels ni avec la chambre ». S'il ne conteste pas l'utilité du transport en commun et du futur tramway, Léonce-Michel Deprez déclare que cette mesure est « irresponsable ! ». Il craint qu'elle alourdisse les charges des entreprises « qui évoluent dans un contexte très difficile » et « pèse sur l'emploi ». Et le président de la chambre de prendre sa calculatrice pour affirmer que cela coûtera 900 000 E à la Française de mécanique. Un avertissement qui retentit comme un coup de corne... auquel reste sourd le président du Syndicat mixte de transport, Jean-Luc Wery.
Retour de la rue du Rabat en double sens
La rocade nord ouvrira à la fin de l'été. Une bonne nouvelle. Le débat sur la réouverture de la rue du Rabat n'avait pas encore été tranché. Il s'avère que finalement, celle-ci rouvrira la semaine prochaine. Avec des aménagements, des réductions de vitesse, des ralentisseurs ? On en saura plus très prochainement. Alors méfiance, après le passage d'une partie de la rue du Pont-des-Dames en double sens (entre l'avenue Sully et le boulevard Salengro), c'est la rue du Rabat qui franchit le pas.
Le marché sur la Grand-Placefait fortune
Certains commerçants sédentaires auraient annoncé à la municipalité avoir augmenté leur chiffre d'affaire de 30 % les lundi 9 et 16 juin. L'effet du beau temps et du retour du marché sur la Grand-Place analyse Olivier Gacquerre. « Une cinquantaine de demandes d'installation ont été déposées », rapporte également Éric Veldeman, responsable du service animation. Preuve pour le premier adjoint que « le centre ville est à nouveau attractif ».
Tir de barrage des CCI et du Médef contre la « taxe » du SMT !
jeudi 31.07.2008, 05:45 - La Voix du Nord
| TRANSPORTS |
Hier après-midi, par l'intermédiaire d'un communiqué, Edouard Magnaval, président de la Chambre de commerce et d'industrie de Lens, dénonce le vote du Syndicat mixte des transports, le 13 juin dernier, relatif à l'augmentation de la taxe dévolue aux transports en commun. La résistance s'organise.
« Du fait de l'absence de concertation et de la décision brutale du Syndicat mixte des transports, d'augmenter, à partir du 1e r juillet 2008, la taxe transport sur les salaires, de 1, 05 % à 1, 80 %, le MEDEF Artois, la CGPME Pas-de-Calais, les chambres de commerce et d'industrie de Béthune et Lens, demandent aux entreprises assujetties à cette taxe de ne pas payer cette augmentation tant qu'une concertation n'aura pas été obtenue avec les élus locaux. » Le texte envoyé par Edouard Magnaval est tout à fait clair. Mais de quoi s'agit-il précisément ?
Le 13 juin, dans les locaux de la communauté d'agglomération d'Hénin - Carvin, le SMT (Syndicat mixte des transports), réuni en assemblée plénière, faisait voter le principe de la création de deux lignes de tramway sur rail (Lens - Liévin, Béthune - Bruay). Parmi les points à l'ordre du jour, figurait aussi la hausse du VT (versement transport). Cette taxe, payée par les PME-PMI de plus de neuf salariés, est destinée à participer au financement des lignes. En l'occurrence, le taux d'imposition était jusqu'à présent de 1, 05 %.
Dans la perspective de la construction du tramway, du coût que cela représente (655 M E HT) et des frais de fonctionnement que cela engendrera, le SMT avait proposé une augmentation en plafonnant le pourcentage imposable à 1, 80 %. La décision avait été adoptée à l'unanimité des élus.
Dans les faits, cette augmentation représente, bon an mal an, une manne supplémentaire de 2 M E. Jean-Luc Wery, président du SMT, expliquait qu'il fallait s'entourer de toutes les garanties qui puissent justement garantir l'aboutissement du projet.
Première alerte
Les chambres consulaires de Lens, Béthune et Arras, avaient exprimé leurs inquiétudes sur le sujet à l'occasion de la réunion arrageoise du 1 er juillet dernier où il avait été question de l'union des trois CCI de l'Artois. Quelques jours après, une réunion a effectivement été organisée entre les représentants des CCI, du Médef et Jean-Luc Wery.Des propositions devaient être faites mais depuis, c'était le statu quo.
Questionné sur le sujet, Guy Delcourt, maire de Lens et concerné au premier chef par l'arrivée du tramway, se montre surpris : « Je ne comprends pas, dans la mesure où la refonte des transports sur le secteur est un véritable succès, notamment avec la ligne BuLLe. Le principe est le même pour le tramway. Il s'agit de constituer une réserve financière. Si on ne le fait pas aujourd'hui, nous pourrions manquer de souplesse demain.
» Concernant le poids fiscal que cela pourrait représenter pour les entreprises, le Lensois explique qu'une solution peut être trouvée au cas par cas le cas échéant. À suivre donc. •
Y. P.
Taxe des transports : les CCI demandent un moratoire
vendredi 01.08.2008, 05:22 - La Voix du Nord
| POLÉMIQUE |
Aux yeux de Léonce-Michel Deprez, l'augmentation de la taxe des transports dans la perspectivre de créer deux lignes de tramway fragilise l'industrie automobile confrontée à des difficultés conjoncturelles.
