Les tarifs des bus sont revus à la baisse entre Belley et Chambéry
Transports. La ligne 173, auparavant confiée à la Savoie, est dorénavant prise en charge par le conseil général de l’Ain
Bus archi-complets, taxis appelés en urgence pour dépanner les voyageurs restés à quai, absence de panneaux indiquant les arrêts… Depuis près de trois ans, les utilisateurs de la ligne 173 pestent contre la qualité du service. Une pétition avait même été signée par plus de 300 personnes pour dénoncer les difficultés quotidiennes des usagers de cette liaison routière.
À l’origine de ces cas de figure ubuesques, une situation administrative relativement complexe. La liaison est à cheval entre l’Ain et la Savoie, mais son tracé est essentiellement situé du côté savoyard. Du coup, elle relevait jusqu’à maintenant de la compétence du conseil général de la Savoie (aidé financièrement par l’Ain). Mais depuis le 29 août dernier, la situation a radicalement changé. Exit le partenariat, l’Ain devient la nouvelle autorité organisatrice de la ligne de bus. « Nous avons souhaité prendre notre destin en main, explique Delphine Avocat, directrice des transports au conseil général de l’Ain. En 2009, près de 30 000 voyages ont été enregistrés sur cette ligne et nous avons constaté que la part des usagers domiciliés dans l’Ain croît régulièrement. Elle approche aujourd’hui les 50 %. »
Pour les voyageurs, ce changement se traduit par une politique tarifaire plus avantageuse. Un voyage coûte désormais deux euros, alors qu’il fallait débourser 4,50 euros il y a encore quelques jours. Autre point positif, le conseil général de l’Ain a développé sensiblement l’offre de service. Les cinq allers-retours quotidiens au départ de Belley sont maintenus six jours par semaine, ce qui représente deux allers-retours supplémentaires le samedi. Au final, le montant de l’opération s’élève à 200 000 euros, sachant que dans le cadre de son précédent partenariat avec la Savoie, le conseil général de l’Ain déboursait déjà près de 150 000 euros chaque année.
Voilà pour l’essentiel. Reste à faire comprendre les subtilités du fonctionnement de la ligne aux utilisateurs. « Ils sont complètement perdus depuis une semaine, explique André Gobry, chef de file des usagers de la ligne 173. Faute d’information, les rumeurs les plus folles ont été propagées. De la même manière, nous ne comprenons pas pourquoi certaines descentes et montées sont dorénavant interdites. »
« Les arrêts de bus seront prochainement matérialisés et nous allons distribuer de nombreux prospectus, répond Delphine Avocat. Un bus destiné à informer les utilisateurs est également installé cette semaine sur la place des Terreaux à Belley ». Quant au « cabotage », la pratique est désormais interdite entre les communes du département de Savoie. Autrement dit, passée la frontière, la montée devient prohibée lorsque le bus roule en direction de Chambéry. Idem en sens inverse, où la descente est défendue entre les villages savoyards. C’est un poil compliqué, mais au final, les usagers devraient s’y retrouver. « De nombreux actifs et étudiants voyagent entre Chambéry et Belley, explique Jean-Marc Fognini, maire de la ville et conseiller général. Cela n’a pas été une opération simple à mener, mais le département était conscient qu’il fallait sauver cette ligne tout en offrant un service plus confortable et moins cher. »
Transports. La ligne 173, auparavant confiée à la Savoie, est dorénavant prise en charge par le conseil général de l’Ain
Bus archi-complets, taxis appelés en urgence pour dépanner les voyageurs restés à quai, absence de panneaux indiquant les arrêts… Depuis près de trois ans, les utilisateurs de la ligne 173 pestent contre la qualité du service. Une pétition avait même été signée par plus de 300 personnes pour dénoncer les difficultés quotidiennes des usagers de cette liaison routière.
