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secteurPublic Wrote:.
Si on me dit Paris Normandie, Paris Limoges, Paris Clermont, Quimper Rennes, Quimper Brest, Quimper Nantes Clermont Strasbourg Mulhouse, Bordeaux Espagne, Bordeaux Toulouse ou Marseille Nice, je comprends,
Thor Navigator Wrote:La FNAUT-LR se fourvoie en militant pour une ligne mixte à VL220. Les surcoùts importants de la mixité et ses contraintes d'exploitation... .
Aude : les élus socialistes font souffler un vent de fronde contre le gouvernement
Les fuites sur un éventuel report de la construction de la ligne à grande vitesse Montpellier-Perpignan n'en finissent plus d'agiter le monde politique audois. Le président du Conseil général est en colère comme les autres élus socialistes du département.
Qui l’eut cru ? Voilà qu’un vent de fronde contre le gouvernement souffle dans l’Aude, terre socialiste s’il en est. La raison : les fuites, concernant un possible renvoi aux calendes grecques de la ligne à grande vitesse entre Montpellier et Perpignan, parues dans la presse, jeudi. Mais surtout, l’assourdissant silence gouvernemental sur le sujet... Autant dire que dans l’Aude, la pilule passe mal.
Boycott d'une rencontre avec Delphine Batho
D’où le boycott, par les grands élus audois et ceux de la Région, de la conférence à laquelle devait participer la ministre de l’Écologie, Delphine Batho, ce vendredi à Carcassonne. Particulièrement remonté et soutenu par l’exécutif de la Région - Christian Bourquin en tête -, le président du Conseil général en a rajouté une... couche ce vendredi.
"On ne recevra plus de ministres dans l'Aude"
Au micro du Lab de nos confrères d’Europe 1, André Viola a déclaré : "Nous avons décidé que tant qu’on n’aurait pas de réponse claire, on ne recevra plus de ministres, en tout cas, on n’y participera plus. Les arbitrages sur le sujet - la réalisation ou non de la LGV - sont attendus en juillet ou en septembre. En attendant, nous ne participerons plus à d’éventuels déplacements ministériels, sauf si on est reçus d’ici là, et pas par un troisième membre de cabinet". Voilà qui a le mérite d’être clair. Et ne laisse rien augurer de bon dans les relations entre les caciques socialistes audois et le gouvernement, si le scénario d’un renvoi après 2030 de la LGV se confirmait.
Aude : le conseil général ne "ne recevra plus de ministres !"
Le report annoncé de la ligne LGV entre Montpellier et Perpignan ne passe pas. Le président du conseil général PS de l'Aude, André Viola, annonce que son département ne recevra plus de ministres avant d'avoir une "réponse claire".
André Viola, président du conseil général de l’Aude, voit rouge après l’annonce d’un possible renvoi aux calendes grecques du projet de ligne à grande vitesse entre Montpellier et Perpignan.
Hier, au micro du Lab d’Europe1, il s’est fait le porte-voix des grands élus audois et de la Région pour qui la pilule est dure à avaler. "Les arbitrages du gouvernement sur [le projet LGV] sont attendus en juillet ou en septembre, déclare André Viola. En attendant, nous ne participerons plus à d'éventuels déplacements ministériels, sauf si on est reçus d'ici là, et pas par un troisième membre de cabinet .."
Delphine Batho première "victime" de la fronde ?
"Nous avons décidé que tant qu’on n’aurait pas de réponse claire, on ne recevra plus de ministres, sauf si on est reçus d’ici là", a grondé l’élu socialiste. Cela suffira-t-il à accélérer les arbitrages sur la réalisation ou non de la LGV, attendus en juillet ou septembre ?
Hier, La Dépêche croyait savoir que l'annulation de la visite à Carcassonne de la ministre de l'Environnement, prévue vendredi, serait directement liée à la fronde audoise, bien que des 'raisons d'agenda" aient été avancées par son service de presse au Lab Europe 1.
