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BUS TPG Wrote:le savoyard Wrote:Bonjour j'ai vu le bus hybride numéro 29 à poisy, ça yest ils ont leur numéro
Le 29 c est le CH 673 DC
Donc par déduction je pense que l autre est le numéro 28 (CH 476 la fin j arrive pas a la lire sur les photos précédentes.
A'rvi pa
CH-673-QC et CH-476-QC
Je prend note... merci ! Si tu as l'occasion de confirmer que le 28 est bien le CH-476-QC, c'est sympa
niccoco74 Wrote:hier j'ai aperçu sur la voie rapide le bus n°65 (mon image de profil) avec en girouette '' 9 clinique d'argonay'' venait-il d'assurer le service de la ligne 9, etait-ce une erreur de programmation de girouette? ce matin en tout cas c'était bien les solaris qui assuraient la ligne 9. si quelqu'un à une info...
Stationnement : le nord de la ville reste encore en zone non payante
Pas facile de trouver une place gratuite pour se garer en centre-ville. La municipalité a développé une politique de dissuasion à la voiture en étendant ses zones de stationnement payant.
Mais il reste encore quelques rues, où il est possible de se garer sans dépenser un sou.
C'est surtout pour se rendre au travail que de nombreux automobilistes tentent de trouver une place non payante dans le centre d'Annecy. Mais depuis de nombreuses années, la Ville a appliqué une politique d'extension des zones de stationnement payant. Impossible donc de laisser sa voiture dans le cœur de la cité toute une matinée pour aller travailler sans débourser un seul centime. Mais il reste quelques astuces pour trouver où stationner gratuitement.
C'est au nord de la ville, que les automobilistes trouveront leur bonheur, à condition de ne pas être un lève-tard, car les places sont de plus en plus chères. Pour être vraiment au plus près du centre, les secteurs des lycées Berthollet et Sommeiller sont encore les meilleurs plans. Et les riverains sont assez indulgents, comme le confirme le maire de la ville. « Ils ne sont pas contents seulement quand les automobilistes se garent sur les trottoirs ou devant les entrées des immeubles. Mais généralement », analyse Jean-Luc Rigaut, « il n'y a pas trop de pressions dans ces quartiers-là ». Peut-être parce que les habitants ont déjà une réponse à leur propre stationnement.
Les difficultés se trouvent plutôt du côté des Hirondelles. « Il y a de plus en plus de conducteurs qui se garent là pour prendre le train par exemple ou les transports en commun ». Si la Ville ne projette pas d'étendre ce secteur en zone payante, elle ne cache pas qu'il faudra engager une réflexion sur le long terme, notamment dans le cadre du plan de déplacement urbain et les nouvelles orientations du schéma Agglo 2030.
« On se doit de renforcer l'identification des parcs relais. On sait qu'ils ne marchent pas très bien, il faut donc revoir les conditions de stationnement dans les 2 à 3 ans ». La municipalité espère également que la création d'un nouveau parking souterrain sur le terrain Balleydier va donner plus d'oxygène pour la vieille ville.
Les travaux du Crêt du Maure décalés à mai 2014
La transformation de l'avenue du Crêt du Maure devait être une bouffée d'oxygène pour bon nombre d'automobilistes annéciens. Le réaménagement de cette artère qui passe derrière la vieille ville et relie la zone de Vovray aux Marquisats est en effet devenu une nécessité à cause d'un flot de véhicules toujours plus abondant et d'un feu tricolore inadéquat.
Pour fluidifier la circulation, la solution envisagée par le conseil général consiste en la création de deux giratoires : un premier à trois branches place du Paradis, entre l'avenue du Crêt du Maure, le chemin de la Tour de la Reine et le boulevard de la Corniche, et un second réunissant le boulevard de la Corniche, l'avenue de Trésum et la route du Semnoz (RD 41). Le tout pour un coût situé entre 3 et 4 millions d'euros.
Pourtant, tout cela n'arrivera pas. Tout au moins pas dans les délais prévus au départ. En effet, ce chantier, qui devait se réaliser au cours de l'été 2013, ne débutera finalement qu'en mai 2014. Le conseil général explique que c'est la Ville d'Annecy qui lui a demandé de décaler ces travaux.
Une paralysie totale
La municipalité, de son côté, assure que c'est à cause du « passage du Tour de France à la même période » mais également à cause « du chantier de déconstruction de l'ancien hôpital » qu'il est impératif de reporter ce réaménagement.
