Modérateurs: jerome, Dorfmeister, Terroir, kyah117, Tchouks
Rhin-Rhône/trains: les tarifs augmentent
A partir d’aujourd’hui, les tarifs des trains SNCF desservant la Franche-Comté vont enregistrer une forte augmentation, annonce RTL ce matin. Le prix des places dans les TGV qui remplacent désormais les vieux Corail sera jusqu’à 35% plus élevé. Sur la ligne Belfort-Paris, le coût du trajet passe ainsi de 53,10 euros à 72 euros. De Dijon à Strasbourg, la place coûte encore 58 euros au lieu de 44 euros.
Pour la SNCF, il est normal que le TGV coûte plus cher que les vieux trains Corail, beaucoup plus lents. Mais pour les élus de Franche-Comté, cette situation est «scandaleuse».
« C’est à la fois aberrant et scandaleux ! a ainsi réagi la présidente de la région Franche-Comté au micro de RTL. En augmentant les tarifs, la SNCF se met une balle dans le pied parce qu’il est à craindre que des usagers soient refroidis par cette augmentation des tarifs. Donc là, c’est un pari extrêmement risqué que fait la SNCF et nous sommes très inquiets. Je l’ai dit à plusieurs reprises avec l’ensemble des élus de la région, nous avons fait pression sur la SNCF mais le modèle économique de la SNCF est plus fort que ces pressions-là ».
Nemo Wrote:Malheureusement quand une LGV arrive le client n'a plus vraiment le choix parce que les dessertes résiduelles par trains classiques sont dégradées ou fortement réduites.
Arnaud68800 Wrote:Nemo Wrote:Malheureusement quand une LGV arrive le client n'a plus vraiment le choix parce que les dessertes résiduelles par trains classiques sont dégradées ou fortement réduites.
Bonjour,
Les 5 allers-retours quotidiens Paris Est -> Belfort par la ligne 4 seront maintenus tels quels, donc il sera facile d'éviter le TGV... Il faut juste préciser sur Voyages SNCF que l'on veut arriver ou partir de la gare de l'Est et cocher la case "trajet direct".
Conseil régional. TGV Rhin-Rhône : Marie-Guite Dufay veut une baisse du prix du billet
Consommation.La présidente du conseil régional a demandé à la SNCF de revoir à la baisse les tarifs des billets sur la branche Est de la ligne grande vitesse Rhin-Rhône pour laquelle les réservations sont ouvertes depuis jeudi dernier.
« Je suis en train d’écrire à Guillaume Pepy », le président de la SNCF, a déclaré Marie-Guite Dufay, déplorant des tarifs augmentant « entre 20 et 30 % sur certains segments » de la branche est du TGV Rhin-Rhône, qui sera mise en service le 11 décembre. La présidente de la région ne conteste pas le principe d’une hausse des tarifs sur une ligne où les temps de parcours seront sensiblement réduits (Strasbourg-Dijon en 2 heures, contre 3 heures 40 actuellement), « mais il y a une limite qui est en train d’être dépassée, on ne peut pas aller au-delà de 20 % » d’augmentation, a-t-elle estimé. « Cela se retourne contre la rentabilité du TGV », a-t-elle dit, jugeant que « tous les élus sont sur la même longueur d’onde » qu’elle pour réclamer une baisse des tarifs. Selon Mme Dufay, l’augmentation prévue constitue une « double peine » pour les habitants de la région, qui « ont déjà payé très lourdement la facture du TGV ». M. Pepy a jugé que les prix pratiqués n’étaient pas excessifs. « Jusqu’à présent, on ne s’est pas trompés dans les tarifs. Le succès commercial a toujours été au rendez-vous. J’espère que ce sera la même chose cette fois-ci », a-t-il dit. Selon la SNCF, la gamme de prix du TGV Rhin-Rhône est « comparable à celle en vigueur sur l’ensemble des autres lignes nationales ». Le ministre des Transports Thierry Mariani a indiqué avoir demandé qu’on lui « communique les éléments » du dossier.