LGV : les ministres toujours "personae non gratae" dans l'Aude
A l'exception Kader Arif, André Viola ne souhaite toujours pas de visite ministérielle dans l'Aude. Le président du conseil général attend les réponses du gouvernement sur la LGV Montpellier-Perpignan, prévues jeudi prochain.
Plus de ministre reçu dans l’Aude par le conseil général socialiste, jusqu’à nouvel ordre...
Interrogé par Midi Libre, André Viola, le président de cette collectivité, persiste et signe : tant qu’il n’aura pas de réponse claire du gouvernement sur la poursuite du projet de LGV Montpellier-Perpignan, les ministres en déplacement dans on département ne seront plus reçus par le conseil général.
Pas de visite ministérielle avant une réponse sur la LGV
“Marie-Arlette Carlotti doit venir dimanche prochain. Nous avons reçu une demande de sa part. Nous lui avons dit que nous subordonnons notre réponse à ce qui sera annoncé jeudi prochain”, confirme André Viola.
Jeudi, la commission Mobilité 21 remettra son rapport au ministre des Transports. Or, selon des indiscrétions, ce document proposerait de repousser, au-delà de 2030, la réalisation de la ligne nouvelle Montpellier-Perpignan.
La visite de Kader Arif épargnée
Un déplacement ministériel échapperait cependant à la colère audiose : celui de Kader Arif, ministre des Anciens combattants, qui viendra à Trassanel vendredi prochain, élever Florentin Mendizabal au grade chevalier de la Légion d’Honneur. Vendredi, en fin de journée, Christian Bourquin s’est lui aussi ému de cette menace sur la ligne nouvelle.
“Je comprends l’émotion actuellement suscitée en Languedoc-Roussillon (...) et je m’associe aux différentes initiatives prises pour interpeller l’État. Parmi elles, celles de mon collègue André Viola, le président socialiste du conseil général de l’Aude, de Roland Courteau, sénateur de l’Aude, ou encore celle de Raymond Couderc, maire et président U.M.P. de l’agglomération de Béziers et président du comité des villes pour la grande vitesse”, a écrit Christian Bourquin sur son blog.
"Il serait incompréhensible" que le projet s'arrête à Montpellier
Et de rappeler que les collectivités ont lourdement financer le tronçon Nîmes-Montpellier : “Montpellier-Perpignan, c’est la deuxième étape après le premier tronçon Nîmes-Montpellier dont les collectivités ont payé un tiers de l’investissement total (400M€ que pour la Région Languedoc-Roussillon). Cet effort financier est colossal et il serait incompréhensible que le projet s’arrête au milieu du gué, c’est-à-dire à Montpellier ”.
Narbonne. Les élus audois montent au créneau
Pour les élus Audois la ligne LGV et la création d'une gare est vitale pour l'économie du département.
L’annonce du report du projet de création d’une gare TGV à Montredon-Corbières et de la création de la LGV après 2030 a été très mal vécue par l’ensemble des Audois, l’ensemble des élus qui avaient manifesté une fois n’est pas coutume, une solidarité sans faille pour peser de tout leur poids afin que le projet se réalise sont placés devant un constat d’échec. L’ensemble des élus Audois PS ont boudé la venue de la Ministre de l’Écologie récemment à Carcassonne, ces derniers seront reçus à l’Élisez prochainement afin de faire retomber la tension. Pour Pais Nostré, la ligne TGV qui avait été promise pour les JO de Barcelone en 1992 n’a cessé d’être reportée, le mouvement régionaliste propose la création d’un lobby régional pour la LGV composé de maires, élus et parlementaires. Quant au Maire de Leucate Michel Py, il stigmatise l’attitude de Roland Courteau et Marie-Hélène Fabre : «Ils ont osé nous dire que le gouvernement ne suivra pas les conclusions du rapport Duron, or c’est exactement ce qu’il a fait comme je l’ai déjà dit auparavant, craignant le peu de pouvoir de l’ensemble des socialistes Audois sur les réseaux Parisiens». Prochain épisode lors de la réception des élus Audois à l’Élysée.
