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luca Wrote:la ligne Savigliano Saluzzo Cuneo voit egalment passer du trafic fret pour desservir une papeterie Burgo( 4/ 6 trains jour) et le moulin de Busca(2/ 4 train jour)
Aig Wrote:Bonjour,luca Wrote:la ligne Savigliano Saluzzo Cuneo voit egalment passer du trafic fret pour desservir une papeterie Burgo( 4/ 6 trains jour) et le moulin de Busca(2/ 4 train jour)
ça ne serait pas plutôt "par semaine" ces nombres de trains ? Parce que si ce sont vraiment des trains, genre trains complets de 22 wagons, ça fait un trafic énorme !
A+
luca Wrote:salut
non, ce sont des trains/jour (!!) ,tractè par Trenitalia Cargo,Captrain(sncf) ou Nord Cargo.SBB ne tractè plus ses trains sur Verzuolo,ou il y a la papaterie.C'est effectivement un gros
trafic sur une ligne diesel .Le premier train arrive vers 6h30,le dernier vers 20h00,car apres la ligne est fermè.
A+
Luca
102.010 Wrote:A propos d'Italie, quelqu'un saurait-il me dire ou roulent encore:
- les ETR-450 (en tant que Intercity); et
- les WL Excelsior (Classic et E4)
Merci
L'ouverture du rail transalpin à la concurrence a fait baisser de 30 % les tarifs
Six mois après l'entrée en service de NTV-Italo, la guerre des prix fait rage entre l'opérateur privé et Trenitalia, sur fond de hausse significative du trafic de voyageurs.
« Il est encore un peu tôt pour juger du succès de l'ouverture du transport ferroviaire à la concurrence », confiait, ce week-end, le président de la Confindustria, Giorgio Squinzi, en congrès à Capri. En revanche, l'impact sur les prix du lancement du TGV privé Italo en avril dernier ne s'est pas fait attendre. Selon l'administrateur délégué de NTV, Giuseppe Sciarrone (ex-Ferrovie dello Stato), l'arrivée d'Italo, ce train dont le logo est un lièvre stylisé, a déjà entraîné une baisse moyenne des tarifs de 30% sur les principales liaisons à grande vitesse en l'espace d'un an. La concurrence fait particulièrement rage sur la liaison Rome-Milan, que le patron de NTV promet de desservir en 2h20 min, contre une durée de 2h45 min aujourd'hui (entre Milano Rogoredo et Roma Tiburtina).
« Même sans l'arrivée de NTV, nous aurions fait la même chose en termes de prix pour stimuler la demande en période de crise », souligne l'entourage du patron de Trenitalia, Mauro Moretti. Mais nul doute que la naissance d'Italo a servi d'aiguillon. En un an, le tarif moyen sur la liaison Rome-Milan est tombé de 91 à 63 euros et le tarif le plus bas de 51 euros à 39 euros. Certaines places réservées très en avance peuvent même atteindre le prix imbattable de 9 euros, les tarifs étant désormais fixés par un algorithme en fonction de l'offre et de la demande. Du côté de Trenitalia, plus de la moitié des places sont désormais vendues à des prix promotionnels en vue de faire face à l'offensive commerciale de son nouveau concurrent. Aiguillonné par son rival privé, Trenitalia a promis que son nouveau TGV Frecciarossa 1000 assurera la liaison Rome-Milan en 1h59 min en 2015 ! La concurrence ne se limite pas au temps de voyage, mais aussi à la qualité, pas toujours optimale, des connexions Wi-Fi gratuites.
De son côté, après avoir commandé 25 rames à Alstom pour 650 millions d'euros, NTV, qui relie déjà huit grandes villes italiennes, entend poursuivre sa montée en régime avec un objectif de conquête de 25% de part de marché à terme. A la différence de Frecciarossa, l'Italo de NTV ne dessert que les gares de Roma Tiburtina et d'Ostiense à Rome. Mais pour compenser ce « handicap », l'opérateur privé offre un service de « car valet » à ses passagers leur permettant de laisser leur véhicule au départ du train et de le récupérer au retour, à la sortie de la gare. Avec un trafic annuel initial estimé à 2 millions de voyageurs, NTV reste toutefois encore loin de l'opérateur historique, qui devrait voir son trafic bondir à 25 millions de passagers cette année, contre 21 millions en 2011.