75 € pour aller travailler en train
Si vous avez un abonnement SNCF domicile-travail qui vous coûte plus de 150 € par mois, réjouissez-vous : le conseil régional va en prendre la moitié à sa charge, dès lors que votre employeur aura versé la prime de transport. C'est nouveau, ce sera effectif le 1 er janvier.
La décision a été prise en session du conseil régional, jeudi. Une grande partie de la journée avait été consacrée à un faux débat (succession de positions connues) sur le ferroviaire en général, sur le projet de LGV Paris-Orléans-Clermont-Lyon (Pocl) en particulier. À la nuit tombante, les élus se sont penchés sur ce que pourrait être le budget 2012.
« Notre objectif est que cet abonnement domicile-travail ne coûte pas plus de 75 € à l'abonné » insiste François Bonneau qui justifie la mesure par une raison économique et sociale, mais aussi environnementale. L'abonné de 1 re classe sera aidé sur la base de la 2 e classe, les utilisateurs sud TGV (Tours-Paris, Tours-Poitiers) le seront sur la base du prix sur une ligne classique. La chose n'étant pas si simple à gérer, « c'est un prestataire de service privé qui le fera », ce qui coûtera environ 250.000 € par an à la Région, pour un budget annuel de l'ordre de 6 M€
Au total, 8.000 personnes sont potentiellement concernées (dont 85 % vers l'Ile-de-France) : 1.900 entre Orléans et Paris, 700 entre Chartres et Paris, 300 entre Tours et Paris (ligne classique), un millier entre Tours, Vendôme et Paris, vingt pour Bourges-Châteauroux, autant pour Orléans-Châteauroux et autant encore entre Châteauroux et Limoges, etc.
Les écologistes craignant qu'on encourage une « métropolisation de la région », ou encore qu'on encourage les gens à aller travailler ailleurs, ont proposé un amendement pour limiter l'application de l'aide : « De toute façon, il faudra y revenir dans un ou deux ans pour l'ajuster financièrement », indiquait Jean Delavergne qui, comme Jean-Michel Bodin, craint une dépense exponentielle. Ce que ne croit pas François Bonneau, qui voit plutôt une augmentation de recettes dans l'augmentation de la fréquentation ferroviaire.
L'amendement a été rejeté.
TGV Lille - Paris : que faire quand les prix déraillent ?
Scène quotidienne d'un quai de gare, à Lille-Europe: tarifs plus élevés que sur les autres réseaux TGV de France ou pas, les Nordistes travaillant à Paris sont pourla plupart obligés de prendre le TGV.
| TRANSPORTS |
Aux heures de pointe, en tarif loisirs, son prix au kilomètre peut atteindre le double de celui des autres lignes : l'heure de TGV qui sépare Lille et Paris frôle parfois le service de luxe. Sauf que rejoindre la capitale en une heure, pour le plaisir ou pour raisons professionnelles, ça reste souvent plus pratique et surtout plus rapide que les autres moyens de transport.
Entre le conseil régional et la SNCF, les relations n'étaient déjà pas au beau fixe avec la saisie du conseil d'État le 14 octobre par la Région quant aux prix élevés du TGV-Nord, les choses ne vont pas s'arranger. Une démarche résumée par Daniel Percheron, président du conseil régional : « La SNCF a-t-elle le droit de nous faire payer le TGV deux fois plus cher qu'ailleurs ? » Premiers éléments de réponse espérés dans un mois ou deux.
En attendant, il suffit de sortir sa calculette pour descendre du marchepied. TGV Lille - Paris, tarif loisirs, en seconde classe, aux heures de pointe : 41 ou 56,6 E les 221 km (kilométrage routier), respectivement 18 et 25 centimes du kilomètre. Pour espérer un tarif légèrement dégressif, il faut réserver minimum deux semaines à l'avance. Et payer son billet... 37 euros. En comparaison, les 2 h 30 de voiture vers Paris coûtent en moyenne 43 euros (diesel) et 46 euros (essence), péage compris. Mais le TGV met une heure. Plus que jamais, le temps, c'est de l'argent.