Lignes TGV reportées : 20 millions d'euros de dépensés, "on nous dit : il faudra recommencer plus tard !" (maire de Béziers)
La ligne Montpellier-Perpignan reportée : il faudra recommencer toute la démarche : le débat public, les études préalables... estime le maire de Béziers, Raymond Couderc
Le rapport Duron préconise de reporter la construction de plusieurs lignes à grande vitesse à l'horizon 2020-2030, voire au-delà. Le Premier ministre dénonce le "mensonge" du précédent gouvernement, qui avait prévu 250 milliards d'investissements d'ici vingt ans. "Irréaliste financièrement et techniquement", tranche-t-il. Parmi les projets retoqués, la ligne Montpellier-Perpignan est reportée à la période 2020-2030. Au grand dam du maire de Béziers, Raymond Couderc, qui rappelle que les collectivités ont déjà dépensé beaucoup pour réaliser les études préalables et le débat public...
Narbonne. La mobilisation s'organise pour le LGV
La mobilisation pour la ligne LGV est en marche, l’ensemble des élus audois et les représentants du monde insulaire et économique se sont donnés rendez-vous à Montredon-Corbières.
C’est au pied du pont enjambant la ligne de chemin de fer à Montredon-Corbières qu’une grande majorité des élus du département de l’Aude, tout bord confondu, représentants des chambres consulaires, acteurs économiques et syndicaux, ont choisi de marcher en faveur du projet d’implantation de la gare TGV, dans cet endroit chargé d’histoire et de symboles avec les événements tragiques de 1976 et la lutte des vignerons du midi, déjà, encore et toujours, les intérêts économiques d’une région face aux choix du pouvoir central et de l’État qui leur porte préjudice. L’heure n’est plus aux affrontements violents, l’enjeu dépasse les intérêts locaux et les clivages politiques et intéresse l’Europe du Sud, tel est l’esprit de cette première étape de la mobilisation comme l’a exprimé le président du Grand Narbonne dans son intervention. Hier après-midi, une délégation composée, d’André Viola, Christian Bourquin et des élus des agglomérations de Béziers, Perpignan et Montpellier (Jacques Bascou a souhaité être solidaire de la manifestation) rencontrait le Ministre des Transports à Paris pour exprimer la voie de l’Aude et de la Région Languedoc-Roussillon sur la nécessité de réaliser le projet d’implantation d’une gare TGV à Montredon. Magali Vergnes représentait l’association des maires de l’Aude en l’absence de Patrick Maugard excusé, le sénateur Roland Courteau et la députée Marie-Hélène Fabre retenus par leurs obligations parlementaires étaient également représentés. Jacques Bascou aux côtés de Didier Codorniou et de Jacques Barrot, face aux élus a expliqué les enjeux de cette mobilisation : «Cette LGV nous ne sommes pas réunis aujourd’hui pour en constater et en déplorer l’enterrement... Nous avons tous pris connaissance du rapport Duron et de ses incohérences. Nous ne contestions pas que des choix étaient nécessaires et que la situation économique de notre pays et de l’Europe ne permet pas de financer le plan de 245 milliards d’euros du schéma national des infrastructures de transports après le Grenelle de l’Environnement. Mais le report de la ligne LGV ne peut être compris et admis. Ce projet nous l’attendons depuis 1989, il a toujours été considéré comme le chaînon manquant sur un axe majeur européen entre le Nord et le Sud du continent... Si le gouvernement venait à confirmer les orientations du rapport Duron, nous devrions envisager de nous revoir et d’avoir à nous organiser et à imaginer d’autres formes de mobilisation. Je vous donne rendez-vous déjà pour le 9 juillet».