Au total, le transport ferroviaire italien aurait déjà gagné quelque 6 millions de voyageurs en un an, alors que le trafic autoroutier est en recul de 6% à 7% sur les sept premiers mois, pour cause d'austérité. La culture du monopole est décidément révolue dans la péninsule, même si les associations de consommateurs regrettent que les deux opérateurs aient tendance à aligner leurs tarifs.
Italo, le TGV privé italien, change de président
Six mois après son lancement, l'opérateur privé de trains à grande vitesse NTV-Italo a franchi le cap du million de voyageurs, malgré une perte nette annuelle de 39 millions d'euros en 2011. Luca di Montezemolo, le patron de Ferrari, quitte la présidence tout en restant actionnaire.
Le patron de Ferrari lâche les rênes du train rouge à grande vitesse. Six mois après son lancement commercial, Luca di Montezemolo a quitté la présidence de NTV (Nuovo Trasporto Viaggiatori), le concurrent privé de Trenitalia (la SNCF italienne) qui exploite le train Italo dans la péninsule. L'ancien patron du groupe de presse Rizzoli Corriere della Sera (RCS), Antonello Perricone, a été nommé à sa place à la tête de NTV.
Selon la société (détenue à 20% par la SNCF), le pas en arrière de l'ancien président de Fiat vise à « éviter une personnalisation excessive de NTV qui doit assumer sa propre identité indépendamment de celui qui la dirige ». Même s'il reste actionnaire de la société au côté de l'industriel Diego Della Valle (Tod's), le patron de Ferrari, récemment nommé à la vice-présidence de la banque UniCredit, n'avait pas caché son intention de quitter la tête de NTV une fois le TGV privé italien « sur les rails ». Mais son retrait anticipé a surpris certains observateurs.
« J'ai la fierté d'avoir contribué à créer à partir de zéro une entreprise qui représente aujourd'hui un milliard d'euros d'investissements, 1.000 employés et un succès commercial prometteur, malgré tant de difficultés », a déclaré Luca di Montezemolo, en soulignant son intention de rester actionnaire et administrateur de la société. Outre la SNCF et les sociétés des patrons de Ferrari et de Tod's, NTV compte aussi la banque Intesa Sanpaolo parmi ses actionnaires. Malgré un succès commercial indéniable (avec 1 million de voyageurs à la mi-octobre), l'opérateur privé affiche un bilan financier mitigé. Pour son dernier exercice, la société a enregistré une perte de 39,3 millions d'euros pour un chiffre d'affaires de 24,7 millions et un endettement bancaire de 157 millions d'euros. Selon le « Sole 24 Ore », l'opérateur a souscrit en 2008 auprès de ses banques créancières (Intesa, MPS et Banco Popolare) un contrat de couverture contre le risque de taux (« zero cost collar ») pour une valeur notionnelle de 245 millions d'euros, qui pourrait se traduire par un surcoût potentiel de 42 millions d'euros.
Malgré ces contraintes financières, Italo se targue d'un taux de ponctualité de 97 % depuis sa mise en service et prévoit d'assurer 50 liaisons quotidiennes à plein régime, contre 43 aujourd'hui.
izgood Wrote:Bonjour
Bon premier semestre pour L'Italo
Plus résulté que flatteurs pour Nuovo Trasporto Viaggiatori, qui a bouclé son sixième mois d'exercice. Depuis le début du service, le 28 avril 2012, NTV a transporté 1.249.115 voyageurs par 4019 trains (soit 310 voyageurs par train) avec un taux de ponctualité de 95,3%.
Excellents aussi les données d'octobre, qu'i a vu le départ des services sur Venise s'ajouter à ceux entre Salerno, Naples, Rome et Milan.