Un proche du dossier assure en effet qu'il serait « extrêmement compliqué de bloquer, même partiellement, l'unique route que les camions vont emprunter pour évacuer les débris. Si on faisait ça, cette avenue serait paralysée tout l'été ».
Les chauffeurs de bus menacent de boycotter l'hôpital d'Annecy
Pas assez de places de parking à l'hôpital d'Annecy. Conséquence, des voitures garées de façon anarchique, un peu partout. Les chauffeurs de bus ne parviennent plus à accéder à l'hôpital. Ils demandent qu'une solution soit trouvée sinon ils n'iront plus aux abords du site.
De chaque côté, des voitures en stationnement. Alors, lorsqu'il faut passer en même temps que les pompiers ou le SAMU, les bus ont bien du mal à accéder au centre hospitalier. La situation n'est pas nouvelle, elle dure depuis plusieurs années. Mais les chauffeurs de bus de la Sibra en ont assez. Début avril, les syndicats CFDT et SNTU (Syndicat national des transports urbains) ont donc décidé d'adresser une lettre à leur direction et aux décideurs de l'agglomération d'Annecy.
Ils dénoncent "le laxisme des autorités" qui, depuis plusieurs mois, laissent se dégrader les conditions d'accès au CHRA (Centre Hospitalier de la Région Annécienne). Non seulement la circulation est ralentie, mais elle est de surcroît "dangereuse", selon les chauffeurs.
La situation est inquiète aussi la direction de l'hôpital. La solution la plus évidente serait de construire de nouveaux parkings. Pourtant, il n'y a aucune solution foncière, pas de terrain à acheter, explique Julien Couvreur le directeur logistique de l'hôpital.
Une réunion est prévue la semaine prochaine entre la direction et les élus de l'agglomération d'Annecy. Si aucune solution n'était trouvée, la CFDT menace de suspendre la desserte de l'hôpital par les lignes n°3 et n°6.
L'hôpital privé de bus ?
Le stationnement sauvage le long de la voie réservée bloque le croisement des bus et véhicules d'urgences.
La CFDT Sibra menace de ne plus desservir le centre hospitalier. Les chauffeurs en ont assez de ne plus pouvoir circuler librement sur leur voie réservée, à cause du stationnement sauvage.
Une réunion s'est déroulée mercredi 10 avril.
Philippe Cantaloube, secrétaire du syndicat national des transports urbains CFDT de la Sibra est en colère. « Cela fait un bout de temps que l'on alerte sur les difficultés des chauffeurs de bus à circuler sur la voie réservée en direction de l'hôpital » . En cause, le nombre de voitures croissant venant stationner le long de la voie réservée aux bus, aux véhicules d'urgences et aux automobilistes se rendant aux services des urgences. « Si un camion de pompiers arrive en face, il nous est impossible de se croiser.
Comment fait-on alors ? Le jour, où il y aura un accrochage, on verra qui sera reconnu responsable ».
Les chauffeurs espèrent qu'une solution sera trouvée lors de la réunion qui était prévue le mercredi 10 avril. « Sinon on donnera consigne de ne plus desservir l'hôpital à partir du 12 avril. Si personne ne veut agir, c'est que tout le monde doit être content. Sauf les chauffeurs.
Alors tant pis. Il ne faut pas nous prendre pour des imbéciles ».
Le syndicat a été soutenu par son homologue du CHRA. « Nous avons là une double problématique », confie Philippe Barbin, « quand les agents de l'hôpital quittent le parking du personnel, ils se retrouvent en difficulté à cause du parking sauvage d'automobilistes fréquentant l'établissement. Et, le parking accueillant les usagers est bien trop petit et très mal aménagé ». Le syndicat propose d'utiliser les deux terrains vagues, situés à proximité du CHRA.
Des efforts, mais...
Pour Ségolène Guichard, maire de Metz-Tessy, il lui est impossible d'intervenir sur cette voie « qui n'est pas ouverte à la circulation publique, sauf pour l'accès aux urgences ». La police municipale ne serait donc pas compétente. « Dès le départ, nous avions alerté sur le fait que nous n'avions pas de fourrière et de compétences d'action sur cette voie privée ». Elle réfute l'idée que les chauffeurs de bus n'aient pas été entendus sur certains sujets. « On a essayé de trouver des solutions sur la sortie du parvis, en installant un miroir. Le revêtement du parking a été refait. Mais il y a des revendications, qui nécessitent des solutions plus compliquées à trouver. La réaction des chauffeurs est là un peu exagérée ».