À l’origine de ces cas de figure ubuesques, une situation administrative relativement complexe. La liaison est à cheval entre l’Ain et la Savoie, mais son tracé est essentiellement situé du côté savoyard. Du coup, elle relevait jusqu’à maintenant de la compétence du conseil général de la Savoie (aidé financièrement par l’Ain). Mais depuis le 29 août dernier, la situation a radicalement changé. Exit le partenariat, l’Ain devient la nouvelle autorité organisatrice de la ligne de bus. « Nous avons souhaité prendre notre destin en main, explique Delphine Avocat, directrice des transports au conseil général de l’Ain. En 2009, près de 30 000 voyages ont été enregistrés sur cette ligne et nous avons constaté que la part des usagers domiciliés dans l’Ain croît régulièrement. Elle approche aujourd’hui les 50 %. »
Pour les voyageurs, ce changement se traduit par une politique tarifaire plus avantageuse. Un voyage coûte désormais deux euros, alors qu’il fallait débourser 4,50 euros il y a encore quelques jours. Autre point positif, le conseil général de l’Ain a développé sensiblement l’offre de service. Les cinq allers-retours quotidiens au départ de Belley sont maintenus six jours par semaine, ce qui représente deux allers-retours supplémentaires le samedi. Au final, le montant de l’opération s’élève à 200 000 euros, sachant que dans le cadre de son précédent partenariat avec la Savoie, le conseil général de l’Ain déboursait déjà près de 150 000 euros chaque année.
Voilà pour l’essentiel. Reste à faire comprendre les subtilités du fonctionnement de la ligne aux utilisateurs. « Ils sont complètement perdus depuis une semaine, explique André Gobry, chef de file des usagers de la ligne 173. Faute d’information, les rumeurs les plus folles ont été propagées. De la même manière, nous ne comprenons pas pourquoi certaines descentes et montées sont dorénavant interdites. »
« Les arrêts de bus seront prochainement matérialisés et nous allons distribuer de nombreux prospectus, répond Delphine Avocat. Un bus destiné à informer les utilisateurs est également installé cette semaine sur la place des Terreaux à Belley ». Quant au « cabotage », la pratique est désormais interdite entre les communes du département de Savoie. Autrement dit, passée la frontière, la montée devient prohibée lorsque le bus roule en direction de Chambéry. Idem en sens inverse, où la descente est défendue entre les villages savoyards. C’est un poil compliqué, mais au final, les usagers devraient s’y retrouver. « De nombreux actifs et étudiants voyagent entre Chambéry et Belley, explique Jean-Marc Fognini, maire de la ville et conseiller général. Cela n’a pas été une opération simple à mener, mais le département était conscient qu’il fallait sauver cette ligne tout en offrant un service plus confortable et moins cher.
Rabelaisien Wrote:C'est ce qui s'appelle une interdiction de trafic local, en abrégé ITL. Yenne est elle située à la limite des départements ?
gede Wrote:Il serait temps de revoir la répartition des compétences des départements et des régions en matière de transports.
Polémique autour de la nouvelle ligne Belley-Chambéry
Depuis mardi dernier, la ligne Belley-Chambéry nommée symboliquement “Ligne 173” est officiellement lancée. Elle assure cinq trajets quotidiens au départ de Belley et de Virignin du lundi au samedi et six au départ de la préfecture savoyarde.
Elle remplace la liaison assurée par la compagnie Transdev qui reliait Belley à Chambéry et qui s’est arrêtée le 29 août suite à l’expiration de la convention de financement entre les deux départements.
Le conseil général de l’Ain a pris alors le parti d’organiser lui-même la ligne. Cette ligne 173 offre la possibilité de rejoindre Belley à Chambéry pour seulement 2€. Seul hic : le cabotage est interdit entre les communes de Savoie. En clair, les Savoyards ne peuvent pas monter dans cette ligne pour rejoindre la préfecture… De son côté, la Savoie a maintenu une ligne Chambéry-Yenne pour un prix de 3€ et assure des navettes entre le bourg médiéval et la capitale du Bugey.