En octobre, NTV a transporté 336.535 voyageurs, 24% de plus qu'en septembre, avec un taux de remplissage de 48%. Bonne aussi la ponctualité. En effet 93,6% des 1.052 trains ont circulé à l'heure.
Le 9 décembre l'offre de NTV augmentera de 2 AR entre Naples et Milan, dans l'attente de l'étendue du service sur Turin,
Selon Infotreno .
Una vera e propria rivoluzione nel campo dei trasporti piemontesi
Entrerà in esercizio domenica 9 dicembre, con la piena operatività del passante di Torino, il nuovo Servizio Ferroviario Metropolitano, una vera e propria rivoluzione nel campo dei trasporti piemontesi che la Regione ha perseguito con determinazione per raggiungere il fondamentale obiettivo di migliorare le modalità di trasporto di chi sceglie il treno per lavoro, studio o turismo.
Le novità - chiosate dal layout "Viaggia facile: lasciati trasportare" - sono state illustrate durante una cerimonia svoltasi il 4 dicembre nella Mole antonelliana di Torino dal presidente della Regione, Roberto Cota, dall’assessore regionale ai Trasporti, Barbara Bonino, dal sindaco di Torino, Piero Fassino, dall’amministratore delegato di Ferrovie dello Stato, Mauro Moretti, e dall’amministratore delegato di Gtt, Roberto Barbieri. Guarda il filmato
Cinque le linee attivate, con il programma di estenderle a nove nel giro di tre anni: FM1 Pont-Rivarolo-Chieri, FM2 Pinerolo-Chivasso, FMA Torino-Aeroporto di Caselle-Ceres, FM3 Torino-Susa/Bardonecchia, FM4 Torino-Bra. Ogni linea potrà avvalersi di materiale rotabile dedicato Minuetto, TAF, carrozze Vivalto e doppio piano), contrassegnato da appositi loghi colorati presso le porte di ogni carrozza. L’SFM potrà contare su 256 treni al giorno, che serviranno 75 stazioni, ed è stato messo a punto grazie al completamento di 12 km di infrastrutture ferroviarie nel nodo di Torino. Nelle ore di punta circolerà un treno ogni mezz’ora, nelle altre uno ogni ora ad orario cadenzato.
Ingenti gli investimenti della Regione, che ha deciso di scommettere su questo progetto che pone Torino al livello delle grandi metropoli europee, come Milano, Parigi, Zurigo o Vienna: 17 milioni di euro in nuovo materiale rotabile per l’FM1 (Coradia Meridian), 63 milioni nei nuovi treni previsti dal contratto di servizio con Trenitalia, 7 milioni per il completamento o l’adeguamento delle stazioni.
“Siamo orgogliosi di offrire agli utenti torinesi e piemontesi un servizio che era atteso da vent’anni - ha dichiarato il presidente Cota - Finalmente anche il nostro capoluogo potrà vantare un network di trasporti pubblici paragonabile alle più moderne realtà europee. I treni dell’SFM saranno utili non solo per pendolari e studenti della provincia, ma anche per i torinesi, che li potranno utilizzare come una nuova linea di metropolitana. Basti pensare che tra Stura e Lingotto nelle ore di punta ci saranno treni ogni 10 minuti, che impiegheranno a percorrere quella tratta circa 15 minuti, contro gli oltre 45 che impiega attualmente un tram della linea 4”. Il costo del biglietto per questa tratta è di 1,50 euro.
“L’avvio del sistema - ha sostenuto l’assessore Bonino - non rappresenta per noi un punto di arrivo, bensì l’inizio di una nuova fase di progetti per estendere la rete. Già abbiamo investito 162 milioni per l’interconnessione tra la Torino-Ceres e la stazione di Rebaudengo, per consentire all’FMA un collegamento diretto col passante ferroviario. In più, stanzieremo 18 milioni per attivare entro il 2016 l’FM5 Orbassano-Stura, mentre nel corso del 2013 avvieremo l’FM6 Asti-Stura, l’FM7 Torino-Fossano e l’FM8 Alba-Cavallermaggiore: tutte linee che avranno materiali dedicati contrassegnati dai loghi distintivi su tutte le carrozze. Ed è in cantiere anche l’introduzione del biglietto integrato metropolitano (BIM), che permetterà di utilizzare indifferentemente mezzi Gtt, Extra-To e Trenitalia garantendo per di più un risparmio agli utenti rispetto alle formule attuali. Nel frattempo, da gennaio 2013 scatterà la prima fase per il biglietto integrato Piemonte, attivo per tutti gli abbonati Formula, sia Trenitalia che Gtt”.