En son nom et en ceux de son homologue lensois ainsi que du président du MEDEF Artois actuellement en vacances, le président de la chambre de commerce de Béthune demande un moratoire.« Je reçois de nombreux appels de chefs d'entreprise. Cette hausse est particulièrement préoccupante alors que nous avons la main d'oeuvre la plus chère du monde », réagissait-il hier.
Chiffrant à 20 millions d'euros l'augmentation de cet impôt prélevé sur les entreprises, il indique que cela représentera 1 million supplémentaire pour la Française de Mécanique, et, d'une manière générale, pénalisera les équipementiers automobiles qui connaissent de graves difficultés conjoncturelles.
Maintenant qu'il n'y a pas eu de concertation, les présidents des organismes consulaires réclament un moratoire et demandent à rencontrer le syndicat des transports pour étudier des solutions moins coûteuses que ce projet excessif : « Il n'y a qu'à compter le nombre de passagers dans les bus qui circulent entre Béthune et Bruay. »
300 emplois au kilomètre
Président du syndicat mixte des transports (SMT), Jean-Luc Wery, maire de Sains-en-Gohelle, conteste cette absence de concertation. Comme l'autorise la loi pour les entreprises de plus de neuf salariés, augmenter le VT au taux plafond (1,8 %) laisse envisager une manne de 20 millions d'euros par an.
Jean-Luc Wery insiste sur l'extrême nécessité de mener à bien ce projet : « Le fait d'injecter 650 millions d'euros pour ces deux lignes représente environ 300 emplois au kilomètre. Par rapport à une moyenne nationale, nous sommes sous-équipés à hauteur de 50 %. Nous avons un retard énorme. Lorsque les entreprises disent qu'elles ne sont pas intéressées par ce transport, c'est faux. Les lignes de bus sont les axes structurants définis pour le tramway. On compte 5 % de cadres pour la ligne BuLLe vers Hénin-Beaumont. Ils ont proposé de ne pas payer en 2008 et de verser 30 % en 2009.
Ce n'est pas tenable. Encore une fois, cette hausse a été votée à l'unanimité. On ne peut pas toujours tout remettre en cause. »
totor Wrote:quelqu'un à des nouvelles concernant le tramway?
voix du nord Wrote:CCI Artois : la hausse du versement transport sert de prétexte à une offensive générale
dimanche 14.09.2008, 04:53
Les chefs d'entreprise artésiens dénoncent l'initiative du Syndicat mixte des transports d'augmenter la taxe (VT) à son taux maximum. Ils ont décidé (vendredi soir) d'entrer en résistance. Les enjeux sont variés.
Vendredi soir, les locaux de la Chambre de commerce de Lens ont servi de cadre à une déclaration de guerre. Celle que veulent mener les chefs d'entreprise de plus dix salariés, assujettis au VT (versement transport), censé alimenter les budgets nécessaires à la construction des deux lignes de tramways (voir ci-dessous). Léonce-Michel Déprez, président de la toute nouvelle CCI de l'Artois, s'est exprimé une première fois à ce sujet dans notre édition d'hier. Il dénonce le caractère autoritaire du SMT qui, aux yeux des industriels, n'a jamais expliqué le projet général, ni en gros ni dans les détails.
Tous exigent des explications et une suspension des décisions ainsi qu'une négociation générale des conditions d'imposition. Un rendez-vous établi avec Jean-Luc Wery, président du SMT, le 17 juillet, n'a rien donné. Aussi, sous l'impulsion de la CCI de l'Artois, une campagne généralisée et médiatique va être menée pour dénoncer les conditions dans lesquelles les décisions politiques ont été prises. La construction même du tramway est remise en cause. Les représentants des PME-PMI présents ne comprennent pas l'intérêt économique du nouveau réseau. Ils s'interrogent.
Dans ce dossier, différents niveaux de lecture peuvent être envisagés. Le premier concerne le projet du SMT (Syndicat mixte des transports). Dans les rangs patronaux, les mots ont été durs à l'encontre des élus locaux. Élie Buscot (président du Médef Artois) évoque une attitude inacceptable qui fera réagir les différents actionnaires. Il sous-entend directement des possibilités de délocalisation Léonce-Michel Déprez dénonce l'irresponsabilité des décideurs alors que la conjoncture est mauvaise. S'il peut comprendre les efforts gouvernementaux en matière d'économies, il fustige « la politique du panier percé des collectivités territoriales qui prennent les entreprises en otage avec une argumentation "soviétique" d'un autre âge ».
Pareilles attaques, c'est du jamais vu dans le bassin minier ! Autant dire et c'est la deuxième lecture possible de la réunion de vendredi soir, qu'il faut donner un sens éminemment politique au rendez-vous pris par Léonce-Michel Déprez.