LGV : «Il faut continuer à se battre»
Le dossier de la ligne ferroviaire à grande vitesse avait provoqué une mini-crise entre le conseil général de l’Aude et le gouvernement, lorsque Matignon avait laissé filtrer que le projet de liaison TGV entre Montpellier et Perpignan, passant donc par Narbonne, était repoussé après 2030 ! Les élus audois avaient même refusé de recevoir des représentants du gouvernement tant qu’ils ne seraient pas entendus. Un mouvement d’humeur qui n’a pas infléchi pour autant la politique Ayrault… même si le seul tronçon manquant à une liaison TGV entre le Nord et le Sud de l’Europe est précisément le trajet Montpellier-Perpignan. Comprenne qui pourra. Le conseil général de l’Aude avait même fait de ce chantier son cheval de bataille mais rien n’y a fait. «Le gouvernement a fixé les priorités, nous, on passe après 2030, déplore André Viola, mais je reste persuadé qu’il y a encore de la place, il faut se mettre en situation pour aller chercher des fonds européens, il faut continuer à se battre pour cette LGV et nous avons décidé, avec la Région, de poursuivre les études». La foi du charbonnier ?
Regardez le dossier du TGV, ils (N.D.L.R. : les élus socialistes) ont été incapables d’infléchir la décision à Paris
Sur le plan des élections régionales qui suivront, Michel Py a reconnu que le couple Agglo/Région était celui où se prenait et où se prendraient les futures grandes décisons, regrettant au passage que la Région ait laissé passer le «train» du TGV : «Je note au passage que nos élus n’ont pas eu assez de poids pour faire aboutir ce dossier, le Ministre des Transports n’est même pas venu à Narbonne, moi j’avais fait venir Nathalie Koscusko Morizet à l’époque».
izgood Wrote:Bonjour
Importante déclaration de F.Cuvillier lors de la réception donnée au Palais des Roys de Majorque à Perpignan, le dossier de la LGV Montpellier-Perpignan repasse au-dessus de la pile, avec l'annonce d'études complémentaires de tracé alors que le projet était repoussé au dela de 2030.
Source ElPeriodico.com
http://www.elperiodico.com/es/noticias/ ... is-2928530
izgood Wrote: surtout que la ligne nouvelle de Montpellier à Perpignan sera mixte.
secteurPublic Wrote:si on prend en compte l'autofinancement qu'apporte la grande vitesse,
secteurPublic Wrote:La mixité, "on" croit beaucoup que ça va rentabiliser un projet quand il est trop cher....
Au maxima, seul la mixité de Montpellier à Béziers aurait du être envisagée
tram21 Wrote:question : à ce jour, combien d'engins sont aptes à tirer des trains de marchandises ET aptes LGV en France ?
sauf erreur ou omission, il n'y a que celles-ci : BB 622378 / BB 622379 / BB 622380 / BB 622386 / BB 622399 / BB 622401 / BB 622403 / BB 622405
toutes aptes V 200 + équipées KVB + TVM 430
en rampe de 35 ‰ (ce qui est courant sur LN 1 / LN 4 / LN 5), elles ne peuvent emmener que 300 T maxi !
avec ça, on va pas loin...
102.010 Wrote:La mixité, "on" croit beaucoup que ça va rentabiliser un projet quand il est trop cher....
Au maxima, seul la mixité de Montpellier à Béziers aurait du être envisagée
lgv2030 - eomer Wrote:Si l'on considere le parcours Montpellier-Perpignan dans son ensemble, la mixite ne se justifie pas forcement.
Par contre, entre Montpellier et Narbonne sud, l’intérêt est de dévier le trafic fret des centre-villes.
Jojo Wrote:Les 252 espagnoles tractent en UM les fret sur Perpigan-Figueras.
Et si construire une ligne mixte coûte si cher, c'est (en partie) parce qu'on n'y met pas des rampes de 3%, pour y trouver les mêmes conditions de traction que sur une ligne classique. De toutes façons on ne fera jamais de fret lourd sur la LN1, tu prends le problème par le mauvais bout.
Thor Navigator Wrote:bien sûr qu'aucun projet de LN ne s'autofinance aujourd'hui via le trafic GV. Mais il vaut mieux un projet qui coûte 100 financé à 30 par le trafic voyageurs (principalement GV) qu'une LN mixte qui coûtera 130 à 150 et ne pourra être financée qu'à 20 voire 15 par le voyageurs (cf. CNM)
Par contre, entre Montpellier et Narbonne sud, l’intérêt est de dévier le trafic fret des centre-villes.
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