La completa operatività del Passante ferroviario di Torino vede l’attivazione degli altri due binari del quadruplicamento tra Porta Susa e Stura (in galleria), che permette di separare i flussi di traffico a lunga percorrenza da quelli regionali e rende possibile un forte incremento dell’offerta di trasporto. Il nuovo assetto ferroviario, infatti, è in grado di gestire fino a 500 treni al giorno, oltre il doppio rispetto a quanto precedentemente consentito. Questo permette l’attivazione del Sistema Ferroviario Metropolitano con orario cadenzato. Contestualmente, viene aperta al servizio viaggiatori la stazione sotterranea di Rebaudengo, dove avviene l’interconnessione con la linea Gtt per Caselle, Lanzo e Ceres. I due nuovi binari rappresentano la tappa conclusiva dei lavori di realizzazione del Passante, che si sviluppa per 12 km - di cui oltre 8 in galleria - dentro la città tra Lingotto e Stura. L’investimento complessivo è stato di oltre 1.400 milioni di euro.
La Suisse et l'Italie signent deux déclarations d'intention
Deux déclarations d'intention entre la Suisse et l'Italie à propos du transport ferroviaire et de l'efficacité énergétique ont été signées lundi à Berne.
La conseillère fédérale Doris Leuthard et le ministre italien du développement économique, des infrastructures et des transports Corrado Passera ont signé lundi à Berne deux déclarations d'intention. L'une concerne le transport ferroviaire et l'autre a trait au domaine de l'énergie.
Transport ferroviaire
Le mémorandum d'entente relatif au transport ferroviaire "règle les modalités de l'aménagement du corridor de quatre mètres pour le trafic marchandises sur territoire italien", indiquent lundi les services de la ministre du Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication (DETEC).
Un tel corridor permettra d'acheminer les semi-remorques de quatre mètres de hauteur sur la ligne Chiasso - Milan, ainsi que sur la partie italienne, de la ligne de Luino entre Ranzo et Gallarate. De plus, la Suisse et l'Italie soutiendront la construction d'un nouveau terminal à Milan. Il sera destiné au transbordement de la route au rail, précise le communiqué.
Selon les services de Doris Leuthard, la déclaration d'intention signée par la Suisse et l'Italie prévoit également des améliorations dans le domaine du trafic transfrontalier, "notamment la ponctualité des trains internationaux et la qualité du service".
L'efficacité énergétique
L'autre mémorandum signé concerne principalement l'efficacité énergétique, les énergies renouvelables, les systèmes d'électricité et la sécurité de l'approvisionnement.
Il vise également à "mieux coordonner le soutien apporté au projet de gazoduc transadriatique", explique encore le texte du DETEC. Par ailleurs, ces échanges seront complétés par un dialogue énergétique annuel. Y prendront part des représentants de haut niveau des deux gouvernements.
FM3 Bardonecchia - Susa - Turin Porta Nuova
Reconduction quasi identique de la grille 2012. 2 décadencements au départ de Bardonecchia pour permettre le passage des TGV 9241 et 9245.
Les trains régionaux ne sont toujours pas prolongés à Modane, malgré l'achèvement des travaux du tunnel du Mont-Cenis. Les 4 AR en Bardonecchia - Modane par le tunnel du Fréjus sont maintenus avec des correspondances toujours aussi nulles avec les TER à Modane.
