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greg59 Wrote:Il y a un endroit, au niveau de l'aire de repos de Morainvilliers, on peut passer en tunnel sous l'aire de repos, comme c'est le cas avec la LGV Nord sous l'aire de repos de Coeur des Hauts de France (https://www.google.com/maps/@49.8864568 ... ?entry=ttu) anciennement Aire d'Assevillers
Arnaud68800 Wrote:greg59 Wrote:Il y a un endroit, au niveau de l'aire de repos de Morainvilliers, on peut passer en tunnel sous l'aire de repos, comme c'est le cas avec la LGV Nord sous l'aire de repos de Coeur des Hauts de France (https://www.google.com/maps/@49.8864568 ... ?entry=ttu) anciennement Aire d'Assevillers
L'A13 fait une bosse entre Orgeval et Chapet (les aires de Morainvilliers étant justement au sommet de celle-ci) : la descente étant assez marquée côté Ouest (à mon avis trop prononcée pour les standards ferroviaires), j'ai du mal à voir comment passer autrement qu'en tunnel à cet endroit si le tracé de la ligne est censé suivre les A13 et A14.
frantz Wrote:Quand on voit ce que fait la LGV Sud-Est entre Cluny et Mâcon, je pense qu'il n'y a rien d'insurmontable.
Arnaud68800 Wrote:frantz Wrote:Quand on voit ce que fait la LGV Sud-Est entre Cluny et Mâcon, je pense qu'il n'y a rien d'insurmontable.
Certes, mais la LNPN ne sera pas une LGV : bien que dédiée aux circulations voyageurs, j'imagine que les déclivités admises sont plus faibles ?
Le public sera invité à donner son avis sur le projet de la ligne nouvelle Paris-Normandie en mai 2024. Dans les Yvelines, l’opposition à la future voie ferrée demeure.
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Les hypothèses de tracé doivent être retravaillées en concertation avec les maires avant d’être soumises à l’avis du public dans le courant du mois de mai.
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Une première réunion générale des 23 maires concernés avec SNCF Réseau doit se tenir en avril. Elle sera suivie d’ateliers spécifiques avec les élus, par sections. « SNCF Réseau a intégré les projets des communes sur la carte de la future ligne, précise Cécile Zammit-Popescu. Ils doivent nous faire un retour avec un tracé en en tenant compte. »
Une dernière réunion générale doit conclure le cycle de rencontres avec les maires.
L’association « LNPN Oui, mais pas à n’importe quel prix » réclame le prolongement de la voie souterraine prévue sous la Seine pour ne pas impacter les habitants des villages concernés.
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Avec une mise en service à l’horizon de 2035 pour un coût de 4,3 milliards d’euros (valeur 2016) dont 50 % réglés par les collectivités locales, des tracés doivent être proposés cette année 2024. Alors que la plaquette promotionnelle vante un dialogue est régulier avec les élus et les services techniques des territoires normand et francilien concernés, des inquiétudes se font jour. Parmi elles, la construction d’un ouvrage de 1 km qui enjamberait la rivière Eure et causerait des dégâts sur le foncier. De son côté, l’association LNPN oui, mais pas à n’importe quel prix qui défend le territoire ouest de la Métropole Rouen Normandie sort d’une hibernation de quatre ans, car elle ne veut pas que le futur tunnel prévu sous la Seine pour la future ligne débouche n’importe où.
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Cependant, la secrétaire générale de La Vaupalière Isabelle Marlier, ex-vice-présidente de l’association, a déclaré avoir reçu des informations : « La SNCF avance fortement. Les études sont terminées et elle opterait pour la sortie du tunnel au Rousseuil sur la commune de La Vaupalière. Début mars, ils présenteront au Comité de pilotage (COPIL) et au comité technique les différentes variantes. Après, ils reviendront vers les maires et organiseront des réunions publiques en avril pour une concertation publique jusqu’en juin. Ils ont trois ou quatre tracés à proposer. Est-ce que cela veut dire que pour le tunnel, c’est acté ? En revanche, une seule option sera concernée pour l’enquête publique qui se déroulera à partir de la fin 2025. »
Pour le maire de Roumare, Jean-Paul Couillier, « le prix du kilomètre de tunnel est estimé à 90 millions d’euros et la voie normale à 20 millions d’euros. Pour protéger nos villages, c’est 350 millions d’euros. Qu’est-ce que c’est sur le budget global ? Il va falloir être tous solidaires pour que la LNPN ne sorte pas au milieu de notre territoire, mais au bout ».
L'Etat met la pression pour créer la ligne ferroviaire rapide entre Paris et la Normandie
Le gouvernement, qui souhaiterait boucler l'enquête publique sur le projet de ligne de train rapide Paris-Le Havre en 2026, met les bouchées doubles. Il est notamment parvenu à obtenir que la région inscrive le projet dans son document d'aménagement.
LNPN : la concertation pour choisir le tracé préférentiel entre Rouen et Barentin va bientôt débuter
Quel tracé empruntera la ligne nouvelle Paris Normandie (LNPN) sur le tronçon Rouen-Barentin ? Quatre variantes seront présentées au public lors de la concertation qui débutera au mois de mai.