Un collectif s’est créé pour la défense des usagers
Alors y ‘aurait-il eu un défaut d’entende entre les deux conseils généraux ? « Non, avec l’augmentation des demandes, il était plus judicieux que chaque département gère ses flux. Cette ligne aide au désenclavement du Bugey », commente Delphine Avocat, directrice des transports au conseil général de l'Ain. Du côté de la Savoie, même son de cloche : « Le tunnel du Chat ne permet pas le passage de gros véhicules. Les cars sont limités à 22 places. Avec la hausse de la clientèle, nous étions obligés de doubler les services et faire appel à des taxis » explique Jean Pirat, responsable de la direction des transports départementaux.
Face à ce casse-tête, les usagers en perdent leur latin. Un collectif Belley/Chambéry s’est formé. « Les usagers ont du mal à s’y retrouver notamment pour la matérialisation des arrêts et sur la politique tarifaire. Beaucoup de résidents de l’Ain travaillent en Savoie. L’harmonisation de la liaison devient nécessaire surtout que le tunnel devrait bientôt refermer » dénonce André Gobry, président du collectif. En 2009, 30 000 voyageurs ont fréquenté cette ligne.
Didier 74 Wrote:Le conseil général de l’Ain a pris alors le parti d’organiser lui-même la ligne. Cette ligne 173 offre la possibilité de rejoindre Belley à Chambéry pour seulement 2€. Seul hic : le cabotage est interdit entre les communes de Savoie. En clair, les Savoyards ne peuvent pas monter dans cette ligne pour rejoindre la préfecture… De son côté, la Savoie a maintenu une ligne Chambéry-Yenne pour un prix de 3€ et assure des navettes entre le bourg médiéval et la capitale du Bugey.
Didier 74 Wrote: Les usagers ont du mal à s’y retrouver notamment pour la matérialisation des arrêts et sur la politique tarifaire.
BUS TPG Wrote:L'idée d'avoir deux lignes est intéressant, car elle permet d'augmenter la capacité vu qu'il ne peux y avoir que des minibus sur la ligne (actuellement, un grand Daily sur C2 et un Crafter sur 173)
Par contre, il faut effectivement clarifier les arrêts pour que les usagers comprennent bien quelle ligne prendre, et pour aller ou !
Une couleur par activité pour les Transports de l’Ain
Les Transports de l’Ain ont adopté, à la fin juin, une nouvelle livrée de leurs bus en fonction de leur affectation.
Ainsi, les quatre types de transport effectués par la Régie départementale des transports de l’Ain adoptent chacun une couleur : le jaune pour le transport scolaire (12 000 élèves par jour), le vert pour l’urbain (réseau de Bellegarde-sur-Valserine), le bleu pour le tourisme et le violet pour les lignes régulières intradépartementales. Cette distinction vise à faire mieux connaître l’ensemble des activités de transport, alors que les Transports de l’Ain sont souvent perçus comme le service de transport scolaire du conseil général de l’Ain. Néanmoins, le logo du conseil général sera toujours présent sur les bus scolaires. Il disparaîtra toutefois de l’identité visuelle des Transports de l’Ain.
La régie, membre d’Agir, emploie 300 personnes et gère 200 véhicules : 120 bus pour le scolaire, 50 bus pour les vingt lignes régulières départementales et les deux lignes régionales, 20 bus pour le réseau urbain de Bellegarde et les deux lignes Transports publics genevois, et 10 autocars pour le transport de groupes avec ou sans prestations touristiques.
BUS TPG Wrote:Il y a donc la livrée tourisme (visible ci-dessus) et aussi la version "voyage" pour les nouveaux cars... C'est sympa comme variété !