L'enjeu est aussi politique
Voici quelques mois encore, trois chambres de commerce différentes cohabitaient (Béthune, Lens et Arras). Aujourd'hui, elles sont regroupées au sein de la chambre de commerce d'Artois. Certes, le Béthunois a été élu président mais il doit faire face à deux challenges : asseoir son autorité sur le territoire des trois anciennes chambres et devenir un vrai interlocuteur pour les leaders du Grand Lille.
Ce n'est pas un hasard si Didier Blanchard (FM) est venu apporter son soutien. Son entreprise dépend de l'arrondissement de Béthune mais son influence pèse sur l'ensemble du bassin minier. Quels que soient les rapports de force à venir, qu'ils concernent ou non les négociations avec le SMT, les enjeux sont plus larges. La construction de l'aire urbaine centrale changera toutes les donnes à terme.
totor Wrote: [...] Dans ces conditions, sans être exhaustifs, nous pouvons d'ores et déjà dire que la zone commerciale de Noyelles-Godault sera concernée, tout comme Sainte-Henriette vers Hénin
totor Wrote:sur le tracé ca semble intéressent comme itinéraire greg mais si ils passent pas à la gare d'hénin c'est dommage
à voir lors de la concertation préalable
voix du nord Wrote:Le train Bruay-Lens plutôt que le tram Béthune-Bruay ?
jeudi 18.12.2008, 04:51 - La Voix du Nord
Créée en 1995 mais tout récemment sortie de son sommeil à l'aune de la concrétisation rampante du projet de tramway Bruay-Béthune (notre édition du 9 novembre), l'association « Bruay-Lens, le train de l'avenir » milite pour la réouverture de la ligne ferroviaire du même nom. Celle-ci, fermée aux voyageurs depuis tout juste cinquante ans, est une option qu'elle privilégie face au « tram », moins cohérent à son goût.
Qui est Le train de l'avenir ?
L'association, créée en 1995, milite pour la réouverture de la ligne ferroviaire fermée au fret depuis 1990 et depuis 1958 au trafic voyageurs. Elle était en sommeil jusqu'à ce que le projet de ligne de tramway, porté par le syndicat mixte des transports, soit évoqué sur un ton plus concret ces derniers mois.
Aujourd'hui, ses quelque vingt adhérents en sont persuadés : si le tramway se traduit dans les actes, il en sera fini de la ligne dont ils défendent la remise en service. Ils ont donc repris le chemin des actions : un courrier est parti au conseil régional, compétent en matière de transports ( lire ci-dessous) d'autres, adressés aux maires du secteur, devraient suivre.
Les deux principaux animateurs de l'association sont Barlinois mais aussi... cheminots : Jacky Mikolajczak et Joël Hagneré.
> Les atouts du « Bruay-Lens » Cette ligne est en fait composée de deux tronçons : le premier Bruay - Bully-les-Mines (aujour-d'hui fermé) vient rejoindre, à hauteur de Bully, la ligne Arras-Dunkerque, toujours opérationnelle et qui dessert Lens.
Pour donner corps à son combat, l'association se rappelle volontiers que le projet de réouverture du barreau Bruay-Bully était, dans les années 90, inscrit au contrat de plan État-Région. « La quasi-totalité des élus du Bruaysis soutenaient alors l'idée. La commission transports du conseil régional s'était prononcée à l'unanimité en sa faveur », explique Jacky Mikolajczak. Qui énumère volontiers les « plus » du train par rapport au « tram » : aucun achat de terrain sur les 15 km de ligne car l'emprise de Réseau ferré de France existe toujours moindre coût (pas d'achat de rames, travaux moins lourds) passage par la zone industrielle de Ruitz et par une zone plus peuplée (Ruitz, Haillicourt, Barlin, Hersin-Coupigny, Sains-en-Gohelle, Bouvigny).
Mais l'argument premier de l'association repose sur le désenclavement du Bruaysis : un terminus béthunois est, selon elle, loin de suffire aux usagers bruaysiens. Elle soutient donc un lien avec Lens qui, pour l'heure, n'existe pas dans le projet de tramway. « Il faut faire la comparaison entre l'attractivité de Lens et Béthune : Béthune perd de son influence quant à Lens, avec l'ouverture du Louvre 2, elle connaîtra sans nul doute un essor considérable », tonne Jacky Mikolajczak. Cerise sur le gâteau : une fois à Lens, c'est une plate-forme vers différentes villes de la région, dont Lille, qui s'offre aux voyageurs.
Et les moins ?
L'association a beau défendre son projet avec passion, le train n'aura jamais la souplesse d'un tramway pour ce qui est des cadencements et de la fréquence d'arrêts et donc des possibilités de desserte.
Sur ce point, Le train de l'avenir a toutefois sa parade : « Cet argument vaut pour une zone très urbanisée, rétorque Jacky Mikolajczak. Mais dans la ligne de tramway Bruay-Béthune telle qu'on la présente, on traversera outre les deux villes, deux villages à leur extrémité (Hesdigneul et Gosnay, ndlr). Ça ressemble donc plus à un tramway rural. » •
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