Pour le maire de Barentin, il faut "améliorer la desserte ferroviaire des habitants du territoire"
"Ce qui est important, c'est d'épargner les villages qui sont les plus concernés. Je pense à La Vaupalière, Roumare, Saint-Jean-du-Cardonnay et Pissy-Pôville. Ce que nous avons appris hier soir, c'est que le tunnel qui partira de la nouvelle gare de Rouen, rive gauche qui passera sous la Seine arrivera sans doute, en tout cas, ça a été évoqué après la Vaupalière. La question c'est, qu'est ce qui se passe à partir de cette sortie du tunnel avant d'arriver au viaduc de Barentin ? Et c'est là où il y a trois ou quatre tracés possibles qui seront soumis à la concertation. Dans un premier temps, il y a ce qui se passe pour arriver jusqu'à Barentin, et ensuite, ça a été confirmé hier soir, il y aura entre Barentin et Yvetot malgré tout une nouvelle phase pour faire en sorte de raccorder encore plus directement Yvetot et Rouen"
Trains : de Paris à la Normandie en passant par les Yvelines, c’est « la catastrophe »
Les désagréments ne se comptent plus sur l’axe reliant la gare Paris Saint-Lazare à la Normandie via les Yvelines. Le tout sur fond d’opposition entre les exécutifs politiques.
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Un débat purement politique évoluant en fonction des différentes échéances électorales pour Nicolas Catteau : « La solution de la LNPN ne sera pas effective avant vingt ans. Aujourd’hui il n’y a même pas de montage financier crédible. On nous annonce déjà cinq de travaux pour une petite amélioration au niveau du saut-de-mouton et une coupure à venir du trafic après le lancement de Eole pour le talus d’Apremont. Le tunnel de Rolleboise subit quant à lui un an de travaux tous les cinq ans. »
PARLONS TRACÉS ! UN NOUVEAU TEMPS DE CONCERTATION DE LA LNPN S'OUVRE À PARTIR DU 6 MAI 2024
La LNPN vise à doter progressivement les territoires de la vallée de la Seine de liaisons ferroviaires performantes, améliorant significativement le transport de voyageurs et facilitant celui de marchandises.
Après une première étape d'études qui a permis l'identification de zones de passage préférentielles, en concertation avec le grand public entre 2014 et 2018, l'État a réaffirmé le caractère prioritaire du projet le 13 février 2020.
Ainsi le projet est entré dans une nouvelle phase d’études de recherche de tracés pour les sections de ligne nouvelle, reliant Nanterre à Mantes-la-Jolie et Rouen à Barentin, incluant la future gare de Rouen Saint-Sever, déclarées prioritaires.
Dans le cadre de ces études en cours, un nouveau temps de concertation s'ouvre avec le grand public à partir du 6 mai 2024, portant sur les tracés possibles de ces sections prioritaires.
Plusieurs temps d'échange et de travail sont organisés en Normandie et en Île-de-France (informations et inscriptions à venir).
La réunion de lancement de la nouvelle étape de concertation de la LNPN se tiendra le 6 mai 2024 de 18h à 20h.
Elle sera accessible : en présentiel, à la salle Vue Sur Seine à Rouen, H10 quai Ferdinand de Lesseps.
Ligne nouvelle Paris-Normandie : les détails de la concertation publique à venir
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Cette concertation vise d'abord à présenter aux habitants les détails du projet : le nouvel axe entre Rouen Rive Gauche et Barentin, avec de nouvelles voies et un grand tunnel de huit à neuf kilomètres qui passera notamment sous la Seine. Mais le projet concerne aussi le tracé entre Nanterre et Mantes-la-Jolie, en région parisienne. Des voies où les trains rouleront jusqu'à 250 km/h promet la SNCF, ce qui permettra de réduire les temps de trajets. En 2035, un Paris-Rouen se fera en 1h, Paris-Le Havre en 1h50 et Paris-Caen en 1h45. "L'objectif premier c'est d'ajouter des trains, explique Didier Robles, responsable du projet LNPN à la SNCF. On a des parties qui réseau qui sont en quasi-saturation. Alors on va construire des voies avec une vitesse potentielle plus rapide. Ce qui permettra de proposer des temps de trajets réduits, dès la mise en service du Nanterre-Mantes en 2035."
"Un projet soi-disant révolutionnaire qui nous ferait revenir aux temps de trajet d’il y a encore quelques années", a déjà réagi sur les réseaux sociaux l'Association des usagers du rail normand.
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citaro27 Wrote:Finalement on peut reporter le groupe 6 vers la droite et laisser le 5 au milieu ce qui évite de faire ce saut de mouton.
Les acces avec controle peuvent etre organisés autrement.
citaro27 Wrote:Finalement on peut reporter le groupe 6 vers la droite et laisser le 5 au milieu ce qui évite de faire ce saut de mouton.
Les acces avec controle peuvent etre organisés autrement.
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