CORBONOD Transports scolaires au collège : pourquoi ça coince
Ces dernières années, une quinzaine de familles et 20 enfants pour la rentrée scolaire 2011, ont pris la décision d‘inscrire leurs enfants au collège de Seyssel Haute-Savoie, et non dans celui de Bellegarde, pourtant collège de secteur.
Tout irait au mieux s’il n’y avait pas ce facheux problème de transport... En effet, il n’y a aucun car qui part ou arrive de Chanay. Et les parents sont donc obligés de faire 3km pour relier le premier arrêt de bus à Orbagnoux, hameau de Corbonod.
Après plusieurs courriers, dont un à Christophe Bérardi conseiller général du canton de Seyssel, une pétition signée, puis une entrevue avec Henri Caldairou maire de Chanay, une rencontre a fini par avoir lieu en mairie. Dix familles étaient présentes, dont Corinne Gateau porte-parole des parents. Henri Caldairou a précisé : « Chanay reste écartelé entre le Nord et le Sud. Il est logique pour les parents d’aller ou à Seyssel ou à Bellegarde ».
Un deuxième bus ?
Corinne Gateau a alors exposé la demande des parents : « Je suis gestionnaire au collège Louis-Dumont de Bellegarde. Que ce soit Saint-Exupéry ou Louis-Dumont, il y a un surplus pour un des deux. Chanay limitrophe, n’est pas pris en compte. Pour le transport vers Bellegarde, le car est complet donc pour 20 élèves de plus, il faudrait mettre un deuxième bus», explique-t-elle.
Et d’ajouter : «Seyssel ne nous fait pas payer. Si le car montait jusqu’à Chanay, ça ne décalerait rien à Orbagnoux, d’autant plus que le chauffeur dit qu’il peut venir jusqu’à Chanay et surtout, que c’est beaucoup moins dangereux.»
Henri Caldairou a expliqué que la municipalité avait eu un entretien avec un responsable de la RDTA et plusieurs “essais” seront effectués avant la Toussaint. Si l’un d’eux est concluant, il sera mis en œuvre après les vacances, et l’arrêt pour Bellegarde se fera alors devant l’école primaire.
Christophe Bérardi a rappelé à l’assistance que « le service bus, mission département transport, est un des plus gros budget, environ 30 millions d’euros. Beaucoup de parents n’utilisent pas ce service, il devient parfois surdimensionné… Le département reste très prudent sur toutes les demandes. Et, il y a aussi la question de sectorisation.»
En face : « Je ne pense pas que 6 km aller-retour reviennent à un prix exorbitant, moins que de mettre un deuxième bus. De plus, nous parents, nous sommes prêts à apporter une participation financière sur le trajet Orbagnoux Chanay », s’accordent à dire les parents d’élèves.
Et Bérardi de leur demander : « Quelle est la motivation de mettre vos enfants à Seyssel plutôt que Bellegarde, collège de secteur? »
Les parents parlent d’une seule vo « Pour un confort d’horaires. Nous ne voulons pas que nos enfants fassent une heure de transport. Pour Seyssel, le bus est à 8 heures, Bellegarde à 7h10. Le soir, Seyssel 17 heures tous les jours, Bellegarde 17h30 ou 18h35. »
Christophe Bérardi a promis de transmettre cette demande dès ce lundi au service transport. Il invoqua aussi le fait probable d’un réaménagement de la sectorisation, et d’une intention du conseiller général du canton de Chautagne de créer un collège dans un ou deux ans. Enfin, d’une modification des services transports.
Les cars du département aimeraient trouver un second souffle
Cinq compagnies de cars travaillent sur les lignes suivies par le Département.
Ain. En mettant en avant le voyage au prix unique de 2 euros, en augmentant le trafic sur des lignes à succès comme sur la Côtière, le conseil général aimerait relancer l’utilisation de ces 35 lignes.