La direction de l'hôpital assure aussi faire des efforts. « La cause principale de ce stationnement sauvage est sans conteste la saturation du parking ou sa difficulté d'accès, car il a été mal conçu », reconnaît Julien Couvreur, responsable des achats et de la logistique, « nous sommes en cours de consultation de marchés publics pour une extension et une modification interne pour fluidifier la circulation » . Utiliser les terrains vagues à proximité ne serait pour lui qu'une solution temporaire. « Avec l'augmentation de l'activité, on arriverait rapidement à saturation à court ou moyen terme. On étudie ce qu'il est réalisable sur le foncier que nous maîtrisons aujourd'hui ».
Le responsable rappelle par ailleurs que le directeur de l'hôpital n'a pas de pouvoir de police. « Nous avons alerté à plusieurs reprises la gendarmerie. Nos agents de sécurité se démènent, mais ne peuvent pas tout non plus. Mais elle ne peut se déplacer que quand elle est disponible » . L'hôpital regretterait que les bus ne desservent plus l'établissement. « Cela va venir finalement complexifier le problème ».
BUS TPG Wrote:Il suffirait d'installer des bornes sur le bord des trottoirs (mais pas trop près non plus) pour éviter le stationnement des véhicules sans pour autant gêner le passage des bus... Mais on ne ferait que déplacer le problème plus loin !
L'avenue de Genève bientôt transformée afin de fluidifier la circulation
En supprimant le tourne à gauche qui forme régulièrement des bouchons et en élargissant la chaussée, les élus espèrent fluidifier la circulation au nord de l'avenue de Genève.
Sortir d'Annecy par l'avenue de Genève est un véritable casse-tête pour de nombreux automobilistes annéciens. Heureusement, celui-ci est en passe d'être résorbé puisque des travaux viennent d'être programmés pour fluidifier la circulation sur cet axe.
Il y a deux semaines, à l'occasion de la réunion publique du quartier des Romains, une habitante faisait remarquer au maire d'Annecy qu'il était très pénible d'emprunter l'avenue de Genève pour sortir de la ville. « C'est tout le temps encombré », assurait-elle. En retour, Jean-Luc Rigaut lui promettait d'étudier la question très sérieusement et très rapidement. Et le moins que l'on puisse dire, c'est qu'il a été efficace.
En effet, alors qu'un compromis technique peinait à être trouvé entre les villes d'Annecy, d'Annecy-le-Vieux et l'Agglo pour soulager la circulation sur cet axe, une solution a été adoptée ces derniers jours. « Et si ce n'est peut-être pas la meilleure, au moins, elle a le mérite d'exister », se réjouit Gilles Bernard, vice-président de la C2A en charge des transports.
Pour ce dernier, c'est un « accord récent entre toutes les parties qui a permis d'effectuer ce grand pas en avant dans ce dossier ». Et de le détailler.
Augmenter le débit, pas la vitesse
« Entre le giratoire du boulevard du fier et celui du Léman (le plus au nord de l'avenue de Genève), nous allons élargir la chaussée pour créer deux fois deux voies, informe-t-il. Toutefois, pour contenir la vitesse, nous laisserons en place tous les feux tricolores qui se trouvent sur ce tronçon. » Par ailleurs, sur 100 mètres avant le rond-point du boulevard du Fier, une voie de bus en site propre va voir le jour, afin d'augmenter la rapidité et l'efficacité des transports en communs dans ce secteur.
Le tourne à gauche en direction du chemin des Carrières, toujours dans le sens sud-nord, sera quant à lui supprimé. « Les personnes qui voudront prendre cet itinéraire devront dorénavant aller jusqu'au rond-point du Léman et faire demi-tour », révèle le vice-président. En revanche, toutes celles qui voudront sortir du chemin des Carrières continueront, lorsqu'elles arriveront au croisement avec l'avenue de Genève, à avoir le choix entre la gauche et la droite. Elles seront également autorisées à traverser le parc technique du conseil général pour rejoindre les axes principaux. « La suppression de cet obstacle majeur sur l'avenue de Genève permettra à coup sûr d'augmenter le débit », estime Gilles Bernard.
Enfin, une bande cyclable va être matérialisée sur toute la portion qui va du premier au deuxième rond-point, toujours dans le sens sud-nord. Selon l'élu, « ce ne sera pas exactement une cinquième voie, mais cela sécurisera les cyclistes. » Pour tous ces travaux, qui devraient être réalisés en novembre, décembre et janvier prochains, la C2A (concernée par l'amélioration du réseau de transports en commun), les villes d'Annecy et d'Annecy-le-Vieux vont débourser 1 million d'euros.
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