Péage et charges fixes
Pour autant, l'adage n'a plus la même valeur sur les autres réseaux du TGV. Lorsque les Nordistes se rendent à Bordeaux ou Strasbourg, le kilomètre coûte en moyenne 13 centimes, 12 centimes vers Marseille, 16 centimes pour aller à Lyon. Daniel Percheron demande donc au conseil d'État de « rétablir l'égalité de traitement entre tous les usagers ».
Du côté de la SNCF, on justifie les tarifs pratiqués sur la ligne TGV-Nord par le péage, plus élevé qu'ailleurs, dont elle doit s'affranchir auprès de RFF (réseau ferré de France), propriétaire et gestionnaire du réseau ferroviaire. Ce à quoi il faut rajouter les charges fixes propres à l'emprunt d'un TGV, proportionnellement plus importantes sur les trajets courts, comme le Lille - Paris. Explications techniques mises à part, qu'en pensent les principaux intéressés ?
Quai 46, gare Lille-Europe, un jeudi matin : les voyageurs attendent le TGV de 8h02. Parmi eux, Nicolas, qui se rend à Paris pour le travail une fois par semaine environ : « Je sais que c'est la ligne la plus chère de France. En revanche, je ne savais pas que la Région avait saisi le Conseil d'État. Si ça pouvait faire un peu baisser les prix, ce serait pas mal. » Pour Christian, Lillois, aucune ambiguïté quant aux tarifs : « C'est hors de prix. Mon entreprise n'est pas abonnée. En première classe, l'aller coûte 80 euros. On demande de plus en plus aux gens de prendre les transports en commun et on ne met rien en ordre pour leur faciliter la tâche.
Pareil pour la SNCF, on ne lui donne pas les moyens de remplir sa mission. » Quant à Floriane, deux trajets professionnels par semaine, elle reconnaît que « c'est assez cher ». Mais pour aller travailler à Paris régulièrement, « il n'y a pas mieux que le train. Je ne vais quand même pas prendre l'avion ! »
Trop cher aussi pour les Parisiens
D'avion, il en est aussi question, avec Matthieu, quatre voyages hebdomadaires : « Je suis au courant que la Région a attaqué la SNCF. C'est une bonne nouvelle parce que c'est hors de prix. Moi, j'ai un abonnement, mais les gens qui payent plein tarif se retrouvent avec un aller-retour à 120 euros. Quand on compare avec les vols low cost, pour ce prix-là, on va beaucoup plus loin ! » Enfin Valérie, qui s'apprête à monter dans le train, confie que ses « amis parisiens ne viennent jamais en week-end à Lille, à cause des billets de TGV trop chers ».
Un « choix » que n'ont quasiment pas tous ceux qui, vivant dans le Nord, travaillent à Paris. Sûr qu'eux et leurs entreprises, qui prennent souvent en charge le transport, verraient d'un bon oeil une décision du conseil d'État en leur faveur.
Le conseil économique et social dénonce la politique commerciale de la SNCF
La SNCF a rendu publiques ses offres de tarifs pour l’ouverture de la LGV. En séance plénière, hier matin, le conseil économique et social (CESE) de Franche-Comté a voté à l’unanimité une motion dénonçant les tarifs du TGV Rhin-Rhône. Le CESE se dit « stupéfait de la politique commerciale conduite par la SNCF qui consiste à n’informer la clientèle que dans les dernières semaines précédant la mise en service du TGV », « ne peut accepter le surenchérissement des tarifs sur la ligne Lyon-Strasbourg ou depuis Belfort-Montbéliard TGV en direction de Marseille », et « dénonce l’augmentation conséquente du prix des billets en moyenne supérieure à 25 % pour la seconde classe aux heures de pointe ». Enfin, le CESE estime qu’il « serait inadmissible que les Francs-Comtois paient une seconde fois la LGV par des tarifs exagérés ».