Sont-ils encore dans l’air du temps, les transports en cars financés par le conseil général ? Certains en doute au sein même du conseil, comme Jean Chabry qui, lors de la présentation d’Agenda 21, lança que ces cars c’était bien gentil, mais qu’il n’y avait personne dedans…
Même si beaucoup le pensent, le dire est tabou et Jean-Pierre Roche, qui a en charge les transports, ne peut bien évidemment aller dans ce sens.
Au contraire, le conseil général a lancé à la rentrée une opération de communication pour mieux faire connaître son réseau, rappeler que le trajet ne peut excéder 2 euros et expliquer que certaines lignes étaient renforcées. Bref, que le transport en car avait encore de l’avenir.
Pour Jean-Pierre Roche, « un combat n’est jamais perdu. C’est l’offre qui crée la demande et si l’offre est plus attractive, les gens auront plus envie de prendre le car. » Certains signes vont dans son sens, comme sur la ligne Lyon-Montluel où les objectifs des recettes ont été dépassés, incitant le Département à la renforcer. « On doit toujours réfléchir, travailler pour réajuster les horaires… C’est ce qu’on fait. » Certes, mais d’autres lignes sont boudées par les utilisateurs. Du coup, le conseil général a renforcé des liaisons bien spécifiques, comme celles de Châtillon-sur-Chalaronne qui permet de se rendre en car le jour du marché.
Pour le reste, le Département estime que beaucoup de choses peuvent encore s’arranger. Sur la longueur. « On peut améliorer plein de choses, comme les points d’arrêts, les rendre attractifs, en faire des petites gares. » Les transports souffrant d’un manque de lisibilité, le conseil général sait qu’il lui faudra renforcer ses campagnes de communication. Et il voit plus loin, estimant qu’il faut aussi travailler avec les urbanistes, avec les Scot (Schémas de cohérence territoriale), les PLU (Plan local d’urbanisme), pour qu’en densifiant les communes, on favorise ces transports en évitant l’éclatement des arrêts. En attendant, le conseil général rappelle que 500 000 voyageurs empruntent les cars chaque année, qu’en un an les usagers ont augmenté de 17 %… Et il annonce aussi quelques pistes pour mieux faire, en travaillant avec les cars scolaires, en sensibilisant les communes pour qu’elles jouent le jeu et en créant des parkings relais.
Bref, même si c’est encore un peu la méthode Coué, les transports en commun auraient encore de beaux jours devant eux. Il suffit d’y croire.Les nouveautés et points marquants
Cadencement
Il a pris effet sur les lignes Montluel-Lyon (171), avec un départ tous les quarts d’heure aux heures de pointe.
Navettes
Sur la ligne Villefranche-sur-Saône-Bourg-en-Bresse (119), deux navettes express sont créées entre Châtillon-sur-Chalaronne, vers Bourg-en-Bresse, et Villefranche-sur-Saône, avec un nombre d’arrêts limités.
Correspondances
De nouvelles sont mises en place pour rejoindre une gare TGV ou TER sans prendre son véhicule.
Pour les lignes Belleville-Saint-Germain-au-Mont-d’Or (113), Mâcon-Belleville (114), Romenay-Bourg-en-Bresse (150), Oyonnax-Izernore-Nantua (135), Virieu-le-Grand-Belley (145), Châtillon-sur-Chalaronne-Villars-les-Dombes (101), Chalamont-Villars-les-Dombes (102), Lagnieu-Ambérieu (103).
Marchés
Des liaisons existent spécifiquement entre Pont-de-Vaux et Mâcon (155) entre Saint-Julien-sur-Suran et Bourg-en-Bresse (148), entre Lhuis et Ambérieu (149), entre Meximieux et Bourg-en-Bresse (132).
Lyon-St-Clair Wrote:C'est une blague cette histoire de série limitée ? Je croyais que c'était uniquement pour les voitures ce genre de choses ... Et qu'apporte cette série "Pop" du coup par rapport au Récréo normal ?
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