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dyonisos Wrote:Et tu relies quoi à quoi avec ce barreau? Brive à Bordeaux ou à Paris?
Bonne navigation et bienvenue sur Linéoz...
RD 16 Wrote:dyonisos Wrote:Et tu relies quoi à quoi avec ce barreau? Brive à Bordeaux ou à Paris?
Bonne navigation et bienvenue sur Linéoz...
Pour relier Lyon à Bordeaux
La faire passer par Périgueux et Libourne, ca c'est mon idée et ci elle sera comme ca, ce sera grace a moi!![]()
dyonisos Wrote:Et donc tu as besoin de passer par Périgueux... avec la gare actuelle?
Dijon - Bordeaux... en 2017 avec SEA, ça va passer par Massy ça... A moins d'une forte volonté politique d'électrifier Nevers - Chagny et de rétablir une liaison IC... histoire de finir d'user les PSE et autres TaGVs Atlantiques...La faire passer par Périgueux et Libourne, ca c'est mon idée et ci elle sera comme ca, ce sera grace a moi!![]()
Et bien trinquons! Le Pineau doit être bon cette année!![]()
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Seconde idée d'avance que personne n'y pense: une gare TGV à Longueil-Sainte-Marie sur une ancienne base travaux de la LGV Nord appélée ''Compiègne TGV Picardie sud''. Elle permettrait la desserte du sud picard, de Compiègne et desservirait la ligne classique Paris - Creil - Compiègne - Noyon - Tergnier - Saint - Quentin. A ce site cette ligne classique passe en dessous de la LGV, de plus l'A1 passe à proximité à moins de 500 mètres! En tout cas il y a de l'espace le terrain est en friche et il y a des bois autour ce qui peut rendre un bel aspect visuel après travaux. Des raccordement à la ligne existante existent pour le service, ce qui facilite les échanges entre les deux ligne surtout avec une gare toute proche! Elle se situe à une dizaine de kilomètres de Compiègne, la distance de rabattement est donc intéressante. On peut aussi créer un raccordement pour un éventuel service TGV Paris - Compiègne - Tergnier (en correspondance avec la transversale Amiens - Reims) - Saint Quentin. Les villes desservies sont assez peuplées pour avoir le TGV (+ de 55 000 pour Saint-Quentin, + de 40 000 pour Compiègne, + de 14 000 pour Noyon et Tergnier alors que Montbard en a - de 6 000 et a bien le TGV!) ce qui prouve la parfaite rentabilité de cette desserte TGV avec le simple ajout de raccordement et d'une gare nouvelle!
Le réseau français en perte de vitesse
Si notre TGV national demeure le plus rapide du monde, d’autres pays sont désormais équipés d’un réseau plus important de lignes à grande vitesse.
Sur les rails, la France est un peu au reste du monde ce que le guépard est à la savane : la plus rapide, mais pas la plus endurante. Avec une pointe à 574,8 km/h atteinte en 2007, son TGV bat aujourd’hui encore tous ses rivaux à plates coutures. En revanche, en termes de lignes à grande vitesse, son réseau a perdu en une petite décennie sa longueur d’avance .
Avec l’inauguration mercredi de la plus longue ligne de train à grande vitesse du monde, capable de relier les 2298 km qui séparent Pékin de Canton en huit heures, la Chine se positionne clairement comme l’un des principaux marchés mondiaux de lignes à grande vitesse (LGV). Dans moins de deux ans, cette même ligne sera prolongée jusqu’à Hongkong. En quelques années seulement, plus de 7000 km de voies ferrées à grande vitesse ont été construits dans le pays. A titre de comparaison, il a fallu à la France trois décennies pour installer pratiquement la même longueur de rails sur son territoire.
Plus de 131 millions de voyageurs en 2011
Même avec quelques beaux restes (en 2011, la SNCF a transporté à plus de 250 km/h plus de 131 millions de voyageurs, avec 800 TGV par jour), notre modèle économique semble s’essouffler.
Certes, d’ici à 2020, son réseau à grande vitesse devrait encore s’enrichir de 2 000 km de lignes supplémentaires, avec sept nouveaux projets inscrits dans le cadre du Grenelle de l’environnement.