Barbara Dalibard (SNCF) : « Le Nord - Pas-de-Calais est chouchouté en termes de TGV »
Pour Barbara Dalibard, les différences de tarifs TGV ont des raisons structurelles.
| TRANSPORT FERROVIAIRE |
Le conseil régional a saisi le Conseil d'État du fait des prix élevés pratiqués sur le TGV-Nord. Nous avons interrogé Barbara Dalibard, directrice générale de SNCF-Voyages à ce sujet. ...
- De 18 à 25 centimes le kilomètre entre Lille et Paris contre 12 centimes entre Marseille et la capitale, comment expliquer ces différences ?
« Il faut savoir que Lille est la deuxième ville de province la mieux desservie après Lyon. Les comparaisons effectuées correspondent aux prix standards affichés mais ce ne sont pas les prix payés par chacune des personnes. On propose une grille tarifaire extrêmement riche. On fait plus de 10 % de tarifs Prem's sur le Nord - Pas-de-Calais et là on peut payer 17 euros pour un Lille - Paris ou 12 euros pour un Lille Arras. Les deux tiers des personnes paient un tarif avec une réduction. Le tarif moyen du billet entre Lille et Paris est plutôt de 30 euros. »
- Mais comment expliquer les différences avec les autres régions ?
« On prend en compte nos coûts, bien sûr. Mais il y a aussi une dégressivité tarifaire importante en fonction de la distance parcourue. Ça nous permet de faire aimer le train dans des endroits où les clients pourraient préférer l'avion. On prend aussi en compte le poids de la grande vitesse dans le parcours. Plus vous disposez de la grande vitesse, plus le tarif est élevé. »
- Vous acquittez aussi un droit de passage élevé auprès de Réseau ferré de France (RFF). Des négociations sont-elles en cours ?
« Nous avons une discussion annuelle avec RFF sur le prix des péages. Pour un Lille - Paris, ça représente plus du tiers du prix du billet. Ce qui signifie qu'un passager avec un tarif Prem's paie à peine le droit de passage. »
- Le conseil régional qui saisit le Conseil d'État, c'est un problème pour vous ?
« Le conseil régional fait ce qu'il pense devoir faire. Notre politique tarifaire a été définie avec des avis du Conseil d'État, il est vrai, rendus en 1993. On verra ce que dira le Conseil d'État. Mais nos efforts continuent avec le conseil régional notamment en ce qui concerne le TER-GV. »
- D'autres régions ont-elles entrepris des actions similaires ?
« Pas à ma connaissance. Mais je rappelle qu'il y a des raisons structurelles qui font que le tarif n'est pas le même. La région est très bien servie en TGV. Il y a 65 villes desservies à partir de Lille. Peu de régions en France bénéficient d'une telle richesse de l'offre. La région Nord - Pas-de-Calais est chouchoutée en termes de TGV. »
- De nombreuses villes moyennes de la région redoutent la diminution de leurs liaisons avec Paris. Est-ce une réalité ?
« On recherche avant tout l'optimisation de l'ensemble de la desserte ferroviaire de la région. Je pense à la nécessité d'avoir une desserte TER efficace. On met l'ensemble des données sur la table. Qu'il s'agisse du TER, du TGV ou du TER-GV. »
Didier 74 Wrote:Le Progrès, 9 novembreLe conseil économique et social dénonce la politique commerciale de la SNCF
La SNCF a rendu publiques ses offres de tarifs pour l’ouverture de la LGV. En séance plénière, hier matin, le conseil économique et social (CESE) de Franche-Comté a voté à l’unanimité une motion dénonçant les tarifs du TGV Rhin-Rhône. Le CESE se dit « stupéfait de la politique commerciale conduite par la SNCF qui consiste à n’informer la clientèle que dans les dernières semaines précédant la mise en service du TGV », « ne peut accepter le surenchérissement des tarifs sur la ligne Lyon-Strasbourg ou depuis Belfort-Montbéliard TGV en direction de Marseille », et « dénonce l’augmentation conséquente du prix des billets en moyenne supérieure à 25 % pour la seconde classe aux heures de pointe ». Enfin, le CESE estime qu’il « serait inadmissible que les Francs-Comtois paient une seconde fois la LGV par des tarifs exagérés ».