Coccodrillo Wrote:À Viterbo, près de Rome, on voit régulièrement des compositions vraiment minimalistes, qui s'expliquent avec le fait que Trenitalia les dernières années commandé environ 680 locomotives E.464, mais peu de trains automoteurs (et peu de voitures).
izgood Wrote:Bonjour
La nouvelle gare de Torino Porta Susa, voir Ferrovie.it :
izgood Wrote:Bonjour
NTV (Italo) va lancer en Juin 2013, la liaison Milan-Bologne-Rimini-Ancone en 3 heures, voir Ferrovie.it :
http://www.ferrovie.it/ferrovie.vis/tim ... hp?id=2966
Ferroviaire : Alstom signe un contrat de 20 millions d'euros en Italie
Le constructeur ferroviaire français a annoncé le 21 janvier avoir remporté un contrat de 20 millions d'euros portant sur la signalisation et l'infrastructure de la ligne à grande vitesse Treviglio-Brescia.
Nouveau succès d’Alstom Transport en Italie. Le constructeur français a annoncé le 21 janvier avoir remporté un contrat portant sur "la fourniture d’une partie du système de signalisation ainsi que sur la conception et l’installation des infrastructures ferroviaires” du tronçon Treviglio-Brescia de la LGV Milan Verone, indique le constructeur dans un communiqué. L’accord a été signé auprès de RFI, la société gestionnaire du réseau ferroviaire italien, dans le cadre du consortium Saturno, regroupant Alstom, les groupes italiens Ansaldo STS et Sirti Consortium, ainsi que l’américain Balfour Beatty Rail. Le tout pour 20 millions d’euros.
Des travaux prévus pour être achevés mi-2016
La ligne Treviglio-Brescia, d’une longueur de 39 km, sera complétée par une section de 12 km pour lui permettre d’être reliée à la ligne actuelle. Egalement, sept kilomètres de voies supplémentaires, lui permettant d’atteindre la gare de Brescia, sont prévus. Les travaux devraient être achevés mi-2016.
Alstom Transport est spécialisé dans le développement de systèmes, de services et d’équipements destinés au secteur du ferroviaire. L’entreprise est présente dans une soixantaine de pays, et a généré un chiffre d’affaires de 5,2 milliards d’euros pour l’exercice 2011-2012.
lgv2030 - eomer Wrote:izgood Wrote:Bonjour
La nouvelle gare de Torino Porta Susa, voir Ferrovie.it :
WAOW...y'a pas à dire mais nos amis Italiens, ils aiment les belles choses.
Je ne peux pas me prononcer sur le plan fonctionnel mais sur le plan esthétique, cela a de la gueule.
Eurostar Italia Wrote:Perso, je suis assez sensible aux travaux qui apportent un réel progrès au voyageur tout en préservant le caractère historique du monument. Le meilleur exemple, tout le monde l'aura reconnu, est celui d'Antwerpen Centraal, le meilleur contre-exemple est celui de Liège Guillemins, et désormais de Torino Porta Susa à en juger par les photos, mais il faudrait y aller pour s'en faire une idée plus... construite (le mot !).
Eurostar Italia Wrote:Perso, je suis assez sensible aux travaux qui apportent un réel progrès au voyageur tout en préservant le caractère historique du monument. Le meilleur exemple, tout le monde l'aura reconnu, est celui d'Antwerpen Centraal, le meilleur contre-exemple est celui de Liège Guillemins, et désormais de Torino Porta Susa à en juger par les photos, mais il faudrait y aller pour s'en faire une idée plus... construite (le mot !).
Coccodrillo Wrote:E 464, c'est fini.
La dernière de la série, la 688, sera livrée le 20 février 2013, environ 13 ans après la 001 qui a été livrée en 1999 par ADTranz, aujourd'hui Bombardier. Avec les dix machines de FER et l'unique de TFT (Stia-Arezzo-Sinalunga) on arrive à 699 machines presque identiques.
Les autres séries les plus nombreuses en Italie ont été les 740 (locomotive à vapeur construite en 470 exemplaires) et les E 636 (469 en trois séries), mais les E 464 sont celles avec, je suppose, le moins de différences entre la première et la dernière.
La E 464 029 a été détruite le 22 septembre 2009 en un incident, mais les autres sont toutes en service ou manutention.
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