Mais la concurrence internationale est devenue féroce. Le réseau à grande vitesse mondial devrait doubler d’ici à 2030, passant de 15000 à 35000 km de lignes, et de 2000 à 5000 rames !
Avec 20% de part de marché*, la France a ainsi perdu sa première place en nombre de passagers transportés par kilomètre, place ravie par le Japon (31%), historiquement précurseur en matière de vitesse sur rail avec le Shinkansen (1964). Juste derrière, la Chine, avec 18%, multiplie comme des petits pains les appels d’offres pour de nouveaux projets, suivie de près par le Brésil, l’Arabie saoudite, le Maroc, la Russie ou l’Afrique du Sud. Pour y répondre, Alstom et l’allemand Siemens sont désormais au coude-à-coude avec de nouveaux constructeurs de trains ultrarapides, notamment sud-coréens ou espagnols.
* Chiffre de l’Union internationale des chemins de fer (UIC).
Un marché intérieur moribond
A l’inverse de Siemens en Allemagne, d’Hitachi au Japon ou des deux constructeurs locaux CNR et CSR en Chine, le français Alstom souffre actuellement d’un marché intérieur très peu porteur.
La SNCF réceptionne jusqu’en 2015 une dizaine de TGV Duplex par an, mais aucune commande supplémentaire n’est prévue après cette échéance.
Contrairement à d’autres pays, aucune ligne à grande vitesse (LGV) en France n’est exploitée à plus de 320 km/h et les projets actuellement en discussion n’ouvrent pas de perspectives de circulation commerciale (avec passagers) à 350 km/h ou plus. Au risque pour le pays de perdre définitivement son avance technique et industrielle.
Les élus favorables au TGV picard
Défendu par la chambre de commerce et d’industrie de l’Oise et le maire UMP de Beauvais, Caroline Cayeux, le projet de ligne TGV Paris-Londres via Beauvais trouve un écho très favorable dans le nord-ouest du département. Lors du dernier conseil municipal, les élus de Crèvecœur-le-Grand ont eux aussi émis un vœu sur la mise en place de cette liaison ferroviaire.
Ainsi, les élus souhaitent que le tracé Paris-Beauvais-Amiens-Londres soit reconnu comme une alternative crédible aux autres projets, notamment le tracé passant par Rouen (Seine-Maritime). Quelques semaines plus tôt, le conseil municipal de Breteuil avait lui aussi formulé son soutien au projet porté par le maire de Beauvais, estimant qu’il était conforme aux grandes orientations fixées à l’échelle européenne.
Didier 74 Wrote:Le Parisien, 29 décembreLe réseau français en perte de vitesse
interrogeons nous sur les 7 000 km de LGV construits en trois décennie et sur les 2 000 supplémentaires prévus pour 2020
roma ostiense Wrote:Raisonnons trains sans changement avec rame à la capacité adaptée de 230/250 places, on a :
-Limoges-Poitiers-St Maixent-Niort-Surgères (Rochefort)-La Rochelle en 2h07, 2h01 si pas d'arrêt à St-Maixent et Surgères. Il y a un rebroussement à Poitiers, mais qui l'interdit (5', je rappelle qu'il s'agit de petites rames).
-Limoges-Poitiers-Tours-Angers-Nantes/Rennes : 2h39 pour Nantes (3h44 par la route) et 3h12 pour Rennes grâce à la virgule de Sablé si on scinde une UM à Angers, ou 3h34 si correspondance avec une Z TER affectée à ce service Nantes-Angers-Sablé-Laval-Rennes, c'est donc loin d'être le "merdier" puisqu'il faut 4h56 par la route ! (temps pouvant être amélioré de 10 minutes si mise à 200km/h d'importantes sections sur Tours-Angers).
Voilà ce qu'on appelle une desserte sérieuse, le chemin de fer du futur si l'on veut qu'il participe à l'aménagement équilibré du territoire et à la transition énergétique via un transfert modal significatif, même, et j'y veillerai personnellement, si Dyonisos pourra constitutionnellement continuer à prendre sa voiture. Et que l'on ne me réponde pas qu'il n'y a pas de potentiel : RFF disait la même chose pour la virgule de Sablé en se basant sur la fréquentation des cars Laval-Nantes et Angers-Rennes...or, poussé au c... par les deux régions concernés, RFF évalue le potentiel à 340 000 voyageurs.
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