Les écologistes veulent baisser le coût des déplacements pour les chômeurs et les jeunes
C’est une mesure qui leur tenait à cœur depuis les Régionales de 2010 où ils l’avaient inscrite dans leur programme. Les élus d’Europe Ecologie les Verts (EELV) vont présenter à la prochaine séance plénière du conseil régional une délibération visant à réduire encore plus fortement le coût des déplacements en TER pour les chômeurs et les jeunes. « Aujourd’hui, ils bénéficient d’environ 75 % de réduction » explique Corinne Bernard (Isère), porteuse du projet, « nous désirons augmenter encore sensiblement ce taux » pour arriver « à une participation symbolique » de ces usagers qui pourrait n’être que 5 ou 10 % du prix. Aucun seuil précis n’est avancé pas plus que ce que ce projet coûterait à la Région — « de 0 à 20 millions ». Pour cela il faut attendre les résultats de l’étude d’impact que la SNCF aura trois mois pour réaliser. Initiateurs de cette mesure qui pourrait être opérationnelle fin 2012, les écologistes se félicitent de ce qu’elle « sera portée par l’ensemble de groupes de la majorité régionale ».
Nemo Wrote:Même si le calcul d'un coût au km peut sembler contestable, on constate que madame Dalibard, comme avant elle madame Faugère, n'a qu'une seule réponse, toujours et encore le YM, qui permet de sortir du Prem's en quantité parfois infinitésimale à des prix d'appel dérisoires, ça finit par devenir lassant...
viadi Wrote:L avantage du yield management est de masquer les augmentations de tarifs, en favorisant le high yield.
L an passe il n y a pas eu d augmentation de TVA, mais les billets ont fortement augmente tout de meme.
PS: l an passe j ai paye l aller simple paris > brest a 37€ en 1e tarif escapade. Cette anne le tarif de base est a 47€, mais je n ai pas trouve de billet a moins de 52€. De plus l'idTGV est passe de quasi quotidien a 2 fois par semaine. CQFD?
Prendre le train est de plus en plus reserve a une elite, le pire est que les "pauvres" n ont meme plus de trains regionaux. Mais c est du "service public"...
Ps: j ai reduit mes voyages en train et a la prochaine augmentation je les reduirai au minimum. Je n ai pas renouvelle ma carte escapade et je vais de nouveau envisager l avion comme une alternative pour voyager en france. Vive le train.
Nemo Wrote:Le YM favorise les voyageurs les plus flexibles qui ont peu de contraintes et peuvent se permettre de reporter leur voyage hors de pointes hebdomadaires, et acceptent de circuler en extrême matinée ou extrême soirée (TGV 100% Prem's) ces clients ressentent bien moins les augmentations tarifaires que le voyageur fréquent qui a un abonnement Fréquence ou Forfait. Plus la clientèle est captive et/ou censément moins sensible au prix, plus la note est salée à chaque vague d'augmentation des tarifs.
capelanbrest Wrote:- Par ailleurs certaines offres sur ces 100% Prem's n'ont eu que peu d'écho car les horaires proposés étaient bien trop restrictifs....et peu pratique, pour intéresser un fort potentiel d'usagers....afin de remplir les rames....!
Ainsi on a vu des offres quotidiennes devenir hebdomadaires ou disparaitre carrément or période de vacances....
À nous de vous faire préférer tout autre mode de transport que le train !
Retourner vers Forum Transport Ferroviaire
Utilisateurs enregistrés: Bing [Bot], Google [Bot], Lyon-St-Clair, Majestic-12 [Bot], Urbino, Va3b2
Lineoz.net Tous Droits Réservés 2001-2008 :: Création & DeSiGn by ArNaUd OUDARD Sites partenaires : Grenoble Snotag | Nancy blogOstan | Angers SnoIrigo | Clermont Ferrand TransClermont | Valence SnoCtav | Marseille Marseille-Transports.com | Dijon SnoDivia
Ce site est enregistré à la CNIL sous le numéro 1072137 conformément à l'article 16 de la Loi Informatique et Liberté du 6 janvier 1978